Trois Hommes et Un Coup Fin 06

BÊTA PUBLIQUE

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Il s'est écarté du mur, la queue toujours raide. Elle était nette, sans une goutte. Elle l'avait nettoyé. Je ne savais pas avec quoi mais je n'allais par tarder à le savoir parce que c'était mon tour.

Je me suis avancé. J'ai d'abord essayé de regarder par le trou. Je voulais voir Sylvie, mais je ne voulais surtout pas qu'elle me voit. Je n'ai pas pu apercevoir son visage, mais je l'ai vue accroupie, toute nue, se caressant la vulve. Il était clair que personne ne la forçait.

Comme je n'avais pas encore sorti mon sexe, je l'ai entendue me dire :

- Alors, tu me le sors ton petit oiseau?

J'avais l'impression d'entendre une pute dans un film de série B. J'ai ouvert ma braguette. Elle a passé sa main, a tiré sur mon slip et m'a collé au mur, comme les autres. J'ai senti qu'elle m'attrapait le paquet à pleine main. J'étais déjà raide. Elle s'est mise à me pomper et à me branler. Elle faisait ça très bien. Je me sentais aspiré. En même temps, elle me caressait les couilles et m'astiquait la colonne. Comme mon prédécesseur, je me suis laissé faire, fermant les yeux et attendant le plaisir.

Je n'ai pas été long à éjaculer. J'étais tellement excité que c'est venu très vite. Dans mon esprit, je voyais le visage de ma femme, les joues déformées par la bite qu'elle engloutissait, creusées par l'effort pour pomper. J'ai giclé dans sa bouche, me vidant les couilles au fond de sa gorge. Elle n'a pas eu un mouvement pour se retirer. Au contraire, elle me caressait les boules, me pressait la hampe et aspirait tant qu'elle pouvait. C'était comme si elle tétait un tube de lait concentré, en le comprimant pour en extraire tout le contenu.

Comme mon prédécesseur, mon sexe est ressorti du trou propre comme un sou neuf. J'ai compris qu'elle avait sucé tout le monde de cette façon, avalant tout ce qu'on lui envoyait dans le gosier. J'ai aussi réalisé qu'elle ne m'avait pas reconnu, ou du moins qu'elle n'avait pas reconnu le sexe de son mari.

Une fois que j'ai eu joui, j'aurais dû partir comme les autres, rentrer à la maison. Mais je voulais rester. Je suis allé dans le couloir où se trouvaient les entrées des cabines. Les portes étaient fermées mais elles étaient faites de planches grossièrement assemblées, avec à différents endroits des espaces suffisants pour qu'on puisse regarder à l'intérieur.

La cabine de Sylvie était éclairée. Je la voyais, nue, avec ses talons aiguilles. Elle me tournait le dos. Elle était à genoux, le buste droit, les cuisses verticales, les fesses serrées. Elle suçait mon successeur. En même temps, elle se touchait. Ses deux amants étaient debout, autour d'elle. Serge la filmait.

Je suis resté jusqu'au bout. Quand il n'y a plus eu personne à sucer, les deux hommes ont baisé ma femme. C'est elle qui a demandé à Jacques de la sodomiser. Ensuite, ils l'ont branlée jusqu'à ce qu'elle jouisse, en pissant partout. Quand on faisait l'amour elle et moi, au début qu'on était ensemble, elle était honteuse de son incapacité à se retenir. À la moindre petite fuite, elle s'arrêtait. Apparemment ça lui coupait son envie et je restais frustré. Ces derniers temps, avant qu'elle ne rencontre Serge, elle ne faisait plus pipi. En fait, elle ne mouillait même plus. Et là, je la voyais trempée, se pissant dessus sans honte, se vidant sur ses amants sans que ça perturbe son plaisir. Et moi, ça m'excitait de la regarder.

À ce moment, je me suis éclipsé sans bruit. Il n'y avait plus personne dans les couloirs. Je suis reparti vers ma voiture et de là, je les ai observés tandis qu'ils ressortaient de l'immeuble. Sylvie avait repassé l'imperméable sur ses épaules.

Je les ai suivis jusque chez Serge. Ils sont montés et j'ai compris qu'elle allait passer la nuit avec eux. Je me suis branlé discrètement dans la voiture, sortant simplement ma bite de la braguette et restant à l'affût pour éviter de me faire surprendre par les passants. Mes précautions étaient bien superflues parce qu'à cette heure là, les rues sont désertes. J'imaginais Sylvie qui me suçait, ce qu'elle me refusait d'ordinaire, et c'était comme si j'éjaculais encore une fois dans sa bouche.

Je suis rentré à la maison et j'ai dû me masturber deux ou trois fois dans la nuit et jusqu'au samedi matin. Dans mon esprit, je mélangeais Barcelone, le parking et cette cave. Sylvie se faisait prendre à la chaîne dans des chiottes et elle en avait partout. Et moi, j'étais simplement l'un parmi ses dizaines d'amants de passage. « Au suivant » comme avait dit ma femme et comme disait la chanson.

Quand elle est rentrée le lendemain, je ne lui ai rien demandé. Je ne voulais pas qu'elle se lance dans des mensonges.

*

Sylvie

Le vendredi soir, je suis sortie du bureau le plus tard possible. Je savais que je devrais attendre jusqu'à minuit avant de retrouver Serge. Tout m'intriguait dans ce rendez-vous. Mais c'était plus fort que moi, j'étais excitée.

Une fois chez Serge, j'ai dû me mettre nue sous l'imperméable une nouvelle fois. J'étais contente de renouveler l'expérience du parking mais en même temps, je m'inquiétais de ce que mon amant allait exiger de moi cette fois-ci.

Une fois en route, je me suis aperçue que nous ne prenions pas la route du parking. Les deux hommes me caressaient, Serge en conduisant, passant de ma fente au levier de vitesse, et Jacques me triturait les seins depuis le siège arrière. Je me laissais faire. J'étais trempée et Serge s'en rendait bien compte.

Au bout d'une demi-heure de route, on est arrivé dans une cité de banlieue. J'étais de plus en plus étonnée. Ce n'était pas le parking et c'était plutôt sordide. Je me suis rajustée et nous sommes descendus de voiture. On est entré dans un bâtiment et on a pris l'escalier qui descendait au sous-sol. Je commençais à m'inquiéter. J'étais entre Serge et Jacques. Dans un couloir, il y avait des hommes qui semblaient attendre quelque chose en file bien ordonnée. Nous nous sommes engagés dans un autre couloir parallèle. On m'a demandé d'entrer dans une cave.

C'est là que Serge m'a expliqué qu'on était dans un gloryhole, que c'était un lieu spécialement aménagé pour que des femmes sucent des hommes sans les voir. Dans le fond de la cave, il y avait un trou qui devait donner sur le couloir où ces messieurs attendaient leur tour.

Je suis restée sans réaction, paralysée par la sidération.

Jacques m'a obligé à appeler mon premier « client ». C'est ainsi qu'il désignait les hommes qui faisaient la queue pour se faire sucer.

J'ai vu un sexe tout recroquevillé se présenter devant l'ouverture. Jacques a pris ma main pour l'amener jusqu'à la verge. Il m'a fait comprendre que je devais la mettre en érection. Dés que je l'ai touchée, j'ai senti qu'elle durcissait. En quelques manipulations, elle s'est développée. Elle était raide dans ma paume.

Serge m'a ordonné de la mettre dans ma bouche. J'hésitais. Je ne savais pas à quoi ressemblait l'homme à qui j'allais faire une fellation. Mais en fin de compte, j'ai compris que tout ce qui comptait, c'était ce sexe. Il était bien ferme dans ma main, la hampe dure et légèrement arquée vers le haut, le gland violacé, luisant, dilaté. J'aurais sans doute eu du mal à m'expliquer, mais j'ai eu envie de le sentir dans ma bouche, de me remplir de cette tension.

Je l'ai sucé. Moi, Sylvie, je suçais un inconnu, un homme que je ne voyais pas, que je ne verrais sans doute jamais. Et j'y prenais plaisir. Ça m'excitait. Jacques s'en est rendu compte en me mettant ses doigts dans le vagin. Je n'étais pas humide, je n'étais pas mouillée : j'étais inondée.

Je me suis mise à masturber ce sexe pour le mener au plaisir, suçant le gland, tenant les testicules. J'ai senti le sperme monter le long de la tige. J'ai quand même été surprise par les premières giclées qui se sont dispersées, en partie sur mon visage. Mais j'ai ensuite orienté les jets vers ma poitrine et je me suis caressé les seins avec cette crème.

A peine l'homme s'était retiré qu'un autre le remplaçait. Serge est venu vers moi. Il me filmait. Ce second sexe était déjà raide. Je l'ai mis dans ma bouche et Serge m'a prise en gros plan avec la caméra de son portable. Puis, il s'est mis à me branler furieusement le vagin pendant que je suçais. De nouveau, l'homme a éjaculé sur mes seins et j'ai étalé son jus. Je prenais un plaisir insensé à penser que j'étais nue dans une cave, les cuisses ouvertes, une main d'homme dans mon sexe, et moi me frottant la poitrine pour me l'enduire de sperme.

Serge a exigé que je fasse éjaculer les suivants dans ma bouche et que j'avale leur semence.

Le sexe qui s'est présenté ensuite était celui d'un homme de couleur. Il était en érection et nettement plus imposant que les deux précédents. Lui aussi me faisait envie. Il était tellement impressionnant! J'ai dû ouvrir grand ma bouche pour faire entrer le gland. J'ai voulu l'enfoncer loin dans ma gorge pour me rendre compte de sa taille. Je n'en rentrais pas la moitié.

Avec celle là, j'ai fait durer le plaisir. Je la sentais si dure! J'avais les deux grosses boules noires dans ma main gauche et je tenais ma main droite autour de la base du membre. Je léchais tout, comme je l'aurais fait d'une glace à la vanille. Après m'être régalée, j'ai commencé à la branler pour la faire cracher.

Je n'avais plus peur de ces mots. Je ne les prononçais toujours pas, mais je les assemblais dans ma tête. Je pensais aux phrases les plus cochonnes que je pouvais imaginer : « je vais lui pomper le nœud jusqu'à ce qu'il me crache son foutre au fond de la gorge ». J'ai senti qu'il venait. J'avais la bouche sur le trou et j'ai aspiré son urètre pour faire tout venir. Je me disais « vide lui les couilles ».

Pendant qu'il se soulageait dans ma bouche, je me suis touchée le clitoris. Bizarrement, j'avais honte de le faire, comme quand, enfant, je me cachais pour me masturber.

D'autres hommes se sont succédés, et comme Serge me l'avait demandé, je les ai tous sucés à fond, sans rien laisser perdre de leurs spermes. Progressivement, je me suis laissée aller à me caresser sans gêne.

Je changeais régulièrement de position, accroupie, assise, debout et penchée en avant. Je suçais, je suçais, je suçais, sans relâche et le flux des clients semblait inépuisable. Je les appelais, je prenais des expressions de plus en plus triviales, je les complimentais, les excitais par des mots vulgaires, je parlais même parfois la bouche pleine.

Et puis vint le moment où plus personne n'a répondu à mes sollicitations. Tous les hommes étaient partis, soulagés.

Serge et Jacques m'ont alors prise l'un après l'autre. D'abord, j'ai demandé à Jacques de m'enculer et ensuite, Serge m'a prise par devant. Nous avons fait l'amour à même le sol. Ils m'ont masturbée jusqu'à ce que je me soulage par terre.

Quand nous sommes sortis, j'ai vu que l'autre cabine était déjà vide.

Après plus de trois heures à tailler des pipes, nous sommes rentrés chez Serge. J'ai passé la nuit avec mes deux amants et ils m'ont refait l'amour le lendemain matin, dans un bon lit moelleux. Jacques restait fidèle à mon anus, et j'aimais vraiment ça. J'étais devenue gourmande de sodomie.

Je suis rentrée à la maison un peu plus tard dans la journée. Mon mari ne m'a pas demandé comment s'était passé mon déplacement professionnel.

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2 Commentaires
NuhNuhNuhNuhil y a plus de 3 ans
Le Mari

Le mari va t il finir par se faire découvrir ? Il serait intéressant du coup qu’elle fasse tout ça avec son mari en même temps !

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 3 ans
Rhâaa Lovely

Trop bon le cocu qui se fait pomper par sa femme.Vivement le chapitre 7 avec de nouveaux rebondissements?

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