Trois Hommes et Un Coup Fin 06

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Le gloryhole.
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Partie 6 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/20/2020
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Chapitre 6 : la cité.

Serge

Je connaissais un gloryhole amateur en région parisienne et j'ai eu envie d'y emmener Sylvie. Je voulais la voir à l'œuvre pour éponger une cinquantaine de paires de couilles à la file. Branler des types sur un parking, c'est une chose, mais sucer et avaler, c'est plus raide.

J'ai appelé Sylvie. Vu l'heure, elle devait être au boulot.

- Je voudrais te sortir vendredi soir. Tu peux te libérer?

- Un vendredi soir? Mais comment veux-tu que je fasse?

- Ben à toi de trouver. Moi, je te propose de sortir, c'est tout. C'est à toi de voir si tu peux. Tu pourras?

Je sentais bien qu'elle hésitait. Mais assez vite elle a dit :

- Je vais me débrouiller. Que veux-tu que je fasse?

Je lui donnais rendez-vous à minuit chez moi. Je savais que c'était très compliqué pour elle de se libérer un vendredi pour sortir à minuit. Mais j'étais certain qu'elle en avait tellement envie qu'elle allait trouver une solution.

Il fallait que ce soit un vendredi parce que c'est surtout en fin de semaine que ça marche bien le gloryhole. En semaine, il n'y a pas beaucoup de monde et ça manque d'ambiance.

J'ai appelé Jacques pour le mettre au courant. Lui, je l'ai informé de mon plan.

- On va l'amener là-bas. Je voudrais lui faire sucer des bites à la file. La semaine dernière, je l'ai emmenée au parking. Elle a fait gicler une vingtaine de types tout à la main.

- Tu l'as emmenée au parking? Ah! Dommage, j'aurais bien aimé voir ça. Elle a aimé ou elle a fait ça du bout des doigts?

- Non, non. Elle a aimé. Je l'avais foutue à poil dans la bagnole et je lui ai testé la moule. Un vrai marécage mon vieux.

- Comment on fait?

- Elle doit venir chez moi à minuit. Arrive un peu avant. On partira tous les trois dans ma caisse, OK?

- D'accord. A vendredi alors?

- A vendredi.

*

Sylvie

Serge m'a appelé au bureau. C'était inhabituel parce que c'était toujours moi qui l'appelait. Il m'a demandé de me libérer le vendredi soir. Vers minuit en plus!

Je ne savais pas quoi faire. C'était impossible que je sorte à minuit sans une explication plausible. Patrick n'était pas idiot et si je me contentais de lui dire « je sors », il allait sans doute le prendre mal.

Mais je n'ai pas eu le temps de peser le pour et le contre. Serge me demandait de me décider sur le champ et j'ai répondu que j'allais m'arranger. Je n'avais aucune idée de la façon de m'en sortir mais je savais que je n'aurais voulu à aucun prix rater un rendez-vous avec lui.

J'ai réfléchi toute la journée, imaginant plein de scénarios, les passant au crible de la loi de Murphy. Et j'ai trouvé. Puisque mon mari ne partait pas en mission pour me laisser le champ libre, c'est moi qui allais partir. Le seul souci, c'était que ça devait se faire un vendredi soir. J'ai imaginé que si j'avais une réunion en province assez éloignée, c'était relativement plausible que je ne rentre que le lendemain.

J'ai encore attendu une journée pour en parler à mon mari, ce qui m'a laissé le temps de peaufiner mon histoire, choisir la destination, réserver un hôtel, bref parer à toutes les questions éventuelles et organiser mon découchage de deux nuits.

Quand j'ai informé Patrick, j'ai été assez déçue parce qu'il ne m'a rien demandé, comme si cela lui était égal que je quitte le domicile conjugal pendant deux jours. Je m'étais creusée la tête alors qu'apparemment j'aurais tout aussi bien pu lui dire « chéri je découche deux nuits parce que je vais chez mon amant ».

*

Patrick

Une semaine environ après la soirée du parking, alors que je réfléchissais à un nouveau déplacement en province, ma femme m'a annoncé qu'elle devait partir à son tour. Départ le jeudi soir, retour le samedi dans la journée.

Je n'ai fait aucun commentaire. Elle devait me trouver bien indifférent. Je ne l'étais pas bien entendu, mais comme je flairais un mensonge, il était inutile de la mettre dans l'embarras en lui posant des questions. Ce qui m'importait, c'était qu'elle puisse faire ce qu'elle avait prévu, charge à moi de me débrouiller pour être présent. J'espérais que Serge l'emmènerait encore au parking et je voulais vraiment assister à ça, voir ce qu'il allait l'obliger à faire de plus sale que de branler et de se faire inonder de foutre.

*

Serge

Le vendredi, Jacques est arrivé chez moi vers vingt deux heures. Nous avons bu quelques verres en évoquant le cinéma et la soirée chez Sylvie.

Elle a sonné un peu après minuit, coquetterie de femme. Nous l'avons accueillie en l'embrassant et en la troussant. Elle était en jupe et elle l'a eue assez vite en ceinture autour de la taille avec plusieurs mains dans la culotte.

Petit à petit, on l'a déshabillée entièrement. Elle devait penser qu'on allait faire l'amour à trois chez moi. Mais quand elle a été nue, je suis allé chercher l'imperméable. Elle a compris. Elle l'a passé sans qu'on ait à le lui demander. Bravement, elle nous a questionné :

- On va au parking?

Mais sa voix trahissait un peu d'inquiétude, pas de la sérénité.

Je suis volontairement resté laconique sur notre destination. Nous avons pris ma voiture que j'avais garée devant la porte, comme je le faisais chaque fois, sans égard pour la réputation du couple. Sylvie est montée devant et Jacques derrière.

Nous l'avons lutinée tout le long du chemin. Je lui avais à nouveau demandé d'ouvrir son imper. J'avais ma main entre ses cuisses et Jacques lui massait les seins et lui embrassait le cou.

Le lieu où nous nous rendions se situait dans un quartier pauvre. Sylvie s'est inquiétée de l'aspect délabré de l'environnement. Le gloryhole était installé dans les caves d'un immeuble. Nous nous sommes arrêtés devant la cage d'escalier. Sylvie a refermé son imperméable et nous sommes descendus de voiture.

On est entré dans le bâtiment, Sylvie entre Jacques et moi. Un escalier descendait au sous-sol. On s'y est engagé. En bas, il y avait plusieurs couloirs parallèles pour desservir les caves. Dans l'un d'eux, il y avait plein d'hommes qui attendaient. Nous nous sommes frayé un passage jusqu'à un second couloir, libre, et qui menait à l'entrée des cabines. Il y avait trois caves aménagées. L'aménagement consistait simplement en un trou creusé directement dans la cloison du fond. On rentrait par un couloir et les types qui venaient se faire sucer attendaient dans le couloir d'en face, qui donnait accès aux trois trous.

Avec Jacques, nous avons guidé Sylvie jusqu'à la cabine du milieu. Celle de gauche était occupée.

Elle était éberluée. Elle n'avait pas peur, mais elle se demandait vraiment ce qu'on faisait là. Elle m'a demandé :

- Qu'est-ce que c'est que cet endroit?

- C'est un gloryhole. Tu sais ce que c'est un gloryhole?

- Euh ... non.

- Tu vois le trou dans le mur?

- Oui. Mais qu'est-ce qu'on fait dans cette cave?

- Jacques et moi, on va te regarder faire et t'encourager.

- Me regarder faire? Mais qu'est-ce que je dois faire?

- Il y a des types qui vont venir de l'autre côté du mur. Ils vont te donner leur queue à sucer en la passant par le trou.

- Vous voulez que je les ... suce?

- C'est ça.

- Et je vois pas qui je ... suce?

- C'est le principe. Des bourgeoises qui aiment la queue viennent offrir leur bouche à tous les types qui ont les couilles trop pleines et le portefeuille trop vide. A côté de nous, tu as une concurrente. J'espère que tu vas vider plus de roubignoles qu'elle. C'est ton honneur qui est en jeu ma grande!

Elle est restée sans voix. Elle ne s'insurgeait pas mais elle était désorientée. Elle ne s'attendait pas à ça. Sans lui demander son avis, je lui ai ôté son vêtement. Elle s'est retrouvée nue dans la cave, mais toujours avec ses talons aiguilles.

Jacques, qui est plus impulsif que moi, a pris Sylvie par le bras et l'a attirée jusqu'au mur du fond. Il lui a appuyé sur l'épaule pour la forcer à s'agenouiller. Il y avait un petit tapis au sol. Il lui a dit d'appeler le client suivant. Sylvie restait silencieuse. Jacques a insisté :

- Tu dis « au suivant ». Allez.

D'une toute petite voix, elle a répété ce que Jacques lui ordonnait de dire.

- Il va pas t'entendre le type! Dis le plus fort.

Elle a haussé le ton, appelant nettement un homme à venir.

Un sexe s'est engagé dans le trou. Jacques a pris la main de Sylvie et l'a amenée jusqu'à la bite. Elle s'en est saisie.

Elle n'était pas en érection mais le simple contact avec la main l'a dilaté. Sylvie nous a regardé et nous lui avons mimé une branlette pour lui faire comprendre ce qu'elle devait faire. Elle s'y est mis, timidement d'abord, en décalottant le gland, puis en faisant de lents va-et-vient. En quelques mouvements, elle a transformé une quéquette en un beau mandrin.

Je lui ai dit :

- Tu vois, c'est pas différent du parking. Tu t'en tires aussi bien. Maintenant, tu vas la sucer.

Elle l'a fait, du bout de la langue, puis petit à petit, elle s'est enhardie et a fini par mettre la totalité de la pine dans sa bouche. J'ai commencé à filmer. Jacques lui a mis la main à la chatte pour vérifier qu'elle mouillait. Il s'est tourné vers moi et a levé le pouce.

Sylvie a commencé une vraie fellation au gloryhole. Elle cherchait à faire jouir son partenaire invisible. Elle le masturbait et en même temps, elle lui suçotait le bout du gland. Elle passait sa main gauche par le trou pour caresser les couilles. C'est à ce genre de petites attentions que celui qui se fait pomper sent qu'il est dans une bouche de confiance, qui apprécie l'exercice plutôt que de le considérer comme un labeur.

Progressivement, l'homme s'est détendu de l'autre côté du mur et assez vite on l'a entendu souffler de plus en plus fort. Ce n'était pas un silencieux. En même temps que son plaisir montait, il le faisait savoir à tous ses suivants en geignant, puis en criant lorsqu'il commença à se soulager sur le visage de Sylvie. C'était elle qui le tenait par le manche et c'était elle qui lui vidait les couilles en plusieurs saccades. Les premières giclées se sont dispersées au hasard, un peu sur le nez, un peu dans les cheveux, un peu dans l'air. Puis, Sylvie a repris le contrôle et dirigé les jets vers son décolleté. Finalement, elle se prenait au jeu et elle avait des initiatives qui montraient qu'elle aussi avait du plaisir.

Presque aussitôt, un autre sexe s'est encadré dans le mur.

Je me suis accroupi derrière Sylvie, qui suçait un deuxième type. Je voulais faire un gros plan de la queue et de Sylvie qui se la gobait. La bite était déjà raide, son propriétaire s'étant sans doute excité en entendant son prédécesseur prendre son pied. J'ai placé ma main entre les fesses et j'ai branlé Sylvie. Mes doigts entraient sans peine dans le vagin. J'ai continué à la caresser jusqu'à ce que le deuxième client lui envoie la purée.

- La prochaine, tu avales tout. D'accord?

Elle n'a pas répondu. J'ai insisté :

- Tu la pompes à fond et tu aspires comme à une paille quand tu sens qu'il gicle, pour lui assécher les burnes. Dis moi que tu vas le faire.

Je l'ai fixée droit dans les yeux. Elle a baissé son regard et elle a balbutié :

- Je vais le faire.

C'était de la timidité, pas de la réticence, je le sentais.

Une troisième bite s'est présentée. C'était un noir. La queue était grosse et longue, pour ne pas faire mentir le cliché. Sylvie était déjà bien rodée après seulement deux fellations. Elle apprenait vite, sans doute parce qu'elle aimait ça. Elle a dû bien écarter ses lèvres pour pouvoir tout rentrer. Elle se l'est enfoncée au fond de la gorge, avalant seulement la moitié de la tige tellement elle était longue. Ensuite, elle a commencé à tailler une belle pipe. Elle suçait le gland, passait sa langue sur le filet, forçait le méat avec la pointe pour élargir le trou, léchait tout autour du sillon et en même temps, elle branlait la hampe, la serrant entre ses doigts. Le noir a commencé à s'agiter de l'autre côté de la cloison. Ça lui faisait de l'effet. on l'entendait bramer. Ça excitait Sylvie qui se démenait sur le manche. Elle a dû sentir le foutre monter dans la colonne. Elle a mis le nœud dans sa bouche et j'ai vu ses joues se creuser. Elle aspirait. Elle a dégluti à plusieurs reprises. Le type a eu un dernier râle. Sylvie a sorti la bite de sa bouche. Elle avait l'éclat du neuf, pas une trace de foutre.

- Tu as aimé? Ça avait bon goût?

Elle ne voulait pas me répondre. J'ai reposé ma question :

- Dis moi que tu as aimé ça.

- J'ai aimé ça.

Elle avait toujours ce ton de petite fille fautive qui n'ose pas avouer son plaisir coupable.

Elle a continué à sucer tous les hommes qui se présentaient. Ça a duré trois heures. Je n'ai pas tenu le compte scrupuleusement, mais ça a dû faire une bonne soixantaine de bites. Je lui ai interdit de perdre une goutte de foutre. A partir de la troisième queue, elle a tout avalé.

Après que je lui ai fourré mes doigts dans la chatte, elle s'est touchée. D'abord furtivement, comme si elle ne voulait pas qu'on le sache. C'était puéril parce qu'on voyait tout d'elle. Elle était là, accroupie comme pour pisser, les fesses sur les talons, les cuisses ouvertes et quand elle descendait sa main vers sa chatte, on ne voyait que ça. Petit à petit, elle a fait les choses plus simplement, sans pudeur, comme si nous n'étions pas là. Elle se titillait le clito, rentrait ses doigts dans le vagin pour les lubrifier et recommençait à se branler le bouton. Je l'ai même vue se caresser la pastille et s'enculer avec le médius.

Les types se succédaient. Elle les suçaient et elle se branlait. C'était parfait.

Quand plus personne ne s'est présenté, on l'a fourrée Jacques et moi, à même le sol de la cave. Comme d'habitude, il l'a enculée et je l'ai prise par devant. Elle était bien ouverte du derrière et Jacques n'avait plus besoin de lui beurrer le fion. Il se contentait de cracher sur le petit rond et sur le bout de sa bite. Ça suffisait pour rentrer tout seul.

Ensuite, on l'a ramenée chez moi où elle a passé la nuit dans mon lit. Le lendemain matin, on lui a fait rebelote Jacques et moi, toujours fidèle à nos orifices. C'était devenue une vraie fan de l'enculage. Jacques lui avait appris à s'offrir sur le dos, jambes en l'air, en se tenant sous les cuisses. Elle prenait position, écartant bien ses gambettes pour exposer ses deux trous et elle disait à Jacques « prends moi ». Il venait à genoux devant son cul, il laissait tomber un peu de salive au milieu de la raie, l'étalait avec ses doigts sur la rondelle, s'en mettait sur le panais et l'enfournait sans plus de formalité. Il l'enculait direct, rapide, à pleine vitesse et elle aimait cette brutalité. Elle expirait bruyamment à chaque poussée.

*

Patrick

Quand ma femme est partie, je l'ai suivie. Elle est allée en voiture à quelques kilomètres de chez nous et elle est entrée dans un hôtel. J'étais piégé. Je ne pouvais pas continuer à l'espionner et elle allait sans doute passer la nuit avec Serge. Je suis rentré à la maison, déçu.

Tôt le lendemain, je suis retourné à l'hôtel. Elle est sortie vers huit heures, seule. Elle a pris sa voiture. Nous avons roulé l'un derrière l'autre jusqu'à ce que je comprenne qu'elle allait à son travail. Je suis allé à mon bureau. Je suis parti en milieu d'après-midi, un peu plus tôt que d'habitude, pour avoir le temps d'assister à la sortie de Sylvie. Elle a repris sa voiture et elle est allée boire un verre dans un bistro. Vers dix neuf heures, elle est sortie pour chercher un restaurant et elle a dîné pendant un temps infini. Elle semblait attendre quelque chose ou quelqu'un.

J'étais dehors. Je ne la voyais pas vraiment, mais je guettais la sortie. Vers vingt trois heures, le restaurant s'apprêtait à fermer et elle a dû s'en aller. Elle a marché, sans but précis au début, parce qu'elle prenait des directions pas vraiment rectilignes. Puis son pas s'est accéléré et elle est allée jusqu'à un porche d'immeuble. Elle est rentrée et je l'ai perdue de vue.

J'ai pensé qu'elle était chez Serge et je me suis dit que c'était foutu. Elle allait finir la nuit avec lui. Mais j'ai eu l'intuition qu'ils allaient peut-être ressortir. Ce rendez-vous à minuit m'intriguait. J'ai donc patienté, dans ma voiture, en observant le porche.

Un quart d'heure plus tard, ils sont ressortis tous les trois, Serge, Jacques et ma femme. Elle portait cet imperméable du parking. Ça s'annonçait bien, conforme à mes souhaits. Ils allaient sans doute retourner là-bas et j'allais pouvoir jouer les voyeurs en me masturbant.

Mais assez vite, j'ai compris qu'on allait ailleurs. On n'était pas sur le même chemin. On a roulé une bonne demi-heure et on s'est retrouvé dans une cité de banlieue. Ils se sont garés près d'un immeuble et ils sont rentrés à l'intérieur. J'ai attendu un peu et comme je ne les voyais pas ressortir, je suis entré moi aussi.

Il y avait deux escaliers, l'un qui montait dans les étages et l'autre qui descendait à la cave. Il me semblait entendre du bruit en bas. Je suis descendu. Il y avait plusieurs hommes qui attendaient.

Je ne savais pas quoi faire. Sylvie avait disparu. Je me suis placé en queue de file et je me suis mis à avancer avec les autres sans savoir pourquoi. Il y avait un type collé à la cloison, le pantalon sur les chevilles. À sa gauche, le mur était percé en deux endroits.

J'ai discuté avec le type devant moi.

- Vous avez vu une femme avec deux hommes qui viennent juste d'arriver?

- Oui, ils sont entrés dans la cabine. Maintenant, il va y avoir deux nanas pour sucer, ça va aller plus vite.

Je n'en croyais pas mes oreilles. Apparemment, nous étions dans un gloryhole et Sylvie allait devoir soulager tous ces hommes qui attendaient leur tour. D'ailleurs, il en arrivait encore, qui se sont placés derrière moi. Involontairement, je me suis mis à faire la queue avec les autres, comme si je voulais me faire sucer par ma propre femme.

Soudain, j'ai reconnu la voix de Sylvie qui disait « au suivant », haut et fort. Le premier de la file s'est avancé, a sorti son sexe et l'a fait passer par l'ouverture. Comme son voisin, il se collait au mur. J'imaginais que de l'autre côté, il y avait ma femme en train de prendre ce sexe dans sa main.

J'ai senti que je bandais irrésistiblement. Je me suis massé à travers l'étoffe de mon pantalon. Le type que ma femme suçait était assez quelconque. Sans cet anonymat du gloryhole, Sylvie n'aurait pas eu un regard pour lui. Tout le monde l'a entendu jouir. Il a bramé pendant de longues secondes. L'homme devant moi m'a dit :

- Celle là, elle a l'air bonne! Qu'est-ce t'en penses?

J'étais sonné. C'était de mon épouse qu'il parlait. Et en plus, il me demandait mon avis. Je restais sans voix. Mais il a insisté :

- Laquelle tu préfères? Moi, je te conseille la nouvelle. Vu comment le gars a gueulé, elle doit sucer royal la salope.

Je ne voulais pas l'énerver en refusant de lui répondre. J'ai vaguement bredouillé :

- Oui, t'as sûrement raison.

- Mais bon, vu que je vais la prendre, tu vas avoir l'autre. A moins que tu laisses ton tour pour attendre qu'elle me finisse.

- Oui, c'est ce que je vais faire. Merci de l'idée.

Voilà que je remerciais le type que ma femme allait sucer avant moi. Si ça se trouve, elle allait me badigeonner la queue avec son foutre.

J'ai eu tout le temps de penser. On n'avançait pas très vite. Il fallait quelques minutes pour que chaque type éjacule. Je regardais la vingtaine d'hommes qui me précédaient et j'imaginais Sylvie suçant la moitié d'entre eux les uns après les autres. Les minutes passaient et je me rapprochais du but. Au fur et à mesure que j'avançais, d'autres hommes venaient allonger la file derrière moi.

C'était le tour de celui qui était juste devant moi. Il s'est avancé vers le trou où officiait Sylvie. Il a descendu son pantalon. J'ai vu une main qui sortait de la cloison pour attraper les couilles. Il s'est tourné vers moi, m'a souri et a levé son pouce en me faisant un clin d'œil. Par réflexe, je lui ai rendu son clin d'œil, mais sans lever le pouce. Comme les autres, il a collé son pubis à l'orifice. Je voyais son cul blanc, cambré vers l'avant. Il avait les bras ballants et il levait la tête en fermant les yeux, savourant son plaisir. Il a commencé à s'agiter, poussant encore plus son bassin, contractant ses cuisses. Il grognait, la bouche ouverte. Il était en train de jouir, dans la main ou pire peut-être, dans la bouche de ma femme. On pouvait percevoir chaque giclée de sperme simplement en regardant ses fesses se serrer spasmodiquement.

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