Trois Hommes et Un Coup Fin 07

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Le gang-bang
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Récit n'a pas de balises

Partie 7 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/20/2020
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Chapitre 7 : le gang bang.

Serge

Nous avions franchi pas mal d'étapes avec Sylvie et je la sentais prête à accepter encore plus difficile. Mais je ne voulais pas seulement qu'elle soit volontaire. Je voulais aussi que son mari ne puisse plus nous gêner. La clé, c'était de les confronter tous les deux à la réalité. Il ne savait pas que sa femme suçait des queues et y prenait plaisir. Il fallait qu'il l'apprenne. Quant à elle, elle aimait la bite mais seulement quand elle était avec Jacques et moi. Avec son mari, elle redevenait une bourgeoise coincée du cul. Il fallait qu'elle montre à son mari son vrai visage.

J'en ai discuté avec Jacques et nous avons arrêté un plan.

*

Jacques

Nous avions convenu avec Serge que je ferais la connaissance du mari « par hasard ». À l'heure du déjeuner, en semaine, je me suis assis à la table à côté de la sienne. Il mangeait seul et c'était idéal pour entamer la conversation. Après quelques échanges, on s'est présenté l'un à l'autre. Je savais qu'il s'appelait Patrick parce que Sylvie nous l'avait dit mais j'ai fait mine de l'apprendre. Nous parlions de choses et d'autres et petit à petit, j'ai orienté notre dialogue vers le sexe et les femmes. J'en suis venu à lui parler de Sylvie, sans lui dire qui c'était, bien entendu.

J'ai expliqué qu'avec un copain nous avions rencontré une bourgeoise pas farouche qui aimait se faire baiser et que si ça le tentait, il y aurait un gang bang sur un parking le vendredi soir suivant.

Patrick m'écoutait. Je sentais que depuis que j'avais mentionné cette nana, il était très attentif. Ça me faisait marrer intérieurement parce que j'imaginais sa tête s'il avait su que c'était de sa femme qu'on parlait.

Il était embarrassé. Il m'a expliqué qu'il était marié et qu'il lui était difficile de se libérer un vendredi soir. Je lui ai laissé mon numéro et il a promis de me rappeler pour me dire s'il pourrait venir.

*

Patrick

Un lundi midi, j'ai eu la surprise de voir Jacques s'installer à côté de moi au restaurant. Je ne lui ai pas montré que je le connaissais. Il a engagé la discussion, d'abord en parlant de choses banales et puis progressivement il en est venu à ce qui avait motivé cette rencontre fortuite en apparence.

Il m'a proposé de participer à un gang bang pour baiser une femme qui aimait ça paraît-il. Je l'ai écouté me décrire Sylvie, la présentant comme une pure salope qui aimait sucer des queues à l'insu de son mari. J'ai fait semblant d'être intéressé et je l'ai assuré que je ferai mon possible pour venir. En réalité, je ne faisais pas semblant d'être intéressé. Je l'étais vraiment, mais certainement pas comme il l'imaginait.

Ma seule chance de me rendre disponible, c'était de compter sur Sylvie elle-même. Je me doutais que Serge et lui allaient lui faire la même proposition et qu'elle allait se débrouiller pour être présente. Puisqu'elle ne serait pas à la maison, j'aurais le champ libre pour venir de mon côté sans qu'elle s'en aperçoive.

C'est exactement ce qui s'est passé. J'avais passé la semaine à me demander quelle excuse elle allait trouver pour sortir un vendredi soir. Mais ça a été tout simple. Le vendredi matin, au bureau, j'ai reçu un SMS où elle m'informait qu'elle rentrerait tard. Je ne devais pas l'attendre pour dîner. Je ne cherchais surtout pas à la joindre pour lui demander des explications.

J'ai appelé Jacques dans la foulée pour lui dire que je pouvais venir. Il m'a proposé de passer me chercher chez moi. Il m'a demandé où j'habitais, bien qu'il le sache. Nous avons convenu qu'il passerait me prendre vers vingt trois heures. L'heure était assez tardive mais je jouais sur du velours puisque ma femme ne pourrait pas rentrer avant mon propre retour.

*

Sylvie

Après le gloryhole, il s'est passé plus d'une semaine sans que je puisse voir Serge. Il me manquait terriblement.

Quand il m'a enfin appelée, j'espérais qu'on se verrait vite, le soir même par exemple. Mais il m'a demandé de venir chez lui le vendredi suivant, très tard. J'avais encore plusieurs jours à attendre. En plus, j'étais une nouvelle fois forcée de trouver une solution pour venir sans inquiéter mon mari. Mais j'avais tellement envie de cette soirée avec mon amant que j'ai accepté son rendez-vous sans hésiter. Trouver un prétexte pour m'absenter, c'était un autre problème que je remettais à plus tard.

J'ai laissé passer la semaine et le vendredi matin, j'ai juste envoyé un message laconique à mon mari lui disant que je rentrerai tard. Je ne voulais même pas repasser par la maison pour ne pas avoir à affronter ses questions.

Quand je suis sortie du bureau, j'ai erré dans la ville pour attendre l'heure de mon rendez-vous avec Serge. A minuit, j'ai sonné.

Il m'a ouvert et nous nous sommes embrassés. J'avais tellement envie de lui.

Il m'a déshabillée et il est allé chercher l'imperméable. J'ai compris qu'on allait sortir. Je m'en doutais étant donnée l'heure tardive et je dois avouer que ça me faisait mouiller.

*

Serge

J'ai laissé Sylvie mariner une bonne dizaine de jours avant de la rappeler. Je voulais qu'elle soit en manque de sexe, ou en manque de moi.

Jacques m'avait prévenu que le mari avait accepté de participer au gang bang pour peu qu'il puisse se libérer. Je savais qu'il suffisait de convaincre Sylvie pour que tout se mette en place. Et pour la convaincre, rien de tel que de la mettre sous pression.

Le mardi, je l'ai appelée à son bureau pour lui dire de venir chez moi le vendredi suivant à minuit. Elle n'a même pas fait mine d'hésiter.

Tout de même, Jacques et moi on a eu peur. Le vendredi matin, le mari de Sylvie n'avait toujours pas confirmé. Il ne l'a fait qu'en fin de matinée.

Enfin, à minuit pile, Sylvie sonnait à ma porte.

Elle m'a embrassé très amoureusement. Moi, pendant ce temps, je la mettais à poil. Quand ça a été fait, je suis allé chercher l'imperméable. Elle l'a enfilé et on est ressorti.

Je n'ai même pas eu à lui demander d'ouvrir l'imperméable dans la voiture. Elle l'a fait d'elle même et elle a pris ma main pour que je la caresse. Elle était fin prête pour le gang bang.

Nous sommes retournés au parking où elle s'était initiée à la branlette à la chaîne. Je me suis garé à côté des autres voitures. Sylvie a retiré l'imperméable. J'ai sorti un grand foulard de ma poche, que j'ai roulé pour en faire un bandeau. Je l'ai tendu à Sylvie et je lui ai dit de se l'attacher autour des yeux.

Je suis sorti de la voiture, j'ai ouvert sa portière et je l'ai aidée à descendre. Je l'ai guidée jusqu'au capot. Elle lui tournait le dos. Je l'ai fait reculer jusqu'à ce qu'elle s'allonge sur la voiture. Elle s'est aidée de ses bras pour glisser un peu plus haut et poser ses talons sur la tôle. Ses jambes étaient repliées, les genoux vers le ciel et les pieds pas loin des ses fesses. Je les ai écartés pour qu'on puisse bien voir le sexe.

Un premier homme s'est approché. Il m'a demandé s'il pouvait prendre ma femme. Je l'ai invité à s'avancer entre les cuisses. Il a défait sa ceinture et baissé son pantalon et son slip dans le même mouvement. Il a pris son sexe dans sa main, s'est un peu masturbé et s'est avancé jusqu'à la voiture. Il a caressé les cuisses, le ventre, les seins, un peu partout. Il s'allongeait de plus en plus sur Sylvie. Il a cherché sa bite à tâtons et l'a orientée vers l'entrée du vagin. Il a eu quelques mouvements de bassin avant de vraiment se mettre en place. Il a agrippé les hanches et il a commencé à la baiser.

Pendant qu'il la besognait, d'autres hommes se sont approchés rapidement, formant une file d'attente.

Nous regardions tous le type s'agiter entre les jambes de Sylvie. Son cul blafard allait d'avant en arrière à un rythme soutenu. A chaque coup vers l'avant, l'homme soufflait. Sylvie lui répondait aussitôt, en gémissant, comme si chaque pénétration lui vidait les poumons. Elle avait relevé son buste et se tenait aux épaules de celui qui la forçait. Il avait sa tête entre ses seins qui se balançaient en cadence. Le souffle s'est transformé en râle. Le plaisir venait. Sylvie ouvrait ses cuisses de plus en plus. Elle décollait ses pieds, les levaient. L'homme continuait à pistonner. Le râle est devenu cri. Il s'est immobilisé au fond d'elle. Je regardais ses doigts enfoncés dans la chair molle de la taille, le cul pressé contre le trou qu'il investissait, les fessiers se contractant à chaque jet de sperme. On ne voyait pas l'éjaculation parce que tout se passait en dedans mais le mouvement des fesses en témoignait. Sylvie recevait cette semence au plus profond de son vagin. Même si ses yeux étaient invisibles, l'expression de son visage trahissait son plaisir. Elle avait la tête rejetée en arrière, la bouche entrouverte, les traits crispés. Elle était essoufflée et son ventre était tendu, faisant ressortir ses abdominaux.

Il a fait un pas en arrière, dégageant sa bite qui restait raide et gouttait encore. Il s'est reculotté et un autre homme s'est avancé pour le remplacer. Il avait déjà son sexe en main et s'entretenait la bandaison.

Il a parlé à Sylvie :

- Descends du capot, tourne toi et appuie toi dessus. Je vais te baiser par derrière.

Elle a fait ce qu'il lui demandait. Il l'a aidée un peu à se placer comme il le souhaitait, la penchant et lui écartant les chevilles. Elle avait les genoux qui reposaient sur le bord du pare-choc, les jambes fléchies et bien écartées. Elle se tenait avec les bras tendus, les mains posées à plat sur le capot. Ses seins pendaient. Elle gardait la tête haute, à la manière des aveugles. Elle offrait sa croupe et attendait la saillie.

L'homme lui a pris les fesses et s'est enfoncé d'un coup. Il n'avait même pas baissé son pantalon. Il la baisait debout avec juste la braguette ouverte. Sylvie subissait les charges. Elles étaient brutales. Ça se sentait en observant les bras qui amortissaient les chocs en ployant légèrement. Le mouvement de bassin était d'une toute autre amplitude que lors du coït précédent. Il devait tout ressortir et tout lui remettre à chaque fois.

Il a fait une pause. Il restait au fond d'elle mais il lui a pris les mamelles et les a triturées à pleines mains. Il avait le buste allongé sur son dos et il lui embrassait les épaules. En pétrissant sa poitrine, il a recommencé à bouger en elle. C'étaient des petits coups, tout au fond. Elle devait juste sentir le nœud grossir en elle et percuter l'utérus.

Il a accéléré et s'est mis à pousser des soupirs de plus en plus appuyés. Son mouvement s'est accentué. Il a lâché les seins et a repris les fesses pour pouvoir lui bourrer le cul plus franchement. Il poussait des cris de bûcheron. Sylvie cambrait les reins pour trouver la position parfaite et lui permettre de mieux glisser en elle. Elle penchait la tête vers le bas. Son ventre se creusait quand l'homme reculait et se gonflait quand il avançait. On entendait la chair claquer contre la chair, la bite s'enfoncer comme dans un marais et les rugissements de l'homme qui précédaient les feulements de la femme.

Elle gardait la bouche ouverte, ronde, expirant en criant quand l'homme la pénétrait, inspirant quand il ressortait. Il a eu une dernière convulsion. Il se vidait en elle.

- Mets moi tout. Remplis moi.

J'étais estomaqué. C'était Sylvie qui disait ça, tout haut, assez fort pour que tout le monde entende. Ma Sylvie, qui était si timide et si prude il n'y a pas si longtemps, et qui était désormais capable de demander à un inconnu de lui en mettre plein la chatte.

Je me suis rendu compte que Jacques était à côté de moi, avec le mari qui assistait à la scène. Il lui a dit :

- Va te mettre à la queue si tu veux la baiser.

Et à moi :

- Ça a l'air de bien se passer, non? Elle aime vraiment ça on dirait.

- Oui, elle fait pas semblant. Je pense qu'avec elle, on a décroché la timbale. Vous venez d'arriver?

- Non, on est là depuis le début mais t'as pas fait attention à nous. Faut dire que le spectacle est prenant, pas vrai?

- Il a pas l'air de faire d'histoire, c'est bizarre. Il a pourtant forcément reconnu sa femme, non?

- T'as raison, c'est bizarre. En plus, il s'est mis à la queue et il attend son tour.

- S'il fait du suif, tu l'emmènes gentiment hein, qu'il nous bousille pas la soirée. OK?

- Pas de souci.

Patrick était bon dernier. Il y avait encore une dizaine de gars avant lui. On ne pouvait pas faire de passe droit et il devrait patienter jusqu'au bout et se taper sa femme après tous les autres. Ça promettait d'être croustillant, surtout avec la surprise que je lui réservais.

Celui qui s'est présenté en troisième voulait la prendre par devant. Sylvie s'est allongée sur la carrosserie de tout son dos et elle a passé ses bras derrière ses cuisses, pour relever ses fesses et offrir son petit trou. On voyait du sperme qui ressortait du vagin et coulait le long de la raie. Elle s'est adressée à celui qui allait la prendre :

- Je voudrais que tu m'encules. Tu veux bien?

Encore une fois, j'étais stupéfait. Je me rappelais son refus la première fois où Jacques avait voulu la sodomiser. Voilà qu'elle en réclamait. Et elle ne disait plus ça d'une voix de petite fille, mais c'était net, haut et clair comme disent les militaires.

L'homme s'est dévêtu, enlevant ses chaussures et son pantalon. Il était en chaussettes, cul nu. Sa queue était raide. Il s'est approché et il a étalé le foutre qui dégoulinait sur la rondelle. Il a craché dans sa main, s'est badigeonné le gland et l'a posé sur le trou du cul de Sylvie. Il a poussé en se tenant aux cuisses de sa partenaire et est rentré d'un coup, perforant l'anneau. Il s'est mis à la limer lentement, tout en la touchant partout. Il lui branlait la chatte, remontait vers les seins, tirait sur les tétons, malaxait les globes, pétrissait les hanches et revenait frotter le clitoris avec son pouce. Dans le même temps, il allait et venait entre ses reins, comme dans la chanson. Sylvie tirait sur ses bras pour lever son cul et faciliter les pénétrations profondes. Son amant d'un soir s'enfonçait jusqu'aux couilles puis ressortait pour admirer le trou qui s'agrandissait à chaque passage. Il replongeait aussitôt avec un han sonore. Sylvie l'accompagnait en faisant le même bruit à chaque expiration. Elle lui a de nouveau parlé :

- Fais moi jouir. Branle moi le con pendant que tu m'encules.

L'homme a rentré ses doigts dans la chatte et s'est mis à l'astiquer. Avec son pouce, il lui écrasait le clitoris. Il continuait à la prendre, toujours aussi lentement. Elle devait sentir son cul s'ouvrir et se refermer par le passage du sexe dans un sens ou dans l'autre. En même temps, l'homme lui forçait le muscle vaginal, bien plus rapidement. Elle s'est concentrée, a relevé sa nuque, son visage s'est tendu, sa respiration s'est arrêtée, son ventre s'est contracté et elle a commencé à crier. Je savais qu'elle allait pisser et je surveillais la main qui la fourbissait.

Le jet est parti, s'élevant à plusieurs dizaines de centimètres. L'homme avait eu le réflexe de retirer ses doigts tout en continuant à l'enculer sur le même rythme.

- Encore.

C'était elle qui lui demandait de poursuivre. Il l'a reprise et a recommencé à lui pilonner l'intérieur. Elle a crié à nouveau et a envoyé une seconde giclée. L'homme a levé sa main, a attendu quelques instants et l'a enfournée encore une fois. Sylvie continuait à jouir, vidant sa vessie par à-coups.

L'homme a sorti sa queue, est monté près d'elle et s'est branlé au dessus de son visage. Quand il a éjaculé, il lui a rentré sa bite dans la bouche et elle l'a pompé de toutes ses forces.

Patrick regardait et je me suis aperçu qu'il se massait le sexe. Pas de doute : ça l'excitait de voir sa femme se faire tromboner. Il allait être servi le cocu.

Sylvie a proposé au suivant de le sucer. Elle est descendue de la voiture et s'est agenouillée. Celui dont c'était le tour avait le pantalon baissé à mi-cuisses. Il a promené son sexe sur les joues de Sylvie. Elle essayait de tourner les lèvres pour attraper la queue, mais le type jouait à esquiver à chaque fois. Il avait une main posée sur le haut du crâne de sa partenaire et l'autre qui tenait la verge et badigeonnait le visage, du menton jusqu'au front et d'une oreille à l'autre.

Enfin, il s'est stabilisé, maintenant sa queue juste devant la bouche. Sylvie a compris qu'elle devait s'avancer un tout petit peu pour la prendre. A son tour, elle à fait durer le plaisir en se contentant de lécher par petites touches. L'homme se prenait au jeu, se faisant nettoyer toute la surface du nœud de mille coups de langue. Sylvie s'est alors rapprochée, a trouvé le sexe, l'a pris dans sa main et l'a amené à sa bouche. Elle l'a gobé en entier, jusqu'à ce que son nez touche les poils pubiens. Elle a pris les fesses de l'homme et s'en est servie de point d'appui pour sucer la bite sans la tenir. Elle l'a ressortie de sa bouche pour dire :

- Je vais te mettre un doigt dans le cul. Laisse toi faire.

Elle s'est sucée copieusement le médius et l'a inséré dans la raie. L'homme s'est pris le cul à deux mains pour ouvrir lui-même le passage. Sylvie a recommencé à téter la queue en la branlant avec son autre main. Elle maintenait son doigt au fond du cul de l'homme.

Comme au gloryhole, elle mettait du cœur à l'ouvrage. Le type avait été très excité qu'elle lui dise qu'elle allait l'enculer. Il devait aimer ça parce qu'il s'est vraiment offert à la pénétration. Depuis qu'elle lui avait envahi le rectum, son plaisir venait. Il serrait les fesses et ça devait écraser le doigt qu'il avait dans le derrière. Sylvie le branlait furieusement en lui titillant le filet avec la pointe de la langue. On voyait bien le gland congestionné, avec le petit trou au sommet qui était juste sous le nez de Sylvie. On attendait qu'il lui crache son foutre dans les narines.

Au dernier moment, Sylvie a embouché la moitié de la colonne pour se garder toute la crème. Ses joues étaient creusées parce qu'elle tirait, se servant de l'urètre comme d'une paille pour assécher les testicules. Pendant qu'elle se régalait du foutre que l'inconnu lui envoyait dans la gorge, elle poussait sur son majeur.

Elle a ressorti la bite de sa bouche et le doigt du cul de son amant d'un soir. Elle a fait un petit bisou sur le bout du nœud et elle a porté son médius à son nez, flairant le parfum intime du mâle.

Son mari n'était plus le dernier de la file. D'autres hommes s'étaient placés à sa suite. Tout le monde faisait des commentaires sur ce qui se passait. Lui, il restait silencieux. Quand on le prenait à témoin, il répondait sans surenchérir, simplement pour ne pas se singulariser sans doute. Il n'était pas dégoûté ou en colère, même pas réfractaire à ce qu'il regardait. Au contraire, il semblait très excité sans vouloir le montrer. Il avait une main dans la poche de son pantalon et il se tripotait discrètement la queue. Je voyais qu'il avait le feu aux joues. Surtout, il tendait l'oreille chaque fois que sa femme parlait. Il était certainement encore plus étonné que moi de l'entendre réclamer, proposer, diriger, et avec des mots qu'elle n'avait sans doute jamais prononcés jusque là.

Quand l'homme qui enculait Sylvie l'a fait jouir, j'ai vu que Patrick blêmissait. Peut-être était-il meurtri de voir qu'elle prenait tant de plaisir avec un autre homme. Il allait devoir s'y habituer le pauvre. Mais j'étais sûr qu'il accepterait sans trop se faire prier.

Une dizaine d'autres types se sont tapés sa femme avant que ce soit son tour. J'attendais ce moment, pour voir comment il allait la baiser. C'était incroyable d'imaginer qu'il était incognito au milieu d'une bande de mecs qui se farcissaient sa Sylvie et qu'il allait lui-même mettre sa bite dans un trou plein de dizaines de jus mélangés. On voyait que la chatte était farcie jusqu'au goulot. Ça débordait même, en dégoulinant le long des lèvres. Ses poils étaient gluants. Elle en avait aussi qui sortait de l'anus.