Trois Hommes et Un Coup Fin 05

Informations sur Récit
Sylvie suce des bites.
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Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/20/2020
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Chapitre 5 : une sortie.

Patrick

Après cette soirée, rien n'a plus été comme avant même si en apparence rien n'avait changé. Sylvie et moi nous parlions, mais seulement de la banalité quotidienne. Dans la chambre, il n'y avait quasiment plus de contact. Nous étions dans le même lit mais chacun de son côté. Nous ne nous embrassions plus, que ce soit pour se dire bonsoir ou au revoir quand nous partions au travail le matin.

Si je n'avais pas su, je me serais inquiété et cela aurait sans doute permis de clarifier les choses. Mais je savais. Par conséquent, je ne m'étonnais de rien et Sylvie en était bien heureuse puisqu'elle n'avait pas à justifier cette nouvelle attitude distante avec moi.

Ce qui m'ennuyait le plus c'est que je n'étais pas sûr que Sylvie ne rencontrait pas son amant à mon insu. Pour lever cette incertitude, j'ai décidé de renouveler le coup du voyage en province. Au moins, si c'était moi qui organisait les choses, je savais et en plus je pouvais me débrouiller pour les voir.

Une semaine après cette soirée à la maison, en rentrant du travail j'ai dit à Sylvie que je devais m'absenter pour deux jours, comme la fois précédente. Je savais qu'elle aurait voulu appeler tout de suite son amant pour organiser une rencontre le lendemain soir mais elle ne pouvait rien faire tant que j'étais là. Elle ne voulait pas éveiller mes soupçons.

J'ai vu dans la chambre qu'elle avait du mal à s'endormir. Au réveil, elle était particulièrement impatiente de partir au travail et elle est sortie de la maison une bonne demi-heure avant son heure habituelle.

Je suis parti à mon bureau et je suis rentré vers dix sept heures pour faire mon sac et repartir aussitôt. Je me suis embusqué non loin et j'ai attendu en espionnant la maison. L'attente fut longue et je commençais à me dire que ma stratégie avait échouée cette fois. Il était près de vingt trois heures et Sylvie n'était pas sortie et son amant n'était pas venu. Je venais de passer près de six heures à guetter inutilement.

Mais à vingt trois heures, une voiture s'est arrêtée devant la maison et j'ai vu Serge en descendre.

*

Sylvie

Je me rendais compte que j'étais idiote. J'aimais Serge mais pour lui, je ne devais être qu'un bon coup. Il me forçait à faire des choses et je n'avais pas la force de refuser. Même, je dois avouer que j'y prenais plaisir. J'avais aimé la sodomie et il m'arrivait, au travail ou à la maison avec mon mari à côté, d'y repenser et d'en avoir envie. Notre exhibition au cinéma m'avait aussi énormément excitée. Je me revoyais masturber ces deux sexes devant tout le monde. Cette scène me troublait terriblement.

J'étais idiote, certainement, mais pour rien au monde je n'aurais raté une occasion de revoir Serge.

À la maison, Patrick était devenu quasiment transparent pour moi. Je continuais à m'occuper de son linge ou de nos repas. Mais je n'avais aucune autre attention pour lui. Nous ne faisions plus l'amour et dans le lit, nous étions chacun de notre côté.

Je ne pensais qu'à Serge et j'attendais qu'il m'appelle, par exemple quand j'étais au travail.

C'est Patrick qui m'a apporté le bonheur sur un plateau. Une nouvelle fois, il avait un déplacement en province. Je mourais d'envie d'appeler Serge mais je choisis plus sagement d'attendre le lendemain. J'ai eu du mal à trouver le sommeil. Je ne sais pas si mon mari s'en est rendu compte. La nuit a été vraiment interminable. Enfin, le matin je me suis levée et je me suis préparée à toute vitesse. Je suis partie en avance et dès que j'ai été hors de la maison, j'ai appelé Serge.

Il m'a dit qu'il ne pourrait pas venir avant vingt trois heures mais il m'a promis de rester pour la nuit. J'étais jalouse mais je n'ai pas posé de question.

La journée a été tout aussi interminable que la nuit précédente. Quand je suis rentrée, Patrick était déjà là en train de faire son bagage. Il est parti sans qu'on se parle. Ça m'évitait de lui mentir concernant ma soirée.

J'ai dû attendre près de six heures, toute seule dans la maison. Bien sûr, j'ai meublé le temps pour me faire belle, pour manger un peu, mais malgré tout ça ne passait pas assez vite.

A vingt trois heures, on a sonné. Je suis allée ouvrir et c'était mon Serge. Je me suis jetée dans ses bras. Il tenait un paquet en papier kraft. Je lui ai demandé si c'était pour moi et il m'a dit que c'était un imperméable. Je ne comprenais pas ce qu'il voulait que je fasse d'un imperméable.

- Mettons nous au salon. Je vais t'expliquer.

Nous nous sommes assis, moi sur le canapé et lui sur un fauteuil en face de moi.

- Je vais te sortir.

- Où veux-tu qu'on aille à cette heure-ci?

- Tu vas d'abord te préparer.

- Tu veux que je m'habille autrement?

- Je veux que tu te déshabilles.

Je comprenais de moins en moins.

- Mais tu voulais qu'on sorte.

- Oui, et tu vas d'abord te déshabiller puis mettre cet imperméable sur toi pour ne pas avoir trop froid dehors.

- Je ne comprends pas.

- C'est pourtant simple. Tu te mets à poil sous l'imperméable. Et ensuite, on sort.

- Tu veux vraiment que je fasse ça?

- Oui, fais le.

Après un assez long moment, j'ai compris que je devais lui obéir, qu'il ne changerait pas d'avis. Je me suis levée et j'ai enlevé ma robe et mes dessous. Comme lors de notre rendez-vous du musée, j'étais nue, avec juste mes chaussures à talons. J'ai enfilé l'imperméable.

- Je suis prête mon chéri.

Je n'étais pas guillerette. J'étais soumise.

Il s'est levé et m'a suivie jusqu'à la porte d'entrée. Nous sommes sortis. J'étais nue dehors et ça me faisait tout drôle. J'avais l'impression d'être un satyre qui ouvre son imperméable pour s'exhiber devant des mineurs.

Nous sommes montés dans sa voiture et nous nous sommes mis à rouler. Je ne savais même pas où il m'emmenait.

*

Serge

Il s'était bien passé une semaine depuis notre nuit chez Sylvie quand elle m'a appelée. Son mari repartait en province et on avait le champ libre pour la nuit suivante.

J'ai réfléchi et je me suis dit qu'elle était prête pour une nouvelle expérience. Je voulais l'amener sur un parking que je connais où il y a toujours un paquet de voyeurs qui attendent des femmes ou des couples en mal d'exhibition.

Je lui ai dit que je viendrai, mais pas à l'heure du dîner, plus tard. Je sais que ce genre d'endroit s'anime plutôt en fin de soirée. Je ne lui ai pas expliqué pourquoi mais je l'ai rassurée en lui disant que je resterai avec elle pour la nuit. J'ai senti sa déception mais elle n'a pas protesté.

Le lendemain soir, j'étais exact au rendez-vous. J'avais amené avec moi un imperméable. Je voulais obliger Sylvie à sortir à poil de chez elle, mais sans effrayer le voisinage. Je savais qu'il me serait difficile de la convaincre de se déshabiller dans la voiture une fois sur place. En revanche, si elle n'avait que l'imperméable à enlever, j'étais certain qu'elle finirait par le faire, de bon ou de mauvais gré.

Elle est venue m'ouvrir. Elle s'était faite toute belle, bien maquillée, jolie robe décolletée, chaussures à talons aiguilles. Nous nous sommes enlacés dans l'entrée. Elle m'a embrassé amoureusement. Mais je ne voulais pas prolonger nos effusions trop longtemps. Elle était intriguée par mon petit paquet que je tenais sous le bras. J'ai déballé l'imperméable. Ça m'amusait de la voir complètement ébahie.

Une fois bien assis, je lui ai sorti le morceau. Je gardais un ton ferme, sans réplique. Elle avait son attitude résignée, soumise à ma décision. Quand je lui ai ordonné de se déshabiller, elle s'est levée et elle l'a fait, sans un mot. On sentait qu'elle ne le faisait que parce que je l'exigeais. Elle m'a dit qu'elle était prête. Elle a mis l'imper sans le boutonner, juste en fermant la ceinture et nous sommes sortis.

Nous avons pris ma voiture. On en avait pour une bonne vingtaine de minutes.

En cours de route, je lui ai dit d'ouvrir l'imper. Elle continuait de m'obéir en silence. Elle a défait la ceinture et a écarté les pans du vêtement. Je voyais une bande de chair qui allait de la tête aux pieds, qui montrait la naissance des seins sans dévoiler les tétons, son nombril avec le ventre un peu plissé à cause de la position assise, sa toison pubienne et ses cuisses avec les genoux serrés.

J'ai mis ma main sur son genou et j'ai fait un peu pression pour l'inciter à ouvrir ses jambes. J'ai insisté pour qu'elle les écarte davantage. Je voulais toucher sa chatte pour me rendre compte si ce que je lui faisais faire l'excitait. Comme toutes les autres fois, ses lèvres étaient juteuses.

*

Patrick

Quand ils sont ressortis de la maison, j'ai vu que Sylvie portait un imperméable que je ne lui connaissais pas. Ils sont montés en voiture et je les ai suivis.

On roulait depuis un bon quart d'heure. On est arrivé sur un parking où il y avait deux voitures et un attroupement. Serge s'est dirigé vers le groupe. Pour ma part, je me suis garé au bord du trottoir et je suis allé à pied vers un endroit sombre pas trop éloigné du lieu de rencontre. J'ai compris que Serge venait d'amener Sylvie dans un rassemblement libertin.

Les voitures étaient stationnées sous un lampadaire, ce qui leur évitait de garder leurs phares allumés. Pour moi, c'était idéal parce que d'une part je pouvais assez bien voir et d'autre part, ça renforçait la noirceur de la zone d'ombre où je me tenais. D'ailleurs, je n'étais pas le seul à rester à distance. Il y avait ceux qui voulaient seulement mater et ceux qui voulaient participer. Ceux-là étaient obligé de se mettre en pleine lumière pour être tout à côté des voitures.

La plupart des types se masturbaient. Certains avaient juste la queue sortie de la braguette et d'autres avaient baissé leur pantalon jusqu'aux chevilles et on voyait leur cul blanchi par l'éclairage. Les propriétaires des voitures avaient pris soin de laisser le plafonnier allumé. L'une des deux bagnoles avait les vitres baissées et une femme était en train de sucer un type debout. Elle avait la tête passée à l'extérieur de la portière. Le gars offrait sa queue comme on vous apporte votre déjeuner dans certains drive-in américains. Elle lui tenait les couilles en même temps qu'elle le pompait. L'homme avait les cuisses un peu fléchies, les mains sur la tête de la dame et il se penchait légèrement vers l'arrière avec le menton levé et les yeux fermés. Il exprimait sa satisfaction en émettant des râles de plaisir.

L'autre voiture avait une porte arrière ouverte. Une femme était allongée, le dos sur la banquette, les jambes en l'air et un homme la besognait depuis l'extérieur. Il avait le pantalon baissé juste ce qu'il faut. Il tenait les fesses de la femme et il la baisait lentement, à coups de reins amples. A l'avant, il y avait le conducteur qui regardait et qui filmait avec un portable.

C'était la première fois que je voyais un tel spectacle de débauche. Pour Sylvie, c'était pareil. Moi, je n'étais pas choqué ou dégoûté. Au contraire, ça m'excitait plutôt. Finalement, j'étais un voyeur parmi les autres. Mais Sylvie? Est-ce qu'elle allait accepter de se mêler à ces gens? Avant le Paris-Barcelone, j'aurais été certain de sa réaction. Mais depuis, je n'étais plus sûr de rien. Je l'avais vue se laisser faire au cinéma. Je l'avais vue se taper deux mecs et prendre son pied. Alors pourquoi ne serait-elle pas capable de sucer un inconnu sur un parking ou de se faire enfiler dans une voiture?

*

Sylvie

Dans la voiture, Serge m'a demandé d'ouvrir mon imperméable et il m'a fait comprendre qu'il voulait que j'écarte mes cuisses. J'avais le sexe exhibé et à chaque feu rouge, j'avais l'impression que tous les voyeurs du monde lorgnaient sur moi. En fait les rues étaient à peu près vides. Serge me caressait la vulve et il voyait bien que j'étais mouillée. Je n'aurais pas voulu qu'il sache que la situation m'excitait mais je ne pouvais pas le cacher. J'étais aussi nue dans mes sentiments que sur le siège de la voiture.

Serge est rentré dans un parking en plein air. J'ai compris qu'on arrivait à destination. Il y avait deux autres voitures et plein de gens autour. On s'est garé juste à côté. J'ai voulu refermer mon imperméable mais Serge m'a dit :

- Non, au contraire, tu vas l'enlever.

En observant ce qui se passait, j'ai compris que Serge venait de m'amener au milieu de voyeurs. Il voulait m'exhiber. Je l'ai regardé et ses yeux étaient durs. Ils exprimaient l'injonction. J'ai sorti mes bras des manches et Serge a tiré sur le vêtement pour me l'enlever. J'ai levé mes fesses du siège pour l'aider. J'étais en talons aiguilles.

Des hommes s'approchaient pour nous voir par les vitres. Serge a abaissé la mienne. En tournant les yeux vers l'extérieur, j'ai vu un sexe en érection à moins d'un mètre de moi.

- Prends le. Tu vas le branler. Hein monsieur, vous voulez bien que ma femme vous branle?

- Avec grand plaisir, oui. Ton mari a raison, prends ma bite. Elle te fait pas envie?

J'étais fascinée par le gland violacé. Le type devait être très excité, sans doute par ce qu'il voyait depuis un certain temps. Mais je n'osais pas faire ce qu'on me demandait. Je trouvais ça un peu scabreux. Scabreux, mais fascinant.

- Allez, vas-y, sois pas timide. Excusez là monsieur, c'est la première fois. Elle a pas l'habitude. Laissez lui un peu le temps de se faire à l'idée.

- Oh mais je comprends! Si c'est un dépucelage, il faut faire ça en douceur. Regarde la bien ma queue, je vais te la faire miroiter.

Il a approché son sexe en le passant par la vitre ouverte. Il tirait sur le prépuce pour dilater le gland. Il y avait une goutte de liquide séminal sur l'ouverture du méat. Sous sa main, je voyais les testicules. Par contre, son visage n'était plus visible.

- Caresse moi les couilles. J'ai envie de ta main chaude.

J'ai levé ma main et j'ai pris ses bourses. Je trouvais ça si lubrique! Je le tenais mais je n'osais pas aller plus loin. Il a pris mon poignet, m'a fait lâcher prise et a amené ma main sur son sexe. Je l'ai entouré de mes doigts. C'était une verge épaisse, qui remplissait bien ma paume. L'homme me tenait toujours et il a bougé sa main de haut en bas. C'est comme ça que j'ai commencé à le masturber.

Il avait le pantalon baissé et je voyais son slip pris dans l'entrejambe de son jean. Il était appuyé à la portière. Pendant que je le caressais, Serge me pénétrait le vagin avec ses doigts. L'homme a laissé mon poignet pour me peloter les seins. Je me laissais faire.

- T'es une belle salope! Prends ça sur tes nibards! C'est de la bonne crème, c'est bon pour la peau.

Il venait d'éjaculer sur ma poitrine. J'en avais un peu partout. Ça faisait des petits tas blancs sur les globes, le ventre et même une giclée dans les poils.

L'homme s'est reculé et un autre a pris sa place. Serge m'a tendu un mouchoir en papier et je me suis essuyée. Il m'a regardé tout aussi durement et m'a dit :

- Vas-y. Fais le. Tu as aimé ça, non? Recommence!

Le monsieur suivant restait dehors. J'ai dû sortir le buste pour pouvoir le prendre dans ma main. Lui aussi avait le sexe raide. Il sortait simplement de la braguette ouverte. J'ai mis ma main dans le slip pour attraper les testicules et tout sortir. De la main droite, je l'ai masturbé. Il a éjaculé très vite. Ça a giclé sur la portière et les dernières gouttes, sur ma main.

L'homme est parti et je me suis essuyée avec le même mouchoir. Un troisième l'a remplacé. Je n'ai pas changé de position et j'ai directement pris son sexe. Lui aussi avait gardé son pantalon. Comme pour l'autre, j'ai commencé par bien dégager le membre et les bourses. Serge m'a félicité.

- C'est bien. Tu fais ça très bien. Je suis sûr que tu aimes ça, n'est-ce pas?

Je n'ai pas répondu pas mais il a insisté :

- Dis moi que tu aimes ça.

J'ai fait ce qu'il me demandait, mais sans doute trop timidement à son goût. Il a encore insisté :

- Dis le plus fort.

- J'aime ça.

Je l'avais dit comme si j'avouais une faute. Ça ne lui suffisait pas :

- Dis au monsieur que tu aimes sa queue et que tu veux qu'il te crache sa purée sur le visage.

Ses mots m'excitaient mais ce qu'ils signifiaient me faisait peur. Néanmoins, pour lui faire plaisir j'ai répété :

- J'aime votre sexe et je voudrais que vous jouissiez sur moi.

- Non, c'est pas ce que j'ai dit. Répète mot pour mot. Dis queue, bite, couille, chatte, moulasse, foutre, branler, cracher!

J'ai eu un moment de silence parce que j'essayais de me souvenir de ses mots.

- J'aime ta queue et je veux que tu me craches ta purée au visage.

- Voilà! Monsieur, vous savez ce qu'il vous reste à faire.

Pendant tout cet échange l'érection du monsieur avait un peu molli parce que je me contentais d'entretenir la raideur avec juste un petit massage. J'ai repris une vraie masturbation et je l'ai poursuivie sans relâche jusqu'à ce qu'il soit sur le point d'éjaculer. A ce moment, il s'est dégagé de ma main et a continué lui-même, en s'avançant vers moi. Comme je le lui avais demandé, il a dirigé tout son sperme vers mon visage. J'ai fermé les yeux et j'ai senti que j'en recevais sur les joues, le nez, la bouche et le menton.

Il s'est éloigné et je me suis nettoyée. Mon mouchoir était maculé. J'avais du mal à trouver des parties propres et je m'en mettais plein les doigts.

Après, ça a continué. Je n'ai plus compté. On aurait pu penser que ça m'aurait lassé de devoir faire ça à la chaîne. Mais je restais excitée. Les hommes me caressaient, certains brutalement, d'autres plus doucement. On me tirait les pointes des seins, on me fourrageait dans le sexe, on me malaxait les globes, on me demandait de lever les jambes pour pouvoir pénétrer mon anus. Je ne savais pas ce qu'on allait me faire et c'était surprenant et excitant à chaque fois.

Serge regardait tout ça. Il semblait jouir de me voir utilisée par tous ces hommes. Il filmait tout.

Les hommes que je masturbais jouissaient assez vite. Certains par mes manipulations, d'autres en se touchant eux-mêmes. Ils éjaculaient partout sur mon corps. Chacun avait son endroit préféré et visait mon visage ou bien mes tétons, mon ventre ou encore mes poils pubiens. Il y en a même un qui a joui dans le creux de ma main et qui m'a demandé de m'étaler son sperme sur mes seins en les caressant. Il y avait bien longtemps que je n'essuyais plus rien et j'en avais partout, en plusieurs couches.

Il y avait encore des candidats mais Serge a décidé que c'était assez. Il a simplement levé ma vitre, a démarré et on est rentré. En cours de route, il m'a rendu l'imperméable pour que je puisse passer la porte de ma maison décemment vêtue. Mais en dessous, j'étais toujours pleine de sperme. Et si j'avais croisé un voisin, il se serait certainement demandé ce que j'avais sur le visage qui coulait comme ça.

En rentrant, Serge s'est déshabillé et on est allé prendre une douche. Il m'a caressée. Nous avons fait l'amour dans la salle de bains. C'était particulier parce que nous avions en tête toutes ces images très pornographiques de la soirée. Nous étions excités par nos corps mais aussi par nos souvenirs.

Nous avons passé la nuit ensemble, dans le lit conjugal. Il m'a prise à nouveau le matin, comme un mari fait l'amour à sa femme. J'aimais la bestialité du parking tout comme la tendresse du lit. J'aimais Serge.

*

Patrick

Je voyais Sylvie assise à droite. Elle portait cet imperméable bizarre. Elle l'a enlevé et j'ai vu qu'elle était nue en dessous. Des types qui attendaient leur tour se sont rabattus sur les nouveaux arrivants. Les vitres se sont abaissées. Un homme s'est avancé en trottinant, à cause de son pantalon qui lui entravait la marche. Il montrait sa bite à ma femme en faisant exagérément gonfler son gland. Il l'a carrément passée à l'intérieur de l'habitacle. Ma femme a commencé à la branler et à lui caresser les couilles. Il n'a pas tardé à gicler sur ses seins.

Un autre l'a suivi, mais cette fois, Sylvie s'est penchée par la vitre ouverte pour attraper la pine qu'on lui offrait en fouillant dans le slip. Elle avait les seins dehors. L'homme a éjaculé aussi vite que le premier, dans la main de ma femme.

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