Trois Hommes et Un Coup Fin 04

BÊTA PUBLIQUE

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*

Sylvie

Jacques s'est enfoncé dans mes fesses. Ça faisait mal, mais moins qu'au début. Il est resté collé à mon derrière un moment. Il m'a demandé de me relever et il m'a massé les seins. C'était bon d'être stimulée parce que ça atténuait la douleur. Il m'excitait les aréoles en pinçant les tétons.

Il m'a empoigné la taille et a commencé à bouger en moi. Je sentais son sexe qui venait heurter le fond de ma cavité anale. Il se dilatait. Puis, quand il tirait un petit peu en arrière, le gland devait se rétracter. En tous cas, je percevais le changement de volume. Petit à petit, je me suis aperçue qu'il augmentait l'amplitude de ses pénétrations. Il n'allait pas plus loin, mais il se retirait plus. C'est ce mouvement qui a commencé à me faire ressentir du plaisir. J'aimais qu'il me perce, qu'il force mon anneau. La sensation était comparable à celle qu'on ressent quand on vous taraude le vagin. Le muscle s'ouvre et se ferme. J'ai pris conscience que je ne criais plus de douleur mais que le rythme de la sodomie me faisait respirer en cadence. Je poussais des petits soupirs, bouche ouverte, à chaque coup de boutoir. Je devais aussi résister de tous mes muscles aux poussées.

Jacques a retiré son sexe. Je sentais que je restais ouverte. D'ailleurs, Jacques a dit à Serge de venir filmer mon orifice qui devait être béant. J'ai contracté mes muscles anaux et j'ai ressenti un certain bien-être. Assez vite, ce bien-être s'est transformé en une sensation de manque. J'étais étonnée mais j'avais envie d'avoir encore quelque chose dans les fesses. Jacques m'a pénétrée de nouveau et c'était une sorte de soulagement. Il est allé directement au fond de moi sans que je souffre. J'étais déjà habituée à son sexe.

Il a demandé à Serge de le rejoindre. Il s'est placé sous moi. Il me caressait les lèvres pendant que Jacques reprenait ses va-et-vient. Je voyais son sexe. Il était presque sous mes yeux. Il se balançait tout seul, comme un métronome.

Serge s'est mis à me frotter l'intérieur du vagin avec deux doigts tendus. C'était comme un petit sexe. J'étais prise des deux côtés à la fois, ou plus exactement alternativement. Je sentais mes muscles génitaux, ceux de devant et ceux de derrière, s'ouvrir et se refermer sous l'effet des pistons qui me pénétraient. J'avais de moins en moins de force pour me contracter et malgré moi, simplement par faiblesse, je n'ai plus résisté aux perforations. Je m'ouvrais totalement, pile et face et mes deux hommes m'investissaient sans relâche. Je savais que j'allais jouir.

C'est parti tout seul, comme à chaque fois, un jet d'urine que je n'ai pas pu retenir. Et j'ai crié. C'était un râle qui allait en s'accentuant. Serge a continué à me masturber. J'ai senti qu'il pressait sur mon pubis, sans doute pour me faire uriner encore. J'étais honteuse mais je ne pouvais pas m'arrêter. J'ai fait pipi sous moi, en plusieurs fois et tout le temps que ça a duré, jusqu'à ce que ma vessie soit vide, j'ai joui. À la fin, mon râle était un long cri. Je sentais que le drap était trempé sous mes jambes.

*

Serge

Tout le temps où Jacques l'a enculée, j'ai filmé Sylvie. Ça allait être un sacré souvenir. Ce n'était pas simplement un type qui encule une fille. C'était plutôt un type qui initiait une fille aux plaisirs de la sodomie. Sylvie a commencé par refuser. Puis, elle a obéi, s'est laissée faire, a souffert mais a fini par prendre toute la bite de Jacques dans son cul. J'ai vu, quand il a commencé à la limer, qu'elle aimait ça. Ça se voyait dans sa façon d'orienter son buste, de relever les épaules ou la tête, de creuser les reins, bref d'aider son enculeur à lui donner du plaisir. J'ai aussi capté les expressions de son visage, la douleur puis l'abandon et enfin la concentration pour laisser venir l'orgasme. J'ai enregistré sa respiration, ses gémissements et surtout la période pendant laquelle elle s'accordait parfaitement avec Jacques. Ils geignaient aux mêmes instants.

*

Jacques

Quand elle a eu fini de pisser, ça a été mon tour de prendre mon pied. J'ai remis du beurre et je l'ai ramonée en me concentrant. Serge s'est dégagé et il m'a filmé. Je baisais ce cul magnifique. Je tenais ces fesses dans mes mains. Je sentais mes couilles qui lui tapaient la chatte. Ça devait lui agacer le clito. Et puis j'ai joui. Je lui ai giclé mon foutre au fond des intestins. J'ai enfoncé mes doigts dans sa chair, je me suis plaqué à son cul, je l'ai écrasée contre moi et je me suis vidé. A chaque saccade, j'avais un petit coup de rein. Je me suis retiré avec le bout encore maculé de sperme. Au fond du trou, je voyais ma crème blanche.

Serge n'a pas pu se retenir plus longtemps. Il l'a mise sur le dos, lui a écarté les cuisses et s'est rué en elle. Il l'a fourrée à toute allure. J'ai pris son portable et j'ai filmé la saillie. C'était le mâle qui s'assouvissait sans égard pour la femelle. Il la baisait à grands coups de rein, se tenant à ses hanches. Elle a levé les jambes et lui a mis les mains sur les fesses, comme pour peser sur les coups de bite.

Je me suis déplacé pour me positionner devant eux. J'ai vu qu'ils se regardaient. Ses yeux à elle exprimaient une forme de supplique. Elle tendait son visage vers le sien. J'ai eu l'impression qu'elle l'aimait. Pour Serge et moi, ce n'était qu'une belle histoire de cul, mais apparemment pas pour elle.

Il a joui en gueulant. Il avait fermé les yeux mais pas elle. Elle avait la face toute crispée, toute tendue vers Serge. Elle jouissait de lui donner du plaisir.

*

Patrick

Jacques a continué d'enculer Sylvie jusqu'à ce qu'il éjacule. Je voyais qu'elle lui laissait la jouissance de son petit trou. Jacques ne savait sans doute pas qu'il avait un privilège que Sylvie m'avait toujours refusé. Je pense qu'il était le premier à lui arroser l'intestin.

Jacques s'est retiré et Serge a pris sa place. Mais au lieu de la prendre par derrière, il l'a baisée à la missionnaire. Il l'a prise assez brutalement, le contraire de moi qui essaye toujours d'être le plus doux possible. Il la tenait à la taille et bourrait à grands coups de reins. Elle écartait les jambes. La rudesse du coït ne semblait pas la déranger, au contraire. J'avais l'impression qu'elle aimait être brusquée. Je redécouvrais ma femme en la voyant se donner à cet homme.

Il s'est arrêté brusquement, restant tout au fond d'elle. Je regardais les fesses de Serge se contracter, ses mains écraser les hanches, le pubis projeté en avant. Il se vidait en elle et chaque giclée était bien discernable parce qu'au même instant son cul se refermait pour accentuer la force du jet. Elle le dévorait du regard. Elle l'aimait, ça crevait les yeux.

*

Sylvie et ses deux amants allèrent dans la salle de bains pour prendre une douche, à trois sous le jet. Les hommes voulaient nettoyer la fente de la dame et celle-ci prenait grand soin des bijoux de famille de ces messieurs.

Pendant ce temps, Patrick descendit doucement, traversa la salle-à-manger et sortit silencieusement de la maison. Il alla dormir à l'hôtel où il commença par se masturber. Il le fit en fermant les yeux, essayant de se remémorer certaines scènes qui l'avaient particulièrement excité. De façon surprenante, c'étaient surtout celles où sa femme montrait son plaisir. Il éjacula en revoyant les yeux de Sylvie plongés dans ceux de Serge au moment où celui-ci la remplissait de son sperme.

Jacques et Serge passèrent la nuit avec Sylvie. Elle changea les draps, mit une alèse parce que le matelas était un peu mouillé lui aussi et ils se couchèrent tous les trois, Sylvie en sandwich entre ses deux hommes. Le matin, ils la prirent l'un après l'autre, Serge par devant et Jacques par derrière. Ils partagèrent de nouveau la douche puis chacun se rendit à son travail.

Patrick retrouva son épouse en fin d'après-midi. Ils firent comme si rien de spécial ne s'était passé.

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