Tourisme esclavagiste au Zonga

BÊTA PUBLIQUE

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Emilie récupéra une pomme de terre qui trainait sur un plat, se rapprocha du porc, écarta ses jambes et la fit pénétrer très lentement dans le cul encore dilaté de son ami, qui se mit à gémir :

- Voilà, comme ça, pas bien compliqué de farcir un animal, c'est même amusant! Attends, ne bouge pas mon petit porcelet d'amour. Emilie ajouta une autre pomme de terre, puis une autre, une 4e et une 5e, chaque fois plus facilement vu l'anus dilaté...

- Voiiiiilààà, tu as toujours rêvé te faire fourrer par mes soins, et te voilà farci comme une dinde de noël! Contemplant de façon professionnelle son travail, elle était assez fière d'avoir commencé à contribuer aux festivités même si elle se dit qu'en tant qu'humain, il aurait été parfait dans cette position à se faire enfiler le cul par tout un tas de bites mafieuses bien dégueulasses!

- C'est pour ton bien car c'est ce qui t'attend, mon petit porc, je vais t'expliquer...

Comme Jérôme gémissait, en raison de son sexe ficelé et de son cul ravagé, Emilie eut une idée et allât chercher une pomme rouge :

- Ouvre la bouche... voilà...

Jérôme obéit machinalement et referma les dents sur la pomme.

- En voilà un joli petit cochon farci silencieux ha ha! Je t'ai dit, je déteste la souffrance animale, et t'entendre gémir me perturbe... c'est mieux bouche fermée, non, d'autant que ta délicieuse langue n'est plus requise, si ce n'est qu'elle finira sur le grill ah ah! Et je sais que tes couilles te serrent et que ta petite bite ne sent plus grand-chose, mais le chef m'a promis qu'en moins de 30 minutes, si on ne retire pas les cordes, ben... tu seras castré!

Emilie se mit à rire devant la tête un peu désabusé de son ami :

- Ne t'inquiète pas, non pas que ça m'ennuie, car ta bite va rester dure comme fer : elle aura encore des sensations, même si ta frustration sera totale, mais moi, je prendrai un pied, tu n'imagines même pas! Donc, tout va bien!

Jérôme la regarda avec envie, désir, amour... il se sentait en effet devenir cet animal qui accepte son sort, et il adorait ce jeu... était-ce vraiment un jeu?

Emilie se saisit alors du pénis dur, le guida vers son vagin, et s'empala dans un gémissement de plaisir non feint avant d'initier un lent va et vient.

- Voilà, comme ça, c'est bien hmmmm on va pouvoir continuer... et comme ça fait 20 minutes que tu es attaché, si tu réussis à me faire jouir en moins de 10 minutes, tu auras la queue sauve... au moins temporairement! Autrement, elle sera totalement inutile et je la donnerai à bouffer aux autres cochons, tu es OK?... enfin, c'est pas avec ça qu'ils s'étoufferont, faudrait que je te balance entier après t'avoir baisé, qu'est-ce que tu en penses? Hmmmm ouiii Un porc bouffé par d'autres porcs, ça ferait la Une de la gazette local! Hmmm...

Emilie saisit les pattes du « cochon » afin qu'il lui malaxe les seins sensibles, tandis qu'elle poursuivait ses va et viens...

- Alors revenons à notre affaire... il a promis que tu survivrais à la préparation, c'est chouette, non? Et même mieux : tu resterais vivant... tout le temps de cuisson!!... car si je ne veux pas que tu souffres, je rêve en revanche que tu sois bien conscient de tout ce qui t'arrive oooooh... et aussi longtemps que possible.... Il m'a expliqué qu'il pouvait t'injecter un anesthésiant général... tu resterais conscient, tu sentirais même quand on te touche, ou la chaleur du feu, mais tu n'aurais aucune douleur... Hmmmm... je lui ai évidemment dit Banco!

- Et s'il m'a menti, aie, ça piquera pour toi! Oui, « piquer » est le mot car il m'a expliqué comment il envisageait la préparation : malheureusement, c'était impossible pour lui de t'évider dans les délais et de faire de toi des dizaines de brochettes servies à table, même si je proposais mon aide, et crois-moi que je suis motivée!... mais je te voulais conscient, donc pas question qu'on te tue et te cuise mode brochettes! Hmmmm Alors, il a proposé de te faire cuir au four... évidé comme un porc mais vivant, placé sur un plat avec les légumes autour de toi, en plus de ceux qui te farciraient, franchement l'idée était pas mal, je me voyais bien te préparer et te glisser au fout avant de le refermer et te regarder cuir... Hmmm... j'ai presque validé!

Jérôme imaginait la scène comme il en avait vu dans des films : un porc, pomme en bouche, placé au four! Sa bite durcissait encore, Emilie savait le faire souffrir en silence, l'exciter, le frustrer...

- Mais même si te voir servi sur un plat au milieu d'une table, comme à un mariage, c'est extrêmement plaisant et amusant hmmmm, ça m'a posé un problème : non seulement personne ne profitera pour voir la cuisson au four, alors que ça fait partie quand même de la réussite d'un banquet, mais en plus c'est trop « noble » d'être servi comme ça pour un porc comme toi! D'autant que tes congénères seront pour certains déjà cuits comme ça! Ooooh...

- Et je sens comme ton petit sexe est tout dur : je devrais peut-être le sauver et jouer avec plus tard hi hi hi.... Hmmm noooon, je rigole, trop petit, j'ai déjà un vibro qui me suffit! Mais reprenons. Je lui ai dit « mais pourquoi ne pas cuire l'animal façon kebab, avec la viande qui pend et les cuisiniers qui servent à mesure? ». Au moins tout le monde pourrait voir et participer, c'est quand même plus fun et les gens pourraient se retrouver en faisant la queue, discuter en attendant d'être servis.

Jérôme répondait à ses propos par des coups de reins que sa déesse semblait apprécier...

- Mais il trouvait ça un peu trop banal alors, tu vas être content, on a trouvé une alternative parfaite! Hmmmm

Emilie sentait les pulsations du sexe captif qui voulait jouir, mais il ne le pouvait pas... sa frustration lui plaisait au point de sentir venir un petit orgasme...

- Ooooh que c'est bon, je te jure! Ooooh, j'adorerai sentir ton sperme gicler au fond de moi mais.... bah non, en fait, c'est mort, tu ne peux pas jouir, j'ai failli oublier hi hi hi! Hmmm Mais, continuons : et bien tu vas être ravi car le bon compromis sera de te préparer au... tournebroche!! Pas bête la bête, non, toi qui aimes bien te faire enculer, tu vas sentir un train te passer dessus! Hmmmm...

Jérôme s'imaginait attaché comme un animal à un pieu qui tourne au-dessus d'un feu...

Emilie l'interrompit tout en reprenant le chevauchement ...

- J'espère que tu te visualises bien et ne m'imagine pas à ta place, hein? s'amusa-t-elle pour l'exciter encore plus.

Jérôme imaginait bien Emilie embrochée, ses gros seins gonflés, prêts à être découpés pour les dévorer... mais en reprenant son récit, le porc se rappela leurs statuts respectifs, elle déesse et lui, viande à venir...

- Je t'explique hmmmm après t'avoir anesthésié, tu seras vidé comme un porc... ah oui, décidemment, l'homme est le cousin du porc, c'était bien ton destin! Hmmm donc ils vont t'ouvrir, retirer tout ce qui est inutile, et refermer, ni vu ni connu, ce qui fera de la place pour toute la farce : une quinzaine de kilos de légumes, patates, aubergines, tomates, concombre et j'en passe, mais j'ai donné mes idées pour relever le gout, tu seras dé-li-cieux!... ah oui, et de très gros légumes, plus gros que ceux que tu t'es enfilés quand tu jouais à Roxy la salope hmmm Place à Roxy « la cochonne »! Hmmmm oui que c'est bon...

Emilie s'empalait sauvagement... même si la bite n'était guère exceptionnelle, elle était un peu plus épaisse que par le passé par son traitement torturé, et Emilie aimait ça...

- Une fois refermé, tu devrais pouvoir survivre quelques heures, mais suffisamment pour être cuit vivant sur le feu, devant la foule qui assistera à ta déchéance totale... hmmmmm putain que c'est bon, si j'avais su que tout ça me plairait autant, je t'aurais vendu depuis longtemps eu kebab à côté du travail! Hmmm haaaaa!

- Le chef m'a même proposé qu'on profite de tes organes pour les vendre mais on se fiche de l'argent, non? Et franchement, qui veut d'organes de porcs si ce n'est des animaux qui ont la dalle?? Alors, ils seront donnés à bouffer sous tes yeux, ma petite pute inutile aaaaaaah ouiiiii je sens que ça vient bien là ooooh bouge bien ton corps mon cochon...

Jérôme tentait de répondre au chevauchement en donnant des coups de boutoir sec, obéissant au plaisir de sa maitresse, malaxant son cul, ses seins...

- Ensuite, on va t'empaler sur un pieu qui va tellement te déchirer le cul que tu regretteras de ne pas avoir fait plus de tapinage et de gangbangs pour mieux te préparer! Ooooooh!

Jérôme sentait les contractions du vagin de son amie, et malgré la douleur, malgré les paroles folles, il voulait qu'elle jouisse, il le voulait tellement qu'il était prêt à donner sa vie comme elle le détaillait si c'était ce qu'elle souhait! Bien sûr, ça le terrorisait, mais il avait dorénavant commencé à accepter son probable sort, comprenant petit à petit le sérieux de la situation à mesure qu'Emilie racontait avec autant de détails qui ne pouvaient pas simplement être inventés : tout avait été validé avec le chef, et c'était ainsi : « je suis encore un peu ta pute, mais je ne serai bientôt plus rien... » songea-t-il.

- Une fois totalement cuit à point, tu resteras au-dessus des braises qui te garderont bien chaud afin que les convives se servent à même ton corps : sache qu'avec un peu de chance, si tu n'as pas crevé comme une merde avant, tu auras le plaisir d'être bouffé vivant, morceaux par morceaux hmmmm je te découperais moi-même, et tu ne pourras plus rien y faire... aaaah aaaaaaah...

Emilie s'empalait comme une folle en imaginant la scène, et son orgasme la surprit par son intensité! Son vagin se contractait autour du pénis au point que Jérôme cru que lui-même aurait un orgasme, mais rien ne vint, il en était si proche, il ne comprenait pas, alors que son amie était prise de soubresauts, hurlant de plaisir!

Elle finit par s'écrouler contre son torse, ses seins épais et si désirables collés contre sa poitrine, son corps de déesse allongé contre le sien, comme deux amants qui profitaient d'un orgasme salvateur...

Sauf qu'Emilie seule avait joui, et elle ne voyait plus Jérôme comme un ami : c'était juste son petit toutou bien servile et totalement pathétique, qui allait finir volontairement au tournebroche... Comment avoir encore de l'empathie? Elle reprit son souffle, son visage fendu d'un sourire et d'un petit rictus complice post orgasmique, puis se releva et tourna sa montre vers lui, faisant comprendre que les 30 minutes était dépassées, et depuis déjà pas mal de temps...

- Je crois que pour tes couilles... c'est déjà « cuit »!

Elle ponctua sa blague d'un rire franc, s'amusa à malaxer avec force et rudesse les parties de la bête, pour bien prouver ses dires, et ne vit aucune réaction de Jérôme...

- Voilà, ça c'est mon petit eunuque tout castré! Et désolé, mais si ça ne te sert plus, ça ne me sert plus!

Avec amusement, Emilie força sa surprise :

- Ah oui, je savais que j'avais oublié de te dire un truc important : tu sais ce qu'était mon ultime deal?

Jérôme, planant dans une forme de frustration bestiale, perdu et éperdument amoureux de sa déesse, écouta avec une sorte d'horreur mêlée de résignation.

- Si tu me faisais jouir avant l'heure, que tu restais intact donc encore utile au lit, alors je te récupérais, te rachetais au cheffe, faisais de toi mon esclave de baise officiel, et lui trouvais un autre esclave rapidement pour le banquet car tu me connais, je peux séduire qui je veux assez vite, des faibles comme toi, on en trouve partout... On aurait pris un pied d'enfer dans cette aventure inoubliable!...

Jérôme réalisa la portée de ces propos...

-... mais à ce que je vois, et bien... castré, tu ne me sers vraiment plus à rien... en fait, tu n'es plus rien! Enfin, si : tu es dorénavant juste de la viande! Dit-elle, en dressant un regard faussement désolé.

Emilie se leva, se rhabilla, récupéra deux pics à olives qu'elle enfonça profondément avec curiosité, amusement et sadisme, l'un après l'autre dans les couilles du petit porc, sans qu'il ne réagisse.

- Tu vois, le chef avait raison : aucune douleur, aucune réaction, tu es devenu un animal castré et c'est finalement l'heure de passer pour chacun de nous à autre chose : pour moi, aller me préparer probablement dans la petite robe que tu aimes tant et qui met mes formes si bien en valeur, et pour toi, et bien... d'être « préparé » car une bonne viande nécessite une bonne cuisson, comme lors des barbecues avec nos amis et chez moi, tu te rappelles comme on faisait? Il faut qu'on fasse au moins aussi bien ce soir!

Emilie le comparait dorénavant à la viande qu'elle-même préparait une fois l'an chez elle... il n'était plus rien...

- Allez, n'aie aucun regret, sois fier, tu as trouvé ton rôle dans ce monde et sache que j'ai accepté de participer à tooouuuute ta préparation, tu verras!! On se retrouve tout à l'heure!

Rassasiée par ses orgasmes, elle se retourna et quitta la salle sans même se retourner vers lui. En passant près de la cuisine, la délicieuse odeur de 1ers préparatifs se dégageait, et elle remarqua que des brochettes étaient prêtes, tandis que plusieurs porcinets étaient déjà prêts pour le tournebroche : papa porc et ses petits! Elle croisa le chef :

- Alors, bien passé?

- Très bien même! Je vois que vous préparez les porcinets. Vous pouvez récupérer l'autre en bas, il est déjà en partie fourré et... à point! Hi hi hi...

Epilogue :

Fidèle à ses propos, Emilie s'assura que tout se passe comme prévu et y trouva même un plaisir insoupçonné dans ce rôle à donner des ordres et des conseils, comme à son travail mais de façon bien plus fun : elle se prenait pour Monica dans Friends, et ça allait dépoter! Elle avait été là pour superviser l'anesthésie, discutant avec le chef de la réaction de la viande, mais aucun signe négatif, ça se passait bien : il ne réagissait plus mais son regard suivait tout, et c'est ce qui comptait le plus pour le terminer en beauté!

Ensuite, le chef avait indiqué que le sexe et les couilles étant devenues mortes depuis 1 heure, elles étaient impropres à la consommation, expression qui amusa Emilie.

Comme convenu, il décida de couper les parties mortes non sans laisser le soin à Emilie de réaliser le geste sous les yeux ébahis de son ancien ami qui était positionné sur une table de travail, nu et à genoux jambes écartées, bras liés derrière le corps, pomme toujours en bouche, bite et couilles toujours ficelées. Un commis lui tendit un couteau à cautérisation immédiate ce qui permit une coupe facile et rapide, même si Emilie lança quelques regards pervers à l'animal lors de la coupe, s'assurant qu'il n'oublie le visage de la femme qui avait pris sa masculinité.

L'animal était dépité de se voir retirer toute sa virilité, mais il n'avait rien ressenti, si ce n'est le sentiment d'humiliation totale et que se passait comme elle l'avait décrit... elle déclara que l'engin était de toute façon pathétique, que faire griller ça l'aura rétrécit, et ça aurait été insultant pour les clients affamés... elle les donna donc sous ses yeux à manger à des petits cavaliers king-charles de l'adjointe du chef : elle s'amusa à les nourrir à l main le temps que leurs petites bouches dévorent tout, sous les yeux de Jérôme... elle leur parla avec beaucoup de tendresse, sincèrement ravie de nourrir ces petits toutous si mignons, discutant d'eux avec leur propriétaire, ce qui humilia d'autant plus Jérôme qui réalisait à quel point il n'était lui-même qu'un animal bon à nourrir d'autres animaux, comme de la pâtée pour chiens...

Lorsque les cuisiniers commencèrent à évider le porc, Emilie préféra prendre un cocktail que d'assister à cette partie plus technique (il ne fallait surtout pas que la bête meurt par erreur dans la préparation et hors de question de les déranger) et moins amusante et ragoutante, avant de revenir comme prévu un peu plus tard : sous les yeux de Jérôme, elle versa le seau de ses entrailles à des chiens errants qui n'avaient pas la chance d'être nourris par des maîtres, mais qui avaient l'habitude de prendre les restes du Kebab dans les poubelles, ce qui satisfit son instinct protecteur des animaux... tout en marquant l'irréversibilité de sa situation et sa mort certaine à venir!

Elle avait ensuite beaucoup ri lors du farcissement de la « dinde » : de façon aussi inattendue que divinement plaisante pour Emilie, la télévision locale avait profité de l'occasion pour faire un reportage sur les lycéens stagiaires en cuisine, venus exprès montrer tout ce qu'ils avaient appris au cours de l'année scolaire! Et que de gestes maladroits pour enfoncer des légumes dans le cul de la bête! Dieu sait pourtant qu'il en avait vu passer, queues, godes, légumes... mais alors elle-même ne s'attendait pas à ce spectacle, entre ceux hésitant à pousser, ceux qui trouvaient que l'animal n'était pas assez dilaté car « trop vivant », fourrant sans cesse plus de beurre et d'huile entre les fesses bien joufflues au point que ça en ressortait comme trop de sperme après un gang-bang!

Au point que le chef dut reprendre la main en se saisissant d'une aubergine, la poussant dans le trou avec expérience bien que non sans mal, avant de le fister de tout son épais avant-bras jusqu'au coude, au point de déformer de manière grossière et hilarante l'anus devenu béant! Au moins, ça facilitait le passage aux autres et surtout au pieu en bois de 15 centimètres de diamètre qui le traversa quelques instants plus tard de bout en bout! Là aussi, Emilie mis le main à la pâte en aidant à la pénétration, et plaçant à la fin la pomme le long du pieu qui venait de sortir de sa bouche.

Elle glissa à son oreille « te voilà devenir la star de la TV locale, bien farcie et pénétrée comme une Roxy se devait de l'être par sa maîtresse, et je te promets que je diffuserai le lien du replay à tous tes amis, à ta famille et au boulot, qu'ils en aient l'eau à la bouche, mon petit cochonou! ».

Plus tard, il fut placé au milieu des autres animaux, sur son propre tournebroche : le chef invita Emilie à allumer le feu, ce qu'elle fit avec plaisir et honneur, souriant aux flash des caméras, devenant celle qui aurait décidé et scellé le sort de son ancien ami, lequel fut mis à cuire avec les autres porcs pour plusieurs heures pendant que la fête battait son plein au rythme de musiques pop-tribales emballantes sur lesquelles Emilie dansa comme une diablesse sexy!

Pour bien terminer cette journée, Emilie fut invitée à s'assurer de la cuisson, et prit avec minutie sa mission, donnant conseils et ordres, passant parfois de l'huile sur le corps crépitant, piquant le corps pour que la graisse inutile s'en échappe, avant de découper les 1ers morceaux pour s'assurer que la viande était bien grillée à l'extérieure et rose à l'intérieur... en goutant même un petit bout, attirée par l'odeur délicieusement inattendue qui s'en dégageait, oubliant totalement que sous ses yeux se trouvait son ancien ami!

Lorsque les centaines de festivaliers avaient été servis, il ne resta plus rien de Jérôme, si ce n'est quelques os que les chiens errants chapardaient, ou les rares morceaux de viandes restés dans des assiettes abandonnées, que des volatiles se disputaient parfois quand les convives s'éloignaient un peu trop longtemps de leur table.

Un homme, grand quadra musclé aux yeux bleus et au sourire enjôleur, s'approcha d'elle et la félicita pour son travail : il se présenta en tant que chef français étoilé et lui proposa de le rencontrer si d'aventure elle voulait se reconvertir dans la cuisine. Emilie accepta avec plaisir de discuter autour d'un verre, et si son avenir pouvait être discutée, elle remarqué une énorme bosse dans le pantalon de ce bel étalon qui n'avait rien manqué de son déhanché sur la piste de danse, et elle savait qu'elle allait passer une nuit de baise parfaite pour conclure cette si belle journée, pleine de découvertes!

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5 Commentaires
dicordobadicordobail y a 8 mois

Histoire étonnante et très originale.

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Cet épilogue : magistral!!

RoxyJJ80RoxyJJ80il y a 8 moisAuteur

Original, borderline, Emilie vicieuse au possible, Jérôme ami perdu dans son désir. C'est presque allégorique. Mais c'est du cul! Et bien cuit! ;)

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Très bonne histoire sans tabou même si ça aurait été top d'avoir plus de contexte au debut, ou un chapitre introductif.

Emilie est sadique à souhait, ça donne envie de la connaître lol

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Le sadisme à son comble ! Beaucoup d’humour mais à réserver à les lecteurs adultes, très.

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