Telle Mère, Telle Fille (10)

Informations sur Récit
Soirée particulière pour une 1ère fois chez notre Maitre.
1.3k mots
4.31
9.7k
2
3

Partie 10 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/28/2021
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Assas78
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Le week-end suivant, je ne suis pas surprise que nous allions chez notre Maître qui veut que je lui raconte les détails de la soirée chez cette femme Dominatrice.

Cul nu pour toutes les 2 et port du harnais sous une robe la plus courte possible pour ma mère et pour moi. A chaque pas, nos fesses sont exposées à celles et ceux qui nous croiseraient. Ma mère laisse la voiture sur le boulevard à quelques rues de sa maison. Nous sommes marchons vite au risque de dévoiler nos 2 beaux fessiers et peut être aussi nos deux fentes. Je sens la mienne déjà s'humidifier.

En rentrant la semaine dernière, je n'avais rien révélé, sauf que cela s'était bien passé.

Cette fois ci, je n'oublie aucun détail et je ne cache pas le plaisir que j'ai pris à obéir à une femme, mais aussi à la lécher et la faire jouir.

Notre Maître n'est pas surpris quand je lui dis mon plaisir mais aussi la certitude de cette femme que je suis une lesbienne cachée et que je lui appartiendrai un jour.

- Pour lui appartenir, elle peut toujours y croire, mais tu aimes trop les grosses queues et elle ne peut pas concourir, dit il en éclatant de rire. Tu es loin d'être rassasiée, et je t'en donnerai la preuve bientôt en t'offrant une soirée avec 2 amis black montés comme des taureaux.

C'est une nouvelle qui me réjouit. Ce dont je ne me doute pas, c'est qu'elle a raison. Je lui appartiendrai un jour.

Assises toutes deux dans les fauteuils du salon, il me demande de lui montrer que ce récit m'a excitée, comme il a excité ma mère, bien qu'elle ait parue très surprise quand j'ai révélé mes tendances soumises de lesbienne. Nos deux chattes sont épanouies et brillantes.

Pour me féliciter, Il me fait mettre sur les genoux sur le canapé, le buste appuyé sur le dossier. S'approchant de ma mère, juste à côté de moi, il lui présente son gourdin à sucer.

- Prépare bien ma queue, ce soir c'est un grand jour pour ta fille. Je vais lui prouver qu'elle aime ma queue et pas que dans sa chatte mais ce soir dans son petit trou. Je suis sûr que tu te rappelles de la 1ère fois où tu as senti ton œillet s'ouvrir, accueillir ma tige jusqu'au au fond de toi, en s'adressant à ma mère.

- Ma mère s'applique avec sa bouche, mais l'attente de cette queue à quelques centimètres est difficile et notre Maître nous demande nous en occuper ensemble. Nos deux bouches se rejoignent sur son gourdin.

Il me remet à genoux et se lubrifie lui même avec le suc qui coule de ma chatte. J'attends le moment où il va se présenter contre mon œillet et sentir mon fourreau étroit s'ouvrir pour l'absorber. Mais alors que je sens mes chairs s'ouvrir, j'ai le souple coupé, il continue pour me remplir totalement. Quelle impression! Je comprends mieux pourquoi certaines ne peuvent plus s'en passer.

Une fois bien ouverte, il me demande de venir m'empaler, accroupie de dos à lui au dessus de son gourdin. Prise à fond, il attrape mes deux cuisses pour les écarter en V.

Je tiens en équilibre uniquement relié à lui par mon cul. Puis il me soulève et me fait retomber écartelée. Très vite, la jouissance me submerge et son pubis est trempé de mon nectar.

La soirée continue tranquillement autour d'un diner froid, nous avons tous faim.

Le Maître est d'excellente humeur, je suppose que mon dépucelage y est pour quelque chose.

- Tu nous as raconté que la Dominatrice t'avait demandé de lui donner du plaisir avec ta bouche, tu vas me montrer tes talents et comme je veux que tu te rappelles de cette soirée si spéciale pour toi, je vais te cravacher et te marquer les fesses. Plaisir et douleur, c'est un cocktail qu'une soumise doit aimer.

Ma mère réalise que je vais la lécher et la faire jouir. Elle ouvre ses cuisses et les bloque sur les accoudoirs de son fauteuil. Moi qui croyais qu'elle serait gênée, c'est le contraire, l'envie de jouir est trop forte. A quatre pattes devant son fauteuil, je n'ai pas le droit de la toucher, seulement me servir de ma bouche. Aussi excitée qu'elle, je cherche immédiatement sa perle qui pointe hors de son capuchon. Je l'aspire la lèche, puis recueille aussi profondément possible son jus qui coule sa grotte. J'en profite pour pointer le bout de ma langue sur son œillet. Elle résiste peu de temps avant de gémir de bonheur. Je deviens une vraie soumise perverse.

Puis c'est à mon tour, de gémir par la cravache. Je tends de plus en plus mes fesses pour recevoir ce que je considère comme un cadeau de notre Maître. Les coups de cravache plus douloureux sur l'intérieur des cuisses me font les ouvrir plus grand, la douleur s'efface par la jouissance. Ma mère est surprise par l'intensité de mon orgasme.

Je suis fatiguée par toutes ces émotions et je souhaite rentrer tranquillement mais notre Maître en décide autrement.

- Je ne t'ai jamais vue donner du plaisir à ta fille. Viens la lécher à ton tour.

A ce moment là, ma mère semble terriblement gênée et réticente à me donner ce plaisir, en hésitant un peu trop longtemps ...

- Je vous en supplie Maître, c'est ma fille, ne me demandez pas ça.

Cette phrase semble attiser la colère de notre Maître.

- Tu as décidée de gâcher cette soirée, tu refuses de m'obéir? Tu m'obliges à te punir.

Retourne dans ton fauteuil, je te promets une punition exemplaire.

Ma mère ne dit rien, il me donne le maximum de plaisir encore une fois, avec sa queue et ses doigts dans ma chatte. Je m'écroule, pendant plusieurs minutes, je n'arrive plus à bouger, terrassée par ce dernier orgasme et par la fatigue.

Notre Maître ignore la présence de ma mère et ne s'occupe plus que de moi, pour tenter de la rendre jalouse et pour l'humilier.

Au moment du départ, il s'adresse une nouvelle fois à ma mère :

- En arrivant chez vous, tu iras chercher ta ceinture de chasteté et tu demanderas à ta fille de te la mettre et de la fermer. Pour 3 semaines. Je la rouvrirai qu'une fois que tu auras obéi.

Nous repartons en voiture et je décide de conduire, tellement ma mère est perturbée. De la voir ainsi, je suis également perturbée et tout en conduisant je pose main sur sa cuisse.

Arrivées à la maison, elle va chercher la ceinture de chasteté et reviens vers moi. Elle reste silencieuse et humiliée que ce soit sa fille qui lui mette cette ceinture. Je lui prend la main et l'entraîne dans ma chambre. Cette ceinture féminine de chasteté est plus contraignante que la micro cage portée par mon père ou par le mari de la dominatrice, C'est une ceinture ventrale qui passe entre les jambes et laisse juste la place pour les besoins naturels. Sous une robe, cul nul, elle sera visible une fois assise avec les genoux écartés. Aller travailler avec va être une punition sévère surtout pendant ces 3 semaines.

- Notre Maître m'a indiqué comment te la mettre et la fermer. Mets toi nue mains sur la tête.

Je lui passe la ceinture et ferme les 2 cadenas, puis je fais une photo et l'envoie au Maître, comme il l'a demandé. Ma mère a les joues rouges et ne réagit pas. Je viens l'embrasser, lui dire qu'elle est belle et que je l'aime. Je la sens apaisée.

- Ne t'inquiète pas pour moi, cette punition et l'humiliation m'excitent même si au départ j'ai été perturbée. Si j'en avais l'autorisation, je me mettrais à genoux devant toi pour te donner le plaisir que notre Maître m'a demandée.

Après l'envoi de la photo par sms, Il me demande de lui raconter notre retour. Je ne lui cache aucun détail et lui relate ce qu'elle m'a dit.

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  • COMMENTAIRES
3 Commentaires
Assas78Assas78il y a plus de 2 ansAuteur

Merci pour vos encouragements.

Dernier épisode très bientôt, avant une nouvelle histoires entre femmes

Meilleurs Voeux à toutes les coquines et coquins qui me lisent

Assas

AnnalalevretteAnnalalevretteil y a plus de 2 ans

Sublime comme à chaque fois

lecocqlecocqil y a plus de 2 ans

toujours aussi bon récit la suite svp

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