Soirée au Club

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De jeunes femmes subissent la loi des matrones.
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Rainett
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Une Soirée au Club

Les trois copines, Vanessa, Cindy et Sandra avaient dansé la majeure partie de la nuit. La sonorisation poussée au maximum, les rythmes afro-cubains, et l'abondance d'alcool liquoreux que les trois filles avaient consommé avaient accentué le niveau élevé d'excitation qu'elles ressentaient au tout début de soirée.

Ce n'était pas leur club habituel, mais elles avaient décidé d'essayer parce que Sandra avait eu des entrées gratuites. Une collègue de travail les lui avait offertes, en lui recommandant l'endroit, et en lui précisant que l'ambiance était cool.

Elles ont découvert au bout de quelques instants que cette boîte était un refuge de lesbiennes. Au début, Sandra s'était demandé si sa collègue lui envoyait des signaux subliminaux, et la convoitait. Mais après la surprise initiale, les trois copines avaient ri, elles s'étaient mêlées à l'ambiance festive et s'amusaient comme des folles.

Elles étaient déterminées à profiter de l'expérience et pourquoi pas? Elles n'auraient jamais été d'elles-même dans une boîte d'homosexuelles, mais la musique était bonne et les boissons pas très chères. Le club était bien fréquenté, et il n'y avait pas de mâle en rut qui insistait pour les peloter.

Bien sûr, quelques regards affamés de filles en chasse, ou quelques audacieuses qui venaient se frotter contre elles en dansant, mais elles aimaient provoquer et s'esquiver en riant. D'ailleurs, habituellement, elles n'osaient pas être aussi sexy et provocantes, mais ici elles se sentaient en sécurité. Et quand bien même, pour se faire une idée, il faut bien essayer, non?

Vanessa avait consommé moins d'alcool, ou elle tenait mieux le choc, mais elle avait bien conscience que ses deux copines avaient dépassé leurs propres limites, et qu'elles flirtaient avec les confins de la décence. Elles avaient de plus en plus joué de la provocation au fur et à mesure de l'avancement de la nuit, soucieuses de se faire remarquer de la clientèle habituelle du club.

C'était comme si elles essayaient de relever un défi en se surpassant l'une et l'autre, s'amusant de voir tout ces yeux rivés sur elles, pendant qu'elles se trémoussaient en se frottant sans vergogne. Dans une sorte de danse du ventre, elles frictionnaient leurs cuisses, l'une contre l'autre, mimant l'acte sexuel au milieu de la foule.

Et c'est sans surprise que d'autres femmes on fait un cercle autour d'elles pour les encourager en tapant dans leurs mains. Mais deux femmes noires ont pris l'initiative d'écarter les curieuses qui s'attroupaient autour des jeunes femmes.

Les deux africaines étaient beaucoup plus âgées que la majorité des autres femmes du club, probablement fin de la quarantaine. Vanessa pensait qu'elles étaient une sorte de service de sécurité chargé de ramener le calme au vu de leur physique d'athlète. Elles avaient savamment choisi le moment idéal pour isoler Vanessa de ses amies grisées.

"Tu bouges très bien ton boule, fillette" l'apostropha nonchalamment la première femme.

Ses yeux parcouraient sans vergogne le corps ravissant de Vanessa, s'attardant à dessein sur ses courbes pour bien montrer à la fille qu'elle la convoitait. Vanessa n'était pas du tout intimidée. Elle soutint le regard salace et lui rendit la pareille tout aussi hardiment.

Les seins proéminents de la femme étaient contenus difficilement dans sa petite robe noire toute simple. Et ses hanches callipyges oscillaient de cette façon sensuelle que seule une femme noire peut posséder. Mais avant que Vanessa ne puisse trouver une réponse appropriée, Cindy se faufilait entre elles, devenant le centre de l'attention.

"Nous faisons toutes cela naturellement, chérie !" grommela-t-elle à l'attention de la femme noire.

Dès qu'elle eut attiré l'attention de la femme noire, elle se rapprocha en dansant, oscillant des hanches, relevant sa courte jupe.

"Tu aimes les jolies petites filles coquines, n'est-ce pas?" elle lui a demandé, provocante.

Vanessa se bloqua. C'était typique de Cindy. Bourrée, elle était capable de toutes les audaces. Repousser les limites ...

"Putain, ouais, j'aime les petites chattes fraîches..." la voix de l'africaine était brusquement devenue rauque.

À présent, elle bloquait complètement sur Cindy, un sourire carnassier fleurissait sur son visage pendant que la poulette brune se trémoussait devant elle. La petite avait toujours su mettre en valeur son corps de liane.

"Une jolie petite demoiselle blanche et mince, comme toi, avec ses petits seins qui pointent et son joli petit cul cambré, ça me fait mouiller la chatte à la pensée de ce que je pourrais lui faire !" déclara-t-elle. "Tu veux m'essayer?"

"Et moi aussi?" a demandé Sandra, déterminée à ne pas être laissée pour compte.

Levant ses mains en l'air, tournoyant des hanches, elle balançait son cul sensuellement au rythme du battement syncopé de la musique en se rapprochant de Cindy. Ses longues jambes musclées compensaient son manque de poitrine et elles se dévoilaient dans une robe trop courte.

Vanessa regrettait d'être évincée de l'action en s'habillant de façon plus classique que les deux autres. Oui, son jean étroit taille basse serrait son cul en séparant bien les deux hémisphères, et son caraco sans manches moulait étroitement ses seins en pomme.

Mais malgré son décolleté plongeant et ses épaules nues, ses deux amies avaient beaucoup plus de chair découverte.

Et ces deux coquines agissaient de façon beaucoup plus provocante.

"Je m'appelle Olivia" dit la matrone noire, concentrant maintenant toute son attention sur Cindy et Sandra.

La lèvre inférieure de Vanessa tremblait d'émotion. Elle ne s'intéressait ni à l'une ni à l'autre de ces deux femmes, ni à aucune autre femme, mais elle détestait passer pour quantité négligeable et ne pas recevoir l'attention que ses amies recevaient maintenant.

"Cindy" se présenta la brunette avec désinvolture, tortillant ses hanches de manière sensuelle tout près d'Olivia. Sa danse lascive devenait de plus en plus érotique maintenant qu'elle savait qu'elle intéressait Olivia. C'était typique de Cindy. Elle adorait allumer l'auditoire.

"Et moi, c'est Sandra", ajouta la blonde, secouant sa crinière en collant son corps à celui de Cindy.

Collée sensuellement contre les courbes de Cindy, oscillant en rythme, les deux filles battaient des cils en échangeant des regards languissants. Elles rivalisaient d'audace pour savoir laquelle serait la plus salope des deux. Celle qui serait choisie par Olivia gagnerait l'épreuve. Elle serait la pétasse la plus sexy de la soirée.

Elles organisaient la chorégraphie de leur spectacle devant leurs admiratrices noires. Vanessa se détourna en grimaçant. À part compléter le trio en jouant les salopes comme ses deux copines, elle n'avait aucune chance de capter l'attention des deux déesses noires. Et elle ne voulait pas se rabaisser en suivant leur exemple.

Cindy et Sandra étaient de telles exaltées, après quelques verres, qu'elle ne voulait pas rentrer dans la compétition. Habituellement, c'était pour les hommes qui les harcelaient qu'elles avaient mis au point leur petit numéro. Elles les allumaient, les chauffaient à blanc puis, quand ils étaient à point, prenant l'air innocent de deux vierges effarouchées:

"Nous? Mais pas du tout, monsieur, vous nous prenez pour qui?"

Mais le comportement de ces deux matrones laissait à penser qu'elles ne seraient pas si faciles à manipuler. Ces femmes agissaient en maîtresses, poker face, seul la lueur lubrique de leurs yeux plissés trahissait leur concupiscence. Malgré le fait que les filles avaient pris l'initiative, il était clair pour Vanessa que les africaines contrôlaient le jeu. C'était une situation qu'elles avaient déjà rencontrée auparavant et qu'elles maîtrisaient à la perfection.

"Ravi de faire votre connaissance, mes petites chéries" Olivia souriait.

Elle désigna son amie. "Voici Patricia. Vous êtes nouvelles ici, les filles?"

"Bof ! On teste !" rigola Cindy.

Les deux copines se séparèrent et dansèrent chacune de part et d'autre de la femme. Les mains relevant ses longs cheveux, Sandra se rapprochait de Patricia en ondulant du bassin, mimant l'acte sexuel. Cindy faisait le tour d'Olivia, collant son pubis contre le cul rebondi de la matrone. Vanessa se bloqua. Elles devenaient incontrôlables.

Olivia et Patricia échangèrent un regard entendu qui rendit Vanessa nerveuse. Il y avait quelque chose dans l'évolution de la situation qui leur convenait parfaitement, c'était certain.

"Allons au bar, j'offre ma tournée!" suggéra-t-elle soudain d'une voix enjouée pour tenter de désamorcer la situation.

Mais personne ne l'écoutait. L'effet euphorisant de l'alcool sur les filles était évident, et chacune tentait de surpasser l'autre dans l'érotisme pervers. Elles se frottaient maintenant contre leurs nouvelles amies, mimant l'acte sexuel contre les formes rebondies des Blacks.

Vanessa secoua la tête avec mépris. Elle s'éloigna en direction des toilettes, espérant sans trop y croire que lorsqu'elle en reviendrait, les filles auront retrouvé leur bon sens, ou que les femmes noires les auront ramenées à la raison. Mais pour l'heure, elle préférait s'éloigner de ce mimodrame. Et, tandis qu'elle commençait à se frayer un chemin parmi la foule des femmes dansantes, Cindy et Sandra ne réalisèrent pas qu'elle s'était éloignée.

Vanessa regardait son reflet dans le miroir. Elle avait pris son temps dans les toilettes, essayant de remettre de l'ordre dans ses idées. La tête lui tournait même après s'être rafraîchie, elle sentait toujours les effets des vapeurs de l'alcool qui la troublaient.

Dieu sait dans quel pétrin Cindy et Sandra s'étaient fourrées. Son instinct lui dictait de les sortir de là. Juste avant de rejoindre la piste de danse, une précaution s'imposait, vider sa vessie. Elle entra dans un cabinet, à l'écart. Elle n'a même pas eu le temps de verrouiller la porte qu'elle a entendu la porte principale s'ouvrir.

La voix lui était familière: "Par ici, ma petite fille..."

Le petit espace entre la porte et le montant permit à Vanessa de jeter un coup d'œil dans la pièce.

Olivia immobilisait fermement le bras de Cindy et Patricia maîtrisait Sandra. Aucun doute n'était permis. Les deux jeunes filles étaient complètement soûles et elles étaient conduites dans les toilettes comme des récompenses qui venaient d'être gagnées.

Cette vision fit battre le cœur de Vanessa encore plus vite. Plus la peur d'être découverte. Si elles vérifiaient les boxes, elle était perdue. Une troisième femme noire les avait suivies dans les toilettes mais elle ne participait pas directement à l'action.

Elle croisait les bras sous sa lourde poitrine en s'adossant à la porte principale, peut-être pour en interdire l'accès.Elle semblait un peu plus âgée que les deux premières, et elle était nettement plus corpulente.

Elle se contentait de regarder les ébats, et un large sourire éclaira son visage lorsqu'elle vit Olivia et Patricia prendre le contrôle de la situation en maîtrisant facilement les deux petites libertines blanches.

Cindy et Sandra ont été séduites immédiatement lorsque les femmes plus âgées les ont soumises à une session de baisers passionnés. Ce doit être l'effet de l'alcool, pensa Vanessa. À sa connaissance, aucune des deux n'était bisexuelle, et pourtant, elles réagissaient avec passion lorsque Olivia et Patricia les embrassaient.

Olivia avait coincé Cindy contre le mur du fond, et elle triturait sans ménagement ses seins, tout en l'embrassant à pleine bouche. Cindy n'avait nulle part où aller, bloquée impuissante contre le mur pendant que les mains expertes d'Olivia la fouillaient.

Sandra était appuyée contre le lavabo, ses gémissements résonnaient dans les toilettes pendant que les lèvres de Patricia couraient le long de son cou sensible. La scène était incroyablement torride.

Les femmes étaient assez âgées pour être leurs mères, Cindy et Sandra étaient tombées entre des mains expertes. Elles avaient voulu jouer avec les deux matures sur la piste de danse, mais Olivia et Patricia les avaient amené là où elles voulaient. Ces femmes connaissaient leur affaire et elles avaient parfaitement manœuvré pour prendre le contrôle des deux gamines. Et maintenant, elles voulaient recueillir leur bénéfice en s'appropriant les petites chattes humides.

Elles avaient manipulé Cindy et Sandra pour qu'elles deviennent des proies faciles et consentantes. Les deux filles étaient dans un tel état d'ivresse qu'elles ne pouvaient plus résister. Elles étaient devenues des jouets sexuels entre les mains expertes des africaines. Olivia murmura quelque chose à l'oreille de Cindy en la retournant pour la plaquer face au mur. Cindy acquiesça et leva ses bras au-dessus de sa tête pour poser ses paumes sur le mur carrelé.

Aussitôt, la main d'Olivia troussa la courte robe et se glissa dessous. Les halètements et les gémissements de Cindy confirmèrent qu'elle était arrivé à destination. Son autre main avait empoigné l'un des seins ronds de la fille, le serrant et le tordant pendant qu'elle frottait dans sa culotte.

Les cuisses de la fille impuissante s'écartèrent encore plus largement sous la caresse des doigts habiles. Elle a baissé la tête pour tenter de masquer son émotion, mais tourmentée par son émoi grandissant, ses gémissements devenaient de plus en plus aigus tandis que son corps surexcité sollicitait les caresses.

Patricia était tout aussi dominante. Elle avait courbé les reins de Sandra en arrière sur le lavabo. La fille n'avait pas d'échappatoire, la matrone avait agrippé sa tignasse et la maintenait totalement à sa merci. Patricia avait déjà remonté la robe de Sandra autour de sa taille et glissé sa main à l'intérieur du string. Sandra se tordait tellement qu'un sein s'est échappé de son nid de dentelle. Sans la relâcher, l'africaine s'est penchée pour mordiller ce sein nu.

Vanessa n'avait jamais vu de spectacle aussi érotique. À présent, le niveau d'excitation de sa chatte la gênait. Elle observait ses deux meilleures amies être maîtrisées et utilisées par les matrones. Excitée autant par le danger que par la situation, Vanessa avait dégrafé et baissé son jean pour se masturber. Elle ne pouvait pas s'en empêcher, elle aurait aimé ressentir le plaisir que ses copines semblaient éprouver.

Est-ce que toutes les femmes ont ce fantasme, à un moment ou à un autre, d'être séduite par une autre femme?

Patricia et Olivia avaient planifié cette tentation. Elles étaient venus au club à la recherche de «petites filles blanches mignonnes à croquer».

Elles avaient trouvé deux petites salopes en chaleur, et elles voulaient s'amuser avec. Et elles savaient exactement quoi en faire et comment faire.

Cindy et Sandra gémissaient en chœur à présent. La grosse femme noire qui bloquait la porte d'entrée avait les jambes écartées, la robe troussée et sa main pompait énergiquement dans sa culotte.

Lorsque l'orgasme de Cindy atteignit son point culminant, ses plaintes déclenchèrent l'agonie de Sandra. Mais aucune des deux femmes noires ne lâcha prise. Elles ont continué à enfiévrer leurs proies, emmenant les filles sans défense d'un orgasme à l'autre, jusqu'à ce que leurs jeunes corps pantelants soient à bout de résistance.

C'était comme si elles essayaient de les épuiser pour les asservir. C'en était trop pour Vanessa. Ses doigts tremblants travaillaient sur sa chatte depuis longtemps, trop longtemps.

Un long soupir de satisfaction s'échappa de sa bouche tandis qu'elle enfonçait deux doigts profondément dans sa vulve.

Vanessa s'appuya contre la cloison et ferma les yeux pour ce qui lui parut être un bref instant.

Quand elle rouvrit les yeux, la situation avait changée. Patricia avait échangé sa place avec Sandra. La matrone était assise sur le lavabo, un pied sur le dessus marbré, l'autre jambe pendante, et elle présentait sa chatte à la blonde.

Cindy était accroupie devant Olivia, qui avait remonté sa robe jusqu'à la taille. Aucune des deux africaines ne portait de culotte. Chaque matrone maintenait fermement sa proie blanche par la tignasse pour la positionner entre ses cuisses.

Vanessa a eu la confirmation de qui contrôlait la situation. Les deux gamines blanches avaient le visage fermement appuyé contre les chattes noires. La vision était incroyablement érotique. Vanessa a reprit sa masturbation.

Peu importe qu'il s'agisse de l'alcool, du jeu de séduction sur la piste de danse, de leurs propres fantasmes ou d'une combinaison de tout cela, mais ni Cindy ni Sandra n'opposaient la moindre résistance !

Vanessa s'en moquait. Elle était trop occupée par ses propres désirs. Sa température charnelle avait atteint son point d'ébullition et elle avait glissé deux doigts dans son vagin à la recherche de son point G.

Olivia et Patricia encourageait maintenant Cindy et Sandra en les complimentant, leur disant à quel point elles étaient bonnes avec leur langue, à quel point elles étaient de bonnes petites filles bien salopes.

"Juste là, ma fille, oh putain ouais, enfonce bien ta langue, bonne petite chienne... Vas-y bébé, ouais, putain, quelle salope..."

Leurs gémissements devenaient plus rauques, puis se transformèrent en jurons lorsque l'action devint plus hard. Cindy et Sandra n'étaient plus de mignonnes petites fillettes, mais des chiennes, des salopes...

Lorsqu'elles resserrèrent toutes les deux leur emprise sur les cheveux des filles et qu'elles commencèrent à frotter leur chatte sur le visages des gamines lascives, Vanessa se sentit défaillir. C'était si humiliant ... et pourtant ... si érotique !

Vanessa se retourna dos à la porte en se calant contre la cloison. Son propre point culminant approchait rapidement. Elle exulta en se mordant la lèvre inférieure dans une tentative désespérée d'étouffer ses propres gémissements. Mais Olivia et Patricia n'avaient aucune contrainte de ce type...

Leurs cris de joie accompagnèrent leurs orgasmes tonitruants, provoquant une nouvelle montée de plaisir en prolongeant l'orgasme de Vanessa. Elle jouissait si fort qu'elle se laissa glisser au sol en pensant qu'elle allait s'évanouir.

Finalement, quand elle a repris conscience, elle était recroquevillée dans un coin des toilettes, sa respiration redevenait normale, et les toilettes étaient vides.

Lorsque Vanessa est sortie des toilettes, elle a cherché ses amies dans le club, mais elles avaient disparues. Et les femmes noires aussi. Vanessa a pensé que ses deux copines s'étaient faites embarquées par les matrones.

Cette nuit-là, Vanessa a eu du mal à dormir. Trop d'alcool, mais pas seulement. Son corps brûlait encore du feu du désir.

Tout ce qu'elle avait vu dans les toilettes. Ses pensées revenait sans cesse à ce qu'elle avait vu, à ce que ses amies subissaient. Elles semblaient si lascives et si dociles...

Elle avait téléphoné à Cindy et à Sandra plusieurs fois sur le chemin du retour. Elle leur avait demandé de l'appeler dès qu'elles auraient reçu son message. En sortant des toilettes, elle n'avait pas retrouvé ses amies. Avaient-elles suivies les femmes noires âgées? De leur plein gré? Vanessa voulait s'assurer qu'elles allaient bien. Que tout allait bien. Elle n'aimait pas l'idée de quitter ce club sans elles et elle les avait cherché longtemps.

Huit heures du matin. Toujours pas d'appel. Vanessa était sûre de savoir pourquoi. Elles étaient trop gênées, honteuses de leur comportement scandaleusement obscène. Des chiennes en chaleur qui se traînaient aux pieds de leurs maîtresses.

Toutes les trois avaient déjà eu de brèves relations sexuelles lors d'une soirée en discothèque, bien sûr. Quelle fille, de nos jours, n'avait pas été tentée? Un petit coup rapide avec un mec qui te fait craquer... Un beau gosse... Un petit coup rapide dans les toilettes, ou dans la voiture sur le parking, ou même dans la ruelle adjacente, baisée debout contre un mur ou une palissade.

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