Tatouage Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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- Ils m'appelaient Big Ed bien avant que je ne sois gros.

Il détacha la grosse bouche de son ceinturon et enleva les boutons de son jean. Sans cérémonie, il poussa son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Il s'appuya contre le comptoir en verre et écarta les pieds autant que le permettait le pantalon sur ses chevilles.

Lori sursauta. Là, entre les jambes de l'homme, il y avait la plus grosse queue qu'elle n'ait jamais vue. Et il ne bandait même pas.

- Jésus-Christ! S'exclama Josh.

Big Ed souleva l'engin avec sa main et Lori put voir ses grosses couilles. Il expliqua :

- Ça ne devient jamais beaucoup plus dur mais si tu me lèches bien et que tu suces le gland, je te donnerai quelque chose à manger.

- Josh...

La peur était détectable dans la voix de Lori.

- ... Tu as dit que je pourrais partir si je faisais ce que tu as dit. Je l'ai fait n'est-ce pas?

Pendant un instant, il lui sembla que le jeune garçon était d'accord avec elle, puis le rire de Big Ed résonna dans le magasin.

- Je croyais que tu avais dit qu'elle était ta salope et qu'elle ferait tout ce que tu dis. Ne me regarde pas comme ça mon garçon.

Ces mots firent rire les autres hommes. Le vendeur continua :

- Tu as dit que nous pourrions avoir tous une pipe. Et moi?

- Josh, s'il te plaît...

A la seconde où elle vit son visage, lori sut qu'elle aurait dû rester silencieuse.

- Ecoute salope, Big Ed a raison. De toute façon, une pute comme toi regretterait ensuite d'avoir laissé passer une bite comme la sienne. Tu es ma salope et tu feras ce que je dis.

Il se sentait puissant au milieu d'hommes qui ne parleraient jamais à une femme comme ça. Sauf Big Ed.

- demande lui qu'elle fasse ce que je dis. Je ne m'arrêterai que si toi tu le dis. Je n'écoute pas les garces.

Lori était nerveuse. Ses lèvres étaient douloureuses, ses genoux et ses jambes étaient sales de s'être agenouillée sur un sol recouvert de déchets. Elle était nue au milieu d'une librairie pour adulte. Son instinct lui disait de s'enfuir, de courir, mais son corps voulait qu'elle reste.

- Salope?

Josh parla fort et attendit qu'elle se tourne et qu'elle lui fasse face.

- Tu as entendu Big Ed. Tu feras ce qu'il dit sans poser de questions. Tout le monde ici sait que tu as envie de subir ce genre de choses. Alors arrête de m'emmerder!

= Oui Josh.

- Dis à tout le monde ici ce que tu es et ce que tu veux, Lori.

- Je suis une salope et une pute. Big Ed a vendu ma bouche à tout le monde dans cette pièce et maintenant je veux le remercier en suçant sa grosse bite noire.

Personne ne bougea, tout le monde attendait que Big Ed réponde.

- fais ce que je veux et tout ira bien. J'ai dressé beaucoup de salopes dans ma vie et j'aimais le montrer.

Lori n'était pas sûre de ce qu'il voulait dire exactement. Elle le regarda demander à deux hommes d'apporter un banc. Il faisait 1 m 50 de long sur 80 centimètres de large, il avait 4 pieds en bois et une hauteur de 30 centimètres. Il était recouvert d'un cuir rouge usé. C'était bas pour un banc mais elle supposa qu'il voulait qu'elle le suce dessus. Les hommes le posèrent devant le comptoir.

- Tu ne parles que si moi ou le garçon t'autorisont. Maintenant, monte sur le banc et mets-toi à quatre pattes comme une bonne chienne.

Lori, mal à l'aise dans sa nudité, s'agenouilla sur le banc puis posa les mains pour se retrouver à quatre pattes. Elle espéra que Josh s'imposerait et qu'elle ne serait pas baisée. Ed l'aida à bien se positionner. Lori remarqua qu'il avait enlevé ses vêtements à l'exception de sa chemise qui se balançait sur son gros ventre. Lori put voir son énorme engin bouger et se balancer quand il bougeait et l'envie de le toucher la faisait mouiller. Elle était à la bonne hauteur sur le banc pour qu'il lui baise la bouche.

Big Ed parla aux autres hommes :

- J'ai montré beaucoup de salopes lors d'exposition de chiens. Les juges voient si elles sont bien entraînées et bien dociles.

Puis il parla à Lori :

- Ok, les coudes bien posés. Je veux que ton dos soit parallèle au sol. Écarte un peu les jambes. Bien.

Lori obéit pendant qu'il s'éloignait. Elle fut humiliée d'être exposée comme une chienne de concours.

Big Ed revint et laissa tomber un élastique blanc sur le banc devant son visage. Il dit :

- Fais toi une queue de cheval!

Lori se redressa légèrement et fit rapidement ce qu'il lui demandait. Franck avait l'habitude de lui demander de faire ça. Il avait alors quelque chose à tenir quand il baisait sa bouche.

Ensuite, elle sentit sa main sur son cul. Il attrapa la base du plug anal et tira. Cela provoqua une aspiration qui ressembla à un pet. Elle rougit de ce bruit.

- J'ai quelque chose de spécial pour ton cul salope!

Il lui montra un autre plug anal, a peu près de la taille de l'autre, mais à la base était attachée une longue touffe de cheveux. Au début Lori fut confuse, puis elle réalisa que lorsque le plug serait dans son cul, ça lui ferait comme une queue.

Elle sentit du lubrifiant gicler sur son dos et la fente de son cul. Big Ed utilisa ses grandes mains pour frotte l'huile sur sa peau.

- Les gars, gardez toujours vos chiennes huilées et lubrifiées, comme ça elles sont toujours prêtes.

Il sourit quand le groupe d'hommes rigola. Un doigt entra dans le trou de cul de lori, forçant le lubrifiant dans ses entrailles. Une main sur le dos, l'homme poussa le plug. Une fois la partie la plus large passée au-delà de son sphincter, l'objet pénétra complètement. Lori souhaita avoir un miroir pour voir sa nouvelle queue.

Les mains grasses ont continué à la frotter. Elles passèrent sous elle en commençant par le ventre et en remontant vers les seins, évitant les tétons encore pincés. Les deux mains tripotèrent ses seins, semblant la traire.

- De belles mamelles pour une vieille salope. N'est-ce pas les gars?

Lori les entendit rire leur approbation. Le mot « mamelle » lui rappelait les vaches et la dégradait encore plus.

- Salope, quel âge as-tu?

- Quarante... Quarante-sept ans.

- Comme je le disais, elle est bien conservée.

Son doigt frotta son clitoris et l'homme put sentir qu'elle poussait son ventre contre sa main.

- Tiens-toi tranquille salope! Elle veut baiser mes doigts, je vous ai dit qu'elle était chaude.

Encore une fois elle entendit les rires mais elle ne s'en souciait plus. « Quand va-t-il cesser de me taquiner » pensa-t-elle alors qu'elle arrêtait de se balancer sur sa main.

- Ces gens, ils conduisent leurs superbes voitures allemandes et portent des vêtements de luxe. Ils nous regardent comme si nous étions de la merde. Ils engagent des clandestins au lieu de faire travailler des citoyens. Mais une fois que vous leur enlevez leurs vêtements chics, que vous les entraînez correctement, ils feront tout ce que vous voudrez.

Sur ces mots, il enfonça son gros majeur dans sa chatte. Lori laissa échapper un gémissement et serra fort ses muscles vaginaux pour essayer de l'empêcher de retirer son doigt.

- Regardez comme elle est mouillée!

Il tint son doigt en l'air.

- Es-tu ma petite salope de chienne?

Lori baissa la tête, honteuse.

- Oui.

Elle sentit une traction sur sa queue de cheval. Big Ed cria :

- Garde ta tête en place. Et maintenant, dis à tout le monde ici ce que tu es.

- Je suis... Je suis votre petite salope de chienne.

Il lâcha ses cheveux et se plaça devant elle. Il retira sa chemise et montra un gros ventre velu, et surtout, son énorme bite noire. Il la souleva et la rapprocha du visage de Lori. Il murmura :

- Bonne fille. Ne bouge pas.

Elle sentit le gland un peu humide frotter légèrement sa joue.

- Sully, récupère le gode dont je t'ai parlé!

Elle entendit des pas précipités, mais à part sa respiration peu profonde, elle resta immobile comme une statue.

Sully revint avec un gode à l'aspect obscène. Il ressemblait à une grosse queue en caoutchouc de trente centimètres avec une poignée au bout. Entre le gode et la poignée se trouvait un moyeu circulaire. On aurait dit une épée avec une bite à la place de la lame.

- Mets dessus l'huile que je t'ai donnée!

Il y a des années, au Vietnam, Big Ed avait ramené de ses expériences avec les putes, une huile qui avait un ingrédient naturel, une sorte de poivre finement moulu. Cette huile non seulement lubrifiait une femme mais causait aussi une petite inflammation des parois internes qui augmentait l'excitation. Beaucoup de gens croyait que cette huile était un mythe, mais Big Ed avait vu des proxénètes l'utiliser sur leurs prostituées qui pouvaient ainsi se faire baiser toute la nuit.

- Ok Sully, mets-le à l'entrée de sa chatte!

Il souleva le menton de Lori avec un doigt pour qu'elle le regarde dans les yeux.

- Maintenant salope, je veux que tu t'empales lentement sur le gode.

Lori recula son cul et sentit le bout en caoutchouc à l'entrée de sa chatte. Avec l'huile et l'humidité de son intimité, il n'y eut pas de problèmes. Elle avança et recula, prenant à chaque fois un peu plus du gode en elle.

- Sully, balance encore de l'huile. Je ne veux pas qu'elle se dessèche.

L'homme était comique, on aurait dit un mousquetaire avec une épée terminée par une bite. Après quelques minutes, Big Ed lui dit d'arrêter. Elle obéit, le gode était à mi-chemin dans sa chatte. L'huile devait commencer à faire effet car son corps remuait pour essayer de frotter la démangeaison dans son sexe.

- Ouvre!

Cet ordre sortit Lori de son envie de s'enfoncer le gode bien profondément. Elle leva les yeux et vit un monstre commencer à grandir dans la main de son maître.

Elle ouvrit la bouche pour que Big Ed puisse pousser son engin à l'intérieur. Ses lèvres et ses joues se tendirent pour accepter la circonférence de la queue noire.

- Écoute salope ce que je veux. Tu vas faire des va-et vient sur mon sexe et le gode. Garde bien le dos droit et les bras tendus. Imagine-toi que tu te produis en spectacle, les juges veulent voir de la bonne tenue et de l'équilibre. Et surtout, ne pense pas à jouir sans ma permission. Vas-y maintenant!

Tout le monde dans la boutique était impressionné par le spectacle. Ce n'était pas une femme qui se faisait simplement baisée, mais elle se baisait elle-même par les deux bouts. Bientôt ses mouvements augmentèrent, forçant les deux queues aux deux extrémités plus profondément. La salive coulait de ses lèvres étirées et Sully continuait à mettre de l'huile sur le gode. On aurait dit un automate qui allait et venait, une sorte de machine humaine.

Big Ed put voir qu'elle était sur le point de jouir, mais il n'était pas encore prêt. Il dit alors :

- Sully, sors le gode!

L'homme obéit, laissant sa chatte vide, mais encore avec les démangeaisons provoquées par l'huile. Le gros sexe noir sortit aussi de sa bouche. Sans qu'on lui donne la permission Lori parla :

- Oh merde... S'il vous plaît, j'ai besoin de jouir. S'il vous plaît, je serais votre chienne... N'importe quoi... Laissez-moi jouir!

Sa respiration était courte, son corps luisait d'huile et de sueur. Il fallait qu'elle se retienne pour ne pas mettre sa main dans sa chatte.

- Dis le à tout le monde que tu es ma chienne!

- Je suis votre chienne, votre grosse chienne. S'il vous plaît, je n'ai... Oh putain, j'ai besoin de jouir!

- Garde la position!

L'ordre stoppa ses plaintes, et, pendant quelques secondes, la démangeaison dans son ventre s'amplifia.

- Tu vas baiser n'importe qui et tout ce que je veux. Dis-le!

- N'importe qui, n'importe quoi... je baiserai...

Sa voix était décousue.

- Si j'amenais mon Doberman dans cette pièce que ferais-tu?

Elle s'arrêta, humiliée, mais le besoin était trop grand.

- Je serais sa chienne.

- Bonne fille! Ok Sully, vas-y!

Dès qu'elle sentit la tête du gode, Lori poussa fort pour en prendre presque les trois quarts de la longueur. Sa bouche trouva le sexe de Big Ed et elle reprit son mouvement de piston. Ses yeux pleins de larmes se levèrent vers l'homme noir pour lui demander la permission d'avoir un orgasme. Mais il secoua la tête pour dire non.

Une fois de plus, ses orifices furent vidés. Et une fois de plus, elle dut s'humilier en acceptant de faire tout ce que Big Ed suggérait. Si seulement il la laissait jouir.

Encore une fois, elle eut la joie de sentir sa chatte et sa bouche être envahies. Cette fois-ci, elle décida de se concentrer sur la bite dans sa bouche. Si elle pouvait le faire éjaculer plus vite, il la laisserait sûrement se libérer. Respirant par le nez avec un ronflement d'animal, de la morve coulant de ses narines, elle engouffra le sexe noir. A chaque coup de tête, elle enfonça la bite plus profondément dans sa gorge. Big Ed n'avait jamais été pris si profond par une femme.

Il sentit son corps se tendre et il sut qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible. Il la regarda dans les yeux et hocha la tête. Elle comprit qu'elle pouvait se laisser aller.

Elle se cambra vers le haut, et poussa une dernière fois sa chatte sur le gode jusqu'à ce que la poignée heurte son cul. L'orgasme démarra du bout de ses orteils et se propagea comme une onde atomique.

Big Ed ne pouvait plus attendre. Il retira légèrement sa queue et sentit son foutre venir. Il gicla profondément dans sa gorge alors qu'elle atteignait l'apogée de son orgasme.

Il se passait trop de choses pour Lori. Elle toussa en essayant d'avaler et commença à s'étouffer. Le sperme jaillit de son nez. Big Ed retira sa queue et libéra de grandes quantités de foutre sur le visage et les cheveux de Lori. Le corps de celle-ci trembla encore trois minutes sur le gode et la main fatiguée du pauvre Sully.

Quand ce fut fini, l'homme retira le gode et du jus féminin sortit de sa chatte. Lori s'écroula sur le canapé. Elle retira son plug anal en forme de queue et s'allongea le dos sur le banc. Une jambe de chaque côté du banc, elle venait de vivre l'orgasme le plus intense de sa vie. Ses mains atteignirent son clitoris et elle commença à le titiller furieusement, déclenchant ainsi des mini orgasmes.

Les hommes présents n'avaient pas l'habitude de jouir plus d'une fois par nuit, mais tous furent émoustillés par le spectacle. Quelques-uns ouvrirent leur pantalon et se branlèrent ouvertement. Le remarquant, Big Ed dit :

- Allez les gars, branlez vous si vous voulez. Je pense qu'elle a besoin encore de dix minutes pour se remettre.

Et d'une voix menaçante il ajouta :

- Attention! Personne ne la touche!

Quatre des hommes ayant déjà eu une fellation dans le box purent éjaculer. Leur foutre sortit de leurs bites et arrosa le visage, les seins et les jambes de Lori. Elle semblait inconsciente.

Josh n'arrivait pas à croire ce qu'il venait de voir. Sa queue était dure et lui faisait mal dans son caleçon. Mais il décida d'attendre que Lori soit propre et loin de Big Ed. Il était stupéfait par ce qu'elle avait accepté et il pensait qu'elle aurait fait tout ce que l'homme noir aurait demandé.

Il était tard, Lori n'avait plus d'énergie. Elle pouvait encore sentir une certaine démangeaison en elle, mais beaucoup plus faible. De toute façon, elle était trop épuisée pour s'en soucier.

***************************

Comme je l'ai dit avant le 1er épisode de cette série, l'auteur n'a malheureusement jamais terminé son récit.

FIN.

12
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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 2 mois

L’auteur a publié une suite : lori’s humiliation

milfoliviamilfoliviail y a plus de 5 ans

Un dernier épisode excitant ! Dommage qu'il n'y ait pas de suite

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

Faut continuer la suite!!! Que son mari la vire et que josh la fasse descendre encore plus dans son rôle de chienne et que son mari voit ce qu'il a raté et qu'il regrette

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