Tatouage Ch. 07

Informations sur Récit
Sa femme est emenée au sex-shop.
6.2k mots
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Partie 7 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/08/2018
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Traduction d'un texte de Evals22.

Ce récit est une fiction qui mélange de la soumission et dégradation féminine. Si vous pensez que cela puisse vous choquer, ne continuez pas à lire.

*****

Josh semblait très satisfait de l'obéissance de Lori jusqu'à présent. Il lui dit. Puis il lui demanda, puisque maintenant, elle avait quatre paires de talons à son goût, de se débrouiller pour qu'elle ne se montre jamais à lui avec ses autres chaussures. Il lui suggéra de les garder dans sa voiture et d'en changer qu'une fois qu'elle serait sûre qu'il n'y avait aucune chance qu'elle croise son chemin.

- Tu comprends que je serais très en colère contre toi si je te vois dans d'autres chaussures.

Josh la regarda pendant qu'ils roulaient sur l'autoroute.

- Oui Josh.

L'orgasme qu'elle avait eu dans le magasin n'avait fait qu'alimenter son besoin pour cet homme.

- Et tu sais pourquoi je serai contrarié, n'est-ce pas salope?

- Parce que je suis ta salope et qu'en tant que telle, je dois porter ce que tu me dis.

Elle s'arrêta et ajouta :

- Mais Josh, que ferons-nous quand David ou les enfants seront à la maison?

Elle lui parla de son mari pour revenir à la réalité. Retenant sa colère, il sourit et tapota doucement sa cuisse nue.

- Bien sûr, je ne parlais que de quand nous sommes seuls tous deux.

Il prit une sortie d'autoroute et se dirigea vers El Camino Real, une grande rue longeant la majeure partie de la Californie, du sud au nord. Lori n'avait aucune idée de l'endroit où il allait?

Il gara la voiture allemande dans un petit centre commercial plutôt délabré. Lori vit un magasin d'alcools, un salon de manucure, et plus loin, quelques magasins dont elle ne pouvait distinguer le nom. Le crépuscule commençait à assombrir le ciel.

Une fois le moteur de la voiture et la radio réduits au silence, Josh se tourna vers Lori. De sa main gauche, il caressa doucement son front, repoussant ses cheveux de ses yeux.

- Lori, tu as été très bien jusqu'à présent. Je suis fière de ce que tu as fait ce matin ainsi que dans le magasin. Il mit sa main sur sa nuque et la massa.

- Touche ma bite Lori!

Elle tendit le bras et laissa sa main tomber sous le volant. C'était dur, très dur.

- Tu vois l'effet que tu me fais. Je dois lutter contre mon désir de te baiser.

Il caressait maintenant le lobe de son oreille.

- Tu veux ma bite n'est-ce pas salope?

Elle hocha la tête en signe d'accord.

- Dis-le! Dis-moi!

- Je veux ta queue Josh, je veux que tu me baises.

Elle n'avait rien voulu autant depuis la dernière visite de Franck. Et la culpabilité qu'elle ressentait amplifiait son désir d'être utilisée.

La main du garçon avait atteint son chemisier et commençait lentement à le déboutonner.

- je n'ai jamais été aussi bien sucé que ce matin. Tu es une bonne suceuse de bites. Où as-tu appris à prendre une queue dans la gorge comme ça?

Il se mit à rire.

- Je ne te vois pas sucer David de cette façon? Où as-tu appris à sucer des bites Lori?

Les trois boutons du haut étaient ouverts. Il s'arrêta et commença à caresser la peau douce des seins.

En quelque sorte, Lori fut fière qu'il lui dise qu'elle était une bonne suceuse de bites.

- A l'université, j'avais un petit ami qui m'a très bien appris.

- A être une bonne suceuse et une bonne salope. Étais-tu sa salope comme tu es la mienne maintenant?

- Oui, Comme maintenant, j'étais sa salope, sa putain.

Elle le sentit défaire les derniers boutons et tirer le chemisier sur le côté.

- Tu aimais quand il utilisait ta bouche, ta chatte, ton cul comme la bonne salope que tu étais, n'est-ce pas?

Ses doigts tordirent ses tétons avec suffisamment de pression pour faire trembler sa voix.

- Oui j'adorais. David est bien, mais il ne peut pas.

Elle retint ses larmes quand elle prononça le prénom de son mari qu'elle aimait.

- Mais j'ai besoin que ça fasse mal, que l'on m'utilise comme on veut.

- Je le sais. Et c'est pourquoi nous avons encore un arrêt avant de rentrer à la maison et que je te donne ça.

Il repoussa la main sur sa queue et lui dit :

- Tu dois m'obéir, et même si ça semble trop pour toi, je veux que tu saches que ça va me rendre heureux. Tu veux ça n'est-ce pas Lori?

Il sortit les pinces à seins avec la petite chaîne et il commença à les fixer.

Elle ne répondit pas. Alors, une fois que les deux pinces furent fermement attachées à ses mamelons et que la chaîne pendit entre ses seins, Josh attrapa celle-ci et tira.

- Tu veux que je sois heureux n'est-ce pas?

La douleur l'excitait alors elle marmonna :

- Oui Josh, Je ferai ce que tu veux.

Il remit les deux boutons inférieurs du chemisier et sortit la chaîne pour la rendre visible.

- Sors!

Elle se mit debout sur ses talons de quinze centimètres, sentant l'air frais du soir sur ses jambes. Elle attendit jusqu'à ce qu'il vienne vers elle et l'attrape par le coude pour la diriger vers les bâtiments du fond. En s'approchant, elle remarque que les vitres sont peintes en jaune avec des lettres rouges formant un demi-cercle, comme un coucher de soleil obscène. Ces lettres indiquent « ADULTES SEULEMENT », puis dessous « Nouveautés pour adultes, magazines pour adultes, cabines vidéo et location de DVD ». La première pensée qui vint à l'esprit de Lori c'est que c'était une librairie érotique.

Josh poussa la porte et laissa Lori entrer. Ce qui la frappa d'abord, c'est la luminosité du magasin. Des longueurs de néons déversaient de la lumière sur tout. Elle pensa que ce n'était pas une lumière flatteuse. Elle brillait trop pour cet endroit sombre et sale.

Un des murs était recouvert de toute sortes de jouets : des godes vibrants, des gilets en cuir, des huiles, des fouets et des chaînes. L'autre mur était rempli de vidéo et de boites de DVD représentant toutes sortes d'actes sexuels sur leur couverture. Des titres grossiers, imprimés sur du carton étaient collés sur le mur au-dessus des étagères : Fille/fille, gang-bang, BDSM, Gay, etc...

Derrière un porte-revues et un comptoir de verre contenant d'autres jouets sexuels se trouvait un grand homme noir d'âge moyen. Il portait une chemise à carreau et son ventre débordait d'une ceinture avec une boucle surdimensionnée.

Il y avait cinq ou six hommes qui regardaient les étagères. Ils s'arrêtèrent tous quand Lori entra. Etrangement, ils semblaient presque gênés d'être vus dans ce magasin par une femme.

Josh lui murmura à l'oreille :

- Vas voir ce mur! Et choisis un plug anal de taille moyenne. Je veux que ton trou du cul s'élargisse un peu avant que je le baise.

Lori pense qu'elle va s'évanouir ou trébucher sur ses chaussures instables. Ses cuisses commençaient à être humide de son jus et elle sentait fort. Elle ne s'était jamais sentie réduite aussi bas, comme un objet pour le désir d'animaux. Elle se dirigea vers le mur et passa devant un vieil homme qui, se remettant du choc de sa présence, détailla ouvertement son corps.

Josh s'approcha du comptoir pour acheter des jetons pour la cabine vidéo. Avant de pouvoir parler, l'homme derrière le comptoir parla d'une voix basse et gutturale :

- C'est ta chienne mon gars?

N'ayant pas peur dans cette boutique d'utiliser le nom familier de Lori, il répondit :

- Oui cette salope m'appartient!

- Et vous êtes ici pour la tester... ou lui faire peur... ou quelque chose d'autre, non?

« Est-ce si évident? » pensa Josh avant de répondre :

- Quelque chose comme ça.

- Elle suit bien les ordres?

Il sourit en montrant une incisive en or.

- Elle fait ce que je dis. Répondit fièrement Josh.

- Eh bien mon gars, j'ai l'expérience de ça plusieurs fois, et si tu m'écoutes, je pense que nous pourrons bien nous amuser tous les deux.

Il se mit à rire. Josh pensa voir une étincelle de lumière sur sa dent. Se sentant quand même un peu inquiet avec cet homme, il acquiesça et murmura :

- On ne la baise pas. On peut jouer avec elle, mais pas la baiser.

- Bien sûr, mais elle suce n'est-ce pas?

La question resta sans réponse quand Lori revint vers le comptoir en tenant un plug rouge. Gardant les yeux baissés, elle le déposa sur la surface vitrée. Elle était sûre que tout le monde entendait battre son cœur.

- Madame, vous êtes sûre que c'est la taille qui vous va?

L'homme souleva le plug et sourit à Lori. Il remarqua qu'elle était beaucoup plus âgée qu'il ne le pensait.

- Je pense que oui ça ira.

Lori pouvait sentir que son visage était en feu. Elle voulait en finir.

- Bon, je ne veux pas que vous reveniez pour le rendre s'il ne va pas.

Il déchira le paquet et posa le plug sur sa base avant de dire à Josh avec un clin d'œil :

- Pourquoi ne l'essayerait-elle pas comme nous le disions plus tôt?

- Bonne idée. Oui, il faut que nous soyons sûrs que ça va, tu ne crois pas Lori?

Avant qu'elle ne puisse répondre, le vendeur mit une petite bouteille de lubrifiant à côté du plug rouge et il lui montra une porte dans son dos :

- Vous pouvez utiliser les toilettes là-bas Madame.

Incapable de dire quoi que ce soit, Lori ramassa les deux objets et se dirigea vers la porte des toilettes.

Le vendeur attendit qu'elle referme la porte avant d'annoncer aux hommes dans le magasin :

- On va s'amuser ce soir les gars. Si vous ne voulez pas suivre mes ordres ou que vous ne voulez pas de ça...

Il hocha la tête vers les toilettes.

- ... allez-vous-en. Sinon nous sommes officiellement fermés pour la nuit.

Personne ne bougea. Josh regarda la lumière clignotante « Ouvert » s'éteindre et la porte d'entrée être verrouillée. L'homme noir dit à tout le monde de continuer à faire comme avant et d'attendre ses instructions. Il se présenta comme Big Ed à Josh.

Les hommes se tournèrent tous et regardèrent Lori quand elle revint lentement vers le comptoir. Ses petits pas, la grimace sur son visage et le fait qu'elle n'avait plus que le lubrifiant dans sa main indiquèrent aux hommes où le plug avait disparu.

- Ça va Madame? Demanda Big Ed.

- Oui très bien.

Lori sentit les yeux de tout le monde la fixer et écouter la réponse qu'elle venait de donner.

- Qu'est-ce qui pend sa chemise? Demanda Big Ed en pointant un doigt sur sa poitrine.

- Ça ressemble à une sorte de chaîne. Ajouta-t-il.

Lori resta silencieuse, souhaitant partir. Mais elle savait qu'il n'était pas encore temps.

- Réponds au monsieur Salope.

La voix de Josh était forte. Elle tressaillit au mot « salope ».

- C'est une chaîne. Euhh... c'est relié à... enfin...

Elle regarda Josh et comprit qu'il voulait qu'elle finisse.

- Elle est reliée à mes tétons, avec des pinces à tétons.

Ne posant plus les questions à Josh, Big Ed ordonna :

- Montre-moi! J'en vends, mais je ne les ai jamais vu portés. Montre...

Il fit une pause et Lori attendit qu'il dise « Madame » mais il finit :

- ... Salope.

« Est-ce possible que j'ai eu un mini-orgasme?» pensa-t-elle alors que son corps tremblait. Josh lui dit :

- Fais comme il dit. Fais comme si c'était moi qui le demandait, Lori.

Elle leva les bras et défit lentement ses boutons. Elle laissa le chemisier s'ouvrir et ses tétons pincés apparurent. Elle sentit la présence des autres hommes qui se rapprochaient. Elle essaya de les voir, mais elle ne vit que le vieil homme noir, gras et laid.

- Salope, sois une bonne fille et enlève ta chemise pour que tout le monde puisse voir.

Elle voulait crier que c'était un chemisier et non une chemise, mais au lieu de ça, elle haussa les épaules et enleva le vêtement. Elle le déposa sur le comptoir. Elle put entendre des exclamations et des cris étouffés de autres hommes. Mais elle ne regarda que Big Ed. Il avait déjà fait cela avec d'autres femmes... Qui voulaient se soumettre. Elle pouvait le sentir.

- La jupe aussi, enlève-là. S'il y a une culotte dessous, tu pourras partir.

Il rigola :

- Sinon on va s'amuser.

Lori regarda Josh et vit, sous son sourire maintenant familier, qu'il ne l'aiderait pas. Elle ouvrit la jupe sur le côté et la fit tomber sur le sol, faisant une flaque de jean à ses pieds.

Big Ed pouvait sa chatte rasée et son jus s'échapper. Les hommes derrière elle pouvait voir la base rouge du plug et son tatouage rouge.

Le vendeur demanda à un homme dans son dos :

- Sully, attrape une des laisses sur le mur... La petite avec la chaîne.

Quand l'homme revint avec, quelques secondes plus tard il lui dit :

- Bon. Maintenant attache là à la chaîne sur ses seins.

Les mains du vieil homme appelé Sully tremblèrent en suivant les instructions. Après avoir clippé le fermoir, il regarda le vendeur.

- Ok. Maintenant, ramène-la au mur des jouets. Lentement, pour ne pas faire mal à ces seins. Dit l'homme en souriant avec sa dent dorée.

Sully, se sentant honoré d'avoir été choisi, tira lentement sur la laisse, obligeant Lori à se tourner et à avancer. Pour la première fois elle vit les autres hommes fixaient son corps avec envie. Elle se sentit dynamisée par sa soumission. Elle fit une trentaine de pas avant d'entendre la voix de Big Ed derrière elle.

- Salope, à droite, attrape cette lanière en cuir, non pas celle-là, l'autre? C'est ça.

L'homme ne ressentit aucune culpabilité ou inquiétude à donner des ordres à cette femme. Il ne chercha aucune explication à sa situation ici.

- Maintenant, mets la dans ta bouche et serre-la avec tes dents.

Il regarda Lori mordre le milieu de la lanière en cuir noir.

- Maintenant Salope, mets-toi à quatre pattes, comme une bonne chienne. Et reviens vers moi.

Il était sorti de derrière son comptoir et regardait Sully mener Lori par la laisse dans le magasin. Ses mains et ses genoux pouvaient sentir la saleté du sol rarement balayés. La traction sur ses mamelons lui causait une douleur aiguë. Mais secrètement, elle souhaitait que l'homme tire plus fort.

Lorsque Sully et son petit animal terminèrent leur trajet, l'homme remit la laisse à Big Ed. Dans la vie d'hommes ordinaires, il y a peu de moment de gloire. Mais Big Ed allait avoir ses quinze minutes de célébrité.

Profitant de son moment de pouvoir, il tira la laisse vers le haut, soulevant ainsi les seins lourds de Lori. Il lui prit la lanière en cuir de la bouche et il divertit ses amis en la faisant claquer dans l'air. Le bruit qui retentissait aiguisait la peur de Lori qu'il ne la frappe avec.

- Eh bien Madame...

Il frotta la peau de son cul avec le cuir, tapotant légèrement du poignée pour donner des petits coups indolores sur ses fesses.

- Je vois que tu as une alliance sur ton doigt. Je me doute que ce garçon n'est pas ton mari. Est-ce que ton époux sait ce que tu fais ce soir?

Les moments les plus forts des rencontres avec Franck au cours des années étaient ceux où il lui rappelait sa trahison envers David. Là, ce n'était pas différent.

- Non, il n'en a aucune idée. Dit-elle en levant les yeux, ignorant tout le monde sauf Big Ed.

- Aucune idée que tu es là ou aucune idée que tu es une salope?

- Les deux.

- Où j'ai grandi, si une chienne quittait la maison, nous frappions son cul. Cette garce apprenait à ne plus partir. Et nous pouvions la laisser ensuite sans être attachée sous le porche, elle restait sans bouger.

Lui et Lori fermèrent les yeux. La lanière en cuir faisait des ronds sur son cul. L'homme noir regarda Josh :

- C'est ta chienne mon gars. Qu'en penses-tu? Ne devrions-nous pas lui donner une leçon ce soir?

Josh vit dans les yeux de l'homme, le regard de personnes ayant été maltraités pendant des générations. Lori n'en était pas la cause et Josh ne la laisserait pas payé pour la haine que Big Ed portait en lui.

- Big Ed, elle n'est pas ta chienne, elle n'est pas ta femme et elle ne sera battue par personne, sauf peut-être par moi.

Josh savait qu'il devait adoucir ses paroles avant que la situation ne devienne incontrôlable.

- Pourquoi ne pas utiliser cette salope pour ce qu'elle sait très bien faire : sucer des bites?

Les autres hommes applaudirent. Au bout de quelques secondes, le regard de défi de Big Ed se transforma en un sourire. Il jeta la lanière à Josh et demanda à Lori de se lever. Elle soupira de soulagement et se mit sur ses talons.

- Emmenez-la au box numéro 3. Enlevez la chaise et fermez la porte. Je vais lancer des films. Toute personne ayant 50 euros pourra se faire sucer, le préservatif est gratuit.

Lori allait atteindre un nouveau seuil. Elle allait sucer un groupe d'étrangers. Le choix n'était pas de savoir si elle allait les sucer mais s'ils pouvaient se le permettre ou non.

Josh la conduisit par la laisse jusqu'à la salle sombre où étaient les box. Il y avait de nombreuses portes avec une lumière au-dessus indiquant si elles étaient utilisées ou non. Mais toutes les lumières étaient éteintes, ce qui signifiait que les cabines étaient vides. Josh s'arrêta devant la porte numérotée trois et ouvrit la porte.

L'écran vidéo à l'intérieur émettait une faible lumière. Josh saisit la chaise en plastique et la posa dans le couloir. Dans le mur, se trouvait un trou de la taille d'un poing, un « glory-hole ». Josh comprit alors le plan de Big Ed. Elle ne saurait même pas qui elle suçait, la bite serait totalement anonyme.

Il la conduisit dans la pièce et défit la laisse. Il ne retira pas les pinces, mais les desserra pour que la circulation reprenne dans les tétons. Il posa ses mains sur ses épaules et dit :

- Fais ça pour moi Lori et nous partirons, nous rentrerons à la maison. Je sais que c'est ce que tu veux. Tu es une salope et une pute. Maintenant tu peux le prouver.

Il la poussa pour qu'elle s'agenouille. Ses genoux collèrent aux saletés laissés par terre dans ces box sombres par des hommes solitaires.

Elle entendit la porte se refermer derrière elle et elle s'assit sur ses talons. La seule lumière était celle, blafarde, de l'écran vidéo. Elle commençait à se poser des questions quand la pièce fut soudainement éclairée par un film porno sur l'écran. Elle put y voir une jeune fille blonde et nue en train de sucer les bites d'un groupe d'hommes. « C'est approprié » pensa-t-elle. Les gros plans sur les lèvres de la fille qui entouraient les queues bien dures excitèrent Lori.

Puis à travers le mur, elle entendit :

- Ouvre salope!

Elle tourna la tête et vit un trou qu'elle n'avait pas remarqué auparavant. De ce trou sortait une bite recouverte d'une capote. Les couilles de l'homme étaient partiellement enfoncées dans le box. Cela lui rappela le gode à ventouse fixé sur sa baie vitrée.

- Suce putain!

Son souffle se fit court et elle se remémora les soirées à la fraternité à l'université. Bites après bites envahissaient sa bouche, blessant ses lèvres et raclant sa gorge. Elle l'avait fait pour Franck, et des années plus tard, elle le faisait pour Josh. Elle se pencha et avala la bite jusqu'à ce que son nez heurte la cloison en contreplaqué.

Le premier ne fut pas très différent des six autres qui suivirent. Ces hommes n'avaient jamais connu son talent de suceuse, et, rapidement, elle les fit éjaculer leur foutre dans le latex du préservatif. Elle préférait sentir les giclées de sperme frapper l'arrière de sa gorge et glisser dans son gosier, sa bouche n'étant qu'un réceptacle. Mais les temps sont différents et ce n'est pas l'endroit pour prendre des risques.

Quand il n'y eut plus de bites à travers le trou, elle se leva et ouvrit la porte. Josh vit ses lèvres enflées et son visage couvert de sueur. Elle sortit du box avec un sentiment de fierté. Elle regarda les six hommes, pas particulièrement beaux, qui attendaient, et se demanda à qui appartenait chaque sexe. Mais comme elle n'avait pas sucé de bite noire, elle savait que Big Ed n'avait pas participé.

- Bien petite dame, les mecs ici disent que tu es une vraie suceuse de bites.

Elle entendit le murmure d'accord des hommes. A nouveau, un étrange sentiment de fierté l'envahit.

Le gros vendeur noir se leva et vint devant elle. Il dit :

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