Soumise ou Non 02 (Adultère)

Alors que leur retour de vacances est prévu demain matin, Inès ne peut résister à l'envie de revoir le maître-nageur avant son départ. Cet après-midi, à la plage, elle décide d'aller le voir. Alors que son mari, allongé sous le parasol, est absorbé par la lecture d'un magazine, elle se lève discrètement. Son mari, très absorbé par sa lecture, n'a pas fait attention à elle. Inès n'a rien remis sur elle, restant seins nus et ne portant qu'un mini-slip de bain. Arrivée au poste de secours, elle ne dit qu'un simple bonjour au maître-nageur qui la fait entrer tout de suite.

A cette heure, il y a énormément de monde sur la plage et nombreux sont ceux qui passent devant le poste. Le moment n'est pas propice à des ébats amoureux car un petit accident nécessitant une intervention est possible à tout moment. De plus, le second maître-nageur vient de partir en mer avec leur zodiac pour secourir un planchiste en difficulté, mais il risque de revenir dans quelques minutes seulement.

Le secouriste entraîne Inès dans la cabine de douche, dont il repousse la porte pour masquer la vue de l'extérieur. L'entrée du poste devant rester accessible à tout moment, la porte en verre dépoli de la douche est donc la seule protection qui masque leur vue de l'extérieur. Avant même d'embrasser Inès, l'homme sort sa pine. Excité par cette situation dangereuse, il bande énormément. Il embrasse alors Inès sur la bouche, fougueusement, tout en lui passant la main dans le slip. Avec trois doigts, il fouille une chatte toute mouillée d'excitation. Inès n'est pas tranquille, car n'importe qui peut arriver et les surprendre à tout moment, mais cette inquiétude participe à son excitation. Elle sait qu'elle est venue pour ça et s'étonne d'avoir pu prendre une décision aussi folle.

Le maître-nageur lui demande de le sucer, mais elle refuse car elle sent confusément qu'elle n'a pas le temps de tout faire. Elle est venue là pour se faire baiser. Comprenant l'urgence, l'homme la fait mettre de dos, lui baisse son slip et la fait pencher en avant. Alors que le slip d'Inès est encore autour des chevilles, il lui enfonce sa pine dans le vagin, sans préalable, car les circonstances ne le permettent pas. Il la baise très rapidement, très violemment. La pensée qu'elle pourrait être surprise ainsi fait monter très vite l'excitation d'Inès. Elle se sent proche de l'orgasme. Cependant, lorsqu'elle sent de fortes giclées de sperme au fond de son sexe, elle n'atteint pas totalement la jouissance, trop stressée par la peur d'être découverte.

Elle sent le sexe qui vient de la libérer, toujours dur malgré l'éjaculation, commencer à la caresser entre les fesses. Inès se dérobe. Elle préfère s'arrêter là dans ces circonstances, ce qu'elle fait bien car le second secouriste rentre à l'instant dans le poste. Inès a eu à peine le temps de remonter son slip de bain et elle n'est même pas certaine que cet homme ne l'ait pas vue nue. En tous cas, le sourire narquois qui accompagne son bonjour le lui laisse penser. Alors qu'elle se précipite vers la sortie, le second secouriste lui dit :

« Si vous avez l'occasion de revenir, nous serons prêts à vous donner ensemble nos meilleurs soins. »

Inès, avec un clin d'œil dont elle ne se serait pas crue capable, le remercie et prend prétexte de son retour de vacances imminent pour décliner sa proposition. Elle se dit alors qu'un coup rapide comme cela, avec pour eux le risque d'être surpris à tout moment, est vraiment parmi les meilleurs. C'est exactement ce que son amant lui chuchote à l'oreille en la quittant.

Elle retourne le plus discrètement possible à son parasol, pensant en chemin qu'elle ne connaît même pas le prénom de l'homme à qui elle s'est déjà donnée deux fois. Elle se dit qu'elle est vraiment une salope et qu'elle est peut-être même allée plus loin que ce que son mari espérait. Hugo, perdu dans sa lecture, ne s'est même pas aperçu de sa présence. Inès prend un mouchoir en papier dans son sac de plage et va alors dans une cabine voisine pour le placer dans son slip de bain. Elle a l'intention de rester encore un bon moment sur la plage et veut éviter de montrer un entre-jambe taché. A son retour, là encore, Hugo n'a rien remarqué. Il ne la questionne même pas sur son absence, si courte il est vrai.

Alors Inès a envie de garder pour elle seule cet intermède au poste de secours. Cette fois, ce n'est pas son mari qui l'a poussée et cela lui donne l'impression de l'avoir vraiment trompé. Elle se sent femme adultère et ça l'excite. Elle ne dira rien à son mari, qui sera un vrai cocu.

Plus tard, au sortir de la plage, Inès remet son soutien-gorge de maillot de bain et, pour rejoindre leur appartement très proche, se contente de se recouvrir d'une tunique quasi transparente, qui ne cache rien. En passant devant le poste de secours, elle ondule des hanches d'une façon trop marquée pour être involontaire. Son exhibition est à destination des deux secouristes qui sont sur le pas de la porte. Hugo, qui suit sa femme de près, pense que ces mouvements de séduction sont pour lui. Aussi, dès leur arrivée, se jette-il sur elle, sortant un sexe qui a bien durci pendant le trajet. Inès, qui ne veut pas que son mari puisse voir le mouchoir qu'elle a dans son slip et s'interroger, retire son slip et le jette au loin. Hugo prend cela comme le signal qu'elle a envie d'être prise immédiatement. Inès se rend compte de son erreur lorsque le sexe s'enfonce d'un coup dans son vagin. Hugo commence un coït rapide, mais s'arrête vite et se retire en disant :

« Mais tu es trempée, salope ! »

Inès essaie un pieux mensonge :

« C'est parce que j'en avais très envie. »

Hugo n'est pas dupe et il fouille alors de ses doigts le vagin de sa femme. Il les ressort gluants d'un sperme abondant, ce qui déclenche sa colère :

« Mais, tu viens de te faire baiser, salope ! Et tu ne m'a rien dit ! C'est contraire à tous nos accords... ça mérite punition ! »

Alors Hugo l'enfile de nouveau, avec plus de force. A chaque fois que son gland vient buter au fond du vagin, il met une grande claque sur une fesse d'Inès, qui crie sous le choc. Elle tente cependant d'arrêter sa souffrance par un second mensonge :

« Mais j'allais te le dire. J'attendais le bon moment. »

Rien n'y fait. Hugo continue de plus belle. Lorsqu'il éjacule en elle, les fesses de sa femme sont toutes rouges. Malgré cela, Inès accompagne la jouissance de son mari par la sienne et se demande si elle ne vient pas de découvrir un côté masochiste qu'elle ne se connaissait pas.

Très vite Hugo cherche à se faire pardonner de cette brutalité. Alors, il cajole Inès, la couvre de baisers, met une crème apaisante sur ses fesses endolories, puis suce doucement les lèvres de sa chatte. C'est le moment pour Inès de tout raconter, sans omettre le moindre détail. Pendant son récit, Hugo suce et lèche avec envie. En aspirant tout, il se délecte du mélange des deux spermes, celui de l'amant et le sien. Il se comporte comme le ferait un mari cocu et soumis. Cependant, Hugo veut vite reprendre sa domination, en disant :

« Tu ne referas plus jamais ça, n'est-ce pas? Tu me raconteras tout, tout de suite. »

Inès ne veut pas gâcher une relation exceptionnelle qui lui donne une telle liberté sexuelle. Aussi se sent-elle prête à rentrer pleinement dans le jeu de son mari, même si cela implique pour elle une certaine soumission. Elle finit par lui dire à l'oreille :

« Oui, je ne te tromperai plus. Je ferai tout ce que tu me demanderas... », ajoutant, au bout d'un long moment, dans un murmure :

« Je serai ton... esclave sexuelle. »

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... à suivre ...