Somnambulisme Simulé

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Un fils joue les somnambules pour baiser sa mère.
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Si je n'avais pas entendu cent fois, tout au long de mon adolescence, ma mère raconter à qui voulait l'entendre les crises de somnambulisme que j'avais connues enfant, je ne l'avais pas entendu une seule fois! Flatté tout d'abord, comme chaque jeune garçon qui voit ainsi l'attention d'autrui et les projecteurs braqués sur sa petite personne, je n'avais pas tardé à trouver assommante et en réalité infantilisante cette histoire sans cesse rabâchée.

Cette allergie à l'étalage de ce que j'avais fini par considérer comme une sorte de tare prit fin par un pur et heureux hasard.

Vivant seul avec ma mère depuis le départ de mon père alors que j'avais tout juste sept ans, j'avais toujours voué à ma génitrice une adoration sans limites. Attachement extrême qui ne s'était jamais démenti. Non que des sentiments troubles ne m'aient assailli à partir de mes quinze ans sur le plan sexuel, mais ceux-ci avaient toujours porté sur les femmes en général et Maman n'était pas pour moi une femme, c'était ma mère.

J'atteignis ainsi mes dix-neuf ans et mon entrée à l'université. Le moins que je puisse dire est que je n'avais pas été très en avance dans mon appréhension de la sexualité durant toute mon adolescence, puisque c'est à cet âge-là seulement qu'un de mes camarades de faculté finit par m'initier à la fréquentation des sites pornos du web. A partir de ce moment cependant, je rattrapai le temps perdu, et je commençai à passer des heures au visionnage de photos et de vidéos de femmes baisées ou se gougnoutant. Fait plus que troublant cependant, je pris peu à peu conscience que toutes ces femmes sans exception ressemblaient à ma mère par leur âge et leur physique. Je luttai un temps contre ce qui m'apparaissait comme une profanation, puis la force ma libido l'emporta. Je me rendis et finis par accepter la réalité : je fantasmai bel et bien sur la figure maternelle. Dès lors, je me branlai quotidiennement sans plus culpabiliser avec Maman pour seule image. Jupe relevée et cuisses écartées, elle se livrait à moi dans mes rêves humides...

Dans l'état de fébrilité où je me trouvais, les mots qui me venaient à présent à l'esprit pour désigner ses charmes n'avaient désormais plus rien de filiaux. Lorsque je la regardais à la dérobée, assise le soir à mes côtés sur le canapé devant la télévision, ce n'étaient plus sur ses seins, mais sur ses nichons, plantureux à souhait, que je laissais errer mon regard, ce n'était plus, durant la journée, ses fesses que je voyais onduler devant moi, mais son cul, un cul dont les courbes me faisaient bander rien qu'à l'imaginer déculotté, ce n'était plus la pensée de son sexe qui m'agitait en permanence, mais celle de la chaude humidité de sa chatte...

Hélas, j'étais bien sûr que jamais mes fantasmes ne pourraient se concrétiser, et que je demeurerais toujours désenchanté avec mes tristes obsessions, incapable de m'en défaire. Et puis un jour...

En naviguant sur le web, j'avais lu, principalement sur Literotica, des histoires d'inceste mère-fils de tout genre, mais rien qui me semblât de nature à pouvoir réaliser mon rêve. Aussi fut-ce pour moi comme une révélation divine lorsque je tombai par hasard sur un récit de fils atteint de somnambulisme et finissant par baiser sa mère excitée sans en avoir conscience au cours d'une de ses crises... Je ne tenais peut-être pas la solution à mon problème, ma mère ne se prêterait sans doute pas à mes assauts comme celle du garçon de l'histoire, mais au moins je pouvais tenter ma chance! Si je parvenais à jouer la comédie de façon convaincante, il me suffirait de faire semblant de renouer avec le trouble de mon enfance et... et ma foi on verrait bien! Je serais de toute façon couvert par mon « sommeil hypnotique »...

Il me fallait cependant préparer soigneusement mon affaire, et ce ne fut qu'au bout de plusieurs semaines que je me sentis en capacité de me lancer. Je devais bien sûr, pour abuser ma mère (... et de ma mère, pensais-je, le coeur battant), l'habituer à me voir pendant quelque temps retomber dans les crises de mon enfance, avec cette seule mais capitale différence que je me tiendrais à présent nu devant elle comme au premier jour... mais le sexe bandé et me branlant ouvertement. La seule difficulté, quand j'y pensais, serait de me retenir de gicler...

Durant deux mois, je m'arrangeai donc pour sortir le soir de ma chambre dans le plus simple appareil alors que je la savais éveillée, et pour faire craquer le plancher du couloir de façon à lui faire ouvrir la porte de la sienne. La première fois qu'elle me découvrit ainsi déambuler nu comme un ver, bras tendus et astiquant ma queue, en état apparent de transe comme dans mes premières années, je la vis porter sa main à sa bouche, affolée, mais son regard comme hypnotisé fixé sur la queue que je masturbais lentement . Dès lors, je sus que je tenais mon rôle. Elle ne soupçonnait rien et, selon toute apparence, n'avait pas été insensible à mon érection.

Le lendemain, au petit déjeuner, elle ne me dit rien de ce qui s'était passé la veille au soir, mais je remarquai le regard gêné qu'elle ne pouvait s'empêcher de porter, rougissante, sur mon entrejambes. Elle semblait bel et bien appâtée, mais je savais qu'il me fallait espacer mes prétendues crises si je ne voulais pas risquer d'éveiller sa suspicion. Je m'astreignis donc à respecter des intervalles de plusieurs jours entre mes exhibitions, qui devaient à tout prix continuer à paraître involontaires..

Vint enfin le soir où j'estimai que je pouvais jouer mon va-tout. On peut croire si ce jour-là mon cœur battait la chamade!

Cette fois, au lieu de continuer comme à l'accoutumée mes allers et retours dans le couloir en attendant qu'elle vienne assouvir son voyeurisme, je me dirigeai directement vers sa chambre et en ouvris la porte. Elle était dans son lit, les genoux relevés, en train de lire une revue qu'elle cacha précipitamment en me voyant entrer. Seule sa lampe de chevet était allumée et la lumière qu'elle diffusait dans la pièce donnait à la scène un caractère trouble et excitant. Je m'approchai du lit en me branlant, le regard absent, et je me penchai sur elle... Elle ne chercha pas à s'écarter... J'étais sûr d'avance que d'ici dix minutes, ce serait les cuisses qu'elle écarterait, rassurée par mon prétendu somnambulisme. La salope se disait manifestement qu'elle allait pouvoir désormais se faire régulièrement monter par un fils inconscient de ce qu'il faisait...

(à suivre)

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Anonymous
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2 Commentaires
titanic1865titanic1865il y a 3 jours

il aura une suite ou pas? pas comme les autres

AnonymousAnonymeil y a 7 jours

trop court

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