Les Encouragements de Maman

Ce texte est la traduction adaptée en français

de celui, rédigé en anglais par vinceh23 et intitulé « Mother helps ».

Mon fétichisme des culottes date de mes 18 ans environ, lorsque j'ai trouvé une culotte rose de ma mère dans le panier à linge sale de la buanderie alors que j'y jetais mon slip. Là, juste au-dessus, il y avait une culotte rose. Ce n'était pas la première fois que je voyais une culotte de ma mère, mais c'était la première fois que l'une d'elles éveillait en moi un trouble intérêt.

Je l'ai portée à mon nez, l'ai longuement humé et j'ai commencé à bander. L'entrejambe en était encore humide. J'ai pris en main ma bite palpitante et me suis masturbé avec volupté jusqu'à l'orgasme.

A ce moment, ma mère a frappé à la porte et m'a dit de me dépêcher, le dîner était prêt.

En toute hâte, j'ai remis la culotte dans le panier, me suis rajusté et suis monté.

Le lendemain, j'ai regardé s'il y avait d'autres culottes dans le panier, mais il était vide et la machine à laver tournait. J'allais devoir attendre un jour ou deux.

Quelques jours plus tard en effet, il y en avait deux nouvelles. Je me suis masturbé dans l'une pendant que je portais l'autre à mes narines. J'ai recommencé ainsi toute la semaine.

Quand je suis rentré du lycée, un soir, ma mère était assise sur le canapé en train de lire un livre. J'ai remarqué le titre « Fétiches et adolescents ».

Je me suis retourné pour aller dans ma chambre et ma mère m'a demandé de revenir lui parler dès que j'aurais rangé mes affaires.

De quoi traitait ce livre? me demandais-je. Je n'avais aucune idée de ce qu'était le fétichisme. Depuis le départ de mon père, la tâche de m'élever avait entièrement dépendu de ma mère. La lecture de ce livre devait faire partie de son programme d'éducation.

Quand je suis revenu dans le salon, ma mère a posé le livre et m'a demandé comment s'était passée ma journée. Nous avons discuté pendant un moment puis elle m'a demandé si je savais ce qu'elle lisait. J'ai répondu que non, mais je me doutais que si elle avait besoin de lire des articles sur les adolescents, c'était à mon sujet.

"Sais-tu ce qu'est un fétiche?", m'a-t-elle demandé?

Je lui ai dit que je n'en avais aucune idée et je lui ai demandé ce que c'était.

"Eh bien, il s'agit d'un attachement sexuel, généralement à un vêtement porté par une autre personne, le plus souvent du sexe opposé", m'a-t-elle répondu.

J'ai rougi. Je savais maintenant que ma mère savait que je me masturbais dans sa culotte.

"Tu sembles avoir un fétichisme pour mes culottes, Serge. J'en ai encore trouvé une ce matin tachée de ton sperme. Aimes-tu te masturber dans mes culottes, mon chéri?"

Le cœur battant, je priai silencieusement pour qu'elle arrête son interrogatoire, mais elle a insisté :

"Est-ce que tu aimes te masturber dans mes culottes? Oh, je sais que oui. Il n'est pas difficile de le dire quand on les voit toutes collantes de sperme ou sèches et raides. Dis-moi ce que tu aimes chez elles. Nous pouvons en parler. »

Je me tortillai, horriblement gêné.

"Chéri, a-t-elle dit, je ne suis pas en colère. Je veux juste savoir. C'est leur odeur? Une femme a une odeur qui est censée donner envie aux mâles de s'accoupler avec la femelle. C'est le plan biologique pour la continuation de l'espèce. C'est peut-être pour ça que tu aimes te masturber dans ma culotte?"

Je suis assis là, tout excité, ma bite raidie rien qu'à entendre le mot culotte. Ma mère est assise en face de moi le chemisier ouvert, laissant apparaître ses seins. Elle se penche en avant et ses jambes s'écartent. La pièce est suffisamment éclairée pour que je puisse voir jusqu'à sa culotte. Sa culotte rose. Je suis tellement excité que je ne peux que regarder. Ma mère le remarque et dit :

"Ce sont tes culottes préférées, les roses n'est-ce pas?"

Je murmure, honteux : « Oui... »

Elle écarte un peu plus les jambes pour que je puisse mieux voir et dit!

"Regarde bien mon chéri... »

Je suis hypnotisé par ce spectacle, incapable même de penser, haletant. Je bande sans me toucher, ma respiration s'accélère, mon visage vire au cramoisi..... et je gicle, incapable de me retenir

"Lève-toi et approche-toi, mon coeur", commande ma mère. Fais-moi voir ce qui s'est passé. Tu as joui dans ton pantalon?"

Cette fois encore, je ne peux que murmurer un timide oui. Je me tiens devant ma mère, tremblant et la tache sombre qui s'étend sur mon jean témoigne de mon manque de contrôle... ou d'une preuve du pouvoir que la culotte de Maman a sur moi.

"Enlève ton pantalon, Serge. Ton caleçon aussi. MAINTENANT!"

Elle passe sa main sous sa jupe, qu'elle relève jusqu'à la fourche. Je n'en crois pas mes yeux! Le souffle coupé, je la vois ôter sa culotte rose et la porter à mon nez pour que je la renifle. Pour la première fois je vois sa chatte entre ses cuisses écartées. C'en est trop! Ma queue se dresse à nouveau, impérieuse, pendant que j'enlève mon jean et mon caleçon.

"Je veux te voir te masturber, mon chéri. Montre-moi comment tu fais avec ma culotte."

Je ne suis plus en état de dire quoi que ce soit et c'est sans un mot que j'enroule soigneusement l'entrejambe humide de sa culotte sur ma bite turgescente et commence à me branler, les yeux rivés sur le con maternel. Je respire de plus en plus rapidement, mes jambes s'affaiblissent et c'est les yeux exorbités que je gicle, nu comme au premier jour devant elle qui sourit...