Solange

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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Il défit encore deux boutons et il écarta les pans du corsage de Solange. Le soutien gorge lui apparut presque totalement. Il admira le spectacle des ces rondeurs sanglées dans leur écrin et il fit glisser le corsage à terre. Solange ne bougeait pas, haletante elle attendait que son amant prenne les initiatives. A son age et avec son éducation, Solange n'était pas du genre à se mettre nue spontanément, mais elle se laissait faire, comme on lui avait appris dans sa jeunesse. Les mains de Jérémy s'affairaient derrière le dos de Solange, il trouva le zip de la jupe qu'il ouvrit et qu'il fit tomber à ses pieds. Dans la glace, il admira une femme d'age en dessous un peu surannés, en plus du soutien gorge il admira la culotte gainante également noire qui maintenait son ventre et lui modelait les fesses. Depuis un moment il pressait sa bite contre les volumes généreux de ses globes fessiers et il en admira la rondeur. Il aima par-dessus tout la gainette un peu fantaisie qu'elle avait enfilée par-dessus la culotte et qui maintenait ses bas eux aussi assortis au soutien gorge et à la culotte. La gainette soulignait des hanches larges et prononcées. Jérémy promena ses mains sur ses formes tout en admirant dans la glace la progression de ses phalanges. Solange restait la, immobile, les yeux clos, attendant le bon vouloir de son amant qui aurait pu, O horreur, être son fils!

En même temps qu'elle y pensa, elle ne put s'empêcher de frémir et de lâcher une plainte en même temps. Jérémy s'enquit d'elle : « Tu as mal? Que se passe t il? »

« Rien, rien » Souffla t elle doucement en baissant les yeux. Jérémy regardait son reflet dans la glace, essayant d'interroger son double, mais Solange garda les yeux baissés.

« Tu as honte de ce que nous faisons? » Glissa t il à son oreille. « Tu veux que j'arrête? »

Elle lui fit non de la tête, toujours la tête basse.

« Solange, regarde moi. »

Elle releva la tête et croisa son regard dans le miroir.

« De quoi as-tu honte? »

Elle rougit mais se mordit les lèvres.

« Allons dis le moi! Je ne veux pas que tu aies des pudeurs ou de cachotteries envers moi. Je veux tout savoir de toi mon amour! Je veux connaître les moindres replis de ta peau, jusqu'au fond de ton vagin. »

Le visage de Solange devint pourpre. Jérémy la força à le regarder dans les yeux :

« Allons, dis moi ce à quoi tu pensais à l'instant quand tu as gémi? »

« Je....je....je me disais que tu pourrais être mon fils! »

Jérémy eut un choc à son tour qui le ramena deux jours avant quand il avait réalisé que Solange était plus âgée que sa propre mère.

Il approcha sa bouche de son oreille et il lui murmura doucement : « Tu aimes cette idée? »

Solange ouvrit de grands yeux, Jérémy l'entoura de ses mains et lui câlina les seins, « Allons, réponds moi franchement. »

« Oui! »

Le cœur de Jérémy fit un bon dans sa poitrine. Il embrassa fougueusement le cou de Solange tandis qu'il pétrissait ses seins à travers le soutien gorge. Elle se laissa aller contre lui en murmurant des « Mon chéri, mon chéri! »

Jérémy n'y tenait plus, sa bite bandait à lui en faire mal, il n'avait qu'un but la fourrer dans le vagin humide Solange et la bourrer jusqu'à ce qu'il se vide dans son ventre et qu'il libère en elle toute sa force. Il se calma peu à peu, il se reprit, il la prit dans ses bras, la serra fort contre lui et l'embrassa plus fougueusement encore. Quand il la libéra il lui murmura à son tour à l'oreille :

« O maman! »

Ce fut elle alors qui le serra contre son corps à moitié nu.

Ensemble ils tombèrent sur le lit, Jérémy écarta la culotte de Solange en pestant contre ce genre de ceinture de chasteté. Sous lui elle ne disait plus rien, les yeux perdus au plafond elle l'entendait râler et tirer sur le lycra élastique pour dégager son sexe qu'elle avait honte d'avoir si humide.

Il parvint en tirant assez fort à descendre un peu la culotte libérant ainsi l'entre jambe et lui permettant de glisser son membre vers sa fente. Comme un noyé trouvant sa bouée de sauvetage juste avant de couler, il s'introduisit en elle sans attendre, investissant son vagin d'un gland brutal qu'il poussa jusqu'au fond de ses tripes en murmurant « Maman, maman! »

Jérémy sentait le souffle saccadé de Solange qui haletait sous lui, il baissa les yeux vers elle tout en lui donnant des coups de bite bien profonds.

« O maman, dis moi que tu aimes ma bite! » Murmura t il à son oreille.

« Oui! Oui! Oui! » Répondit elle au rythme de sa queue qui labourait son ventre.

Jérémy se déchaîna. Sans soucis de sa partenaire il lui écarta les cuisses en grand, il la plaqua sous lui, l'agrippant aux épaules il lui assena des coups de reins puissants qui firent hurler Solange. Et plus elle hurlait, plus ses reins allaient comme une machine devenue folle.

Sans plus attendre il fut parcouru d'un long frisson et ses jets de sperme furent comme un feu d'artifice dans le ventre de Solange. Il fut parcouru de secousses nerveuses et il se vida au fond du ventre offert à son désir.

Ils restèrent longtemps soudés l'un à l'autre, ce fut Solange qui demanda grâce la première, car elle étouffait sous Jérémy. Il roula sur le coté et regarda le corps fatigué de Solange, les seins encore bien sanglés dans son soutien gorge. Il lui revint l'idée de la crème, il voulait lui masser encore les nichons, voir darder ses tétons, sentir ces masses élastiques durcir sous ses doigts.

Il se lève, il va chercher le tube de gel, il fait lever Solange, il la replace devant l'armoire à glace, il se glisse derrière elle après s'être enduit les mains de crème, il glisse les mains sous les bonnets du soutien gorge et il masse les seins de Solange. Elle gémit, elle se tortille, elle voudrait se soustraire, soustraire ses seins à ses picotements et ces échauffements si désagréables, si inconfortables et qui vont la poursuivre toute la journée! Jérémy a mis une bonne couche de crème urticante sur ses mains, il masse profondément les deux nichons qu'il sent réceptifs et qui se gorgent de sang pour lutter contre l'échauffement, ils enflent, ils enflent, les tétons sont durs, érigés, ils ont doublés de taille, ils sont sensibles à l'extrême, tirant à Solange des plaintes quand il s'attarde à les faire rouler sous ses doigts.

Elle ne résiste pas, elle laisse faire l'homme comme on lui a appris il y a si longtemps, elle est au bord de la souffrance mais elle livre son corps à Jérémy qui pelote durement ses seins.

L'échauffent est maximum, Solange est rouge pivoine par la chaleur et par l'excitation, elle offre ses nichons brûlants, devenus si sensibles qu'elle n'est plus que râles et jouissance. La chaleur se propage dans les mains de Jérémy, il se dit qu'il a du mettre trop de crème car ses mains lui chauffent elles aussi.

Solange a eue des orgasmes multiples, elle a crié à la fois de douleur et de jouissance, elle est pantelante sous ses mains, elle supplie de la laisser. Il a pitié d'elle, il l'allonge sur le lit, il contemple ce corps étendu, ses seins tendus et rouges. Solange gémit, elle ne sait trop si elle doit se gratter la poitrine ou laisser faire malgré les picotements désagréables.

Jérémy disparaît dans la salle de bains, il revient avec un gant de toilette et une bassine d'eau fraîche. Il dégrafe le soutien gorge de Solange, le lui enlève, il est un peu effrayé par le volume qu'ont pris les seins et par leur rouge écarlate. Doucement il passe son gant imbibé d'eau fraîche sur les masses congestionnées. Solange semble apprécier l'apaisement apporté par l'eau fraîche. Peu à peu les picotements s'estompent, elle retrouve la sérénité sous la caresse du gant de Jérémy et elle finit par s'endormir, terrassée par l'émotion.

Jérémy la regarde dormir, son opulente poitrine se soulève au rythme de sa respiration. Elle est moins congestionnée maintenant, moins rouge, sans doute un peu moins dilatée aussi mais elle demeure forte, plus grosse que ce matin quand il est arrivé.

Il sourit, il mesure sa chance et son emprise sur Solange qui se laisse peloter avec la crème miracle à faire grossir les nichons. Il va lui falloir acheter d'autre soutiens gorge, machinalement il regarde la taille du soutien gorge de Solange, 105 bonnet E. Il repose le sous vêtement, et se dit qu'elle devra porter du bonnet F ou G dans l'avenir.

Il sortit de la chambre sans bruit et commença à travailler un peu dans la maison. Il entreprit de remettre en place la chambre de Solange, sa commode, son lit etc... Il fut tenté d'ouvrir les tiroirs de la commode, il se laissa tenter, timidement il tira sur un tiroir qui s'ouvrit sans peine. Il contenait des papiers divers qu'il ne s'attarda pas à consulter. Le second était plus intéressant car il découvrit sa lingerie, en tout cas en partie : il y avait la des combinaisons soyeuses, des culottes en tout genre, ses gaines et ses combinés. Il regarda avec émotions, il laissa traîner ses doigts sur le tissu soyeux et il referma bien vite pour ouvrir celui du dessous où il trouva les soutiens gorges de Solange.

Il regarda avec émotion, poussant le vice jusqu'à soulever un peu et bousculer le petit linge de Solange. Soudain il trouva tout en dessous un objet dur qu'il attrapa de sa main pour le ramener à lui. Un godemiché! Solange a un godemiché! Jérémy n'en revenait pas! Il regarda l'engin avec précision, et il ne put s'empêcher de le comparer à son sexe, mais son sexe était au repos et il en fut frustré. Il remit le god à sa place et il finit de ranger la chambre.

Comme elle dormait toujours, il prépara le repas.

Assis dans la cuisine, Jérémy épluche des pommes de terre, il rêve en même temps, il repense à ce main où Solange lui a avoué sa pensée intime, l'envie d'un fils comme lui. Il sent qu'il rebande, il se sent l'homme le plus fort du monde, le plus habile et le plus persuasif, il fera de Solange ce qu'il voudra, il le décide la, assis à la table de cuisine alors qu'il lui prépare le repas de midi. Elle sera sa chose, il lui fera enfler les nichons et il lui fera porter ce qui lui fera envie : des dessous sexy de pute, elle va devenir sa pute, sa maman et sa putain.

Il imagine sa vie à partir de maintenant, Solange en fait partie bien entendu, il va l'initier à son érotisme, à ce qui le fait bander, et il bande rien que d'y penser.

Jérémy rêve dans la cuisine de Solange tout en préparant le repas de midi, il n'a pas la notion du temps, il est perdu dans les rêves érotiques.

Sait il d'ailleurs où il est? Est il conscient? A-t-il vu Solange qui l'observe depuis le seuil de la cuisine?

Appuyée au chambranle de la porte elle le voit faire, elle suit ses gestes avec attendrissement, elle le voit concentré sur sa tache, un vague sourire court sur ses lèvres.

Solange rêve aussi.

Il est si jeune!

Jipai
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Anonymous
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7 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

C’est presque du vécu

JipaiJipaiil y a plus d’un anAuteur

Anonyme qui es-tu?

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

SUPERBE

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Très bien mais pas assez d'echanges, comme le passage où il lui parle comme ci elle était sa mère, sinon j'ai beaucoup aimé

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
Très belle histoire

Une très belle histoire, pleine de tendresse et de sensualité et de respect de l'autre. Ils ont laissé libre cours à leurs envies et désirs qui se complètent.

OlivX

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