Solange

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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Sans attendre il se défit de son pantalon, de sa chemise puis ses dessous volèrent dans la chambre avant qu'il ne tombe sur Solange, la couvrant de son corps musclé. Elle eut un soupir en même temps qu'un petit cri de surprise. Jérémy était lourd pour Solange mais elle acceptait le poids qui l'écrasait.

Il sentait le tissu soyeux du combiné qui excitait ses sens, la dentelle des bonnets du soutien gorge agaçait délicieusement sa poitrine. Sa main se mit à pétrir la chair fanée de Solange, ses cuisses replètes, un peu grasses qu'il ouvrit sans trop la ménager. Elle se laissa faire, lui facilitant l'exploration de l'entre cuisses et enfin le mont de Vénus bombé encore caché sous le lycra de sa culotte. Ses doigts s'insinuèrent sous la dentelle, découvrant des poils pubiens déjà un peu collés par la cyprine. Il s'amusa intérieurement de l'excitation de la vieille dame, ainsi, même à son age avancé elle pouvait avoir des flambées de désir? Jérémy se promis de lui donner tout le plaisir dont il était capable.

Il essaya de dégager les seins de leur nid douillet mais les bonnets remontants l'empêchaient de parvenir à ses fins, il fit glisser le zip du combiné qui heureusement se défaisait par devant et parvint à faire jaillir ses seins hors du soutien gorge.

Avec avidité il se mit à téter les mamelons encore un peu mous. Bien vite il sentit la chair durcir sous ses lèvres et sa langue, il en fut satisfait, dans le même temps Solange commençait à gémir sous lui.

Pendant que Jérémy lui suçait les nichons, elle sentait des vagues de frissons remonter de son ventre jusque dans sa poitrine et irradier dans ses seins qui peu à peu se gorgeaient de sang, durcissants et gonflants sous les caresses.

Dans le même temps, la main de Jérémy lui palpait l'entre jambe après qu'il eut fermement ouvert ses cuisses. Il écarta la culotte, cette fois avec plus de facilité que la veille et il dénuda sa fente. Sans attendre il prit sa bite en main et la guida vers le vagin de Solange.

Elle poussa un cri quand elle ressentit le premier coup de rein de Jérémy qui de son gland, lui ouvrait les chairs, un cri de vierge prise et surprise de se sentir ouverte, affolée de la grosseur du membre qui la convoite et qu'elle ne pense jamais pouvoir accueillir en elle. Elle le regardait, hébétée de son audace, et de sa propre folie.

Jérémy serrait les dents, concentré sur sa bite qui cherchait le passage. Il redonna un autre coup de rein et les lèvres intimes de Solange cédèrent dans un grand râle et une tension de tout son être. Jérémy ressentit cette secousse comme une victoire, il raffermit sa prise autour des épaules de Solange et poussa son gland dans le ventre de la vieille femme. Le chemin humide facilita l'intromission de Solange qui sentit soudain son vagin envahit par le pieu de chair brûlante. Instinctivement, ses muscles vaginaux réagirent en se resserrant autant du membre qui s'enfouissait jusqu'à la garde.

Elle râla les yeux clos, vaincue, sans force, ne voulant pas lutter contre ce bonheur si inattendu, elle abandonnait son corps à celui qui l'avait prise.

Jérémy se mit à la besogner par de longues ondulations de son bas ventre qui amenait en elle des vagues de plaisir. Complètement relâchée, Solange savourait cette queue de près de quarante ans plus jeune qu'elle et qui labourait son ventre. Une queue vigoureuse qui semblait avoir une résistance sans limite sans jamais fléchir.

Jérémy haletait sur son ventre, il accélérait ses coups de bite, tapant à chaque coup de reins au fond du vagin de Solange, lui barattant l'utérus de son gland furieux. Il lui faisait vaguement mal au fond du ventre, un utérus de soixante dix ans passé n'est pas malmené avec vigueur sans protester. Les organes eux aussi vieillissent et nos apparences ne sont que le reflet de nos intérieurs. Cependant Jérémy n'en avait cure, il était loin de ces considérations, seul comptait la sensation merveilleuse de sa bite glissant dans le vagin de Solange, ses muscles qui serraient la hampe frémissante, parcourue d'ondes de plus en plus électrisantes et qui le poussait vers la jouissance.

Et Jérémy besognait Solange, elle était inerte sous lui, juste gémissante sous ses coups de reins. Il lui vint à l'esprit le souvenir de Marion, sa dernière compagne, une jeune gazelle de dix ans sa cadette et qu'il emmenait si souvent au septième ciel. Il se remémora le plaisir qu'il avait à la saillir, la prendre et lui enfoncer sa bite dans le vagin. Il se souvenait ses contorsions sous lui, son corps de liane qui se refusait, qui se tortillait comme un poisson sorti de l'eau, et puis, une fois prise, il se souvenait comment elle ondulait, comment elle s'offrait, repliant ses cuisses souples autour de ses reins pour le retenir, et puis ses cris quand venait l'orgasme, les vibrations qui s'emparaient de son corps quand elle le retenait en elle.

Solange n'avait rien d'une jeune gazelle! Elle était la sous lui à haleter à chacun de ses coups de reins, elle gémissait un peu plus quand il tapait fort au fond de son ventre. Marion n'avait pas ces problèmes d'utérus, elle acceptait que sa bite la défonce en malmenant ses organes. Il se rappelait aussi ses seins durs qui dardaient fièrement, de petits seins de femme n'ayant pas encore enfanté, mais avec des tétons gros et réactifs qu'il aimait voir érigés. Il se souvenait que ces petits seins faisaient un peu le désespoir de Marion, elle les aurait aimé plus gros. Ensemble, ils avaient regardé sur internet s'il se vendait des produits pour faire grossir les seins. Ils avaient trouvé une crème qu'il aimait lui appliquer sur ses petits nichons, cette activité était une source d'érotisme sans fin. Il s'enduisait les mains de crème et il venait lui masser les seins par derrière. Bien vite il la sentait se tendre, et ronronner contre lui. Ses seins enflaient, ses tétons saillaient et cela se finissait toujours de la même manière, sur le lit.

Tout en se remémorant ces moments, Jérémy bandait de plus belle, entre Marion sa jeune pouliche et Solange, la femme mure aux appâts défraîchis. Sa bite allait et venait de plus en plus vite, il allait décharger bientôt, il le fallait, il avait un travail à accomplir, il ne pouvait pas passer sa journée à baiser Solange.

Il se cambra fortement et planta sa queue au fond du ventre de Solange, appuyant fort sur l'utérus ce qui provoqua un cri de Solange, et il se laissa aller à des spasmes nerveux, des vagues de jouissance qui venaient en nombre et semblaient ne jamais finir. Son sperme se répandit en elle, brûlant et épais il enduisait son col d'une onctuosité chaude.

Son sexe cracha un dernier jet et il se retira d'elle tandis qu'elle restait la, inerte sur son lit, les cuisses écartées, sa toison pubienne engluée de sa cyprine et de la semence de Jérémy.

Bien vite il se rhabilla et il se mit à sa tâche. Pour rattraper le temps perdu, il travaillait vite, s'efforçant d'oublier leur séance du matin. Mais les souvenirs lui revenaient en rafales, mêlant Marion à Solange, il les comparait, bien qu'il n'y eut à priori pas de comparaison possible entre Marion la jeune passionnée et Solange une vieille dame bien comme il faut, mais quand même acceptant bien ses hommages. Jérémy était fasciné par ses seins, il avait toujours aimé les gros seins mais jamais il n'avait trouvé de femme possédant une opulente poitrine. Avec Marion il avait bien essayé de lui faire grossir les nichons, mais le résultat avait été assez décevant. Cette crème avait eue relativement peu d'effet, faisant gagné à Marion qu'une taille de soutien gorges. Bien sur Solange était bien mieux pourvue, c'était la le résultat conjugué de l'age et de l'embonpoint, ajouté au fait qu'elle avait été mère deux fois, cela marque une femme et transforme son corps.

Cependant Jérémy se mit à rêver de l'effet que sa crème pourrait avoir sur les seins de Solange. Un sourire apparut sur ses lèvres, Solange avait certes de gros seins mais c'étaient des masses molles, Jérémy se dit que son plaisir serait bien plus grand si les nichons de Solange étaient plus fermes. Il se promit de ramener la crème qu'il avait chez lui et d'essayer d'appliquer un petit traitement aux mamelles tombantes de sa nouvelle conquête.

Elle vint le chercher pour le déjeuner, elle s'était rajustée et Jérémy loucha encore sur cette poitrine rendue arrogante par le port d'un soutien gorge de maintien efficace et qui donnait à Solange une silhouette tendue du haut et cambrée du bas. Il admira aussi sa croupe ronde enfermée dans le combiné qui effaçait en même temps une grande partie de son ventre.

Ils déjeunèrent gaiement, Solange le félicita pour sa performance du matin, lui assurant qu'elle n'avait jamais joui ainsi sous un homme. Il lui souriait, ils étaient heureux d'être l'ensemble, porteurs d'un secret qui n'appartenait qu'à eux. Jérémy lui dit son goût pour les fortes poitrines et la complimenta sur ses seins. Solange rougit, elle lui assura que dix ans avant leur rencontre, sa poitrine se tenait encore très bien. Jérémy lui assura qu'elle était encore bien tenue mais lui suggéra un petit traitement. Solange parut intéressée, Jérémy lui promit de s'en occuper dès le lendemain.

Ils prirent le café au salon, Jérémy défit sa braguette et demanda à Solange de lui faire une pipe. Elle s'acquitta fort bien de la besogne pendant qu'il sirotait son café, elle se pencha pour le prendre en bouche et le pompa jusqu'à ce qu'il éjacule. Il lui maintint la tête sur son sexe et elle but son sperme jusqu'au dernier spasme.

En se relevant elle lui sourit en lui assurant qu'elle avait aimé le goût de son sperme.

Il ne se passa plus rien entre eux ce jour la, Jérémy se forçant à la concentration sur son ouvrage, il avança bien mieux qu'il ne l'aurait cru et le soir le travail était pratiquement fini.

Il quitta la maison de Solange le cœur léger se promettant pour demain d'autres plaisirs.

Quand il revint au matin suivant, Jérémy fut reçu par une Solange déjà fort excitée. Du premier coup d'œil, il vit qu'elle avait pris soin de remonter ses seins en raccourcissant les bretelles de son soutien gorge. Ses mamelles dardaient à faire craquer son corsage. Il lui ordonna de se défaire du dit corsage et de se mettre face à la grande glace de son armoire. Pendant ce temps, Jérémy s'enduisait copieusement les mains de sa crème qu'il avait retrouvée avec plaisir dans le tiroir de sa table de nuit. Il s'approcha de Solange par derrière, guettant ses moindres émotions dans la glace en face de lui. Il introduisit ses mains par les cotés du soutien gorge et glissa par en dessous pour prendre les nichons de Solange en coupe, puis il massa doucement la chair molle. Solange se laissa faire, les yeux déjà clos, elle goûtait les mains de son amant lui palpant les seins. Mais bientôt elle sentit une chaleur vive au niveau de ses globes mammaires, au fur et à mesure que Jérémy les lui massait, elle sentait cette chaleur monter de façon irrépressible au point de lui chauffer tout le torse. Au début, l'effet était agréable et somme toute excitant, mais bientôt la sensation de chaleur s'accentua et fut accompagnée de picotements dans tout le sein. Elle gémit, elle voulut se dérober mais Jérémy la tenait fermement et elle dut subir cette chaleur picotante de plus en plus intense. Ses tétons semblaient particulièrement sensibles au produit, elle les sentit devenir tout durs en même temps que leur volume doublait, en tout cas elle en eut l'impression. Jérémy ne ralentissait pas son massage, il y allait des deux mains dans le soutien gorge de Solange, massant et massant encore, faisant pénétrer la crème dans la chair blanche et élastique des nichons de la vieille femme. Sous ses doigts, il sentait la chair devenir plus ferme de minutes en minutes et il en fut ravi. Le sang affluait dans les mamelles, les faisant durcir et enfler. Solange continuait à se tortiller en gémissant que ses seins la picotaient. Jérémy lui assurait que ce n'était que passager et qu'elle devait se laisser masser encore.

Il la pelota ainsi durant une bonne demie heure, Solange passa par tous les stades de la confusion, d'abord ses seins la picotèrent, mais Jérémy la massa de telle façon que les picotements s'estompèrent et que la chaleur fut le seul effet qu'elle ressentit. Sous les doigts de Jérémy, ses nichons lui semblaient durs comme du bois, ses tétons érigés avaient doublé de volume et décuplés de sensibilité, tant et si bien qu'au bout de l'exercice, Solange pantelait entre les mains de Jérémy. Elle avait déjà joui deux fois rien que par les seins et sa culotte était trempée sous elle.

Jérémy lui défit son soutien gorge qui tomba à ses pieds. Il n'en crut pas ses yeux, les seins de Solange dardaient de façon insolente, énormes, et rougis par la crème urticante, ses tétons si modestes auparavant, jaillissaient de ses globes comme des doigts levés, et avaient triplé de volume. A la vue de ce résultat, Jérémy banda de plus belle, le produit avait eu bien plus d'effet sur Solange que sur Marion. Il finit de déshabiller Solange et il la bascula sur le lit, la voyant nue pour la première fois. Ce corps vieilli et dodu l'excita au plus haut point : les seins qu'il avait excité tenaient bien mieux que la veille, le ventre rond lui fit penser à une femme enceinte. Il eut une sauvage envie d'elle et il s'abattit sur Solange après s'être défait de tout ses vêtements. Il la chevaucha, lui imposa d'écarter ses cuisses et son gland furieux chercha sa voix entre les cuisses ouvertes. Contre sa poitrine, il sentit les tétons durs et il les agaça de ses poils. Solange gémit de plus belle quand elle sentit le gland ouvrir la route de son ventre et se planter dans sa chair profonde. Elle râla quand Jérémy se mit en devoir de la besogner. Ses seins se tenaient droits presque insensibles aux coups de rein qui la veille les faisaient onduler sur sa poitrine. Jérémy contemplait son œuvre tout en baisant Solange, de beaux seins bien fermes presque rigides qui dardaient fiers et rougeauds. Il ne s'attarda pas et accéléra la cadence, affalé sur Solange il n'écoutait pas ses plaintes quand il lui barattait l'utérus de son gland dressé. Il sentit monter le sperme le long de sa queue et il se déversa en elle à longs jets de foutre qui lui inondèrent le vagin.

D'un dernier coup de bite il la cloua sur le lit dans un râle de plaisir et de douleur. Puis il se leva et se rhabilla pour finir son chantier.

Longtemps, Solange resta la sur le lit, troublée par ce qui venait de se produire, son bas ventre encore sensible ressentant le passage de la queue de Jérémy et la poitrine en feu sous l'effet de cette crème qui lui faisait darder les nichons. Toute la matinée elle en ressentit les effets, elle se rhabilla pourtant à son tour mais elle avait du mal à supporter le soutien gorge qui lui marquait trop les seins et surtout elle sentait ses tétons frotter rudement contre le tissu et qui s'agaçaient sous son corsage. Elle en accepta l'inconfort et finit par oublier tout cela, seule l'impression d'avoir enflé de la poitrine demeurait, elle ressentait nettement que le bonnets serraient un peu plus ses globes.

A midi elle en fit part à Jérémy, il lui confirma que ses seins étaient plus gros et plus consistants aussi quand il lui palpa le corsage. Ensemble, ils déjeunèrent et comme la veille, Jérémy lui demanda de le sucer après le repas.

Après ce petit exercice, il reprit son boulot qu'il termina en fin d'après midi. Il appela Solange pour qu'elle se rendre compte du travail produit, elle le félicita en lui promettant d'autres chantiers a venir. Jérémy lui sourit, conscient que ces paroles n'étaient pas veines et qu'il tenait la une source important de revenus.

Il lui promit de revenir le lendemain, juste pour la matinée et l'aider à remettre tout en place dans sa chambre nouvellement repeinte et retapissée. Puis il s'en alla comme la veille et Solange en eut comme un vague à l'âme.

Dans la soirée, la chaleur due à la crème de Jérémy avait totalement disparue, ses seins demeuraient fermes cependant et elle en conçut une certaine fierté, le soir devant sa glace, quand, ce mettant de profil elle vit ses seins darder fièrement. Elle constata que ses tétons aussi avaient pris du volume. Elle les palpa avec délicatesse et en trouva la chair beaucoup plus ferme, elle frissonna longuement à ses attouchements et pour la première fois depuis bien longtemps, Solange eut envie de se masturber. Se glissant bien vite entre ses draps, elle se laissa aller au plaisir que lui donnaient ses doigts et elle frissonna les yeux clos sous sa couette.

Jérémy dormit d'un sommeil lourd et réparateur, le sommeil de l'homme comblé, aux rêves éphémères oubliés dès que les paupières s'entrouvrent.

Le petit matin le trouva triomphant, la bite en l'air, arrogante et surtout endurante. Rien que la pensée de Solange le mis dans un état d'érection incontrôlable, qu'il ne songea d'ailleurs pas à contrôler!

Il se prépara à la hâte, impatient de voir arriver l'heure du départ.

Chez elle Solange se réveilla après une nuit paisible, elle fut surprise de trouver ses seins encore enflés, certes l'impression c'était atténuée, la chaleur de la crème c'était estompée mais ses seins demeuraient fermes et ses tétons encore érigés. Elle gloussa de se sentir plus jeune, plus femme, plus désirable aux yeux de Jérémy.

Après sa toilette, elle choisit son soutien gorge avec soin, dans sa commode, elle en avait un plein tiroir, des en dentelles, des plus sages, de plus petits et aussi de plus grands, elle aimait garder ses dessous même si elle ne les portait plus, ils étaient comme des souvenirs cachés dans ses tiroirs. Ce matin elle eut du mal à faire son choix, ses soutiens gorge étaient ajustés et il y en avait guère qui eussent des bonnets de taille suffisante. Elle trouva néanmoins un soutien gorge noir dont le dessus des bonnets était en dentelle. Elle avait acheté celui-ci quelques années plus tôt alors qu'elle forcissait beaucoup. Enticipant son grossissement, elle avait acheté deux soutiens gorge de taille supérieure à ce qu'elle avait l'habitude de porter. Et puis elle avait suivit un régime, et son corps avait pris peu à peu sa forme actuelle sans plus trop bouger. Ses soutiens gorges étaient restés la au fond de son tiroir et aujourd'hui elle était heureuse de les retrouver, les bonnets lui prenaient bien les seins sans les comprimer et sa poitrine était triomphante. Elle eut moins de mal à choisir une culotte gainante noire aussi, une des ces culotte qui lui moulaient les fesses et effaçaient un peu son ventre en remontant bien jusque sous la poitrine. Elle jugea qu'avec cette culotte elle n'avait guère besoin de gaine, elle se contenta d'une légère gainette à laquelle elle accrocha ses bas.

Son corsage lui semblait aujourd'hui un peu juste, il lui comprimait la poitrine et les boutons semblaient au bord de céder, elle en trouva un qui lui donnait moins cette impression et enfin elle enfila sa jupe. Elle se maquilla soigneusement, sans doute un peu trop de far et de rouge à lèvres ou de far à paupières mais bon.

Voila, elle était prête à recevoir Jérémy.

Quand celui-ci sonna, elle lui ouvrit si rapidement qu'il avait encore le doigt sur la sonnette. Il s'engouffra chez sa maîtresse et ils s'étreignirent dans le vestibule sans même aller plus loin. Jérémy sentait ses seins devenus durs qui se pressaient contre sa poitrine et il banda aussitôt.

Il l'entraîna jusqu'à sa chambre, elle se laissa conduire, le poignet fermement tenu dans la main de Jérémy. Comme la veille il la planta devant le miroir de l'armoire et se mettant derrière elle, il admira ses seins majestueux sanglés dans le solide soutien gorge de maintien qui tenait fermement la chair tendre des nichons. Il vit son corsage soulevé par les globes, les boutons prêts à céder. Par jeu il en fit sauter un, puis un second. Le soutien gorge lui apparut, rond et gonflé, les bonnets pleins, les coutures tendues et les bretelles comme des haubans, larges et satinées, il faisait rebondir les seins de Solange. Jérémy contempla le spectacle de cette poitrine fabuleuse dont il était le seul à jouir. Entre les deux globes, une rainure profonde de chair douce, comme une fente glabre et profonde comme une mystère. Puis un liseré de dentelle élastique soulignait la rondeur du sein et s'en allait courir jusque sous les bras. En dessous le tissu satiné des bonnets, les coutures qui courraient d'un flanc à l'autre et de haut en bas, s'entrecroisant presque au niveau des tétons dont ses doigts effleurèrent la forme marquée sous le tissu brillant. Solange frissonna en sentant les doigts de Jérémy courir sur son soutien gorge.

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