Solange

Informations sur Récit
Rencontre entre une femme vieillissante et un jeune homme.
12.6k mots
4.56
78k
1
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Jipai
Jipai
49 Admirateurs

Solange avait soixante treize ans et plein de souvenirs. Rêveuse, elle repassait sa vie dans sa tête comme un film qui n'en finit pas. Non pas qu'elle ait eue une vie exceptionnelle, non, au contraire, sa vie avait été la vie d'une femme de sa génération : une jeunesse sage, une rencontre avec un garçon de son age et de son quartier, des flirts, des sorties au bal, quelques pelotages dans les coins noirs et un mariage bien classique en robe blanche et longue. Peu de temps après son mariage, une grossesse et puis une autre juste après et puis et puis ...la vie.

Solange était veuve depuis cinq ans, une solitude qui lui pesait, elle avait bien essayé les club du troisième age et autres associations de retraités mais elle n'y trouvait que rassemblements de commères trop curieuses et avides de ragots, toute chose que Solange détestait par-dessus tout. Solange avait toujours aimé la discrétion, qu'elle cultivait jusqu'au secret, sans doute une réminiscence de son enfance solitaire. Elle détestait par-dessus tout qu'on s'occupât de ses affaires.

Pourtant l'age était la, de plus en plus pesant, voir angoissant. La peur de la solitude absolue, et surtout la peur de perdre son autonomie perturbaient Solange. Un dilemme qu'elle tournait sans arrêt dans sa tête depuis plusieurs semaines sans trouver de solution. Elle entretenait peu de rapport avec son voisinage et elle répugnait à demander au mari de la voisine de venir lui donner un coup de main. Elle l'avait bien fait une fois ou deux mais le bonhomme ne lui avait pas plu, il était venu vers elle comme le male dominateur, sur de lui et de plaire, l'ironie à la bouche et dans les yeux, voyant déjà en Solange la proie facile et elle en avait eu des frissons dans le dos. Ne plus se mettre dans les pattes d'un type pareil, c'était elle dit après avoir refermé sa porte dans le dos du bonhomme. C'est vrai que Solange, malgré son age faisait encore un peu illusion. Elle avait été belle femme dans le temps et les ans semblaient cléments avec elle. Bien sur il y avait les rides, les cheveux définitivement blancs, la silhouette empâtée, mais bon, elle se tenait droite, elle était coquette, se maquillait discrètement, avait opté pour des vêtements de maintient qui affinaient son profil tout en mettant en valeur ses formes. Aussi, pas étonnant que les hommes avaient encore l'œil sur elle.

Mais alors comment se sentir rassurée, comment assumer cette maison qui de jour en jour devenait une corvée chaque fois plus pénible? Elle s'en était ouverte à son médecin un jour de consultation. Le praticien l'avait regardé comme une femme lasse, un peu dépressive, vaguement désabusée et lui avait conseillé de contacter un de ces organismes qui se créaient dans le domaine de l'aide à la personne. Solange n'avait pas accroché tout de suite à cette idée, craignant de rentrer encore dans le cycle des femmes de ménages qui ne l'intéressaient pas vraiment. Il lui fallait une aide ponctuelle, quelqu'un qu'elle pourrait appeler en cas de besoin et seulement dans ce cas la. Le médecin lui assura qu'elle trouverait sans doute sans difficulté l'aide qu'elle cherchait. Solange revint donc de chez son médecin avec une approche nouvelle de son problème. Elle se mit à consulter l'annuaire dans le but de voir les possibilités qui lui étaient offertes. Son doigt courrait sur les pages jaunes passant en revue toutes les annonces. Solange fut surprises par le choix qui lui était offert. Elle choisit un peu au hasard un organisme, parce qu'il n'était pas trop loin de chez elle en se disant qu'ils seraient plus disponibles et elle téléphona.

Son interlocutrice écouta sa demande patiemment et lui dit qu'elle aurait une solution pour elle. Si elle le voulait, ils pourraient se voir dans l'après midi pour faire le point sur ses besoins. Ce premier contact rassura Solange et elle prit rendez vous avec la personne.

L'après midi même, une femme plus très jeune, un peu boulotte se présenta chez Solange, elle était accompagnée d'un homme encore jeune, sans doute en fin de trentaine, grand, brun, les yeux noirs, il avait cette barbe de deux jours que le jeunes hommes se plaisent à porter aujourd'hui. Solange les considéra avec méfiance, mais le sourire de la femme emporta la décision. Tous les trois, ils firent le tour de la maison, Solange énumérant les travaux qu'elle aurait souhaité faire. La femme notait sur une feuille, scrupuleusement, le jeune homme suivait, discret, il regardait, donnait son avis, lorsqu'on le sollicitait, peu causant. Solange se rassurait peu à peu. A la fin de la visite, elle conclut en donnant son accord, le jeune homme viendrait dès le lendemain pour lui repeindre les volets. Il s'occuperait de tout, il achèterait la peinture, compterait ses heures et à la fin du chantier il donnerait la facture à Solange. Cependant il lui donna un ordre d'idée sur le prix qu'elle aurait à payer.

Quand ils s'en allèrent, Solange se retrouva seule dans sa maison mais rassurée. Elle trouvait la formule parfaitement à son goût, le garçon lui avait plu à cause de sa discrétion et sa réserve. C'est donc confiante qu'elle attendit le lendemain.

Il se présenta à l'heure dite avec son matériel et sans attendre il se mit au travail. Solange le laissa faire dans un premier temps, craignant de le harcelé, elle se fit aussi discrète que son ouvrier. En fin de matinée elle vint le trouver pour juger du travail produit. Le garçon releva la tête en la voyant, il lui sourit et lui présenta le travail fait. Solange en fut enchantée, il travaillait vite et bien et les volets prenaient une autre tournure sous les coups de pinceaux du jeune homme.

Vers seize heures, Solange lui demanda s'il voulait un thé ou un café. Il accepta le café et Solange fut heureuse de lui servir son café et de boire avec lui sur la table de la cuisine. Elle l'examina mieux et le trouva beau garçon. Il lui expliqua qu'il avait perdu son emploi quand l'usine où il travaillait avait clos ses activités. Solange en fut peinée pour lui, d'autant plus qu'il lui apprit qu'il était divorcé et père de famille. Cependant il était de nature optimiste, il souriait à Solange, il se disait ravit de ses nouvelles activité dans le domaine de l'aide à la personne. Il arrivait à travailler régulièrement et tirait correctement son épingle du jeu de la vie.

Quand il s'en alla le soir, Solange repensa à lui, elle le trouva touchant, gentil, et surtout efficace. Les volets prenaient une allure qu'ils avaient eue dans le temps. Elle considérait le travail restant à faire et se réjouissait de la voir revenir le lendemain.

Le jour suivant fut semblable au précédent, Solange en apprit un peu plus sur son travailleur à domicile et sur sa petite famille. A seize heures comme le premier jour ils prirent le café ensemble en bavardant comme de vieux camarades. Quand il partit le soir, Solange glissa dans son sac quelques fruits du jardin pour ses enfants. Le sourire du garçon éclaira la maison de la vieille dame et ils se donnèrent rendez vous pour le lendemain.

Au matin il était déjà à pied d'œuvre, il semblait plus à l'aise, à la fois avec Solange qu'avec la maison. Il sifflotait en peignant le bois, souriait à chaque fois que Solange pointait le bout de son nez. L'un et l'autre semblaient s'être apprivoisé.

Quand le chantier fut fini, il présenta la note, Solange la trouva raisonnable et la paya d'un cœur léger. Et il s'en alla.

Solange ne se rendit pas compte immédiatement que demain il ne serait plus la, mais quand elle se réveilla au matin, elle éprouva comme un spleen en pensant que serait un jour « sans ».

Elle en fut triste toute la journée et tourna en rond dans sa grande maison sans trop savoir que faire. Elle chercha, et trouva bien sur, ce qui pourrait le faire revenir : elle se dit que la tapisserie défraîchie de sa chambre aurait bien besoin de remplacement.

Aussitôt dit aussitôt fait, elle prit son téléphone et appela la dame boulotte pour lui dire qu'elle avait besoin de son ouvrier, et le lendemain à la première heure, le beau garçon mal rasé lui souriait sur le pas de la porte. Solange faillit lui sauter au cou, elle s'avança suffisamment pour qu'il lui fasse la bise. Elle frissonna au contact de sa joue rugueuse et trouva ça en fin de compte très viril. Elle lui expliqua son projet et aussitôt, le garçon lui proposa de l'emmener choisir le papier peint.

Solange en fut ravie, elle s'habilla comme un dimanche, se maquilla un peu plus que d'habitude et elle suivit le jeune homme dans sa voiture jusqu'au magasin. Ils passèrent la un long moment à choisir le papier, Solange lui demandait conseil, elle revivait les bons moments de son mariage et quand ils revinrent, elle semblait rêveuse, un sourire accroché aux coins de ses lèvres et des souvenirs plein les yeux.

Jérémy, il s'appelait Jérémy, se mit au travail. Le chantier cette fois était plus envahissant, il lui fallait sortir les meubles et donc les vider. Solange lui donna un coup de main, surtout pour ses effets personnels. Cela n'empêcha pas Jérémy de voir le genre de dessous que portait Solange, et c'est en rougissant qu'elle ramassa ses culottes et ses soutiens gorge. Jérémy eut le temps de voir aussi des combinaisons soyeuses brodées de dentelles, des gaines et même des combinées. Se faisant, il porta un autre regard sur Solange. Jusqu'à maintenant, il n'y avait qu'une vieille dame, certes bien propre sur elle, mais une vieille dame. Il la regarda mieux et aperçu une silhouette encore svelte, des formes épanouies et bien tenues dans les dessous qu'il venait d'apercevoir. Troublé, il se mit au travail, mais il ne pouvait s'empêcher de penser à Solange, il essayait de se gendarmer contre lui-même mais son esprit revenait vers elle. Il sentit même qu'il bandait. Il était vrai que son divorce l'avait laissé déprimé et qu'il n'avait guère pensé à la bagatelle trop préoccupé par le sort que lui faisait son ex épouse.

Solange quand à elle, allait et venait dans son intérieur, elle avait retrouvé un regain de courage et avait décidé de remettre de l'ordre la où elle avait négligé de le faire depuis des lustres. C'est-à-dire depuis son veuvage.

A midi, elle invita Jérémy à se joindre à elle, ce qu'il accepta de bon cœur, toujours troublé par le corps généreux de Solange. Pendant qu'elle s'affairait au fourneau, il la regardait en coin et il sentait dans son pantalon sa bite dressée et dure au point de lui faire mal. Il en était gêné, se disant qu'elle allait se rendre compte de son état. Il se montra un peu fébrile à table, vaguement maladroit, elle mit ce trouble sur le compte de la timidité. Elle le regardait comme un grand fils, tout en pensant à son propre fils, loin d'elle tant par la distance physique que par l'esprit. Elle en eut un vague chagrin qui lui noua brièvement la gorge et lui mouilla les yeux, et puis elle se reprit et sourit à Jérémy.

Dans l'après midi elle lui annonça qu'elle devait se rendre à la pharmacie et chez d'autres commerçants et que par conséquent, elle lui confiait la maison. Jérémy acquiesça, l'assurant qu'il n'y avait pas de problème. Elle s'en alla donc confiante.

Des démons se mirent alors à tenailler le jeune homme, il revoyait les dessous de Solange, il voulait les revoir, sa raison lui disait de résister, mais les démons le poussaient à aller voir l'armoire où il l'avait vue ranger son linge. Il résista un moment et puis avec la brusquerie d'un barrage qui cède, il se précipita devant l'armoire.

Il était la, la bouche sèche et le cœur battant devant le ventail doré de l'armoire de Solange dans le silence de la maison. Sa main avança et il manoeuvra la clé. Le bruit que fit celle-ci le fit sursauter. Il arrêta son geste comme si toute la ville l'avait entendu. Il entendait battre son propre cœur et demeura la, immobile, en attente d'un bruit suspect. Rien, aucun bruit, sa main s'avança encore, il prit la clé et tira sur la porte qui joua sur les gonds avec un grincement sinistre. Son cœur fit des bons encore une fois. Mais le silence répondait et il prit confiance. Devant ses yeux il avait la toute l'intimité de Solange. Il regardait avide et bandant les culottes gainantes de la vieille dame, ses soutiens gorge et il s'enquit de la taille, Solange portait du cent cinq bonnets E et cette découverte faillit le faire défaillir. Il inspecta encore les combinaisons, qu'il caressa de ses doigts et puis il tomba en arrêt devant les gaines, une blanche, taille haute et puis deux autres, une couleurs chair, et enfin une noire, toutes en taille hautes elles aussi. Pour compléter la garde robe il trouva deux combinés gaines un blanc et un chair. Dans un tiroir, il trouva ses bas. Il en prie un religieusement entre ses doigts et le porta a son nez, il trouva l'odeur sublime et sa bite en fut douloureuse d'excitation.

Jérémy se dit que tout cela n'était guère raisonnable, Solange allait rentrer, il devait s'arracher à cette contemplation malsaine. Vivement il remit tout en place et referma l'armoire dans un grincement sinistre. Il retint son souffle et, ne percevant aucun bruit, il regagna son chantier où il parvint à force de volonté, à se calmer.

Quand Solange revint, Jérémy était à son travail. Elle lui demanda si elle n'avait été trop longtemps absente, un peu comme l'aurait fait une épouse. Elle s'en rendit compte, elle rougit et tourna les talons.

Jérémy lui répondit calmement que non et continua son boulot jusqu'à la fin de la journée.

Quand il s'en alla le soir, il eut encore droit au baiser de la vieille dame, cette fois elle l'entoura de se bras et ce baiser échangé dans le vestibule le troubla au point qu'il ressentit une nouvelle bandaison.

Solange soupira après le départ de Jérémy et un vague sourire flotta sur son visage jusqu'à tard dans la soirée.

Quand il revint le lendemain matin, un café bien chaud l'attendait avant même qu'il ne se mit au labeur. Il apprécia et tout buvant le breuvage fumant, il se rendit compte que son état d'esprit n'avait pas changé depuis le veille, il bandait pour Solange! Il eut au beau se raisonner, se dire qu'elle était vieille, qu'elle aurait pu être sa mère et même plus, rien n'y faisait, Jérémy bandait!

Solange allait et venait dans la maison, souriante et même fredonnant des chansons, chaque fois qu'elle croisait Jérémy elle lui décochait un large sourire qui le mettait au supplice. Le matin il avait eu le droit à deux gros baisers bien appuyés au coin des lèvres qui avaient provoqué une première émotion dans son slip et la, il devenait nerveux, voir maladroit ce qui l'agaçait.

Il préférait oublier, faire le vide en sa tête, ignorer, mais à midi, Solange vint lui demander de rester la avec elle pour le déjeuner. Il ne refusa pas, impossible, elle arrivait à le fasciner, il repensait à la veille, à son intrusion dans sa lingerie, ses soutiens gorge aux bonnets profonds, ses culottes, il voyait à travers ses vêtements, il imaginait ses dessous, il en était malade de désir.

Cependant le repas se passa le mieux du monde et il reprit sa tâche. Il travaillait depuis une demie heure quand Solange l'appela. Il vint à sa recherche et la trouva devant une fenêtre qui donnait sur le jardin. Dans la lumière de l'après midi, Jérémy voyait la silhouette de Solange se découper sur un rectangle éclaboussé de lumière. « Je me demande si je devrais pas faire déplacer cet arbre la. » Lui dit elle pendant qu'il s'approchait. Il vint se placer derrière elle et regarda le jardin, puis il regarda les cheveux permanentés de Solange, ses boucles blanches, sa nuque pale et ses épaules marquées sous le chemisier blanc. Déjà sa gorge est sèche, il est la tout près d'elle, il sent son parfum un peu passe partout mais si touchant, d'un regard par-dessus son épaule il voit sa poitrine darder devant elle, il suit sa respiration régulière qui soulève doucement ses seins. Il répond machinalement, n'importe quoi. Elle lui demande s'il ne pourrait pas se charger de ... Il se rapproche d'elle, presque à la toucher, il a du mal à contenir ses mains qu'il voudrait sur ses hanches, il serre les poings.

Mais est ce lui qui a avancé ou bien elle qui aurait un peu reculé? Il sent qu'il touche son fessier, c'est sa queue tendue dans son pantalon qui frôle son fessier joufflu. Il sent qu'il craque, il frémit, il s'efforce à ne pas bouger mais pourtant il sent nettement que sa bite frotte contre les fesses de Solange, elle ne se retire pas, elle est la, sans bouger avec juste son derrière qui agace la bite de Jérémy. Il est derrière elle, il a envie de lui empoigner les seins de les masser mais ses mains restent sages, refermées en poings dans ses poches. Combien de temps tiendra t il?

Solange parle, parle, il n'entend pas, mais il est question de jardinage, il acquiesce d'un grognement de temps en temps, le temps s'allonge et sa bite frotte le fessier de Solange, ce n'est pas possible pense t il, elle doit s'en rendre compte, c'est elle qui se frotte à moi. Ses mains sortent de ses poches, elles pendent le long de son corps. Ses muscles se tendent, ses bras remontent au niveau des épaules de Solange, ses mains se rapprochent, elles vont se poser sur les épaules de Solange, il sent déjà la chaleur de son corps, il touche le fin tissu de son chemisier, il a mis ses mains sur ses épaules, elle a juste eut une hésitation et puis elle a continué à parler, sans doute un peu plus vite, un peu plus saccadé dans son débit. Pendant ce temps il lui caresse les épaules qu'il trouve frêles, ses mains courent de ses bras à son cou, il presse un peu ses doigts sur la peau de Solange, elle se colle à lui maintenant, elle sent sa bite dure contre ses fesses, elle s'efforce à parler pour éviter la gène, elle dit qu'il pourrait faire ça vers la fin de l'hiver, que l'arbre n'est pas si gros, il a tout juste trois ans, que c'est le voisin qui l'a planté mais qu'il a mal choisit l'endroit où le planter et qu'elle a des craintes qu'il n'envahisse l'espace ...

Jérémy a fermé les yeux, il est collé à Solange, sa bite s'imprimant dans le fessier imposant de la vieille dame, ses mains sont descendus sur les bras de Solange, ses mains qui courent sur son ventre rebondit maintenant, ses mains qui remontent et saisissent en coupe les seins volumineux bien soutenus dans un soutien gorge à armatures dont il sent les arceaux métalliques sous ses doigts. Il palpe les seins mous de Solange, il n'a plus touché une femme depuis maintenant plusieurs mois, il trouve ce contact sublime, ses doigts se referment sur la chair molle, il masse les nichons de Solange il pense aux soutiens gorge qu'il a touché la veille, il se colle à elle, frotte sa queue en feu contre le fessier qu'il sent imposant et fermement tenu dans une culotte gainante, une de ces culottes qu'il a aussi caressé la veille. Il n'écoute plus Solange, il imagine son corps qu'il est en train de découvrir par ses mains qui glissent qui palpent qui caressent. Solange s'est laissé aller contre lui, elle le laisse faire, elle attendait ce moment, elle ne l'espérait pas, se jugeait trop vieille, trop insignifiante, trop moche pour plaire à ce beau gars qui était en train de masser ses seins, son ventre et qui éveillait en elle des émotions qu'elle croyait mortes.

Ils ne disaient plus rien l'un et l'autre, Jérémy caressait Solange, Solange se laissait faire les yeux clos pour ne ressentir que ces mains fébriles qui exploraient un corps qu'elle avait fini par se résigner à aimer tel qu'il était. Il posa ses lèvres sur son cou et y déposa des baisers brûlants et prolongés. Solange frissonna de tout son être en sentant ces lèvres fiévreuses qui provoquaient des ondes de désirs dans son cou. La barbe rude de Jérémy était infiniment virile et Solange en frémit de tout son corps. Elle ressentit une chaleur au plus profond de son ventre, cette chaleur qu'elle n'avait plus connu depuis des décennies et elle crut même sentir son vagin réagir et peu à peu devenir humide.

Jérémy s'affolait sur la chair tendre du cou de Solange. Ses doigts s'affairaient sur le corsage, il voulait défaire les boutons, révéler la peau de Solange pour la couvrir de baisers de feu. Il parvint à dénuder son épaule, laissant sa bouche dévorer la chair douce, mordillant sa partenaire et lui tirant de petits cris. Poussant son avantage, il défit totalement le corsage, le déboutonnant jusqu'en bas, le sortant de la jupe, puis le faisant glisser à terre. Il vit le soutien gorge blanc de Solange, un beau playtex de maintien décoré de belle dentelle sur le dessus des bonnets. Il empoigna les seins de Solange et les malaxa de plus belle tirant d'elle des grognements qui en disaient long sur son excitation.

Jipai
Jipai
49 Admirateurs