Solange

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Sans un mot Solange se retourna et le pris par la main, puis elle l'entraîna vers le lit qu'elle s'était préparée dans la chambre d'ami en prévision des travaux dans sa propre chambre. Ensemble, ils basculèrent sur le lit, enlacés. Ils s'embrassaient à pleine bouche désormais, Solange l'entourait des ses bras, Jérémy la prenant lui aussi pour la première fois à plein bras. Il sentit la douceur fanée d'un corps empâté par l'age et il en éprouva une émotion soudaine. Il eut à cœur de la protéger, il ne la serra pas trop fort pour ne pas lui faire de mal, ne pas la blesser, tandis qu'elle le serrait contre elle avec frénésie.

Les mains de Jérémy courraient partout sur Solange, de son dos à ses fesses et puis ses cuisses, un tourbillon de folie les emportait inexorablement. Il trouva la fermeture de sa jupe et il la fit glisser. Ensuite il tira sur la jupe, Solange fit de son mieux pour l'aider, se tortillant pour lui faciliter la tache. Il jeta la jupe à terre et se mit à la caresser de plus belle. Il trouva sa chair douce, ses cuisses potelées, un peu de cellulite ici ou la ajoutait de l'érotisme de la situation, il caressa le ventre rond sanglé dans une gaine et trouva les bourrelets émouvants et érotiques. Sa main glissa entre les cuisses de Solange, elle poussa un cri qui arrêta son geste. Il la regarda, elle avait les yeux clos et il vit qu'une larme perlait entre ses cils. Il enleva prestement la main et ce fut elle qui lui saisit le poignet et ramena ses doigts sur son sexe. Ils se regardèrent avec gravité, elle déglutit difficilement et lui murmura « il y a si longtemps! Je n'ai plus l'habitude, il faut me pardonner. » Pour toute réponse il lui prit la bouche pour un baiser sans fin tandis que sa main caressait doucement la culotte de Solange. Il fut surpris de constater que la vieille dame mouillait un peu. Il lui sourit, elle avait les yeux brillants, elle ronronnait sous ses doigts. Jérémy en fut si troublé qu'il en aurait pleuré lui aussi.

Il glissa ses doigts sous l'élastique de la culotte, elle lui facilita la tache en écartant ses cuisses dodues. Les doigts de Jérémy s'introduisirent dans la culotte serrée et il trouva des poils poisseux de sa mouille, il en fut excité. Son cœur battait une folle chamade tandis qu'il promenait ses doigts sur la fente poilue et poisseuse de cyprine. Il fut surpris de la réaction si spontanée de Solange, il l'embrassa encore plus fougueusement. De sa main libre il s'efforça de défaire la ceinture du jeans, il se débattit un moment contre le rude pantalon de toile. Puis il se défit de son tee shirt et de ses chaussettes. Passant une cuisse par-dessus le corps de Solange, et en éprouva la douceur, dans son slip sa bite palpitait dure et frémissante tandis qu'il promenait sa cuisse sur tout le corps dodue de sa partenaire.

N'y tenant plus il bascula sur elle, la couvrant de tout son poids. Elle en perdit le souffle, n'ayant pas l'habitude d'un corps jeune et nerveux allongé sur le sien. Petit à petit elle arriva a accepter ce poids qui l'écrasait et la privait du moindre mouvement. Jérémy l'embrassait furieusement, mangeant sa bouche, se collant à son corps pour mieux ressentir ses seins mous sanglés dans le soutien gorge pendant que son ventre se frottait à sa gaine et sa bite caressait la culotte satinée.

Solange avait peine à respirer, elle lui en fit la remarque et il se tint sur ses coudes pendant qu'elle reprenait son souffle. Il la regardait, il mesurait l'émoi qu'il provoquait en elle, si chaste et si privée depuis des lustres, de cette fureur sauvage de sexe. Il la dominait, il domptait son corps sous lui, il sentait combien il était fort, combien elle allait lui céder sans qu'elle puisse s'y opposer.

Il lui monta une bouffée de désir irrépressible, sa bite repoussait la culotte de Solange, dure, gonflée au maximum, le gland dénudé cherchait déjà sa voie.

Solange haletait sous lui, à moitié étouffée, pantelante, et puis inquiète aussi de cette aventure qui lui échappait totalement. Inquiète mais excitée elle offrait son corps, elle ne se défendait pas, elle sentait les genoux de Jérémy qui s'introduisaient entre ses cuisses et elle ne résistait pas, Jérémy qui s'installait entre ses cuisses, dont elle sentait le désir à travers le lycra de sa culotte, Jérémy qui lui imposait d'écarter les cuisses, oui, ses cuisses ouvertes, un peu plus encore.

Elle lui rendit son baiser quand il l'embrassa, il ondulait des reins contre elle, son ventre nerveux contre sa gaine et sa bite contre sa culotte il allait et venait comme s'il lui faisait déjà l'amour. Solange se mit à gémir comme s'il avait été en elle. Elle ferma les yeux, emportée par le ondulement de Jérémy.

A un moment, il se souleva un peu, il voulut descendre la culotte qui résista.

« Tu n'y arriveras pas » Lui dit elle, j'ai mis ma culotte sous ma gaine et il y a mes bas, il faudrait tout défaire. »

« Je vais écarter ta culotte » lui dit il dans un souffle. Jérémy glissa une main entre leurs deux corps et tira la culotte sur le coté mais elle résista encore, il tira plus fort, Solange poussa un cri mais il réussi à dénuder la fente. En guidant son sexe, il le mena contre la fente de sa partenaire et il poussa.

Solange s'agrippa à lui, crispée et grimaçante, tendue, elle attendait l'instant ; Quand ses lèvres intimes cédèrent, elle eut un sursaut et poussa un long cri. Jérémy fut attentif à ses réactions, il sentit son gland qui s'introduisait en elle, il ne poussa plus, il attendit. Elle avait le souffle court et irrégulier, entrecoupé de plaintes, Jérémy était à l'écoute de ce vieux corps fatigué, il ne voulait surtout pas lui faire de mal, il attendit qu'elle se calme. Quand elle se fut un peu apaisée, il poussa doucement et régulièrement, provoquant une tension de tout le corps de Solange, et il sentit sa bite la pénétrer.

Solange eut un long feulement, sentant ses chairs intimes se tendre au passage du gland de Jérémy. Elle en fut hébétée, elle avait oublié cette sensation unique de sentir sa chair repoussée par le gland d'un partenaire, cette sensation de se sentir prise par une chair étrangère qui vous remplit le vagin. Elle goûtait la bite qui progressait dans son ventre, il lui semblait que Jérémy n'arrêterait jamais de s'enfoncer en elle.

Il vint butter au fond d'elle et elle exhala un soupir, il l'avait pénétrée jusqu'à l'utérus.

Jérémy la regardait avec attention, guettant sur son visage le moindre signe de douleur, ses reins poussaient son sexe en le maintenant au fond. Elle se cambra sous le coup de rein de Jérémy, son utérus repoussé par un gland dur et brûlant qui lui faisait vaguement mal. Elle sentit un léger retrait et puis la chair de Jérémy la repris toute, envahissante la bite palpitante de son partenaire la remplissait d'une chair vivante écartelant ses muscles vaginaux. Solange n'avait pas souvenir d'une telle sensation dans sa vie. Elle avait été mariée jadis, mais jamais au grand jamais son mari ne lui avait procuré cette sensation. Dans ces années passées, le sexe était tabou, il se faisait furtivement le Samedi soir, sans même que les corps ne se dénudent. Parfois on se retrouvait enceinte sans même savoir ce qui avait provoqué ce nouvel état. On était si naïve à l'époque, et Solange le fut.

Aujourd'hui elle découvrait ce qu'était un vrai sexe d'homme, un pieu de chair, à la fois doux et dur, gros mais si agréable, qui vous étirait les chairs et vous mettait sens dessus dessous. Elle gémissait sous Jérémy qui la besognait lentement comme si elle fut en cristal et qu'il eut peur de la casser, il était attentif à ses réactions, craignant une grimace de douleur, enthousiasmé par un râle de désir. Il sentait sa bite raide coulisser en ce corps fané mais affamé. Il allait et venait en elle, il accentuait sa cadence, de plus en plus vite de plus en plus loin, Solange gémissant sous lui, il lui semblait qu'elle aussi montait vers le nirvana.

Il lâcha la bride à son désir et se mit de donner de furieux coups de bite auxquels Solange répondait par des cris continus qui avaient le don de l'exciter plus encore. Il sentait son gland perforer le fond de son ventre, repousser le col de son utérus de vieille femme, son vagin si longtemps négligé et qui mouillait cependant.

Il se raidit, il raffermit sa prise sur sa partenaire et dans un râle de gorge incontrôlé, il sentit monter les puissants spasmes du fond de son ventre, sa verge frissonna dans l'étui de chair humide et les jets de sperme saccadés et brûlants jaillirent du méat inondant le ventre de Solange.

Elle tressaillit en sentant la bite de Jérémy palpiter si fort, pressentant l'arrivée imminente de sa semence qui lui chauffa tout le ventre. Avec bonheur, elle reçut les vagues furieuses qui inondaient son vagin. Elle ferma les yeux se livrant sans retenue à ce bonheur de recevoir en elle le sperme de ce male qui l'étreignait.

Jérémy se vida complètement, poussant sa bite au plus profond de Solange il eut encore quelques spasmes et il s'immobilisa, essoufflé, en sueur, anéanti par la fureur de l'étreinte.

Solange se sentait étouffer sous lui, elle le repoussa et il bascula sur le coté. Il lui semblait être encore dans un rêve, il n'avait pas totalement conscience de la situation, les yeux au plafond il reprenait peu à peu ses esprits. A coté de lui, Solange haletait encore, le souffle court, emportée par l'émotion trop forte qui la paralysait sur son lit. Jérémy se tourna vers elle, il contempla cette femme âgée dans ses dessous d'un autre age, son soutien gorge qui moulait ses seins amples, sa gaine qui maintenait son ventre et ses bas tendus par de courte jarretelles sur ses cuisses dodues. Le tout sur ce lit, dans une pose d'abandon extrême. Furtivement Jérémy sentit un renouveau de sa bandaison. Il découvrait quelque chose de nouveau, l'attrait que peut avoir un corps épaissi par l'age. Une image fulgurante traversa son esprit, celle de sa propre mère qui était moins âgée que Solange et dont ses regards furtifs avaient caressés le corps parfois dénudé comme Solange en ce moment. Entre deux portes il l'avait parfois observé, en dessous, les images affluaient en sa tête et le troublaient. Sa bite était à nouveau raide, il se tourna vers Solange, la repris dans ses bras et il l'embrassa avec fougue. Tout se mélangeait dans son crâne, le corps offert de Solange, les images de sa mère en combinaison soyeuse, parfois en soutien gorge assez semblable à ceux de Solange et qu'il avait parfois tenus entre ses mains sans s'empêcher une petite bandaison. Elle répondait à ses baisers, mêlant sa langue à la sienne, une vraie amante, et Jérémy ne put s'empêcher d'imaginer sa mère dans cette situation avec un jeune homme.

Il bandait si dur maintenant.

Il bascula sur elle et il la reprit cette fois de façon plus sauvage. Son sexe bandé rentra en elle et s'enfouit au plus profond de son ventre. Elle poussa un râle de femelle prise et se laissa aller les cuisses écartées, offrande au mâle qui la montait et la prenait sans ménagement.

Cette fois ce fut plus long, Jérémy s'acharna sur Solange un long moment dont il savoura chaque seconde. Quand il sentait fléchir son enthousiasme, il se remettait en mémoire les images volées de sa maman en culotte et soutien gorge, sa bite se redressait de plus belle et ses coups de reins se faisaient plus profonds. Sous lui Solange gémissait, elle ne luttait plus, elle laissait ce torrent les emporter vers la jouissance. Ils atteinrent ensemble le plaisir, leurs corps furent pris de soubresauts, il se planta en elle tandis qu'elle s'ouvraient davantage à lui. Un torrent de jus inonda son vagin et il la serra le plus fort qu'il put au risque de l'étouffer pour de bon.

Il resta la sur elle, la tête enfouit dans son cou, des images défilaient sous son crâne, des images qui s'emmêlaient à l'infini. Il fermait les yeux comme pour chasser des démons, mais les démons revenaient, plus nombreux, plus lubriques qui agitaient sous son nez les images qu'il ne voulait pas voir, celle de sa mère qu'il retrouvait dans solange. Pourtant sa mère était bien plus jeune que Solange, elle était encore au tout début de la soixantaine, une femme encore belle, en tout cas c'est ce que pensait Jérémy allongé la sur le ventre de Solange qui commençait à souffler fort sous lui.

Il reprit ses esprits et bascula sur le coté pour permettre à Solange de se remettre de leur étreinte. Il se surprit à constater que son sexe était encore raide, il en eut honte, au fond, ce qu'il faisait la était assez abjecte, on ne profite pas de la faiblesse d'une femme de l'age de Solange. Il fut rassuré quand elle tourna sa tête vers lui et lui sourit de façon si touchante que Jérémy sentit son cœur de serrer.

« Tu es si gentil Jérémy! » Dit elle en lui caressant la joue, « tu me redonnes ma jeunesse! »

Jérémy lui sourit à son tour, il déposa un baiser sur sa joue avant de bondir du lit.

« Il faut que j'avance ton chantier! Lui dit il, sinon ma patronne va se rendre compte que quelque chose ne va pas! »

Solange approuva mais elle lui demanda s'il pourrait revenir malgré tout en dehors de ses heures de travail, il promit et ils établirent, un cycle possible pour leurs relations futures.

Jérémy se remit au boulot, Solange décida de le laisser à son travail sans l'importuner jusqu'à la fin de la journée.

Quand il s'en alla le soir, ils s'embrassèrent fougueusement, l'un étreignant l'autre dans le couloir sombre de la maison si longtemps silencieuse de Solange.

Plus silencieuse encore après que Solange eut refermé la porte sur Jérémy. Elle resta la appuyée au chambranle, le regard vide en se demandant : « Mon dieu, qu'est ce qui m'arrive. »

Elle passa une mauvaise nuit agitée, tournant de droite à gauche à la recherche d'un sommeil qui la fuyait. Toujours l'image de Jérémy s'imposait devant ses yeux et elle n'arrivait pas à arracher son regard du sien. Vers la fin de la nuit, elle trouva un sommeil agité d'où Jérémy n'était pas absent.

Quand le réveil vint l'arracher à la nuit, elle se sentit fatiguée, épuisée comme après une longue course. Le miroir de la salle de bains ne fut guère clément avec Solange, il lui renvoya sa sale tête sans ménagement. Solange entreprit de se refaire une beauté, « Ce n'est pas gagné pensa t elle, compte tenu de mon age et de mon état ce matin! »

Mais petit à petit elle parvint à se faire son visage habituel, peut être ajouta t elle un peu plus de far sur ses paupières, un peu plus de poudre sur ses joues et elle se permit même un peu de rouge à lèvres qu'elle n'avait plus utilisé depuis des semaines. Entre-temps, elle s'était habillée de sa jupe noire droite et classique qui lui couvrait discrètement les genoux. Elle avait enfilé son corsage blanc, le plus beau de sa garde robe, celui qu'elle réservait aux sorties. Longtemps, elle s'interrogea sur ses dessous, seule dans la salle de bains, elle rougit à la pensée que...Enfin, il fallait qu'elle mette des dessous qui, à défaut d'être coquins, la mettraient en valeur. Elle opta pour son combiné blanc, celui qu'elle avait acheté pour le mariage de sa nièce et qui effaçait ses bourrelets à la taille et qui lui remontait si bien les seins, lui faisant une poitrine ronde, un peu provocante. Elle décida de choisir une culotte qui ne poserait aucun problème à Jérémy, pas comme sa culotte gainante d'hier, non, mais une culotte plus légère, bordée de dentelle, qu'il n'aurait aucun mal à écarter. A cette idée son cœur se mit à battre plus vite, le rouge s'accentua à son front et une bouffée de chaleur envahit son bas ventre, son vagin s'humidifiait déjà et elle en fut satisfaite, cela prouvait qu'elle avait encore des désirs de femme.

Et puis elle attendit l'heure.

De son coté Jérémy dormit comme une masse cette nuit la. Il rêva bien sur mais au petit matin il n'était plus très sur de ses rêves. Il se leva avec une belle trique qui le fit sourire et le ramena au souvenir de la veille et Solange lui occupa soudain l'esprit. Loin de le calmer, sa trique se fit plus triomphante, il vit sa bite grossir encore et flirter avec son ventre.

Comme chaque matin il prit sa douche et se prépara pour la journée. Il mit des dessous propres, une chemise nouvelle, étonné qu'il apporte un soin particulier à sa toilette matinale. Il se sourit dans la glace, il était en forme et se promettait une bonne journée dans tous les sens du terme.

L'image de Solange tournoyait dans son crâne, elle se mêlait étrangement à l'image de sa mère. Jérémy s'interrogea, qu'avait il déclanché en lui la veille en pelotant le corps fatigué de Solange? Pourquoi le souvenir qu'il avait de leur étreinte se superposait à l'image de celle qui l'avait mise au monde? Il voulut chasser toute idée perverse, il n'était pas de ces dépravés qui...Il avait eu vent de telles histoires mais il n'avait porté aucun intérêt à elles, en tout cas, aucun intérêt érotique.

Alors pourquoi ce matin, la, devant sa glace?

Jérémy n'avait pas de réponse immédiate et d'un haussement d'épaule il évacua cette idée.

S'efforçant de se concentrer sur le travail qui l'attendait, il finit de se préparer avant de prendre sa voiture et le chemin de chez Solange.

Il avait encore le doigt sur le bouton de la sonnette quand la porte s'ouvrit pour lui livrer le passage. Il entra et il découvrit Solange derrière la porte d'entrée, étrangement grave elle le regardait intensément. Il remarqua son maquillage plus accentué que la veille et sa silhouette « arrangée ». Il la prit dans ses bras sans même réfléchir et la serra contre lui. Il sentit le long soupir de Solange quand elle se colla contre lui et qu'elle l'entoura de ses bras. Ses gros seins mous vinrent s'écraser contre le torse solide de Jérémy, ce contact provoqua immédiatement une belle trique dans son pantalon. Ils restèrent un long moment collés l'un à l'autre, sans bouger, sensation uniquement animale, besoin de sentir l'autre, imprimer son corps dans le corps de l'autre. Jérémy bandait très dur, sa bite raide imprimait sa forme contre le ventre rond de Solange, elle sentait son envie d'elle et elle en fut émue à son tour. Son vagin devenait humide, elle rajeunissait tout à coup de vingt ans, se demandant quand pour la dernière fois elle avait ressenti une telle émotion. Des images défilaient sous son crâne, et des interrogations? Où? Quand?

Ah! Oui se rappela t elle soudain, un jeune toubib! Oh, il y a longtemps, si longtemps. Un sourire lui vint aux lèvres, elle se remémora cette consultation chez le jeune toubib au moment de sa ménopause, elle se revit dans son cabinet, un peu gênée lui expliquant ses bouffées de chaleur, ses sécheresses vaginales, etc. D'une voix suave, il lui avait demandé de se déshabiller, elle se souvenait le rouge qui lui était monté au front, ses doigts tremblants sur les boutons du corsage, sa jupe qui glissait sur ses cuisses. Elle n'avait pu retenir une chaleur soudaine dans son bas ventre et puis un examen complet et même un peu plus, qu'elle avait laissé faire tant les mains du médecin étaient douces et qu'elle appréciait l'instant. Elle en avait joui, discrètement, mais le docteur n'en fut pas dupe.

La, aujourd'hui, serrée contre Jérémy elle ressentait la même émotion.

Elle éprouvait la dureté du désir de Jérémy et elle collait son ventre contre ce bâton de chair qu'elle appelait de tous ses vœux.

Ce fut elle qui dans sa hâte entraîna Jérémy jusqu'à sa chambre, les corps soudés, les lèvres soudées, ils tombèrent ensemble sur la couche où ils roulèrent tous les deux. Les doigts de Jérémy défirent fiévreusement le corsage, il palpa ses reins à la recherche du zip de sa jupe qu'il descendit prestement. Il fit glisser la jupe noire de Solange le long de ses cuisses en admirant au passage les bas noirs accrochés aux jarretelles blanches du combiné. Il découvrit Solange dans ses dessous surannés mais cependant si érotique, il vit ses seins solidement tenus dans les bonnets au haut de dentelle qui laissait percevoir la chair blanche et douce.