Si tu vas à rio -- Fin

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Je découvre ma nouvelle Propriétaire.
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Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 07/07/2022
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Je suis Maîtresse les yeux rivés sur ses talons, marchant à 4 pattes silencieusement. Nous sommes dans le salon où Pierre m'a laissé la dernière fois. Je suis un peu surpris que ce soit une paire de baskets féminines qui entre dans mon champ visuel. Sans qu'il soit besoin d'aucun ordre, je viens baiser ces baskets pour honorer leur propriétaire. Qui est sans doute aussi ma nouvelle propriétaire. Maîtresse indique en français qu'elle nous laisse et que la voiture nous attend le temps qu'il faudra pour nous raccompagner à l'aéroport. Que d'informations pour moi : je vais partir, avec une nouvelle Maîtresse, je prends l'avion et surtout Maîtresse me laisse ainsi sans un mot, comme un objet que l'on se passe. Je me sens profondément humilié, alors que je croyais avoir touché le fond. Mais je dois me consacrer à cette nouvelle Maîtresse et je n'ai aucun doute que j'y mettrai toute l'énergie nécessaire. Cette séparation me fait mal malgré tout.

- Tu es très beau ainsi esclave, je suis ravie du résultat.

La voix me fait profondément tressaillir. Quelque chose se déchire en moi, mon cœur bondit dans ma poitrine. Je suis incrédule, je ne comprends pas, mais ma nouvelle propriétaire est celle à qui j'appartiens depuis ce voyage à Miami! Sophie. Maîtresse Sophie. Cela me semble si naturel d'accoler les deux mots. Et cela me semble une évidence qu'elle est une Maîtresse, je n'étais pas éduqué pour le savoir. Mais comment est-ce possible qu'elle soit là? Malgré mes tressaillements et ma surprise je n'ai pas bougé, gardé la tête bien basse. Elle me la relève de sa main, m'ordonne de la regarder. J'ai un mal fou. Je jette un œil avant de la rebaisser, la faisant rire de me voir si bien dressé. Mon sexe est déjà dur comme la pierre, ce qu'elle ne manque pas de voir.

- Ton sexe est toujours aussi magnifique! Je vais te raconter tout cela dans la voiture. Pour une fois tu ne vas pas voyager dans le coffre, j'espère que tu ne vas en tirer de mauvaises conclusions. Ta vie ne sera pas plus facile à mon service, tu verras. Tu as beaucoup appris, et moi j'ai aussi beaucoup appris.

- Je ne voulais pas que tu sois enfermé dans une cage de chasteté pour mon arrivée, pour pouvoir voir une dernière fois ton sexe si beau et si dur. Tu te souviens comme nous avons fait l'amour comme des fous? Oui tu te souviens. J'espère que c'est bien gravé en toi. Je me doutais bien que j'étais la première, et j'ai adoré être aussi sauvage avec toi. Ce ne sera plus qu'un souvenir car je vais t'enfermer maintenant dans une ceinture de chasteté et tu n'en sortiras plus. Plus jamais tu n'auras d'érection, ni bien entendu de jouissance. Peux-tu imaginer à quel point cela m'excite? Non je ne crois pas encore, tu n'as pas encore découvert pleinement qui je suis même si tu sais très bien que je suis ta Maîtresse pour la vie.

- Juste que tu saches que tu as un petit tatouage dans le cou avec l'emblème de l'haciendas, ce qui signifie d'une part que je peux t'envoyer en stage de rééducation quand je veux, pour la durée que je veux et avec la sévérité que je veux. Mais surtout si un jour j'ai envie d'autres esclaves, tu auras toujours ta place ici. Michèle, qui t'a dressé, m'a indiqué qu'elle n'aurait aucune difficulté à te placer, que tu étais un esclave totalement brisé et que tu n'étais fait que pour servir et aussi souffrir, qu'il ne fallait pas hésiter à se lâcher avec toi, que jamais tu ne te rebellais. Tant mieux car avec moi cela se passerait très mal.

C'est tellement d'information encore pour moi à la fois. La seule chose qui revient en boucle c'est que Sophie est là, que je vais passer ma vie à ses pieds, que je lui appartiens. Je suis tellement, tellement heureux. Je ne sais comment le lui exprimer, sinon en me frottant à ses jambes et en embrassant ses pieds. Elle rit, me traite de bon toutou, me rappelant mon surnom prémonitoire à Miami.

A sa demande, je me redresse, la tête toujours rivée sur ses pieds. D'une main gantée elle me saisit mon sexe tendu comme un arc, me le masse doucement ainsi que mes couilles. Je n'ai que le temps d'avoir envie de jouir qu'une douleur profonde étreint tout mon sexe et mes couilles. La crème qu'elle y a étalée me brûle de froid de façon terrible. Il n'y a qu'avec mon dressage que j'accepte la douleur, ne bronche pas, ne gémit pas. Elle m'ordonne de la regarder, je ne peux soutenir son regard tant je suis ébloui et impressionné. Je sens comme elle m'observe intensément.

Mon sexe est rétréci comme jamais et mes couilles presque rentrées dans les chairs. La douleur ne s'estompe pas. Elle m'indique avoir voulu elle-même m'enfermer définitivement. Après mure réflexion, car elle apprécie beaucoup mon sexe, mais la discussion avec Michèle l'a convaincue qu'un toutout comme moi n'avait pas à jouir, ni même à posséder un pénis. Sophie aura tous les hommes, les vrais, qu'elle voudra, moi je ne suis qu'une petite chienne à sa Maîtresse. Malgré la douleur cette humiliation m'excite au plus haut point. Ne plus jamais jouir! N'avoir connu presque que Sophie sinon cette serveuse au club. Je suis complètement disloqué de me sentir ainsi rempli et apaisé. Je suis tout à elle et ce sans aucune limite je le sais bien. Mes marques, impressionnantes sur le dos, explicites autour du cou en sont l'expression.

Elle ferme une fine ceinture métallique qui suit le contour de mes hanches sur un anneau glissé au niveau de mon pénis. Il est vraiment petit et serré, malgré le fait que déjà je suis minuscule à cause du froid intense que je subis. Sophie introduit une longue tige dans le méat de mon sexe, je la sens qui progresser loin, tandis qu'un tube vient se fixer sur l'anneau. Mon sexe est complètement invisible dans le tube, seul émerge un trou dans la tige qui me pénètre profondément. Sophie m'indique que ce dispositif me permet de rester toujours propre, que je n'aurais pas l'occasion d'enlever cette ceinture. Le dispositif de sécurité est d'ailleurs sans clé, c'est dire. Je tremble de tous mes membres, c'est tellement fort, j'ai tellement envie d'elle, de jouir, de la faire jouir, de la toucher. Mais bien entendu je ne bouge pas, sinon pour baiser ses pieds avec toute la ferveur que je peux y mettre. Maîtresse Sophie, je ne peux plus penser à elle qu'ainsi, me flatte la tête satisfaite de ma réaction.

J'enfile un short et un polo, des tongues et nous voici dans la limousine. Je suis à genoux sur le plancher, collé contre les jambes de ma propriétaire à découvrir comment elle m'a retrouvé. Avant de partir, elle m'a rempli d'un gode métallique très épais qui me distend comme j'en ai l'habitude. Il est sécurisé par une tige au niveau de ma ceinture de chasteté. Je me demande comment je vais pouvoir passer les portillons métalliques avec tout cela. Je suis au comble du bonheur. Comme Michèle l'avait indiqué à Sophie, j'émerge progressivement de cette stupeur et terreur qui m'a rempli en arrivant à l'hacienda. Je retrouve mes souvenirs, quelques pensées cohérentes. Des envies surtout, et là c'est d'être collé à Maîtresse Sophie toute la vie. Apparemment c'est le programme, ou presque.

- Pendant les quelques semaines où nous sommes restées toutes les 4 à Miami, j'ai fait une fête pas possible, un homme différent tous les soirs, c'était très enrichissant. Mais, sans que tu ne te gonfles d'un orgueil mal placé, je pensais à mon toutou et je savais bien que c'était toi que je voulais. Tu te souviens comme tu m'as promis que tu étais tout à moi? Et bien voilà, c'est effectivement le cas.

- Cela ne vient pas de nulle part. Je vais te raconter. Mais en rentrant de Miami je décide de t'appeler tout de suite. Je calcule que tu n'es pas encore rentré de Rio, mais je veux être certaine que tu es bien restée dans le même état d'esprit. Cela dit je n'ai pas grand doute, tellement tu étais soumis et déjà en adoration! Je tombe d'abord sur ton répondeur, et je laisse un message te demandant de me rappeler. C'est un inconnu qui me rappelle, Pierre, me disant que tu t'es absenté tout un mois en stage et que tu ne pourras pas me rappeler avant.

- Je suis surprise, je lui demande pourquoi il a ton téléphone, pourquoi tu es parti comme cela, un stage de quoi? Ce à quoi il me demande si je suis bien la Maîtresse dont tu lui avais longuement parlé! Evidemment le mot Maîtresse a résonné chez moi, mais nous n'avions pas établi clairement une telle relation. Je lui demande de préciser et là il te dévoile, disant que tu es un jeune homme soumis qui s'ignore, que très clairement tu m'appartiens, qu'il comprend que je suis une Maîtresse dominante, et m'apprends que tu es parti en stage de dressage pendant un mois! Je suis interloquée.

- Du coup je lui explique que effectivement je suis une femme dominante, que j'ai un soumis plus âgé déjà mais que je te veux toi totalement et que c'est pour cela que je t'ai repéré dans l'avion. Je suis ravie que dans ton esprit et celui de Pierre je sois ta Maîtresse, cela me convient bien. Mais je ne comprends pas pourquoi le stage de dressage.

- Pierre m'indique que tu es plus un esclave qu'un soumis, si je perçois la différence. Oui je la connais la différence. Et qu'un stage te permettra d'être bien à ta place, de découvrir ce que tu es, et de vivre ainsi.

- Je lui demande des informations complémentaires qu'il ne peut me donner, ne connaissant pas particulièrement les détails. Il me dit qu'il est hédoniste pas sm et que c'était vraiment pour toi, et finalement moi, ce stage. Et là il me demande si j'ai encore des vacances. Je commence mon nouveau boulot le 15 septembre aussi il me propose de m'envoyer un billet en première classe pour Sao Paulo, de me faire découvrir l'hacienda et, si j'ai envie, un stage de dominatrice pour moi. Il m'indique tout de suite qu'il prend tout en charge, et que le séjour est de l'hôtellerie 5 étoiles en plus des dimensions sm que je devrais adorer.

- Un billet en première classe, je trouve cela dingue. Je ne sais pas pourquoi mais je trouve Pierre très sympa et attirant. D'un coup de tête je dis oui. Et me voici dans les salons d'AirFrance, comme une star, chouchoutée comme pas possible. Nous sommes juste 4 en première classe et le steward ne résiste pas longtemps à mon désir exacerbé depuis cette discussion. Je réalise que je vais posséder mon premier esclave à temps plein, dont je rêve depuis que j'ai 8 ans. Cela m'a toujours semblé une évidence, et ce n'est qu'en grandissant que j'ai réalisé que c'était un peu plus compliqué que je ne l'imaginais enfant! Tous mes récits et histoires imaginaires étaient autour de ce thème.

- Je suis resté deux jours avec Pierre, nous avons passé notre temps à baiser, c'est un amant extraordinaire, et j'ai joui tellement fort quand il m'a raconté tout ce que tu avais vécu. Mon pauvre toutou.

- L'haciendas a deux visages. Celui que tu connais, et l'autre qui est une maison d'hôte, avec piscine et service pléthorique par des esclaves males et femelles. Tout est permis avec eux, et le luxe suinte partout. La nourriture est démente, tout comme le confort. Quand j'ai découvert ce que tu subissais ma réaction a été plutôt négative. Je suis dominante, pas sadique. En fait c'est ce que je croyais. Mais quelques jours plus tard, quelques échanges avec les autres Maîtresses, et j'ai pu développer cet aspect de ma personnalité que j'avais un peu caché. En effet à mes 8 ans, je me suis souvenu comme j'adorais torturer mes petits cousins, et cela a duré très longtemps. D'un coup cela m'a manqué.

- Je me suis entrainée à plein de choses sur les esclaves présents et atteint un autre niveau de plaisir orgasmique dans le sadisme et la domination extrême. Pendant ce temps je te voyais t'enfoncer dans ton masochisme et ta dévotion. Pas encore à moi, je me doute que tu étais tellement contraint que tu ne pensais pas à moi. Mais nous avons toute la vie pour que tu sois en totale et permanente dévotion, je vais m'y atteler.

- J'ai aussi bien compris ce qu'était le dressage et comment tenir une chienne comme toi. Vois tu quand Michèle m'a montré comment tu faisais un service impeccable à table, je me suis dis que tu étais bien dressée. Elle m'a détrompée, m'indiquant que tu venais de passer la phase d'apprentissage, mais que le dressage commençait. Tu as du faire le même service avec la même qualité, les couilles étirées par des poids de 6 kgs. Puis avec 2 kgs sur chaquet téton. Sans montrer le moindre signe de souffrance ou de gêne. Tu as du t'entraîner et subir de violentes punitions. Puis cela a été avec un corset serré bien trop fort et un gode énorme en toi. Enfin avec toutes les contraintes en même temps. Michèle m'a indiqué qu'ainsi tu apprenais à t'offrir pleinement aux contraintes et sévices de ta Maîtresse, pour les intégrer et les accepter, et ne plus être tourné que vers le service que tu devais donner, en t'oubliant parfaitement. Ce n'est qu'ainsi que tu es pleinement esclave et cela me plaît de penser à toutes les souffrances et contraintes que je vais te faire subir. J'ai un petit carnet où je note mes idées, mais Michèle m'a aussi donné une brochure assez complète, avec des pratiques incroyables. Comme ces esclaves qui se font clouer les couilles ou suspendre par leur paquet. Ceci étant je ne trouve pas cela très esthétique.

- J'ai choisi sur un catalogue humain, les esclaves présents, ce que je voulais pour toi comme marques. Je suis heureuse que tu sois totalement lisse et épilé, je pourrais éventuellement de mettre les perruques que je veux. Tu es assez androgyne, je vais jouer à la poupée avec toi. Tu seras superbe avec des hauts allons et un corset en cuir très, trop, serré.

- J'ai envie que tu souffres à chaque instant, que tu saches que je suis la seule qui puisse alléger tes souffrances, mais que par caprice, je peux au contraire t'emmener encore plus loin dans l'abandon et le don de ton corps. Je te veux suspendu à mon souffle, n'existant que par et pour moi, qu'aucune autre pensée ne traverse ton esprit.

- J'ai beaucoup appris pendant ces deux semaines. Et si là tu es avec si peu de contraintes, dès que nous serons à Paris, tu reprendras le dressage comme à l'haciendas, et sans aucune perspective de fin, ce sera ta vie désormais. Et ton bonheur sera le mien, car j'ai bien compris que c'est ainsi que tu fonctionnes.

- Et je vois que cela te plaît quand ton pubis est tout gonflé d'une érection qui ne peut plus sortir. Pour t'exciter encore plus je te donnerai des hormones masculines, tu deviendras encore plus dingue de désir et de ne pas pouvoir jouir. Et puis un jour, je basculerai, ce seront des hormones féminines, pour t'affiner, que tu sois toute sensible, peut être faire de toi une vraie et belle petite chienne avec de grosses mamelles.

- La vie est belle tu ne trouves pas? mmmhhh oui tu as l'air bien d'accord. Bouge la tête pour me dire si tu es profondément heureux. Si tu dis non, on en reste là, je te libère de tout. Et si tu dis oui, il n'y aura plus de retour en arrière. Tu me regardes et tu bouges la tête.

Mon dieu! Dans quel état indescriptible je suis. Fasciné par chacun des mots de Maîtresse Sophie. Je les bois comme un nectar divin. Je suis tout à elle, je le sais très bien, il n'y a rien d'autre qu'elle. Je hoche la tête pour dire oui, mille fois oui, oh que oui. Surtout ne me laissez pas. Je suis tout à vous.

- Bien ton sort est scellé, j'aime ton enthousiasme. Nous allons rentrer à Paris, toi en classe sardine bien entendu, j'espère retrouver mon steward en première classe! Tu vas voir tu vas adorer me voir baiser avec tous les hommes et les femmes que je voudrais, toi tu seras toujours là juste pour mon plaisir, sentir ta frustration!

- Imagine que Pierre m'a proposé un boulot, d'être sa représentante à Paris pour toutes les questions financières de ses clients à Rio! C'est plus intéressant que la banque! J'ai un salaire du double et nous avons une petite maison dans le 13ème, avec un très grand sous-sol que je vais aménager dans un donjon pour te supplicier longuement. Et peut être aussi des clients qui sait? J'ai envie d'explorer le côté sombre de ma personnalité.

- Oh j'ai trop envie de te battre, j'ai hâte.

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3 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Très belle histoire avec une belle progression et de beaux personnages ! Merci !

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Sa nouvelle Maîtresse est donc bien Sophie, la belle inconnue qui avait joué avec lui à en faire son toutou.

Sûr qu'après son stage de dominatrice à l'hacienda elle maîtrise toutes les facettes de la domination d'un esclave, et lui n'est plus que son jouet avec qui elle va pouvoir laisser libre cours à toutes ses fantaisies, perversités et pulsions sadiques

OlivX

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Très belle fin. J'ai adoré de bout en bout.

Rudy

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