Si tu vas à rio -- Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Nous déjeunons à l'ombre des parasols et je regarde toutes les serveuses rempli de désir, je me sens tellement en manque. Pierre me fait goûter du crabe et la tête me tourne un peu avec le vin blanc que nous buvons ensemble. Nous ne mangeons que cela et j'ai encore faim, mais Pierre ne me laisse pas commander autre chose, ni même prendre un dessert ou un café. Décidément je n'ai pas beaucoup de libre arbitre avec lui. Je vais faire la sieste au bord de la piscine pendant qu'il va jouer au tennis. Avant de partir il demande à la même métis que la dernière fois de me faire un massage spécial dans la salle de massage et me murmure à l'oreille que je n'ai pas le droit de jouir.

Je le regarde interloqué, à la fois par la suggestion que je pourrais jouir, mais aussi par l'interdiction très ferme qu'il exprime. Il me rappelle que j'appartiens à Sophie, ou alors ma situation a changé. Non rien n'a changé mais je ne sais même pas si je la reverrai un jour, probablement pas, je n'en vaux pas la peine. Mais Pierre réitère son ordre et docilement je lui promets que je ne jouirai pas malgré mon désir insensé comme je n'en ai jamais eu.

Après avoir dormi une bonne heure à l'ombre des parasols, je suis la divine masseuse dans une salle sombre aux couleurs douces. La table de massage trône au milieu de la pièce. Je m'allonge nu sur le ventre, et me rendort à moitié sous les mains expertes de la jeune femme. Mon esprit divague et les images sont de plus en plus érotiques, tout comme son massage sur mes fesses et l'intérieur de mes cuisses. Mon sexe est tout dur, mais elle semble l'ignorer. Sans que je sache comment je réalise que ses doigts massent mon anus bien assoupli par la sodomie de Pierre ce matin et la sensation est vraiment délicieuse.

Je ne la vois pas mais son image est bien présente dans mon esprit. Sa peau café au lait est d'une douceur incroyable, tout comme ses mains qui me caressent plus qu'elles ne me massent. Elle a les cheveux très bouclés qui encadrent un visage ovale avec de grands yeux à l'éclat sombre qui m'envoutent : j'ai l'impression de tomber dans un puits sans fond rien qu'à la regarder. Je pense que ses seins ont été augmentés tant ils jaillissent de chaque côté du bikini réglementaire du club. Ils donnentt envie de les prendre à pleine main, ou même de les téter. Rien qu'à cette idée je sens des tressaillements dans mon sexe négligé.

D'un simple mouvement de la main, elle me fait comprendre que je dois me retourner, et c'est avec délice que je me mets sur le dos pouvant alors bien mieux la voir. Les massages reprennent, tandis que mon sexe est tendu à la verticale. Je dois avouer que je l'aime bien, il est simple, pointe bien droit, plutôt épais et d'une bonne taille. J'en suis assez fier depuis que Sophie m'a dit bien l'aimer. Tout en me massant les épaules, la jeune femme penche sa tête sur mon torse et se met à sucer doucement mes tétons, l'un après l'autre. Je ne connaissais pas la sensation, et je découvre que c'est une zone des plus érogènes, au moins chez moi. Les lèvres laissent la place aux dents, elle me mordille doucement, arrachant de premiers gémissements incontrôlés chez moi.

J'ondule de désir, c'est vraiment diabolique. Elle sert encore plus fort, je ne sais plus si c'est douloureux ou jouissif, je sens la douleur mais elle m'envoie des décharges électriques, mon corps est parcouru de spasmes, j'ai l'impression de jouir sans éjaculer, c'est très fort, incontrôlable, je plonge mes yeux dans les siens, je la vois sourire, ravie de l'effet qu'elle me procure. Sans quitter mon regard elle se relève et détache son soutien-gorge, libérant sa poitrine qui est encore plus excitante que je ne pensais. La masse des seins ondule sur son torse, illustrant sans nul doute qu'ils sont bien vrais, plein de vie et plein de sève. Ses auréoles sont très sombres et ses tétons tout ronds et plutôt petits comparés à ceux de Sophie. Je n'ai pas beaucoup de point de comparaison non plus! Elle les prend à pleine main, se les masse devant mes yeux exorbités. Je n'ose tendre la main, ni même la toucher.

Je n'ose pas toucher mon sexe non plus, pourtant qu'est-ce que j'ai envie de jouir du spectacle. Elle reprend alors le massage, mes yeux sont fixés sur ses seins qui pendent lorsqu'elle est penchée sur moi. Je me demande si Pierre a déjà eu les faveurs de la belle métisse. Mais vu comment elle le traite, je pense que oui. Les mains descendent plus bas en se rapprochant de la base de mon sexe, avant de caresser doucement mes couilles, qu'elles serrent doucement. J'ai peur qu'elle ne me masturbe, je ne saurais pas me retenir et du coup devrais désobéir à Pierre. Je suis écartelé entre cette envie et cette interdiction.

C'est alors qu'elle se recule et fait glisser son slip sur ses cuisses, dévoilant son sexe complètement épilé sauf une mince rangée verticale de poils. Ses lèvres très foncées ressortent entre ses cuisses. Je pense à Sophie et son sexe très discret, lui aussi épilé, mais que je distinguais à peine, comme celui d'une jeune enfant. Là c'est bien autre chose, j'ai le sentiment que cela exprime une sensualité et une sexualité exacerbées, comme si toute l'énergie sexuelle de cette femme était ainsi rendue visible. Elle approche sa bouche de mon gland qui est presque violet à force d'être rempli de désir, et le lèche doucement non pour m'exciter mais pour bien le mouiller. Elle grimpe sur la table, se met à genoux et vient s'empaler doucement sur mon sexe tout dur. Je hurle de plaisir, son sexe est chaud, tout humide, elle me masse avec ses muscles, la sensation est délirante. J'ouvre les yeux pour croiser son regard narquois, mais aussi pour admirer sa poitrine fantastique qui oscille doucement.

C'est alors qu'elle me dit ses premiers mots dans un français maladroit et très chantant, comme seuls les brésiliens savent le faire, me rappelant que je ne dois pas jouir, ce qui la fait très fortement sourire. Car elle se met à faire des allers et retours sur mon sexe tendu à l'extrême, tout en comprimant en rythme ses muscles pelviens. Il ne me faut pas dix secondes pour littéralement exploser et jouir dans des soubresauts effrénés. J'ai des taches dans les yeux, et je me sens vide de toute énergie. Je la vois rires et se retirer de moi avant d'aller dans un petit cabinet de toilette attenant. Je suis encore groggy sur la table quand elle revient, rhabillée de son bikini et toute fraîche.

Je rejoins ma chaise longue dans un état second, tandis que Pierre m'y attend. Il demande à la masseuse si tout s'est bien passé, et elle lui dit que je n'ai pas été sage et que j'ai joui. Je regarde Pierre un peu penaud, et je suis surpris de la colère que je lis dans son visage. Je pensais qu'il serait amusé que je n'ai pu me retenir mais au contraire il semble être vraiment déçu que je n'ai pas résisté. Je me demande s'il sait ce qu'elle a fait pour me provoquer, mais je n'ose me justifier. Il se retourne vers la métisse et lui dit que je mérite une punition! Je n'en crois pas mes oreilles. Pourtant je le suis quand il me demande de retourner avec lui et la métisse dans la salle de massage pour y être puni.

Penché sur la table de massage, je dois baisser mon maillot de bain. Je me fais l'effet d'un petit garçon qui est puni comme je l'étais quand j'étais jeune. Pierre me sermonne, me demandant pour qui je me prends, m'insultant en me disant que je ne suis qu'une petite pute qui ne prend du plaisir que quand elle a le droit, que j'abuse de son hospitalité et sa générosité, que je ne suis qu'un queutard. Je me sens bouleversé d'un coup, je ne comprends pas pourquoi mais je sens bien que j'ai fait quelque chose de grave, je m'en veux. Il me demande si je comprends pourquoi je dois être puni.

Je lui dis oui parce que je comprends qu'il est en colère et rien que pour cela je dois être puni je pense. Mais c'est si difficile pour moi de ne pas jouir, surtout après m'être ainsi retenu 10 jours. La jeune femme sort du cabinet attenant avec une longue tige d'un mètre qui me semble d'un coup menaçante. Pierre me dit qu'elle va m'en infliger 10 coups sur les fesses puisque je lui ai manqué de respect en jouissant et en plus sans même lui donner le temps à elle de prendre son plaisir. Je ne dois pas bouger sinon elle recommence. Je retiens mon souffle, je me prépare à avoir mal mais je me jure bien de ne pas bouger. Le sifflement précède la brûlure qui me coupe les fesses en deux. Je n'ai même pas la force de crier, je me retrouve à genoux à pleurer, en apaisant la morsure de la canne par mes deux mains sur mes fesses.

La sensation est atroces, je ne trouve pas cela drôle du tout, quand j'étais battu jeune ce n'était pas si douloureux. Humiliant certes, mais pas si douloureux. Le silence se fait, Pierre et sa complice attende. Je réalise que j'ai bougé et je reprends en tremblant ma punition. Pierre me rappelle alors que nous recommençons à zéro. Je me demande comment je vais pouvoir faire. Même sifflement, même brûlure, je suis à nouveau à terre en pleurant à chaudes larmes incapable de résister à la douleur. Pierre me dit que si cela continue je serais attaché mais alors j'aurais 20 coups. Je comprends que je dois me conditionner, je me replace, je me répète de ne pas bouger, de ne penser à rien, de refuser la douleur. Le sifflement, la brûlure, cette fois-ci je ne bouge pas, je suis tellement fier. Mais c'est tellement difficile, la brûlure se diffuse et ne se calme guère alors que retentit déjà le coup suivant. J'en suis à huit, mes jambes tremblent, je sens mes fesses brûler comme jamais, les larmes coulent sans que je ne fasse rien pour les retenir. L'avant dernier coup me surprend et je suis à deux doigts de tomber à nouveau. Elle a frappé le haut de mes cuisses, moins fort j'en suis certain car le sifflement était à peine perceptible, mais la douleur est tout aussi atroce. Un dernier coup un peu en dessous, mes deux cuisses sont elles aussi marquées de cette canne, je suis prostré sur la table à masser.

Pierre me demande de remercier la masseuse pour sa punition. Je me retourne, j'hésite, Pierre me dit de me mettre à genoux et d'embrasser ses pieds, je le regarde, puis j'obéis. Elle porte de fines sandales blanches à talon, ses ongles de pied son vernis, ils sont très jolis, je les embrasse, les effleurant à peine de me lèvres, je ne sais si je dois faire un vrai baiser, les lécher. Je l'entends qui rit, parle en brésilien clairement pour se moquer de moi car tous deux rient en cœur. Pierre me relève, jovial, toute trace de sévérité a disparu, il m'appelle fiston, me fait regarder mes marques sur les fesses et sur les cuisses. C'est impressionnant, je peux compter chacun des coups qui a été donné à un endroit différent, les marques sont rouges foncés. Je réalise avec honte que les deux marques sur les cuisses seront visibles en short ou en maillot de bain, sans comprendre que c'est la raison pour laquelle elles ont été données là pour m'humilier à la vue de tous. Nous retournons à la piscine, je suis épuisé déjà de cette journée.

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3 Commentaires
Vanessatv30Vanessatv30il y a 10 mois

C est naturel d obéir sans condition à son Maitre quoiqu il décide ! Sinon la punition est immédiate et parfaitement justifiée ...

AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Belle perversité... ce séjour promet

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Bien écrit, comme à chaque fois. Une seule envie: connaître la suite!!!!

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