SAP&cie 05

BÊTA PUBLIQUE

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- Et tu connais l'expression du soir "un suppo et au lit"? Et bien, dans ton cas c'est "pas d'dodo avant la sodo". Car tout comme les suppositoires, qui sont des médicaments dont les principes actifs sont absorbés par la flore intestinal, une bonne dose de sperme dans ton cul ne feras que du bien à celle-ci et te préservera de la constipation, des maux de ventre et équivaudra à une bonne séance de sport, c'est extrêmement important ces petits détails. Ce sont des plus qui font toute la différence. Bruno n'était pas au courant ma Belle? C'est vrai qu'il n'est qu'un amateur. T'as pas osé lui dire? C'est ça?

Pour une fois, elle fit non de la tête.

- Mmm, je comprend. Eh bien il faut y remédier au plus vite. Comprends-moi ma chérie? Sinon, ce n'est pas la peine que l'on continue, dit-il avec une moue contrite. Tu es bien motivée et toujours prête à faire ce qu'il faut pour être un putain d'exemple pour tout le monde et par conséquent devenir un objet de désir pour tous les hommes et de jalousie pour les femmes ordinaires?

À ce moment, elle pensa immédiatement à son père qui était le premier dont elle voulait absolument qu'il soit fier! À la maudite Jena qui lui avait volé son premier amour grâce à son charme et parce que, elle, elle n'avait pas été à la hauteur. À Bruno la source de sa résurrection sa vie son future et à Dylan prêt à investir en elle sans retenue comme aujourd'hui. De fortes émotions l'envahirent alors. Penser à toutes ses personnes fit converger la vision de son avenir vers un seul but, Dylan devait faire d'elle un exemple, un modèle, un objet à contempler, un mannequin grâce à son physique et de la sorte, elle devait accepter et devenir un fantasme, un symbole parfait de concupiscence.

- Oh OUI coach, dit-elle acceptant tout ce qu'il disait car elle était également soulagée qu'il ne soit plus en colère et qu'il la regarde ainsi avec tellement de gentillesse après cet accès de colère.

- Ok ... Ok ... T'en fais pas Jessie chérie, je vais prendre soin de toi, tu es ma chouchoute tu sais, je vais tout faire pour que tu deviennes celle que tu dois être. Tu n'auras qu'à te laisser guider, à laisser Bruno et moi nous occuper de notre Jessie chérie. Tu n'auras qu'à t'investir à fond, au maximum et au delà. Donne-moi le numéro de ton Bruno, je vais le briefer pour qu'il fasse ce que tu lui demanderas, que c'est ton choix, ta volonté la plus profonde. Si il t'aime vraiment il te donnera son sirop de mâle tous les matins et s'occupera de ton cul aussi souvent que possible. Même si il pense que le sexe anal c'est pour les pédés et les chiennes et que tu n'en ai pas une pour lui. Il le fera parce que tu l'autorisa à cette occasion de te traiter ainsi. Il le fera parce qu'il t'aime vraiment et que c'est pour ton bien.

Depuis ce jour, et pour le grand bonheur de Bruno, le quarantenaire, chaque matin, la petite Jessica suçait soigneusement le gros sexe de son homme pour aller chercher son petit déj de championne. Elle avalait une bonne dose de vieux sperme dont elle trouvait le goût et la texture écoeurante mais c'était celui de son homme et c'était son devoir. Ils partaient tous les deux au travail le sourire aux lèvres, l'un les couilles vidées, l'autre satisfaite d'avoir le ventre plein de sa potion magique.

Le soir, le chef de chantier chevauchait sans scrupule sa jeune et incroyablement naïve et belle petite amie comme une chienne car elle lui avait assuré que c'était ce qu'elle voulait. "C'est pour mon bien mon amour. Tu as le droit de me prendre comme une chienne, ne t'en fait pas, ça fait partie de mon entraînement."

C'est elle qui le priait de le faire quand il disait être trop fatigué. Elle faisait alors tout le travail, elle s'empalait doucement puis vigoureusement sur son engin de démolition anal et s'allonger contre lui en le remerciant une fois qu'il s'était vidé en elle.

Elle prenait son investissement dans le ramonage de son cul pour une preuve d'amour. De plus, il acceptait gentiment de prendre du temps le week-end pour s'occuper de son corps avec le masque de nuit et les écouteurs et elle jouissait entre ses mains, ses lèvres, son sexe dans tous ses orifices plus puissamment que la première fois sur la table avec Dylan.

Elle l'avait vu éprouver un plaisir incroyable lorsque, sous sa demande, il s'était occupé de son minuscule petit trou, bien propre à l'extérieur comme à l'intérieur, pour la première fois. Sa petite rondelle au milieu de son fessier de plus en plus bandant et qui n'avait jamais subi d'intrusion jusque là. À part le doigt de Dylan. Il s'en était donné à coeur joie, jouant avec, le léchant encore et encore durant plusieurs minutes car elle s'était laissée mettre dans une position de vilaine gamine subissant une punition. Son ventre sur les genoux de Bruno alors qu'il était assis confortablement sur le canapé, elle lui offrait son cul. Son petit trou du cul appartenait à son homme et il en profitait, crachant dessus, introduisant doucement un doigt, de plus en plus profondément. Il s'amusait avec. Il le retirait le remettait. Un doigt puis deux. Il lui donnait ensuite ces même doigts à lécher pour les réintroduire. Lui donnait des petites tapes en lui disant.

- Alors c'est ça que tu veux ma petite chienne? Tu dis que c'est pour ton bien? Tu vas voir à quel point c'est pour ton bien. Ton cul va remplir son rôle de garage pour ma bite!

En entendant et en acceptant ses mots, elle fit taire les dernières manifestations de la Jess d'autrefois. Contrairement à ce qu'aurait pu croire Jess, on peut dire que les premières sodomies avaient été bien moins douloureuses que ce qu'elles auraient due être et ce qu'elle-même craignait qu'elles soient. Quand il entreprit de lui enfoncer son gros et long chibre, elle s'était rappelée des paroles de Dylan, "Si tu n'arrives pas à te détendre, pousse! Comme pour toutes tes sodomies avec des gros engins! C'est la même technique". Cependant, la taille du sexe de Bruno était telle, qu'au début, elle ressentit tout même quelques douleurs. Son coach lui avait bien donné des directives mais dans des termes scientifiques qu'elle ne comprenait pas complétement. Alors il lui avait dit simplement :

- Écoute c'est comme le sport, ça fait mal au début mais après tu ne pourras plus te passer de ce plaisir. Et dans la vie, y a pas de secret. Il faut s'entraîner et souffrir pour devenir meilleur ...

Alors pour illustrer son discours, il lui avait gentiment proposé d'exercer son petit trou avec des sex-toys de formes et de tailles différentes lors de ses séances de récupération/détente sur la table de massage avec le masque de nuit et autres objets afin qu'elle apprenne à prendre du plaisir sans douleur à la sodomie.

- Je suis prêt à faire ça pour toi. Même si je dois te consacrer encore du temps, je veux bien entraîner ton cul spécialement, pour t'éviter des douleurs. Ça ne peut qu'être bénéfique à notre travail, avait-il dit.

Après avoir beaucoup hésité et après avoir demandé l'avis de Bruno qui l'encouragea à accepter, puisque c'est elle qui voulait devenir spécial, elle donna son consentement. Depuis deux mois, trois fois par semaine, ses séances de récup fut alors complétées par des insertions de sex-toys dans son trou du cul à différents moments, dans de nombreuses positions différentes, de tailles et de formes différents qui étaient souvent suivies par une gorgée de cocktails qu'elle avalait avidement. Mais malgré cet entraînement, encore aujourd'hui, Bruno devait s'employer pour lui introduire le dernier quart de son énorme membre. Son coach lui avait encore répété qu'il fallait souffrir pour réussir, il lui avait aussi donné des exercices à faire avant, pendant et après l'acte, comme remuer son bassin en faisant des ronds, détendre ses sphincters lors des pénétrations, une fois fini contracter son trou du cul afin qu'il reste bien serré pour les prochaines fois, de même pour son périnée

.

Nécessité faisant loi, elle demandait à Bruno de ne pas l'épargner et de lui enfoncer chaque jour encore un peu plus de son pénis d'une taille et d'une épaisseur comparable à celles d'une très grosse banane ou plutôt d'une petite courgette dans son superbe petit cul qui redevenait bien serré après ses exercices. Bruno, quant à lui, ne tarissait pas d'efforts pour accomplir la volonté de sa naïve beauté.

Au bout des trois mois entre les mains du coach et de Bruno, Jessica était devenue une bombe sexuelle. Son corps s'était affiné, disparu le peu de cellulite. Ses jambes étaient maintenant fines et paraissaient encore plus longues qu'avant. Mais le plus impressionnant étaient ses fesses. Son cul était devenu incroyablement irrésistible, pas un gros cul à la Kardashian, ni trop musclé comme les bodybuildeuses, mais bombé comme il le fallait.

Bruno n'y résistait pas. Jessica était ravie. Elle prenait avec un plaisir immense l'investissement de son homme s'afférant à besogner son anus. Pour couronner le tout, ce matin, pour la première fois, son petit trou avait fait disparaître la totalité de la grosse queue de son Bruno, et ça, quelque soit la position qu'il avait utilisé pour la défoncer. Elle avait ressenti un plaisir encore jamais atteint tellement elle était fière d'elle. Son orgasme n'avait jamais été aussi puissant et elle n'avait qu'une seule envie, recommencer.

Oui, recommencer, car ce n'était pas vraiment son corps qui avait le plus changé mais bien l'image qu'avait Jessica d'elle même. L'image qu'elle se faisait du sexe qui était devenu une pratique indispensable. Mais aussi l'image qu'elle avait de l'exhibition devenu normal qu'elle faisait de son corps surtout à la salle de sport accueillant de plus en plus de nouveaux membres.

Par l'intérêt de Bruno, par l'entrainement du coach, elle remarquait enfin quel objet de désir elle était pour tous les hommes et dont elle avait toujours été la cible, sans s'en rendre compte. Maintenant, elle était excité par les regards des autres car ils signifiaient que son père devait la regarder aussi et elle voulait en faire encore plus afin d'être prise en exemple et de rester cet objet de convoitise dont ne pouvait qu'être fier son Papa.

Jessica, telle la déesse qu'elle était en cette matinée d'été, se sentait éblouir et honorer les gens par sa présence. Elle pensait aussi à ce qu'avait dit Bruno ce matin. Cette conversation qui l'avait tellement exaltée qu'elle s'en était empalé avec détermination jusqu'à ce que son cul engloutisse en totalité la monstrueuse queue de Bruno. Cette même conversation qui l'avait amenée à sauter un nouveau pas dans sa tête. Conversation qui lui donnait d'autant plus envie de s'exhiber fièrement, sans retenue. Elle tenait d'une main la barre de maintien du tramway presque bondé dans lequel elle se donnait en spectacle et de l'autre elle faisait semblant de consulter son téléphone laissant ainsi les gens banals et ordinaires l'admirer.

Du coin de l'oeil elle les voyait admirer son ventre plat, ses abdominaux légèrement dessinés, admirer la cambrure de ses reins et surtout ses fesses rebondies dans son mini-short rose moulant.

Cependant, elle ressentait un sentiment d'inachevé dans sa démonstration quand à la perfection de son corps, car en temps normal, son court débardeur à liens noués sur les côtés, qu'elle portait habituellement sans rien dessous, aurait prouvé à ses gens quelconques de la générosité de ses seins qu'ils auraient pu largement voir de profil. Mais aujourd'hui, son coach lui avait ordonné de mettre un bikini sous ses vêtements pour exécuter, pour la première fois, les tâches dont elle devait s'acquitter chez le grand-père de ce dernier, le Big Boss, en contrepartie de son inestimable coaching, comme convenu par le Deal. C'était à elle maintenant d'être à la hauteur.

En effet, la rencontre de Dylan Pierce et de Jessica Kihdja ainsi que leur accord était surprenant. Il y a trois mois de ça, coach Dylan et elle, avait passé un accord. Elle n'avait évidemment pas les moyens de se payer le coaching d'un tel crack. D'ailleurs, elle n'avait même jamais entendu parler de lui. Prouvant encore son ignorance. Pourtant, un matin, un homme grand, crâne rasé, muscles saillants, bronzé, très imposant et charismatique avait débarqué dans son humble salle de sport. Celle de l'ami du sous-directeur. De nombreux murmures avaient suivi son sillage sans que Jessica ne comprenne pourquoi. Quand elle avait su qui il était et que le soir Bruno avait confirmé qu'il était un grand coach privé, un fameux coach des stars en lui montrant un blog sur internet, elle avait rêvé toute la soirée et revécu ce moment en l'imaginant l'aborder, se vit minauder et le séduire comme aurait pu le faire Jena afin qu'il lui propose de la coacher gratuitement parce qu'elle avait du potentiel.

Ce n'était malheureusement qu'un fantasme. Pourtant, le lendemain, elle fut convoquée dans le bureau du sous-directeur Kahlouf. Elle avait cru défaillir lorsqu'en entrant, elle se retrouva nez à nez avec le coach DP.

- Bonjour Jessica, je vous présente monsieur Dylan Pierce, ou coach DP pour ses clients célèbres, avait introduit M.Kahlouf. Cet homme très occupé m'a déposé une requête que j'ai acceptée. Son vieux grand-père maternel de soixante-treize ans qui habite non loin d'ici aurait besoin d'une ou deux auxiliaires de vie particulière dans trois mois. Il est très exigeant, autoritaire et misogyne. Il considère les femmes comme inférieures. Sûrement due à ses origines saoudiennes et à son passé militaire. Il est surnommé le Big Boss. Il ne veut pas du roulement d'auxiliaires qui est normalement la règle de l'association. J'ai pensé à de nombreuses auxiliaires mais ça s'annonce difficile d'intervenir chez lui. Il me faut donc une auxiliaire agréable, compétente et au physique avantageux et comme Monsieur Pierce a proposé en contrepartie de cette faveur un coaching particulier de trois mois à l'auxiliaire qui accepterait ce deal, j'ai immédiatement pensé à vous puisque vous fréquentez la salle de sport de mon ami Rachid, qui a d'ailleurs également dirigeait coach DP vers moi. Et je pense que ça vous fera du bien.

L'homme imposant prit alors la parole et avait posé les bases de son autorité indiscutable.

- M.Kahlouf m'a dit que vous êtes déjà aux faits de la rudesse des exercices physiques. Ça se voit. Vous avez en effet du potentiel, avait-il dit en la détaillant devant et derrière sans gêne. Mais avec moi ce sera une autre story! Il vous faudra être disciplinée. Je ne tolérerai aucun chichi et aucune fausse pudeur durant mon coaching, je suis un professionnel qui n'a pas de temps à perdre avec des profanes pleurnichards. Si vous vous révélez à la hauteur de mes exigences, c'est que vous serez peut-être à la hauteur des exigences de mon grand-père.

Ses paroles avaient immédiatement convaincu Jessica de l'identité de l'homme devant elle. C'est incroyable! Bruno a raison, il est vraiment incroyable! Il avait continué à parler de son grand-père.

- Sachez qu'en franchissant le seuil de son appartement, vous épouserez ses coutumes. À l'extérieur, il respecte les principes de la France mais une fois le seuil de sa porte franchi, vous entrez dans SON univers, vous serez soumise à SES exigences, à SA vision des choses. Chez les musulmans de sa famille, les femmes se prosternent et obéissent, car chez eux, elles sont inférieurs à tout homme. Leur vie, leur esprit et leur corps appartiennent à leur époux ou fiancé quand elles en ont. Dans le cas contraire, elles doivent se soumettre à tous et montrer leur infinie gratitude envers chaque homme qui daigne l'honorer de son intérêt. Du moment où vous choisissez de passer cet accord, que vous choisissez de vous introduire dans son domicile, vous choisissez d'être la complète et entière propriété de tous hommes qui s'y trouvent. Vous devrez appeler mon grand père, Monseigneur Big Boss.

Jessica eut du mal à appréhender l'ampleur de la mise en garde tellement elle était surprise, impressionnée.

- C'est une décision difficile. Mais sachez que grâce à moi, dans trois mois, vous aurez le corps d'une déesse grecque et tout le monde se retournera sur votre parfaite plastique comme s'il contemplait une oeuvre d'art en chair et en os. Vous deviendrez une grande fierté pour votre mère et votre père. Êtes-vous d'accord pour vous soumettre à moi sans broncher durant trois mois?

Evidemment, l'inclusion de l'image de son père dans la conversation fit mouche. Elle oublia ce qu'avait été dit précédemment et accepta le deal et toutes ses conséquences.

Trois mois plus tard, une légère boule au ventre, Jess se dirigeait vers le domicile du grand-père de coach DP, Monseigneur Big Boss. Elle devait y être pour 10h15. Elle y serait dans dix minutes environ. Pendant le trajet, elle faisait en sorte de récompenser les gens qui la regardaient en changeant de pause et jouait naïvement avec la barre du tram afin qu'ils l'admirent encore plus, tout en pensant également à ce qu'avait dit Bruno ce matin.

- Oups j'ai fait tomber mes sucettes, dit-elle en se penchant, une bande d'ado juste derrière était au première loge.

Elle ramassa ses sucettes les jambes très légèrement fléchies, son cul en arrière, en cambrant son dos sans aucun souci puisque cela était un des exercices qu'elle faisait à chaque séance avec coach DP. Devant, il y avait des personnes âgées qui eux avaient une vu plongeante sur son décolleté. En tournant la tête, elle étouffa un rire en voyant les yeux ronds et la bouche ouverte de ses jeunes ados en partance pour la piscine municipal, au vu du contenu de leur sac. Dans cette position, le bas de son mini short remonter légèrement dévoilant l'arrondi de ses muscles fessiers. Sur son côté gauche, deux autres hommes admiraient sa silhouette de profil, à droite, la place réservée pour les personnes à mobilité réduite était occupée par un fauteuil électrique. Tout à coup, en voyant le désir de tous ses hommes, la perspective qu'avait ouvert ce matin Bruno lui donna le vertige.

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à venir dans la sixième partie :

- Lucie rejoint sa mère dans le bureau du sous-directeur où elle fera une découverte concernant son M.Schmidt.

- Marion cherche Marylène mais fait une mauvaise rencontre

- Victoria addicte. Et explications sur la sororité source de rancunes chez la directrice Sylvie Hennequin.

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1 Commentaires
objuseobjuseil y a presque 7 ans

Histoire et élocution intéressante, mais une faute d’orthographe ou de conjugaison tous les cinq mots ... c'est dommage.

Ne devrait-on pas se cotiser pour lui offrir un correcteur ?

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