SAP&cie 05

BÊTA PUBLIQUE

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Elle se décrispa en voyant le sous-directeur esquisser un sourire.

- Soyons bien clair, vous ne ferez pas ça pour mon bon plaisir, soyons d'accord, mais en réalité pourquoi ferez-vous ça?

- Parce que c'est ce qu'il y a de mieux pour mes filles et moi.

- Et?

- ... Euh ... Et les usagers.

- Ouiiii! Les usagers, dit-il en se levant avec un grand sourire, ne pas oublier les usagers! C'est pour mes pauvres usagers que je fais tout ça. Que l'ON fait tout ça! C'est uniquement pour eux, pas pour moi, pour EUX!

Le soulagement que ressentit la mère était indescriptible.

- Bon. C'est parfait! Voilà un problème qui n'en ai presque plus un. J'irai voir la directrice dès la fin de mon entretien avec Jena. Mais d'abord, il faut que vous mettiez en pratique ce qu'on a convenu afin que Lucie mette volontairement ses attributs physiques en valeur pour ses usagers, pour son métier. D'accord?

Cette perspective donna soudain le vertige à Jamilla car tout son être voulait protester. Une partie d'elle voyait clair dans son jeu, elle ne voulait pas que son innocente Lucie soit l'outil du sous-directeur. Pourtant, elle n'avait pas vraiment le choix car si elle ne sacrifiait pas Lucie toute sa famille serait perdue. Un immense combat intérieur se déroula en elle. Elle ne pouvait faire aucun des deux choix qui se présentaient. Choix qu'elle devait pourtant faire immédiatement.

Alors, de la même façon que pour Lucie, quand elle faisait face au miroir, un déclic se produisit dans la tête de la dévouée mère de famille. La réalité se déforma. Sans doute pour se voiler la face, se cacher le côté manifestement malsain des intentions du sous-directeur. Ce qu'il demandait serait plus facile à accepter. Pour ce faire, son regard sur M.Kahlouf changea à cent pour cent, elle vit cette homme sous un nouvel angle, au vu des charges qui pesaient sur sa famille, il incarnait maintenant leur sauveur, celui qui plaiderait sa cause face à la malfaisante directrice.

Il voulait faire de sa merveilleuse Lucie une super auxiliaire car il était celui qui voulait aider ses usagers tel un dévoué ange gardien, voulant envoyer sa magnifique fille pour égayer leur quotidien. Ce qu'il avait dit résonna dans sa tête pour enfoncer le clou, "les usagers, ne pas oublier les usagers. C'est pour mes pauvres usagers que je fais tout ça. Que l'ON fait tout ça. C'est uniquement pour eux, pas pour moi, pour EUX! "

Lucie veut aider les usagers plus que tout, c'est sa vocation elle m'a dit, sa destiné, et c'est ce que notre cher sous-directeur veut lui confier comme mission. Où est le problème? Se dit-elle alors. Je vais juste l'encourager à accomplir sa destiné.

Et en plus, il lui proposait d'être son lieutenant, preuve qu'il leur voulait que du bien. Il ne pouvait être malveillant.

Jamila se redressa, elle avait fait taire toutes les voix protestataires et arbora un large sourire, les yeux brillants d'admiration envers Monsieur le dévoué sous-directeur Kahlouf.

- Oui je vais faire d'elle une auxiliaire dévoué corps et âme, comme vous le voulez et comme elle le veut elle-même, prête à tout donner pour le bien être de ses pauvres usagers, répondit-elle plus franchement

Le fait de prononcer son acceptation à haute voix finissait par la convaincre réellement.

- Rappelez-moi de quelle manière vous devez m'obéir?

- Aveuglément et avec conviction Monsieur! Parce que vous êtes mon allié, je suis votre lieutenant et que vous savez quoi faire pour veiller au bonheur des usagers avec l'aide de mes filles, vos soldats, de mes trois chanceuses filles, dit-elle en mettant le ton qui montrait bien que son obéissance sera sans faille.

- Merveilleux! Ouiii vos bonnes fifilles sont mes soldats, c'est tout à fait ça!!

Jamila fut soulagée de lire la satisfaction sur le visage du vénérable sous-directeur. Il reprit la parole afin de lui expliquer la suite des évènements.

- Bien, je vais faire rentrer Lucie d'ici peu. Je vous laisserais seule avec elle. Il y a un micro dans la pièce, je vais tout entendre, comme ça nous ne ferons pas de gaffe. D'accord? Je vais vous expliquer ce que j'attends de vous, pour que tout se passe bien et que Lucie reparte heureuse. C'est c'que nous voulons tous les deux? N'est-ce pas?

- Oh Oui Monsieur. Merci infiniment! Dites-moi c'que je dois lui dire.

JESSICA 10h

Son petit cri de plaisir involontaire, provoqué par le souvenir de son orgasme la terrassant lors de sa toute première séance de relaxation/détente, fit converger les yeux de tous les passagers du tram vers la sublime Jessica. Une fois les yeux posés sur elle aucun homme ne pouvait détourner le regard et empêcher un violent désir primaire d'émerger.

Aujourd'hui, après sa "formation", son mini-short ultra moulant qui révélait de longues jambes comme Adrianna Karembeu, un fin fessier rebondi, ainsi que la cambrure des lombaires parfaitement "posturé", étaient la source des envies salement pervers de ceux qui étaient placés derrière elle. La source éveillant de sournoises concupiscences chez ceux placés devant, étaient la vision de son ventre plat, son bas-ventre moulé ainsi que sa superbe poitrine qu'on pouvait qualifier de généreuse, haute et malléable, lorsque d'autre étaient hypnotisés par sa bouche à pipe et par son magnifique visage aux yeux verts exprimant un sentiment nouveau de satisfaction et d'excitation. Ceux placés de côté n'étaient pas en reste car son débardeur était volontairement déchiré sur les deux côtés retenus par des lacets et laissait la possibilité à chacun de fantasmer et développer l'envi d'y glisser ses mains. Le profil de l'apparente bimbo blonde mettait tout autant sa silhouette parfaite en valeur. Un corps alternant formes et finesse, fermeté et souplesse exactement là où il le fallait.

Par réflexe, elle profita de ses regards pour faire admirer sa parfaite plastique et le donner en exemple. Comme le disait Dylan et Bruno. C'était son devoir de montrer à tout le monde ce qu'une bonne hygiène de vie pouvait engendrer. Car aujourd'hui, et encore plus précisément depuis ce matin, les leçons, les conseils, les ordres, les encouragements, les exercices, le professionnalisme, l'investissement et les sacrifices qu'avaient consentis, pour elle, Dylan et Bruno portaient leurs fruits (oui tout ça rien que pour moi, que je suis chanceuse ). Absolument tout étaient ancrés en Jessica, ne souffraient d'aucune contestation dans la petite tête de la naïve bombe sexuelle endoctrinée.

Pour continuer à montrer l'exemple, elle sortit son shaker de protéine, le même que celui de Dylan. Celui où il était écrit "MYPROTEIN" et que son coach lui avait donné en cadeau le premier jour, en récompense pour son orgasme mémorable et pour l'encourager dans cette voie. Elle le remplissait tous les matins avec les produits qui composaient la recette de Dylan pour optimiser son travail. L'alimentation était une pierre angulaire menant à son but ultime.

En revoyant l'inscription "MYPROTEIN", elle se souvint que ce fut juste après son orgasme et le touchant cadeau de son admirable coach qu'il en avait profité pour aborder et insister sur le sujet de l'alimentation. Sujet tellement important :

- Je suppose que tu as déjà les produits chez toi, commença-t-il alors que Jessica se rhabillait, vu que tu m'as prouvé que tu n'es pas une de ses petites pétasses sportives du dimanche habillée comme tu l'étais en arrivant. Ahaha c'était trop drôle! Mais j'ai une recette spécial que tu dois préparer tous les matins, c'est bien compris? avait-il poursuivi alors que Jessica avait du mal à reprendre pied après avoir joui autant.

Il lui avait alors donné le dosage et, heureusement, le nom de tous les produits pour confectionner la mixture qu'il voulait qu'elle ingère. Encore une chose que j'ignorais. Souris et acquiesces, comme si tu savais de quoi il parle. Évidemment elle n'y connaissait rien.

- J'ai deux ingrédients secrets que tu pourras te procurer à cette boutique avec tout le reste d'ailleurs.

Elle avait béni ses deux ingrédients car ils lui avaient permis d'avoir l'adresse du magasin où se fournir. Sans ça, elle n'aurait pas su où aller.

- Pour le goût, au départ tu trouveras ça dur à avaler mais à force tu voudras en avaler de plus en plus. L'apport que va te fournir la mixture va engendrer des effets indésirables au début puis extrêmement bénéfiques à long terme. Tu dois impérativement me faire part du moindre changement. C'est très important.

Une semaine plus tard, lors de sa séance du lundi, elle avait compris de quoi il parlait. Déjà, lors de sa séance de badigeonnage d'huile de début de séance, où il frictionnait le corps nue de la belle avec soin, il avait froncé les sourcils démontrant son agacement sans qu'elle ne comprenne pourquoi.

Puis, ensuite, durant sa salvatrice séance de récupération/détente de fin de journée, durant laquelle elle était allongé sur le dos, les mains sous la tête, le masque de nuit sur les yeux et le casque la coupant de la réalité pour qu'elle se détende pendant qu'il massait une nouvelle fois minutieusement chaque millimètres carrée de son corps nue afin de la libérer des tensions musculaires due aux durs exercices, il avait tâté son ventre en insistant dessus.

Soudain il lui avait arraché le casque et le masque, l'avait redressée et invectivée :

- Bordel de merde, comme je m'en doutais je constate que tu as un putain d'problème de constipation. Tu aurais dû me le dire greluche! C'est inacceptable, dit-il en haussant le ton. Ton corps ne doit pas être un ramassis de merde, cria-t-il.

Il l'avait alors pris par le bras et emmené nu dans la salle de bain sans ménagement. Mais ... qu'est ce que j'ai fait, se demanda-t-elle pétrifiée, j'suis juste ballonnée, il est très en colère contre moi, qu'est ce que j'ai encore fait!? C'est la première fois que j'le vois comme ça, il est même brute. Elle était incrédule, terrifiée, le visage décomposé mais finalement préoccupée par qu'une chose, j'espère qu'il ne va pas me virer. Bruno se rendra compte que je suis une merde et va me quitter.

- Bon, tu connais la solution à ce problème. Faudra le faire régulièrement, avant chacune des pratiques du soir. T'as compris? dit-il après être arrivés dans la salle d'eau.

- Oui coach, répondit-elle d'une petite voix, la tête inclinée vers le bas. Mais comprenant par le ton moins agressif que son problème n'était pour l'instant pas rédhibitoire ... À condition que je fasse ce qu'il faut ...

Jessica ignorait complètement de quoi il parlait et se sentait totalement piégée par son manque de connaissance. Son cerveau était en plus embrumé par les efforts de la journée. Elle resta là, debout, nue, immobile. Elle était à deux doigts de craquer. Mais je n'sais pas quoi faire ... des sanglots étaient sur le point de se manifester lorsque le coach intervint :

- Allez!! Tout de suite! Vas-y! Tu veux peut-être que je le fasse?

N'ayant aucune idée de ce qu'il attendait d'elle et étant à deux doigts d'être confondue, elle eut un éclair de lucidité et sauta sur l'occasion. Elle répondit avec beaucoup d'espoir :

- Oui. Je veux bien que vous le fassiez coach, s'il vous plaît. J'suis tellement fatiguée.

- Bon, d'accord. Je comprend, dit-il légèrement contrarié mais avec une moue compréhensive qui soulagea la démunie Jess. Mais n'attend pas à ce que je sois très doux et t'as pas intérêt à moufter.

- Non non coach, je dirais rien, merci beaucoup coach. Ouf, j'ai échappé belle, s'était-elle dit.

Il ouvrit alors le meuble à pharmacie au dessus du lavabo design, sortit une paire de gant en latex, un produit et une sorte de boule en plastique avec une partie fine dur, comme un klaxon poire mais le bout était mince. Mmm, c'est comme chez un usager qui avait des bouchons d'oreilles, c'est une poire de lavage pour les oreilles. Mais ... je ne comprend vraiment rien, comme d'habitude.

- Bin alors! Allez! Vas dans la douche, ouvre l'eau, posture de la chaise comme j'te l'ai appris et écarte moi tes futurs jolies petites fesses.

Elle était restée bouche bée deux secondes devant cette ordre qui mettait à mal sa pudeur et dont elle ne voyait pas la finalité. Mais elle était censée savoir ce qu'il se passait. Elle était censée être au courant de tout ça. Elle était censée ne rien dire. Elle était censée être quelqu'un d'avertie et pas une gourde débile hésitante.

- Oui excusez-moi coach. Tout de suite, répondit-elle avant qu'il ne la rappel à l'ordre définitivement.

Elle s'empressa d'obéir, sans comprendre ce qu'il allait se passer. Elle fit taire les voix dans sa tête, dont celle de la greluche pudique et complexée qui cherchait à comprendre mais ne comprenait jamais rien. Trop fatiguée pour chercher les motivations de son coach, à qui elle faisait une confiance aveugle, et remettre en question ses véritables intentions, elle obéit à son ordre.

La jeune, 20ans seulement, très belle et très crédule Jessica se retrouva donc complètement nue dans la douche, penchée en avant, les jambes légèrement fléchies, comme une skieuse en phase de recherche de vitesse, les deux mains sur ses fesses, les écartant afin d'offrir son petit trou du cul de vierge à son coach. Le tout sans aucune protestation, désormais sa pudeur bâillonnée, considérant même qu'elle était chanceuse qu'il fasse ça pour elle après son accès de colère. Car quand il s'était approché d'elle avec ses gants et son matériel alors qu'elle était dans la position ordonnée, après qu'il se soit placé de profil et qu'il ai glissé sa main gauche entre ses jambes et de sa main droite avait approché la poire de lavement pour les oreilles de son anus, elle comprit que c'était un humiliant lavement anal que son coach avait accepté de lui infliger, et qu'elle lui avait prié de faire à sa place sans le savoir.

Pourtant, elle se laissa faire, lasse de se battre contre sa stupide pudeur. Tremblante, elle laissa alors son coach repousser une nouvelle limite. Il était non seulement en train de détailler sa rondelle qu'elle lui offrait littéralement sur un plateau, mais en plus, il allait introduire un objet là où elle considérait que rien ne devait rentrer.

Un frisson la traversa lorsqu'elle sentit l'embout froid à l'entrée de sa rondelle. Il prit son temps en faisant des ronds et inséra doucement l'appareil dans son cul. Elle ne sut pas si cette lenteur était de la douceur ou de la délectation. Puis la honte la submergea quand le produit introduit dans ses intestins fit effet et qu'une grande quantité de selles liquides coula avec l'eau de la douche. Après cinq minutes, pendant lesquels il lui massait le ventre et descendait souvent trop bas en massant son clitoris, son coach recommença l'opération. Et de nouveau une petite quantité d'excréments coula. Coula comme ses larmes de hontes.

Puis elle sentit Dylan utiliser ses doigts pour titiller son oignon. Mais que fait-il?... Une voix dans sa tête lui répondit, Putain mais t'es vraiment conne, il fait ça pour ensuite tentait d'introduire un de ses gros doigts dans ton minuscule orifice anal greluche. Jessica hoqueta d'appréhension. Le bout de la poire était fin, rien comparé à un doigt d'homme.

Pourtant, il tapota sur ses fesses en disant :

- Allez, ce n'est pas fini ma chieuse, faut vérifier que tout soit parti, détends tes sphincters que je puisse mettre le doigt dans ton anus.

Jessica déglutit, légitima sans discuter son explication, ferma les yeux et essaya sans succès de se détendre.

- Allez! Si tu n'arrives pas à te détendre, pousse! Comme pour toutes tes sodomies avec des gros engins! C'est la même technique. Aide-moi à expulser le restant de merde, et continue à pousser pendant que je met mon doigt bien profond dans ta petite rondelle. Tu pourras relâcher quand il sera rentré entièrement dedans. J'te dis, c'est comme pour les grosses bites.

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Jess n'aurait jamais cru être le témoin de tel propos et encore moins en être la cible, et surtout la cible consentante. Malgré tout, elle obéit docilement, intégra en elle la situation et les termes utilisés, quand bien même ils étaient extrêmement choquant aux oreilles de la naïve et pudique Jessica. Dans un état second, n'ayant la force que d'obéir, la belle se mit alors à pousser c'est comme ça que l'on fait? Comme pour les grosses ... En se disant cela, elle eut la vision du sexe de Bruno.

- C'est un peu mieux ... continue ... mais dis-moi ... c'est vachement ... serré quand même je ... , le coach s'interrompit, ne me dis pas que ...

Tout à coup, Jessica se retrouva nez à nez avec l'homme après qu'il l'ai redressée et retournée face à lui. Ses yeux étaient maintenant plongés dans les siens, la tenant par les épaules.

- Jessica! Dis-moi la vérité. Ça fait combien de temps que personne ne t'as ramoné le cul?

Le jeune femme reçut comme une claque. Elle n'osa répondre à la question, elle n'osa pas lui dire qu'elle n'avait jamais rien fait par là. Oh dieu non! Elle n'avait franchi le pas en se mettant nue en pleine lumière devant son Bruno qu'il y a que quelques jours. Elle avait enfin accepté qu'il explore son corps et ils avaient fait l'amour pour la première fois que durant le week-end précédent. Grâce au déclic qu'elle a eu lors de la première séance. Même si il y a très longtemps, son ancien et seul autre petit ami avait tenté d'emprunter cette voie peu ragoutante, elle avait refusé catégoriquement de recevoir une bite dans le cul. Face à son silence, le coach fit semblant d'avoir deviné, il l'attira vers lui, la prit dans ses bras et lui dit à l'oreille d'une voix apaisante et compatissante.

- Oh! Jessie chérie, excuse-moi. Tu aurais dû me le dire que ça faisait longtemps que tu ne pratiquais plus la sodomie.

Jessica ressentit un soulagement indicible dans les bras puissants de son charismatique coach. Il ne m'en veut plus. Lâchant toute la pression accumulée et acceptant d'autant plus tous les conseils qu'il allait lui prodiguer.

- Tout s'explique! Ta constipation, ton minuscule petit trou du cul, ton silence, tu n'osais pas me le dire? C'est Bruno qui ne veut pas c'est ça? C'est trop sale pour lui? Ou il pense qu'il n'y a que les chiennes qui se font défoncer la rondelle? J'peux comprendre, comme il t'aime vraiment il ne veut pas avoir cette image de toi c'est ça? Ma pauvre chérie. Ton petit trou doit manquer d'entraînement.

Elle fut entraînée hors de la douche, fut enveloppée dans un peignoir chaud qu'il avait préparé au préalable, ce geste bienveillant augmenta le sentiment d'importance de Jess. Tu vois comme il est gentil et indulgent avec toi. Arrête de faire ton offusquée parce qu'il parle de chiennes sodomisées. Soit un peu adulte. Il continua à parler d'une voix on ne peut plus chaleureuse.

- Moi je pensais que tu connaissais les bienfaits irremplaçables, je dis bien irremplaçables du sexe dans notre entreprise. C'est pourtant le béaba Jess quand on passe la barrière de l'amateurisme au professionnelle, dit-il en la frictionnant.

Jess était tremblante. Autant de froid que de surprise et d'appréhension. D'appréhension car elle savait maintenant qu'elle ne reculerai devant rien pour que son coach soit satisfait d'elle. Et cela signifiait devenir ... devenir ... quelqu'un d'autre.

- Je pensais que ça allait de soi que tu pratiques les stimulations sexuelles de base afin d'optimiser mon travail. C'est pas une option tu sais. On est des professionnels. Tu connais la litanie pourtant, ton corps doit "jouir et faire jouir pour mieux s'épanouir". Baiser intensément, avaler ta dose de sperme le matin pour faire le plein de protéines et de substances impossible à créer artificiellement, en fait partie. Bon, je suis sûr que toi tu le sais. J'espère que Bruno te permet au moins de prendre ton petit déj de championne?

Elle évita de répondre par la négative. Mais elle était soulagée qu'il pense que tout était de la faute de Bruno. Elle buvait les paroles de son coach, devenu doux et compatissant. La réceptivité de la jeune femme était à son paroxysme.