SAP&cie 01

Lucie continua à jouer sa scène, son visage s'illumina, imitant l'apparition d'une idée, et elle continua sans laisser le temps à Justin de dire quoique ce soit. De toute façon il était complètement absorbé par le buste nu sublimé par une magnifique poitrine qui maintenant était à ses pieds.

- Mais oui! J'ai une solution! Les sportifs disent qu'il faut tirer la crampe! Et oui! Et puis j'ai lu un super article dans un magazine féminin qui disait que pour soulager un homme et le faire débander, il fallait masser doucement son engin afin de faire sortir la potion magique contenu dans ses testicules. Et que pour ça, il fallait utiliser soigneusement ses mains. Ça confirme!

Lucie jubila. Elle avait réussi, elle avait trouvé une excuse pour remplir son devoir sans qu'il sache que c'était prémédité par Madame Claude.

- Ne vous inquiétez pas M.Pirlaut, je vais tout faire pour vous soulager! Même si je n'ai jamais fait ce genre de massage auparavant.

C'est alors qu'elle entama consciencieusement l'exécution du soin. Elle avança ses deux petites mains pour saisir l'énorme queue érigée fièrement devant elle. Cependant, elle constata qu'il en aurait fallu deux de plus pour en faire entièrement le tour et encore deux pour le faire disparaître en totalité en longueur.

Lucie était prête, mais lorsqu'elle le toucha, Justin fit la grimace en gémissant.

- Oh pardon! s'exclama la jeune fille surprise, cette fois sans jouer la comédie. Qu'est-ce qui ne va pas? Je vous fait mal???!

- Uiii répondit-il.

Merde, je lui fais vraiment mal!?! Non! Ce n'est pas possible!! C'est réellement douloureux pour lui quand je le touche avec mes doigts? Bordel! Je n'm'attendais pas à ça. Comment j'vais faire si je n'peux pas le toucher avec mes mains!?

La jeune Lucie, agenouillée devant le totem douloureux de son usager, était déstabilisée, mais soudain, l'image de son double dans LE MIROIR, l'image qui était apparu la veille au soir projetée par son subconscient, lui revint à l'esprit et elle sut quoi faire.

Après lui avoir écarté les jambes, la superbe jeune femme s'approcha de Justin, le buste en avant, positionna la grosse bite entre ses seins qu'elle rapprocha avec ses mains. Puis elle amorça des mouvements de bas en haut, le gros noeud venant frôler le menton de la belle.

- Et comme ça M.Pirlaut? C'est moins douloureux? Mes seins sont bien plus douillets que mes mains non? demanda-t-elle le visage plein d'espoir.

- Mmm!!

- Je pense que c'est votre gland qui est la partie la plus sensible de votre sexe, ne vous inquiétez pas, je lui réserve un autre traitement.

Lucie inclina alors la tête vers ses seins encadrant l'engin et commença à embrasser tendrement le gland gonflé à l'extrême. Elle ferma un peu les yeux, tout en sortant doucement sa langue pour lécher et sucer le sexe de son patient.

- Mes lèvres et ma langue sont encore plus douce non? Vous allez bien M.Pirlaut? Je fais du bon travail?

- Hann Mmm!

Il ne bouge pas. Il a l'air d'apprécier! Formidable, t'es la meilleure Lucie! Continue, doucement, applique toi.

Elle continua son soin spécial, inséra un peu plus l'engin dans sa bouche mais n'arrivait qu'à sucer le gland de l'enorme bite. Tout à coup, elle sentit le sexe se réveiller entre ses seins, se contracter et une salve de sperme gicla dans sa bouche. Une salve puis deux et une troisième. Il ne fallut que deux secondes pour que sa bouche ne soit entièrement remplie.

- Hannnnnnnrghhhhh, gémit Justin alors que tout son corps était parcouru de spasmes orgasmiques!

Surprise d'avoir la bouche pleine aussi vite et ayant l'engin volumineux qui forçait l'ouverture de sa machoir au maximum de son amplitude, elle ne put qu'avaler la grande quantité de liquide séminal remplissant sa cavité buccale. Le goût, jusque là inconnu, lui procura un sentiment bizarre. D'un côté c'était du sperme gluant, glaireux, bien dégueulasse, mais de l'autre, c'était l'aboutissement du traitement ordonnancé par l'admirable doctoresse, le fruit de son soin, le résultat du travail accompli. Ce goût et cette texture furent associés dans sa tête au plaisir du travail bien fait.

Ce plaisir et cette association furent solidement renforcés lorsqu'elle se recula et se leva pour observer le résultat. Car son M.Pirlaut c'était affalé en gémissant, totalement détendu, son corps débarrassé de gestes parasites.

Lucie était aux anges. Lucie était un ange. Un ange presque entièrement nu. Un ange uniquement vêtu d'un string indécent. Un ange au physique parfait. Un ange qui avait pratiqué une branlette espagnole et une fellation passionnée. Un ange innocent qui avait branlé une énorme bite avec ses nichons et avalé du miasme malodorant. Un ange satisfait et fier d'avoir délivré son cher usager de tant de liquide séminal stagnant source d'atroce douleur. Soi disant.

- Dites-donc M.Pirlaut, c'est pas étonnant que vous ayez eu des douleurs. Vous aviez stocké une grande quantité de potion magique, sans doute périmée. On va maintenant pouvoir passer à la toilette classique. Je vais vous savonner entièrement. Restez détendu, faites ce qu'il faut pour ça.

Lucie, pendant qu'elle faisait son banal travail d'auxiliaire, subissait les attouchements pas banal de M.Pirlaut. Il lui toucha les fesses et les seins sans scrupule. Il n'avait à aucun moment l'air d'être gêné par ses gestes mais Lucie voulu en être sûr alors elle l'encouragea :

- C'est bien M.Pirlaut vous êtes bien calme grâce à vos mimines coquines, ça facilite mon travail. Ce serait vraiment gentil de votre part de continuer à faire le nécessaire pour que cela continu.

En vérité, il n'était pas nécessaire de lui dire deux fois. Elle avait presque finit de le savonner et il n'avait pas bougé. Il avait bien évidemment fait le nécessaire!!

Il ne lui restait que le dos à laver et masser. Elle voulut entamer son savonnage mais au lieu de faire le tour de Justin, et dans le but d'éviter de détacher ses mimines de ses petites fesses qu'il pétrissait à pleines mains, pour prévenir le risque de faire réapparaître ses contractions douloureuses, elle s'avança vers lui, colla son corps nu au sien, frotta sa poitrine humide à son torse, glissa la cuisse de Justin entre ses jambes et enroula ses propres bras autour de son torse pour atteindre son dos et enfin le recouvrir de savon.

Ce contact fit immédiatement réagir Justin. Commença à poindre une nouvelle érection qu'elle sentit au travers du fin tissus de son string. Oh mince ça recommence! Ouh je ... je ... je sens son ... truc ... au contact de ma chatte ...!

Elle se reprit.

- M.Pirlaut, votre sexe est de nouveau contracté. Il est hors de question que je vous laisse ainsi. Vous aurez des douleurs tout le reste de la journée après non?

Il n'avait pas eut besoin de répondre, la jeune femme était déjà à genoux comme vénérant sa bite.

- Ne vous inquiétez pas, je suis une professionnelle, je ferais moi aussi le nécessaire pour vous soulager, autant de fois qu'il le faudra. Vous êtes d'accord, n'est ce pas?

Elle recommença la manoeuvre précédente, tel l'ange masturbateur qu'elle était devenue mais avec plus d'assurance et d'expérience. Cette fois, elle engloutit encore un peu plus l'énorme sexe de son patient, ouvrit la bouche comme elle ne l'avait jamais ouvert et se délecta cette fois avec plaisir de son sperme gluant qui en jaillit au bout de quelques minutes. Lui provoquant presque un orgasme!

Lucie revint brusquement au moment présent alors qu'elle déglutissait. Elle fut interrompue dans ses réflexions, quand sa mère la relança après les quelques minutes durant lesquels Lucie était partie chez M.Schmidt et M.Pirlaut.

- Allez Lucie tu peux tout me dire, insista Jamila.

- Ok, Ok, mais laisse moi quelques secondes maman, répondit Lucie les joues un peu rougies.

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Dans la deuxième partie :

- Jessica, la grande, naïve et sculpturale deuxième fille de Jamila se souviendra de sa première séance de coaching privée. Il nous sera expliqué pourquoi sa volonté a surpassé sa pudeur et ses énormes complexes sans fondement.