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BÊTA PUBLIQUE

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Les trois hommes prirent tour à tour des photos, prenant comme prétexte qu'il leur fallait un modèle afin de tester le nouvel appareil de Roro. Cependant, elle ne se démonta pas et pendant qu'ils s'amusèrent, elle reprit son travail avec application et enthousiasme.

De retour dans cette salle d'attente, un peu émoustillée, elle repensa alors lorsqu'elle avait quitté le domicile de son cher M.Schmidt, à ses sentiments partagés, paradoxaux qu'elle avait ressenti et dont elle avait fait le bilan le soir même sous la douche.

Elle se revit dans la cabine de douche alors que l'eau ruisselait sur son corps exquis, un corps qui, négligemment habillé attirait déjà les regards, qui faisait baver et dresser les queues dans des vêtements moulants. Un corps qui nu faisait monter les instincts primaires et bestiaux d'accouplements de n'importe quel homme! Un jeune physique excitant et désirable dont sa soeur Jessica disait qu'il ressemblait à celui de la jeune mannequin américaine qui s'était fait connaître au travers de la téléréalité de sa demi-soeur. C'est pas faux, Lucie avait des airs de Kendall Jenner, ange de Victoria's Secret.

Lucie était dotée d'une silhouette harmonieuse, d'une peau bronzée, d'un ventre lisse, de jambes fines et galbées, de fesses fermes et rondes sans être exagérément bombées et encore plus mises en valeur par la cambrure naturelle de sa chute de rein. Elle était incroyable. Ce n'est pas pour rien si M.Schmidt et ses amis furent bouche bée devant sa silhouette en legging moulant et débardeur mouillé.

L'eau s'écoulait sur son corps alléchant en partant de ses cheveux noirs mi-longs vers ses épaules, puis vers ses seins plus ronds et plus volumineux que celui de la people américaine. La solution aqueuse filait aussi dans son dos, aux creux de ses reins cambrés puis entre ses fesses, sa raie culière. Puis goutta en partant de sa jeune et belle petite chatte vierge totalement glabre.

Tout en inclinant la tête en arrière pour sentir l'eau chaude sur son visage, les bras levés pour se masser le cuir chevelue, Lucie, les yeux fermés, plongea en elle, afin de ressentir de nouveaux tous les sentiments qui avaient émaillé son intervention.

La belle s'était surtout sentie fière d'elle, ressentant la satisfaction du travail accompli, mais elle avait eut comme honte d'être en si bonne santé comparé aux difficultés de ce pauvre homme, qui pourrait être son père, devenu aigri par la vie. Oui, elle, elle était jeune, bien foutue, en pleine forme. Elle avait l'étrange impression d'avoir une dette envers cette personne en fauteuil.

Elle se savait belle, mais la beauté physique était éphémère, elle savait depuis longtemps que cela n'était pas important. La beauté intérieure l'était plus. Pourtant, son point de vue changea, fut plus nuancé, elle réalisa qu'elle était chanceuse d'être si belle car elle pouvait utiliser sa beauté pour faire le bien. C'était une véritable révélation pour la magnifique jeune femme auparavant si timide.

Tout en sentant l'eau chaude libérer son corps de ses tensions, elle pensa qu'elle avait aussi ressenti beaucoup de gêne d'avoir été scrutée ainsi par trois hommes d'âge mûr. Elle réalisa seulement qu'elle avait été aussi pelotée de façon obscène et fut abasourdi de n'avoir pas réagi. De les avoir laissé faire. Elle aurait dû détester ça et se rebeller. Mais ce ne fut pas du tout le cas. Mon cerveau à fait de lui même le tri de ce qui était vraiment important. Mon subconscient à fait un classement à ce moment. Le comportement de Dédé et Phiphi, leurs attouchements sur mon dos mes fesses et mon ventre et ... et ... je crois .. à l'intérieur de mes cuisses? Oui oui ils m'ont touchés là aussi et j'ai même pas remarqué?! Comment? Je ... je... oui ... c'est bien ça mon cerveau le sait lui que ce n'étaient pas important pour lui.

Elle en conclut que finalement, les deux hommes présents en plus de M.Schmidt qui ne cachaient pas leurs regards lubriques, n'étaient pas important. Son cher usager était M.Schmidt, il n'y avait que lui qui comptait, et chose incroyable, elle l'avait vu rire! C'était tellement improbable au vu du déroulement de la première heure. Mais si, elle avait réussi. Oui papa j'ai réussi!

Son visage rude avait laissé place à un visage détendu et souriant, grâce à elle. Oui, grâce à moi, c'est incroyable! Papa serait fier de moi! Que je suis heureuse. Je me sens enfin utile.

Cette pensée l'avait alors gonflée de satisfaction et de fierté. Elle avait complètement balayé le comportement outrancier, les paroles grossières et la situation dégradante. Il n'y avait que le résultat qui qui comptait. Et il était positif. C'était ça son travail, c'était ça qu'elle voulait faire, c'était ça être une auxiliaire proche de ses usagers et elle l'avait été ce matin.

La très belle jeune femme n'était pourtant pas dupe. Elle savait que c'était son physique qui avait rendu tout cela possible. Alors, la vision qu'elle avait des personnes utilisant leurs charmes changea, car cette utilisation pouvait-être bienveillante. Elle s'était dit alors, qu'après tout, si ses courbes bandantes pouvaient lui être utile et l'aider à détourner l'attention de ce pauvre homme, lui faire oublier ses malheurs et par la même occasion rendre moins dur le quotidien de ce monsieur alors soit, elle les utiliserait sans hésiter, elle s'en fichait de la bienséance, puisque c'était dans un but honorable et il n'avait fait que la regarder après tout.

Cela l'avait même rassurée un peu. Oui, elle détenait un atout naturel supplémentaire qu'elle ne pensait pas être utile dans ce métier, puis nota dans sa tête que cela faisait partie de son devoir d'exploiter toutes ses qualités. Elle comprit que son corps exquis, suscitant l'envie, ne devait plus lui occasionner de gêne mais devait plutôt être une fierté, une qualité, en le considérant comme une arme, un outil de travail. Oui! Comment aurait-elle fait pour redonner le sourire à son usager sans ça?

Après tout, c'est de mon père dont j'ai hérité ce physique de mannequin pas de ma mère. Et mon père sauvait les gens. Je dois utiliser ce qu'il m'a légué pour suivre ses traces et qu'il soit fier de moi.

Dans cette salle d'attente, aujourd'hui, la superbe jeune femme regretta tout de même que durant son mois d'essai, elle n'ait que partiellement osé exploiter toutes ses qualités physiques. Pourtant, dans sa chambre, après la longue douche de ce soir là, LE soir ou une partie d'elle s'était éveillée, LE MIROIR lui avait montré une grande partie de son potentiel. LE MIROIR lui avait montré sa destinée, le chemin, ce qu'elle pouvait et devait faire pour dépasser la simple auxiliaire de vie qu'elle avait été ce premier jour. Elle ne voulait pas être qu'une simple auxiliaire. Son père n'était pas qu'un simple soldat. Il était l'élite. Elle devait l'être aussi. Comme appartenir à un commando spécial au lieu d'être un vulgaire troufion!

Cependant, depuis ce soir là, la bonne petite Lucie, la veille encore gênée par les regards envieux sur sa silhouette, avait pourtant déjà bien changé.

Surfant sur l'exaltation que lui avait procuré son impression de détenir une arme secrète par la perfection de son corps, elle avait belle et bien utilisé ce dernier dans le cadre de son métier, comme un outil de travail. Elle avait surtout fait en sorte de porter des tenues mettant son corps en valeurs.

Pour ne pas se faire remarquée dans la rue, elles étaient adaptables, lui permettant de dévoiler son corps selon les circonstances en enlevant des couches, comme chez M.Schmidt.

- Ça ne vous dérange pas si je me met à l'aise? demandait-elle souvent dès son arrivée prenant plaisir à se déshabiller lentement afin de laisser les personnes l'admirer et ainsi de lui permettre de commencer son intervention dans une ambiance chaleureuse et certainement pas froide, ne voulant pour rien au monde revivre la froidure comme chez M.Schmidt.

Elle portait aussi des petits gilets à fermeture éclaire qu'elle ouvrait plus ou moins et sous lesquels elle ne portait qu'un soutien-gorge et parfois rien. Elle acceptait même les mains baladeuses des papis les plus culottés, sur son jeans slim, sur son mini-short, son legging moulant. Elle avait même laissé une fois la main d'un papi pervers se glisser directement sous sa jupe légère pendant qu'elle cuisinait. Mais elle n'avait pas été jusqu'à offrir le contact de son intimité avec l'intimité d'un homme.

Elle ne voyait qu'un ou deux moments où elle aurait pu donner plus de sa personne. Elle ne savait pas vraiment si elle s'en voulait de ne pas l'avoir fait ou si c'était trop tôt à ce moment. Car elle s'était déjà surpassée. Comment aurait-elle pu aller plus loin sans en payer le prix? Un prix irrémédiable, sa virginité!

Par exemple, chez Justin Pirlaut, chez qui elle s'était donnée à fond. Oh Oui, elle avait donné de sa personne. Justin Pirlaut, chez qui le sous-directeur Kahlouf l'avait envoyée pour son deuxième jour. Il l'avait briefée et expliquée rapidement quel était son lourd handicap, sa "malédiction" comme Justin le disait, avec son mauvais caractère. C'était un genre de M.Schmidt de 34 ans en encore moins ouvert et complètement taciturne, normal puisqu'il souffre d'un handicap encore plus lourd, en déduisit Lucie. Et dans sa logique, elle devait l'aider encore plus.

Jena était déjà allée chez lui, elle le détestait, le disait calculateur, vicieux, misogyne, pervers avec une main baladeuse, un étalon avec une bitte de cheval. Un branleur en fauteuil incapable de se branler correctement! Jena ne mâchait pas ses mots, jamais. C'était d'ailleurs une des choses qu'on pouvait lui reprocher. Et qui allait lui être reprochée très vite.

Lucie était donc allée chez lui le lendemain matin de sa révélation sous la douche et devant LE MIROIR, pour effectuer le réveil, le lever, la douche, l'habillage, l'installation au fauteuil électrique, le petit déj. C'est chez lui qu'elle offrit sa première exhibition volontaire, qu'elle accepta ses premiers pelotages qui avaient ouvert la porte à son acceptation systématique à d'autres comportements inadaptés.

Oui je me souviens bien! Elle était, ce matin là, bien décidée à faire taire cette Lucie coincée et faire naître, dans les faits, Lucie l'auxiliaire d'élite, généreuse, dévouée corps et âme que LE MIROIR lui avait montrée. Et cela avait commencé par sa tenue vestimentaire qu'elle avait osée choisir. Une tenue qui était composée du même débardeur ultra serré de la veille qui pour rappel mettait son ventre lisse et plat en valeur et moulait sa belle poitrine, mais aujourd'hui, elle portait avec ce haut une petite jupe patineuse légère bleu ciel qu'elle portait taille basse, qui s'arrêtait mi-cuisse mais surtout, pour la première fois, elle avait osé mettre un string qu'elle avait emprunté à Jena. Jena était légèrement plus fine et était bien plus petite.

Avec cette tenue, la belle Lucie ne s'était jamais sentie aussi sexy. Déjà par la simple décision de porter un string minimaliste mais en plus un peu trop petit pour elle et dont la fonction était de serrer son entrejambe à chaque mouvement et de rentrer bien à fond dans la raie de ses fesses.

Fonctions encore plus prononcées qu'il était tendu par sa taille non adaptée. Certes son legging rose porté la veille épousait aussi son intimité mais portait un string voulait dire être sexy volontairement. La différence était significative dans la tête de la jeune femme au physique de mannequin. Le porter et le sentir lui serrer la fente et rentrer dans les fesses lui rappelaient en permanence pourquoi elle l'avait mis et quel comportement elle avait décidé d'adopter.

Jena n'aimait pas Justin, mais pour Lucie, cet homme ne devait pas être un sale type, c'était le handicap et les préjugés, comme ceux de Jena, qui devaient le rendre mal-aimé. C'était un Infirme Moteur Cérébrale (IMC), handicap dû à un manque d'oxygénation du cerveau à la naissance, occasionnant des troubles locomoteurs et des troubles du langage mais n'altérant en aucun cas le QI, lui avait expliqué le sous-directeur en lui présentant une lettre de la doctoresse de Justin, confirmant ses dires.

Dans la lettre officiel, signé de la main de son médecin, y était spécifié que M.Pirlaut était victime de mouvements incontrôlables, brusques, le clouant entre autre dans un fauteuil électrique. Il était victime de contractions douloureuses tout au long de la journée, le pauvre homme, des douleurs permanentes. Tout son corps était normalement constitué mais il pouvait être imprévisible. C'est comme si ses muscles avaient une volonté propre. Jena dit qu'il est pervers, avec des mains baladeuses, mais ce n'est pas si simple. Il ne le fait pas exprès. La lettre de sa doctoresse est pourtant explicite. Peut être que Jena ne l'a pas eue entre les mains. M.Kahlouf a dit qu'il y en a une autre donnant des instructions importantes et confidentielles à son domicile. Le pauvre, ça doit être dur d'être en plus jugé injustement. Moi je ne ferai pas cette erreur, c'était dit la jeune femme avant son intervention.

Alors, le matin de sa deuxième intervention consistant à réveiller son usager et à le préparer pour sa journée, quand Lucie entra tôt le matin dans l'appartement plongé dans la pénombre puis qu'elle s'était dirigée au radar dans la chambre, qu'elle avait allumé la lampe de chevet située près de la tête du lit, se plaçant ensuite sur le côté du lit et faisant face à son usager couché sur le dos, émergeant du sommeil et commençant déjà à gesticuler ; alors, lorsque le bras de Justin se tendit brusquement et que sa main se glissa sous sa jupe, entre les jambes nues de Lucie et qu'il lui saisit sa douce et innocente petite chatte, sans gène, serrée dans son string, directement, comme ça ; alors, certes elle sursauta, surprise, mais l'ancienne timide jeune femme prit sur elle et ne s'en offusqua pas, au contraire, Ouhla c'était rapide, mais réfléchis Lulu, c'est l'occasion de lui montrer dès maintenant que tu es différente, que tu sais qu'il ne fait pas exprès, que tu es l'élite, tu n'es pas Jena, c'est l'occasion de le mettre en confiance, tu dois accepter cette homme et son handicap tel qu'il est et le lui prouver dès maintenant. Alors, elle lui dit doucement :

- Ouhla Bonjour M.Pirlaut, je m'appel Lucie, Ouh votre main veut déjà faire connaissance avec mon intimité alors qu'on vient à peine de se rencontrer! souria-t-elle en enlevant gentiment la main baladeuse.

Pendant les quelques secondes où il tenait sa chatte, alors que la sexy jeune femme était, comme chez M.Schmidt, en phase d'empathie extrême, elle remarqua que son M.Pirlaut était resté surprenament immobile, allongé dans son lit sans geste parasite. La lettre de la doctoresse disait que cela était des instants de répit très rares, que ça se passaient à des moments spéciaux et que c'étaient des moments extrêment reposants pour M.Pirlaut. Elle fut troublée par cette constatation et regretta instantanément d'avoir retiré sa main de son entrejambe car elle réalisa qu'elle privée son usager d'un moment de détente rare.

En effet, dès qu'elle avait allumé la lumière et qu'il émergea du sommeil, elle fut triste de le voir subir, déjà, quelques sursauts. Des mouvements d'épaules, des contractions des quadriceps sous les draps qui disparurent quelques secondes mais qui réapparurent dès qu'elle enleva sa main de son intimité. Les mouvements non désirés s'amplifièrent même et sans doute le début des douleurs.

Bon sang, j'ai rêvé ou il était calme quand sa main m'a palpée la ... la ... allez dis le Lucie! Oui ton cher usager t'as pelotée la chatte sans gêne! Et non, tu n'as pas rêvé! Tout à coup, il est devenu calme, sans contraction, donc sans douleur, son handicap c'est comme effacé... ...!

Lucie s'arrêta brusquement de penser, son cerveau bloqué sur ce dernier mot. Cette pensée lui fit faire une pause dans le cheminement de ses réflexions. Cette idée la submergea d'émotions, "effacé", et lui transperça le coeur. Son handicap c'est comme "effacé", se répéta-t-elle, tu te rend compte Lucie? effacé, disparu, grâce à toi!!

Son coeur se remplit de fierté, car de nouveau une image de son père, blessé mais soulagé de la douleur, lui apparut, souriant, hochant la tête en signe d'assentiment, comme lui montrant la voie. Elle revint à elle, déterminée.

Ça lui fait du bien. Ça le distrait suffisamment pour que ses horribles mouvements intempestifs prennent le dessus. Tu dois le laisser faire Lucie, ça le préserve de ses contractions douloureuses, c'est incroyable Lulu. C'est des moments rares et reposants a écrit sa doctoresse. Et tu es là pour lui offrir ses moments! Oui! C'est ça ton métier, c'est même ton devoir de soulager ses douleurs.

Lucie, tenant toujours la main de M.Pirlaut décida, pour confirmer son impression, et pour donner corps à ses exigences, de faire une expérience en disant :

- Ne vous inquiétez pas M.Pirlaut, je sais que vous y êtes pour rien. Vous ne contrôlez pas votre main. Et votre mimine est une coquine! Tant qu'on y est, elle voudra sûrement faire la connaissance avec mes jolies fesses! Autant que ce soit moi qui les présentes!

L'homme, dans son lit, ouvrit de grands yeux. Lucie dirigea la main droite de Justin Pirlaut vers le bas de sa fesse gauche sous sa jupe. Fesse qui n'était qu'à peine couverte puisqu'elle portait un string trop petit pour elle.

Elle dit alors en remontant la main de Justin qui était en contact direct avec la peau, faisant semblant de s'adresser à la main de Justin et à sa fesse :

- Madame la mimine coquine, je te présente madame la fesse timide.

Elle tourna la tête pour s'adresser à Justin.

- Voilà, les présentations sont faites, dit-elle alors que la main de Justin pétrissait son cul lui engendrant des petits sursauts.

Bon sang, il ne se gène pas! Merde! Je vais avoir des bleus! Mais ce n'est pas sa faute, ce n'est pas lui directement, ce n'est pas sa volonté d'être si brusque et ça doit être même gênant malgré le bien que ça lui procure. Je dois l'encourager à me toucher. Je dois lui faire comprendre que je dissocie sa main, ses gestes, avec la personne qu'il est et du coup qu'il ne doit pas être gêné, que je considère cela comme normal.

Elle sursauta une nouvelle fois sous son pétrissage et lui dit :

- Je suis désolée, j'ai seulement dix-huit ans et mes petites fesses ne se sont jamais faites attrapées comme ça mais je sais que vous n'y êtes pour rien. Sachez que je dissocie parfaitement vos gestes avec vous M.Pirlaut. Sachez que mon corps et moi sommes vôtre auxiliaire et nous sommes totalement à votre service. Nous sommes des professionnels et nous sommes là pour nous occuper de vous, de vous entièrement. De vous et de vos gestes incontrôlés. Alors ne vous inquiétez pas si votre mimine coquine échappe à votre contrôle et décide d'explorer mon corps. Laissez la faire. Ce n'est pas grave. En plus vous êtes calme pendant ce temps là, comme ... apaisé ...

Lucie vit que l'homme avec sa main qui pétrissait son fessier affichait de grand yeux surpris. Tes mots ont fait mouche Lucie. Et regarde, il est calme. Continue, montre lui que tu es vraiment dévouée, que tu es l'élite.

- Oui, vous voyez comme vous êtes apaisé, c'est formidable! Alors sachez M.Pirlaut que c'est une immense satisfaction pour moi de vous sentir relaxé. C'est un devoir pour moi de vous apaiser le plus possible. Cela fait partie de mon métier.

Le coeur battant fort, en raison des imprécations de ce qu'elle venait de dire et aussi par sa volonté de continuer à prouver sa dévotion. Elle détacha la main de son superbe cul pour la glisser de nouveau entre ses jambes. L'homme ne bougeait toujours pas.

- Votre main sera mieux calée entre mes jambes.