Room and Board 02

Informations sur Récit
Sa logeuse met les choses au point.
2.6k mots
4.38
13.4k
1

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 08/24/2018
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
elias12
elias12
9 Admirateurs

Elle le fit rentrer avec ses deux valises. Ils avaient évidemment libéré la chambre qu'il partageait et avait immédiatement fait un heureux, l'immeuble des étudiants étant complètement plein. La belle réceptionniste qui lui faisait toujours des sourires s'était figée en voyant Mme Henri, comprenant qu'il allait habiter avec elle. Il lui sembla voir un regard triste qu'elle essayait de masquer en présence de la femme.

- Oula, quelle atmosphère là bas, heureusement que je t'arrache à ce guêpier, maintenant de toute façon ce n'est plus possible de revenir en arrière, c'est plein pour une année et tu as perdu ta place.....dit-elle de manière incompréhensible.

Ils allèrent dans la cuisine et elle le fit s'asseoir. Elle voulait lui faire comprendre le contrat qu'il avait signé sans le lire.

- tiens j'ai fait une photocopie que je garde ici, l'original je l'ai amené à mon avocat tout à l'heure. Il le garde c'est mieux comme cela.

Elias la regarda sans comprendre.

- Tu comprends que je dois aussi défendre mes intérêts. Je ne te connais pas encore intimement et il s'agit de ma maison tout de même, fit-elle comme vexée de son air suspicieux

- oui...oui.. je comprends, dit-il comme pour s'excuser

- Je comprends, Madame, fit-elle rudement

Il répéta, le visage rouge de surprise et de honte.

- Désolée de devoir mettre les points sur les « i », garçon, dit-elle comme encore fâchée. Je veux que les choses soient claires entre nous dès le départ, je veux de la discipline et du respect.

- oui......Madame, dit-il finalement en voyant ses sourcils se froncer.

- Je vais m'occuper de superviser tes activités religieuses. Comme tu as pu le voir, je suis une paroissienne très active et les garçons que je prends dans ma maison deviennent exemplaires. J'ai vu que tu es de la même confession, ce qui m'a décidée, entre autres, de te prendre. J'ai demandé à Mme l'Abbé son accord et elle m'a dit qu'elle me soutiendrait à nouveau. Ce n'est pas facile de former et dresser un garçon, dit-elle en le fixant.

Elle vit qu'il essayait de comprendre mais semblait comme paralysé par son autorité et les mots qu'elle lui imposait. Il était rouge à nouveau et rapidement baissa le regard, sans lui répondre.

- Je vais faire ton éducation et je veux que tu me rendes fière, face à mes amies et paroissiennes, dit-elle d'une voix radoucie

En rentrant de ses cours, il marchait lentement et n'arrivait pas à penser à autre chose que l'attitude de sa logeuse. Elle venait d'une autre époque, révolue, pensa-t-il en essayant de se rassurer. Faire son éducation? Elle avait perdu la tête. Et il ne voyait pas en quoi il devait montrer du respect. En plus il avait horreur qu'on l'appelle garçon, comme un enfant. Son attitude avait changé complètement depuis qu'il avait signé et quitté son dortoir. Elle le tutoyait familièrement et possessivement. Il décida de partir rapidement et réfléchit à un plan. Il accélérera le pas. Ses affaires étaient toutes ici, il avait perdu sa chambre et il devait trouver un autre endroit.

- Elias? Bonjour, fit une voix, le surprenant alors qu'il s'apprêtait à franchir le portail de la maison.

Il se retourna. Une femme âgée et petite le regardait en souriant, aimablement.

Il sourit également.

- Bonjour Madame, dit-il poliment en s'arrêtant

- C'est bien toi Elias, le nouveau locataire, dit-elle d'une voix douce

- oui...oui, c'est bien moi

- C'est bien ce que je pensais, dit-elle comme rassurée, je m'appelle Mme Hermione, mais tu peux me dire Madame... Dis, est-ce que tu peux m'aider, je suis vraiment embarrassée avec mes commissions, tout est trop lourd pour moi.

- Bien sûr, dit-il poliment en venant chercher les sacs qu'elle pointait de son index. Il les prit tous d'un coup et les souleva.

- Mon dieu ce que tu es énergique, dit-elle admirative. Viens je te précède

Il suivi la vieille femme qui alla ouvrir la porte de la maison et le fit rentrer.

- S'il te plait retire tes chaussures et sois un cœur d'amener tout cela dans la cuisine.

Il la regarda quitter la pièce. Il retira ses chaussures, se demandant pourquoi elle gardait les siennes.

- Merci, mais ce que tu es fort, dit-elle admirative, elle palpa rapidement son bras comme pour confirmer. Oui tu es musclé, dit-elle encore, le faisant rougir.

Il posa les sacs et prit le verre de jus de fruits qu'elle avait préparé. Sa conversation était agréable et pour la première fois il se sentit à l'aise. Elle se comportait comme une grand-mère, attentive, douce et tolérante. Il resta assis, n'osant pas lui dire qu'il devait rentrer.

- Bon, ce n'est pas tout, il me reste une foule de chose à faire. Merci de ta visite. Il suivi la femme qui se mit devant ses chaussures et attendit les mains sur les hanches.

Il se pencha pour enfiler ses chaussures, se retrouvant dans une position gênante devant la femme qui le toisait. Il releva la tête et vit qu'elle souriait.

- Prend ton temps, ce n'est pas tous le jours que j'ai un mignon garçon à mes pieds, dit-elle en riant

- euh, bafouilla-t-il en devenant écarlate. Il se releva nerveux.

- Merci Elias, tu es vraiment un cœur. Il la vit prendre un billet dans son porte-monnaie qu'elle tenait en main.

- ce..ce n'est pas nécessaire...protesta-t-il voyant qu'elle voulait le payer

- tut tut, dit-elle, je sais qu'a ton âge on aime bien s'acheter des friandises. Il vit la femme tendre sa main et glisser le billet dans la poche devant son pantalon. Il se figea alors que la main rentrait dans son habit, glissant sur son aine lentement et sur le devant de sa cuisse.

- Voilà, je le mets profondément pour que tu ne le perde pas. Elle releva la tête et le fixa alors que sa main tournoyait en ressortant.

Il rentra un peu désorienté. La femme était si gentille qu'il avait oublié ses soucis mais il se demanda si ses gestes n'étaient pas un peu étranges.

La propriétaire l'apostropha alors qu'il rentrait.

- Juste à temps Elias, dit-elle en lui faisant signe de la rejoindre.

Elle posa les papiers devant lui et expliqua.

-....et comme de toute façon l'année scolaire est jusqu'à fin aout, j'ai compté douze mois et débité ton compte pour ces mois de loyer. Elle vit son expression surprise et continua.

- je sais que cela fait une somme pour toi, mais de toute façon tu dois la payer, autant le faire d'un coup. Et puis on n'en avait pas discuté dans le détail, mais c'est demi-pension, petit déjeuné le matin à 7h et repas le soir, à 18h, je ne veux pas que tu traine dehors, le repas de midi, nous verrons. Pour me payer, tu feras du travail de ménage et dans le jardin, deux heures par jour. C'est dans le contrat. Je conterais tes heures et à la fin du mois, on verra si tu n'as pas le total.

- ...mais...mais....bafouilla-t-il pâle et estomaqué

- Je sais deux heures chaque jour la semaine c'est difficile, mais tu peux les garder pour le week-end, même si tu risques d'y passer le samedi en entier. Le dimanche est réservé au seigneur, et nous serons la mâtinée à la messe.

- ...mais....Madame..

- Oui garçon, dit-elle attentive

- je...je...ne voulais pas payer tous ces mois....je...

- Tu as signé le contrat, maintenant c'est fait. Il fallait réfléchir avant. Moi je ne veux pas sans arrêt mettre des annonces et chercher un garçon.... et puis je vois bien que tu as besoin de moi, pas seulement pour les aspects de la religion mais aussi pour t'aider au quotidien. Tu es encore un jeune garçon dans ta tête, avec un corps de jeune homme, et c'est là qu'une femme mûre comme moi peut te guider et t'imposer une discipline indispensable.

Elle fixa le garçon stupéfait et qui restait silencieux, le regard fixé sur le sol.

- Mais évidemment si tu n'es pas content avec mes exigences, tu peux toujours partir, tu es libre... Mais tu ne récupères pas ton argent du loyer pour autant...C'est pour cela que j'ai fait le transfert immédiatement, je sais que les garçons à ce stade essayent tous de partir et je dois les aider à ne pas le faire. Laisse-moi décider en tout, c'est beaucoup mieux pour toi. Tu vas être évidemment souvent surpris par ma sévérité et la discipline que je vais t'imposer mais à terme tu comprendras que cela fait sens. De toute façon je sais que tu seras très bien ici, c'est exactement ce qu'il faut à un garçon comme toi, tu as juste besoin de t'habituer.

La femme fixa le visage du garçon qui se décomposait au fur et à mesure de ses explications. Elle se leva.

- Porte tes valises en haut, je vais t'aider à t'installer.

Elias suivi la femme qui montait les escaliers et se retrouva dans un grand hall qui s'ouvrait sur un salon avec plusieurs portes sur l'autre coté du couloir.

- C'est ton lit, dit-elle en pointant du doigt un lit qui semblait être ajouté au dernier moment, au milieu du hall.

Il regarda autour et vit les meubles anciens qui aménageaient la pièce. Il comprit qu'il n'avait pas de chambre, mais juste un lit. Il restât médusé.

Il la vit ouvrir sa valise sur son lit et sortir les habits et les ranger dans une commode de l'autre coté de la pièce. Il était comme paralysé et la regardait trier ses affaires personnelles. Il rougit en la voyant sortir ses sous vêtements. Elle continuait à parler, joyeuse de tout organiser. Elle sortit ses affaires de toilettes et les amena dans la salle de bains, en face du salon. Elle le rejoint en chantonnant. Elle empila les vestes et trouva ses documents officiels.

- je....dit-il soudain sortant de sa torpeur.

- Chut garçon, dit-elle en levant la main. Je sais que c'est important, tes papiers d'identité, l'assurances, les diplômes. Je vais tout mettre en bas dans le bureau, ce sera en sécurité.

Elle releva la tête en le voyant hésitant. Elle voulait s'assurer qu'il ne parte pas sur un coup de tête. Et sans papier, il ne pouvait pas. Et maintenant qu'elle les avaient, elle n'allait jamais les lui rendre, enfin....avant quelques années.....

Il la vit partir avec ses documents. Il resta figé, comme paralysé, stupéfait. Il réalisa qu'il préférait mettre son pyjama dans l'intimité et renonça à la retenir pour garder ses papiers, il avait besoin d'intimité. Il se déshabilla et mit son pyjama.

Il ressentit comme une rage le prendre. Cela n'allait plus, il devait stopper ça. Il alla dans la salle de bains et ferma la porte et poussa le loquet. Il parcourut la pièce du regard, elle était grande et bien éclairée avec une grande baie vitrée. La douche était protégée par des grandes vitres sur les côtés et ouverte devant. En face, elle s'ouvrait sur une autre pièce avec une sorte d'arcade large qui les délimitaient. Il s'approcha et vit une chambre spacieuse avec une moquette épaisse et un grand lit. Il resta immobile en contemplant la chambre, voyant une porte ouverte qui donnait aussi sur le couloir, comprenant que cette salle de bains était aussi celle de la femme. Il réalisa que son intimité était menacée. Surtout lorsqu'il prendrait sa douche. Il n'entendait rien dans le couloir et se dirigea vers les toilettes. Il baissa son pyjama et sortit son pénis pour uriner. Il respira à nouveau alors qu'il remontait son pyjama, n'ayant pas arrêté de fixer la chambre, à coté des toilettes qui l'exposait de manière impudique. Son pénis s'était agrandi sous l'émotion. Il alla se coucher et reprit son souffle, soulagé d'être masqué par sa couverture. il fit semblant de dormir alors que les pas de la femme faisaient grincer les escaliers en bois. Il le sentit le regarder puis s'éloigner. il s'endormit.

- Debout, garçon dormeur, dit une voix douce. Il gémit doucement, encore endormi. Sa peau était chaude et agréable, elle avait passé sa main sous son pyjama et caressait son dos lentement. Elle glissa sur son flanc et descendit sur sa hanche faisant glisser vers le bas son pyjama et découvrant ses fesses blanches.

Il ne semblait pas réaliser qu'elle le déshabillait lentement. Il était sur le coté et lui tournait le dos. Sa main alla caresser son ventre, remonta sur son torse pour agacer les tétons qui durcirent. Le garçon respirait lentement, rendormi. Elle se pencha par dessus et pu apercevoir son pénis épais qui pendait et était malheureusement ramolli. Ses caresses ne semblaient pas le faire durcir. Le manque d'habitude pensa-t-elle déçue. Elle le laissa, remit la couverture et se leva.

- Aller, debout maintenant dit-elle d'une voix forte le faisant sursauter.

Il se retourna et la dévisagea incrédule.

- Je te laisse 30 minutes pour te laver minutieusement. Nous avons la messe, ensuite tu rencontres Madame l'Abbé, puis nous allons rendre visite au directeur de ton école, M. Juliard que je connais bien. Je veux que tu fasses bonne impression et te montrer sous ton meilleur jour.

Il avait tourné la tête et vit la femme s'éloigner. Il émergea lentement réalisant à quel endroit il se trouvait. Il repoussa le drap pour se lever et constata qu'il était à moitié déshabillé. Il se rajusta et alla à la salle de bains et ferma la porte à clé. Elle était baignée de lumière. Il fixa l'autre chambre qui était vide. Il n'avait pas le choix et il espérait que la femme respecte son intimité. Il enleva son pyjama et le mit sur un crochet sur le mur. Nu, il traversa la pièce et se mit dans la douche. Il tournait le dos, faisant face au mur et ouvrit l'eau. Un jet puissant et chaud l'enveloppa. Il se sentait bizarre, complément nu et exposé au regard. Sa verge durcit malgré ses efforts.

- Oh non, pensa-t-il en se retournant, regardant la chambre. Son pénis était dur et pulsait. Il se masqua avec ses mains un moment puis se décida à se savonner. Il savait que ses fesses étaient exposées mais espérait que la femme ne le voit pas. Il se lava les cheveux après avoir coupé l'eau. Couvert de mousse il frottait son corps.

- allez garçon, je ne veux pas être en retard, rince-toi et va t'habiller, dit la femme depuis l'autre pièce, le faisant sursauter. Il tourna la tête et vit la femme qui le regardait.

- oui....madame, dit-il en s'étranglant. Il rouvrit l'eau et se rinçât. Lorsqu'il regarda, la femme était partie. Il mit ses mains sur son pénis dressé et traversa la pièce pour prendre le linge. Sa tête tournait. Il se sécha et remis son pyjama. Sa verge pointait vers le bas mais restait turgescente. Il prit le linge et le garda devant lui pour se masquer et quitta la salle de bains.

La femme l'attendait vers son lit. Elle avait posé des habits dessus et le fixait. Il se rapprocha d'elle.

- Pourquoi tu as remis ton pyjama après ta douche, demanda-t-elle surprise et prenant le linge et lui retirant. Tu ne te gênes quand même pas devant moi? dit-elle surprise

- ...euh....non....non, bafouilla-t-il

- Tant mieux parce que nous allons être ici ensemble un long moment et je suis une femme mûre qui sait comment est fait un garçon, j'espère que tu n'en doute pas? dit-elle comme si elle était offusquée par son attitude.

- oui..je...murmura-t-il un vertige le prenant et des fourmillement dans son corps.

La femme avait les bras croisés et le toisait. Il resta immobile, n'osant ni se déshabiller ni lui faire front.

- Aller, dépêche-toi garçon, nous avons une journée chargée. La femme se retourna et alla s'affairer plus loin.

elias12
elias12
9 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Excellent

J'aime beaucoup et je vais guetter les suites.

L'humiliation sera je l'espère au rdv.

Rudy

milfoliviamilfoliviail y a plus de 5 ans

J'apprécie beaucoup ce début de récit! vivement la suite

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Room and Board 03 Partie Suivante
Room and Board 01 Partie Précédente
Room and Board Info Série

Histoires SIMILAIRES

Confiné et Humilé Par Ma Colloc Confiné avec ma coloc, elle m'humilie.
Nedjma - Chapitre 01 Nouveau job et une secrétaire tunisienne aux seins énormes!
Léa Soumise Comme Une Chienne Ep. 01 Léa se fait sodomiser sans consentement.
La Contrôleuse Une contrôleuse va vivre l'enfer.
Sortie en Boite Une mere et sa fille en gangbang dans une boite.
Plus d'histoires