Nedjma - Chapitre 01

J'ai travaillé plusieurs années en milieu associatif. J'ai débuté ma carrière en tant que membre permanent de l'équipe d'Intramed', organisme dédié à l'insertion des publics en grande difficulté. J'ai commencé en tant que chargé d'accueil, pour finir, 10 ans plus tard, responsable d'une structure que j'avais développé en collaboration avec la Directrice d'Intramed'. J'avais alors 32 ans.

Ce second organisme fonctionnait plus ou moins comme une agence d'Intérim et proposait des offres de service à domicile : de la garde d'enfant au ménage, via le jardinage ou des petits travaux de bricolage... ce que l'on nomme, dans le jargon du métier : les « Emplois Familiaux », emplois qui, quand vous y avez recours en tant que bénéficiaire, vous ouvrent droit à réduction d'impôt...

J'avais à gérer une équipe de 19 salariées... des femmes uniquement, oui! Nos clients avaient majoritairement recours aux aides ménagères et aux baby-sitters... Mais j'étais ravi d'avoir ce public féminin autour de moi! Pour m'aider dans ma nouvelle tâche, je pouvais compter sur la secrétaire qui travaillait là depuis l'ouverture de l'association : Nedjma, 45 ans, une Franco-tunisienne très impressionnante côté physique, mère de 2 filles absolument sublimissimes... Mais les femmes en dessous de 40 ans ne m'ont jamais attirées, aussi belles soient elles.

Nedjma c'était autre chose... Elle mesurait environ 1,65m , des cheveux mi longs qu'elle teignait d'un roux flamboyant et coupait d'une façon très sophistiquée, avec une grande mèche sur le devant barrant son front et un carré à la Mireille Mathieu pour l'allure générale... quelque chose de très volumineux qui lui allait parfaitement! Elle avait de grands yeux marron qu'elle allongeait d'un coup de crayon noir, un petit nez entre deux pommettes bien saillantes. Mais surtout, elle avait le physique explosif des méditerranéennes : une bouche hyper pulpeuse qu'elle rehaussait toujours d'un rouge à lèvres incendiaire, de fortes hanches et une taille bien marquée accentuée par les tailleurs qu'elle portait quasi quotidiennement. C'était sa tenue de travail, son uniforme de secrétaire...

Quant à son cul, elle avait un de ces culs! Mais un cul! Wow... si gros qu'on aurait dit qu'il couvrait à lui seul la moitié de ses 1,65 m. et qu'en dessous, les mollets démarraient directement sans passer par l'étape cuisses!

Et puis il y avait la poitrine... mes amis, quelle paire de seins! J'en suis encore tout chamboulé et bouche bée à la simple évocation de ce souvenir! Car si son cul était « Wow », sa poitrine était WOOOOOW WOOOOW WOOOOOW!!! Je n'ai jamais connu une femme avec des seins aussi impressionnants... je n'en ai jamais croisé non plus! En tout cas, pas dans la vraie vie et uniquement dans des films X spécialisés incluant au casting quelques bêtes de foires méga siliconées du style Lolo Ferrari...

Aucune idée de son tour de poitrine, mais il était au-delà de 120! Quant aux bonnets, imaginez ce qu'il y a de plus profond... surtout rien d'artificiel! Que du Bio! De la bonne grosse mamelle naturelle nourrie sainement! Rien de chimique! Rien de transgénique! Une merveille de la génétique obtenue par croisement tout ce qu'il y a de plus normal, un accident de la nature sans doute, aucune sélection ni intervention dans le développement, mais le simple produit du hasard... mystère impénétrable de la reproduction humaine, quand tu nous tiens! Putain de lignée quoi qu'il en soit! Du nichon énorme et moelleux à téter jusqu'à plus soif!

C'est simple, le jour où j'ai pris mon poste, je n'ai pas débandé de la journée! Et quand je suis rentré chez-moi, après une journée riche en émotions mammaires, je me suis allongé sur mon lit, les yeux fermés, et je me suis masturbé en faisant défiler toutes les images de Nedjma que j'avais sauvegardées dans mon esprit encore en état de choc : tous ces moments où sa poitrine gargantuesque avait frôlé mon bras, mon épaule, ces longues secondes où mon regard se perdait dans le creux de ses seins himalayesques qu'un bouton de son chemisier défait me laissait miraculeusement entrevoir! Car Nedjma n'était pas du genre à s'afficher ou à provoquer... ce bouton sorti de son encoche n'avait pas résisté à la pression phénoménale que les énormes nichons lui imposaient, voilà tout!

Je me suis branlé une fois... puis 2... je n'ai même pas mangé ce soir là, mais j'ai cherché des vidéos sur le Net une bonne partie de la nuit, en quête d'un porno dans lequel jouerait une actrice ressemblant peu ou prou à ma secrétaire... j'ai recherché des photos également et j'ai fait quelques montages : des corps de femmes à grosses poitrines sur lesquels je collais le visage de Nedjma, photo d'elle que j'avais récupérée dans le trombinoscope d'un des rapports d'activité de l'association... et je me suis branlé, encore et encore.

Nedjma habitait une de ces banlieues construites dans les années 60, petits paradis pour petits employés et petits ouvriers d'alors, ivres de confort et de paix après les années noires de la 2^ème guerre et la difficile reconstruction... aujourd'hui, la forte croissance économique qui avait rempli les poches et meubler les F4 semblait bien loin... l'Eden était peu à peu devenu dépotoir, et les poches et les frigos s'étaient bien vidés!

Cette cité où elle vivait n'était pas la plus calme, certes, mais Nedjma apportait sa pierre à l'édifice et contribuait à la rendre au moins vivable à défaut de meilleure : du soutien scolaire à la représentation des locataires, elle y mettait tout son cœur! Et du cœur, elle en avait beaucoup! Oui, je sais! Mon allusion n'est pas des plus fines, j'en conviens, mais sa poitrine ne faisait pas dans la dentelle non plus! Oh non! Ce n'était qu'opulence, abondance, profusion, débordement! Une explosion mammaire inexprimable! Le Big-bang du nichon!

Son mari était invalide et plus âgé qu'elle d'au moins 10 ans. Une attaque cérébrale l'avait rendu impotent et impuissant. Il n'y avait donc plus rien entre elle et lui depuis ce jour là, m'avait-elle confiée. J'obtenais souvent ce genre de confessions de la gente féminine. Je parle peu, mais j'écoute beaucoup! Et comme je n'ai jamais un mot déplacé ou un humour graveleux comme la plupart des hommes, les femmes se sentent rapidement en confiance avec moi. J'ai des dehors très asexués qui invitent à une liberté de parole inouïe! Mes collègues masculins me croient d'ailleurs homo! Peut-être même puceau!! Mais sous mes dehors inoffensifs, je suis le roi des cochons et un queutard de première! Chacun sa méthode... la mienne est d'une efficacité redoutable! Et j'obtiens toujours de mes conquêtes ce qu'elles refusent férocement aux autres hommes, y compris à ceux qui partagent leur vie depuis de nombreuses années!

J'ai de ce fait reçu naturellement les confidences de Nedjma assez rapidement... son mariage et son couple ne tenaient plus que pour leurs filles, encore étudiantes, et grâce à cette foi indestructible qu'affichent certains croyants! Il y avait une seule table de nuit dans sa chambre à coucher, c'est vrai, mais pas de lit double! Non, elle et son mari dormaient dans 2 lits bien séparés par ce petit mobilier qui au fil des ans avait creusé le fossé entre eux et formalisé la fin de leur amour, si amour il y avait eu! Car compte tenu de leur différence d'âge et de leur religion, j'ai bien peur que Nedjma n'ai eut son mot à dire quant au choix de son époux! Mais elle l'avait accepté et appris à aimer cet homme qui lui avait offert une vie stable et honorable dans ce beau pays de France. Il y a presque 15 ans que son mari ne l'a pas touchée... l'envie ne lui a pas manqué! Mais les moyens... calme plat dans le slip de monsieur depuis cet AVC! Sa merguez avait perdu toutes ses épices qui en faisaient la saveur... Pauvre Nedjma... une femme comme elle, si jeune et férocement bandante! Aucune sexualité depuis 15ans... Quel gâchis!

Des origines méditerranéennes communes nous rapprochent un peu plus, Nedjma et moi : mon père a en effet passé une partie de sa vie en Afrique du Nord... il était fonctionnaire de l'Etat Civil et avait demandé sa mutation pour ce qu'on nommait alors nos colonies. Puis l'Indépendance est venue, et il a du rentrer, comme beaucoup, et tout recommencer ailleurs, là où le soleil n'avait pas la même générosité, la même ardeur, au point d'en refroidir les cœurs et d'en refermer les bras... Trouver sa place dans ce pays qu'il avait quitté à sa majorité pour y revenir dans la force de l'âge n'avait pas été facile! Son premier mariage n'y avait pas résisté. Mais à son retour en France, il fit la connaissance de celle qui deviendrait ma mère, une plantureuse Sicilienne pur jus! Cette proximité géographique, ce lien méditerranéen et mon ascension sociale me valaient le respect et l'admiration de Nedjma...

Mes ex-collègues trouvaient qu'elle en faisait trop dans sa façon d'être, de paraître. Pour dire les choses clairement, elles jugeaient que Nedjma s'habillait comme une pute! Ce n'est pas l'impression que j'avais en la regardant... loin de là! Ses vêtements la moulaient, certes... mais comment aurait-elle pu dissimuler ses formes hors du commun? A moins de multiples opérations ou de s'enrouler le corps entier dans des bandelettes façon momie, aucune chance! Et puis avoir des formes ne suffit pas à faire d'une femme « une pute »! Par contre, baver dans le dos des gens, leur sourire en les croisant et leur cracher à la gueule une fois leur chemin passé, ça, oui! C'est se comporter comme la dernière des salopes!

Ou bien ces collègues étaient simplement jalouses de voir autant de féminité concentrée chez une seule femme, maghrébine de surcroît! Véritable bombe sexuelle au lieu d'être une adepte du voile, une coincée du cul, une hystérique de la religion comme beaucoup d'autres de la même origine... Nedjma était une femme sublime, excitante, simple, parfaite autodidacte sans le moindre diplôme, avec un accent plein de soleil si craquant et une putain de paire de seins!

Ah! Les femmes entre elles... de vraies connes! Quoi que, côté « féminité exacerbée » et « courbes généreuses», Sophie, une de celles dont émanaient ces critiques, se posait là! Sophie était la comptable en chef... à ce titre, elle intervenait sur la structure qui m'avait mandaté sur celle où j'étais détaché à présent en tant que Responsable... Hélas! Les atouts de Sophie se limitaient à sa stature de Xéna la guerrière, sa bouche pulpeuse et ses nichons! Parce que niveau fesses, elle avait un cul d'une platitude désespérante, déprimante même!

Nedjma portait chaque jour un tailleur différent, une tenue franchement des plus classiques... sauf une fois! Ce jour là tout a changé entre elle et moi : un matin, ma bombe de secrétaire se présente avec un ensemble rehaussé de dentelle noire, un truc super sexe! Pas de jupe mais un fuseau noir avec dentelle aux chevilles et tout le tralala! Un haut, noir aussi, pourvu d'un large décolleté laissant entrevoir la naissance de ses seins sublimes, chose qu'elle n'osait jamais habituellement! Les épaules et le ventre sont aussi revêtus de la même dentelle... et le bas du dos! Ça me fait loucher d'ailleurs! Car cette bande indiscrète n'a qu'une fonction! Faire porter votre regard sur sa chute de reins et le cul monstrueux qui se développe juste en dessous!

On aurait vraiment dit un déshabillé sorti tout droit d'une boutique spécialisée tellement ce truc qui l'habillait (« la déshabillait » serait plus approprié) était Hot!! Dès son arrivée, je reste bloqué et ne peux détacher mon regard de son corps...

« - Wow! Nedjma! Torride!!! Qu'est-ce que tu es jolie...

- Merci Dominique! Tu sais que je mets un point d'honneur à bien m'habiller pour l'association, et pour toi aussi...

- Pour moi?

- Bien sûr... Je veux que les clients gardent une image positive! Je suis heureuse que Françoise t'ait choisi pour ce poste... Tu es le meilleur! Même les salariées sont très contentes. Je sais que madame Saliha t'a parlé de ses problèmes de santé intimes l'autre jour...

- Oui!! Elle m'a parlé de ses règles douloureuses et de son mari qui l'honorait trop souvent à son goût! Hahahaha! Quoi que je comprends son mari! Elle est jolie Madame Saliha!

- Hihihihi! Ah vous les hommes vous êtes tous les mêmes! Même si la femme elle est fatiguée, elle doit passer à la casserole! Hihihihi!

- Hahahaha! C'est vrai... Mais qu'est-ce que tu veux y faire? Si j'étais ton mari, je crois que tu ne te reposerais pas souvent! Hahahaha! C'est de ta faute aussi! Quelle idée d'être aussi jolie, franchement? (Elle sourit et le rouge lui monte aux joues) Bref! Pour en revenir à la miss Saliha, tout ça pour me dire qu'elle était fatiguée en ce moment et préférait ne pas avoir de missions supplémentaires...

- Je n'en reviens pas! Une femme arabe ne parle pas de ces choses là à un homme! Jamais! Ça veut dire qu'elle et les autres dames te font totalement confiance, Dominique, et tu peux être fier!

- Merci Nedjma... Je suis content de t'avoir comme adjointe, tu sais... Sans toi, j'étais perdu!

- Oh! Tu m'appelles ton adjointe...

- Bien sûr! Tu es plus qu'une secrétaire pour moi...

- Tu me fais rougir...

- Tu es une femme exceptionnelle, Nedjma! Et ravissante en plus!

- C'est ma journée! Adjointe et une belle femme en plus! Hihihihi! Tu es un beau mec aussi puisqu'on est à l'heure des confidences!

- Un beau mec mais un peu seul... tu sais, j'ai tout donné pour le travail depuis 10 ans... et ma vie sentimentale est totalement vide...

- Je te l'ai dit l'autre jour... moi aussi c'est calme plat, Dominique...

- Ton mari a de la chance quand même...

- Mon mari? Même ses yeux n'expriment plus rien pour moi... pas comme les tiens! Encore plus depuis ce matin! Depuis le premier jour en fait! Hihihihi!»

Bien sûr! Je ne lâche pas sa paire de seins ni son fessier des yeux depuis son arrivée! Depuis le premier jour, c'est vrai! Comment ignorer ses formes généreuses? Et aujourd'hui cette dentelle? Le regard que nous échangeons est d'ailleurs différent de celui que nous avons l'un pour l'autre d'habitude... il me semble que l'on pourrait s'embrasser, là, sur le champ... mais Nedjma se ravise...

« - Oh! Hum! Je... Il faut que je te prépare le courrier du jour! Donne-moi 20 minutes et je reviens avec le parapheur...

- Oui, je t'en prie, Nedjma... je t'attends... »

Mon bureau est à l'étage du local que nous occupons, une bâtisse du 18^ème siècle classée au Patrimoine Historique, tout comme la cour intérieure dont elle est un des éléments, une vaste cour carrée toute en colonnades, et le tout en plein centre-ville! Quand Nedjma descend les escaliers, je ne peux m'empêcher de mater son admirable paire de fesses prise de secousses sismiques à chaque pas! Elle doit le sentir car elle se retourne subitement vers moi avec un large sourire et me fait ce signe réprobateur d'un doigt dressé qu'elle agite, ce geste que l'on a envers les enfants pour leur dire « Gare à toi! », « Fais bien attention! Je t'ai à l'œil! » ...

Je lui rends le même sourire et ajoute :

« - Désolé, Nedjma! Mais tu es trop belle, franchement! Si je te mets mal à l'aise, tu me le dis, OK? J'essaye de me retenir mais je te trouve tellement canon!

- Une femme comme tu les aimes?

- Pas « une » femme! LA femme! Mon idéal féminin absolu!»

Elle descend en riant aux éclats, ses pommettes saillantes rouge écarlate! Une fois hors de ma vue, je remets en place ma queue sous mes fringues... Ma forte érection l'a comprimée et mise dans une position inconfortable... Je la positionne comme il faut et je la masse un peu en feuilletant quelques documents... mais je ne pense qu'à Nedjma! Je n'ai pas débandé depuis son arrivée, ce matin à 8h30!

Elle revient enfin et se place à ma gauche, posant une fesse sur l'accoudoir de mon fauteuil et sa main droite sur le haut du dossier tandis que de sa main gauche, elle tourne une à une les pages du parapheur ... cette position m'offre une vue imprenable sur ses imposants obus! Leur masse incroyable tire outrageusement sur le tissu sombre du haut qu'elle porte aujourd'hui... On dirait qu'il va exploser à tout instant tellement ses formes phénoménales pèsent et tirent de toute part!

Nedjma m'explique le contenu de chaque courrier et les suites à y donner... Mais je n'ai plus la tête au travail! Mes pensées volent au travers des trous suggestifs de sa dentelle... je n'ai d'yeux que pour ses mamelles qui ballottent de droite à gauche à quelques centimètres de mon visage, chaque fois qu'elle tourne une page du parapheur ou se saisit d'une des lettres... Après 2 minutes, je perds toute retenue. Je me tourne légèrement vers elle et lui fourre ma main droite entre les cuisses en donnant un baiser appuyé sur le bout de son sein près de moi! Ma bouche ne manque pas de sentir la petite bosse de son téton encore endormi mais bien proéminent malgré tout! Et puis il y a mes lèvres qui s'enfoncent mollement dans cette masse de graisse impressionnante... je ne suis pas loin de perdre la tête! D'un coup, le sang afflue dans mon bas ventre et durcit mon membre en un éclair! Je la regarde fixement et remonte en caressant l'intérieur de ses cuisses pleines, lentement... J'ai du mal à déglutir ma salive tellement ma gorge est sèche... dans le même temps, je ressens sur ma main la force des ses cuisses qu'elle resserre un peu plus au fur et à mesure de ma progression... il lui suffirait de retirer ma main pour tout arrêter et se défaire illico presto de mon désir! Mais elle n'en fait rien et se contente de ce geste ambigu qui trahit son désir à elle aussi... car je lis dans ses yeux qu'elle a autant envie que moi d'aller plus loin! Serre-t-elle vraiment ses cuisses pour m'intimer de ralentir et tenter de freiner mes ardeurs, ou se masturbe-t-elle sur ma main?

Je parviens jusqu'à sa fente et je la caresse du tranchant de la paume...

« - D-Ddd-Dddd-Dominique... non! Il ne faut paaaas... (Dit-elle dans un souffle)

- Nedjma... C'est plus fort que moi... je me retiens depuis qu'on travaille ensemble, mais je n'y arrive plus... pardonne-moi! C'est devenu trop fort ... je ne pense qu'à toi, Nedjma! Nuit et jour!

- Je sais... je sens bien comme tu me regardes, Dominique...

- Je te trouve si attirante, Nedjma ... Je te jure! Je rêve de toi toutes les nuits, tu te rends compte?

- Dom... Dominique... Oooouhhh... ttt-ta main... ttt-tu rêves de moiiiiiii? »

Elle joue la surprise mais elle affiche un tel sourire de satisfaction que je sais très bien que ma Diva entame son Grand Air de l'Acte II, Scène III : « - Quoi? Toi, un homme plein de vigueur, tu rêves de mes seins si gros qu'ils en exploseraient tous mes chemisiers? Et que t'inspirent mes fesses si rondes moulant outrageusement mes jupes trop serrées? As-tu remarqué comme elles dansent et ondulent à chacun de mes pas? Ô, mon pauvre homme dont le sang fait pulser cette verge tellement dure... Imagines-tu que ma bouche pulpeuse pourrait te faire jouir en à peine quelques mouvements adaptés de mes lèvres peintes d'un rouge incendiaire clignotant comme le néon d'un bordel belge? Si tu savais combien mon minou dégouline à cette délicieuse pensée de toi pensant à moi... Mais je ne dois rien laisser paraître et jouer l'idiote! »

Tsss... Bien sûr que Nedjma sait pertinemment qu'elle a un corps à faire triquer le plus homo des hommes! Elle sait ce qu'elle vaut même si elle n'en abuse jamais...

« - Tu me rends fou, Nedjma!

- Mais...

- Ne dis rien... t'as l'air d'avoir une de ces chattes!

- Cochon...»

Ses mains restent sur le parapheur et ses yeux dans les miens... ma main frotte sa fente et pousse sa culotte et le tissu élastique du fuseau dans ses replis... je mate son bas ventre et je vois son con se dessiner parfaitement sous le fuseau... Camel toe! Un magnifique pied de chameau selon l'expression consacrée!

« - Cochonne! Jusque là, tu t'es laissée faire... »

Elle rougit et son souffle s'accélère...