Révolte 01: Diana et Nicole

Jack est anglais. Il est en train de sodomiser une splendide jeune femme châtain claire. A côté de lui un black sodomise une autre jeune femme châtain claire elle aussi. Les deux filles ont tout juste dix-huit ans. Ce soir c'était leur anniversaire. Ce sont de magnifique jumelles. Elles fêtaient ça dans leurs propriété, avec leurs père qui les élèvent seul depuis cinq ans. Une dizaine de leurs copines est là aussi. Toutes se font sodomiser également. Toutes par des soldats noirs. Il y en a une bonne cinquantaine dans le jardin de la propriété. La femelle qui sodomise Jack n'est autre que sa fille, il est contraint de le faire par les soldats. Il a déjà enculé sa première fille. Il a dut assisté à leurs dépucelage, au viol de toutes leurs amies. Et maintenant ces monstres le force à participer, sous peine d'abattre les jumelles. La fête durera deux jours. Jack sera contraint de violer ses filles par chacun de leurs orifices. Il assistera, comme il a déjà assister, a tout ce que le petit groupe de lycéennes à peine majeures subira. Lui aussi sera violer, par toutes les femelles, équipé d'un gode-ceinture de belle taille, piller dans un sex-shop de la capitale. A la fin, il sera abattu d'une balle dans la tête, tandis que les femelles blanches seront amenée on ne sais où.

Nicole qui est toujours en larmes, en chien de fusil sur le lit, entend de nouvelle voix. Un bruit sourd secoue le lit. On la force à se retourner. Ils viennent de balancer Diana à côté d'elle. La jeune femme n'est pas dans un meilleur état qu'elle. Avec horreur, Nicole voit qu'il y a maintenant plus de vingt hommes dans la pièce. Avec épouvante, les deux femelles voient les hommes prendre chacun une pilule sexe-dure, elles comprennent que pendant les huit prochaines heures elles vont subir une ribambelle de sexe en elle. Inépuisable, toujours dur, prêt à éjacule infiniment pendant ce laps de temps. Alors le massacre sexuel recommence. On ne les tiens plus, elles sont suffisamment matées pour se laisser faire. Exténuer par tout les viols que chacune d'elle à subit. Mais cette fois ceux qui ont violé Nicole, s'occupe de Diana, ceux qui ont baiser Diana, s'occupe de Nicole. Tout cela sous les yeux de Nick que le spectacle fascine, il a déjà jouit deux fois dans son caleçon en regardant l'enfer de son épouse. L'arrivée de la magnifique et jeune Diana l'excite de nouveau. De nouveau son petit sexe devient dur. De nouveau il sait qu'il ne va pas tarder à éjaculer dans son caleçon déjà souillé de sa semence.

Deux nouvelles heures, c'est le temps qu'a duré les nouveaux viols de Diana et Nicole. Nick c'est éjaculé trois fois de plus dessus. Le plus gradés de tous, un capitaine de cinquante ans, à remarqué les mimique de Nick. Les deux femelles gisent sur le lit, inconsciente. Le capitaine s'approche de Nick.

- Le spectacle t'a plut?

Nick qui ne veux l'avouer, répond comme il le devrait.

- Non, vous êtes des monstres.

- C'est nous les monstres? Tu sais combien de nos femmes les envahisseurs étrangers qui volent nos ressources ont violées? Elles, contrairement à vos femmes ne restaient pas en vie après ça. Aujourd'hui on ne fait que se venger de ce que notre peuple à subit de la part des occidentaux et autres étrangers.

Le capitaine désigne Diana.

- La jeune c'est votre fille?

- Non, c'est une collègue et amie de ma femme.

- OK, elles ont quel âge?

- Cinquante-deux pour ma femme, vingt-deux pour Diana.

- Waouh, bien conservée la vieille. Puis surtout elle a une chatte bien étroite. Presque aussi étroite que la jeune.

Le capitaine donne un ordre à un de ses hommes, il détache Nick.

- A poils!

Nick le regarde effrayé. Le capitaine rigole.

- Non, ta rondelle ne crains rien. Ce n'est pas le cas de tous, mais ici aucun de nous n'a envie de se faire un blanc. Même avec des objets pour se venger. Les jeunes sont des étudiants éduqués, mes hommes des troupes d'élites. Tu as de la chance, la plupart des autres étranger vont se faire dévaster le cul.

A moitié rassuré, Nick se met nu. Le black rigole en voyant son petit sexe.

- T'as une petite bite, combien elle mesure?

- Treize centimètres en érection.

- Ta femme doit pas jouir souvent avec un si petit engin.

- Jamais avec ma bite, surtout qu'en plus je suis éjaculateur précoce.

- La pauvre, elle ne doit jamais avoir eus d'orgasmes avec toi.

- Si, plein, je suis très doué de ma langue. A chaque rapport, je lui fais un cuni, elle a au moins cinq ou six orgasmes. Cela à été pareil avec toutes mes amantes. Aucune femme ne peux résister à mon organe linguale.

Cela donne immédiatement une idée au capitaine. Il la garde dans un coin de sa tête pour plus tard. Du pied, il étale le pantalon et le caleçon de Nick sur le sol.

- J'en étais certains, tu as éjaculé en voyant le viol de ta pute et de la chienne brune!

Nick, qui ne peut nier l'évidence acquiesce. Le capitaine reprend.

- Je vois, tu es un sadique et un pervers qui aime bien voir des femmes se faire violer et torturer!

- Je ne sais pas, je n'ai jamais été confronté à ça, même pas dans des vidéos simulées.

- Je vois, un pervers refoulé. Tu as aimé ce que l'on a fais à ta femme et à l'autre?

- Non, c'est horrible, c'est violent, c'est sale!

Nick à crié.

- Tu es certain?

Nick hésite.

- Non... Heu, oui, oui...

Mais sa voix prouve qu'il hésite.

- Bien je te laisse le choix. Soit on les réveilles et on continuent, soit on s'en va et on change de villa. Ce n'est pas les étrangères à violer qui manque dans le coin.

Nick ouvre la bouche pour répondre, puis la referme. On voit qu'il hésite, qu'il réfléchit intensément. Le capitaine sait qu'il a gagné. Finalement, Nick répond dans un soupir.

- Continuez, n'arrêtez pas.

Sur les deux?

- Oui.

- Même ta femme?

- Oui, même elle.

- On va les enculer, les prendre à plusieurs, les battre, les torturer. Rien ne va leurs être épargnés. Tu es certain de vouloir qu'elles subissent cela?

- Oui, je le suis.

- Tu voudrais participer?

- Oui, oui, je veux les battre, les violer.

- Alors voilà ce que je te propose.

Nick est rhabillé et rassit quand les hommes réveillent les deux femmes. Ils le font à coup de gifles, les faisant revenir à elles. Ont les mets à genoux au milieu de la pièce. Les deux devront sucer tout les hommes de la pièce. Ils jouissent sur leurs visages, dans leurs cheveux, sur leurs seins. Mais dans la majorité des cas, elles devront avaler leurs semences. Une fois que tous ont été sucé, les deux chiennes voient avec horreur les soldats prendre de nouvelles pilules. Après huit heures de viols, ils ne comptent pas s'arrêter en si bon chemin. Le jour est levé depuis un moment, la lumière à envahit la pièce. Mais l'enfer sexuel des deux putains n'en est qu'à ses débuts. Surtout qu'à plusieurs reprise, Nick à été obligés de se branler devant le viol des deux femmes, leurs jouissant dessus.

Après les fellations, elles sont couchées l'un à côté de l'autre sur le ventre. Diana comme Nicole sont vierge de l'anus, leurs éducations pudibonde ne tolérant pas cette pratique, que elles même trouvent dégueulasse. Un anus cela sert à déféquer, pas à se faire prendre par une bite. Mais toutes deux comprennent ce qu'elles vont subir. Elles sont trop exténuer pour tenter de se débattre. Alors comme un veau à l'abattoir, elles attendent avec épouvante de connaître ce nouvel enfer sexuel.

Nina, vingt-quatre ans, est une belle italienne, brune à la peau mat. Elle est tétraplégique depuis son accident de moto six mois plus tôt. Ses jambes et ses bras ne bougent plus. Mais elle a de la chance, elle peut parler, bouger la tête, la tourner. Son torse et son bas-ventre sont également encore contrôlé par son cerveau, ce qui lui permet d'uriner et de déféquer comme avant, en étant capable de se retenir. Elle peut parler et manger seule, tant que l'on porte la nourriture à sa bouche. Fille d'un riche propriétaire terrien, ayant pas moins de trente fermes dans la région. Nina est réveillé en pleine nuit. Son infirmier personnel et neuf soldats viennent de pénétrer dans sa chambre. Elle entend des cris provenant de toute les chambres de cette clinique privé. Il ne lui faut pas longtemps pour comprendre qu'ils proviennent de femmes que l'on agresses. Elle regarde Momo, son infirmier.

- Momo, il se passe quoi?

- C'est la révolution, on se venge des étrangers qui ont pillé notre pays, qui nous ont affamés. Tu fais partie des ennemis, hélas pour toi.

- Momo, pitié, j'ai été gentille avec toi!

- Tu parles, vu la façon dont tu m'as parlé...

- Pardon, je m'en excuse.

Nina voudrais fuir, mais elle ne le peut pas. Momo arrache sa blouse de malade. Dévoilant son corps nu. Ses seins gros et lourds, sa chatte complètement rasée par l'infirmière. Sa peau mat, son ventre plat. Il lui caresse la joue, Nina laisse échapper un geignement de terreur.

- Ce qu'il y a de bien, c'est que tu ne peux pas bouger, ni te débattre. On va te faire prendre la position que l'on veux, et on va tous t'enculer, tu ne pourras y échapper.

- Pitié, pas ça Momo, pas ça.

- Si ça, et le reste. On va tous prendre ta bouche et ta chatte. Après je te rassure, tu restes avec moi, tu es ma prime pour avoir ouvert aux révolutionnaires. Tu seras heureuse avec moi.

Quand Momo s'approche d'elle Nina se met à hurler. Il la retourne sur le ventre, la manipule pour que son torse soit sur le lit surélevé, ses jambes dans le vide, ses pieds touchant à peine terre. Elle hurle quand le sexe de l'homme pénètre entre ses fesses. Pendant trois jours, ils profiterons tous de ses atouts serrés. Puis, comme promis, elle ira chez Momo, à qui elle donnera des enfants, beaucoup d'enfants.

Nicole et Diana sont allongée sur le dos, deux oreillers sous le ventre de chacune, surélève leurs fesses. Derrière elles, les deux plus gradés. La bite tendu, attendant de les sodomiser. Ils font durer le temps volontairement, pour les torturer psychologiquement. Puis complètement synchroniser ils avancent en même temps vers leurs victimes. Ils les saisissent aux hanches ensemble, place leurs glands entre les fesses des deux femelles au même moment. Puis ils poussent ensemble, entreprenant de forcer les sphincters de leurs victimes. De nouveaux les hurlements de Diana et Nicole reprenne au fur et à mesure que les glands de leurs bourreaux se fore un passage dans leurs antres inexplorées. C'est l'anus de Nicole qui perd le premier la bataille. La bite pourtant énorme du black est avalée en un seul coup entre les fesses de la fille. Elle cabre en hurlant, manquant échapper à son violeur. Mais ce dernier la tient fermement, il se couche sur Nicole, le sexe complètement planté en elle. Alors l'enfer démarre réellement pour la femme, quand il commence à faire coulisser son engin entre ses fesses, la sodomisant à grands coups de reins.

Diana n'a pas plus de chance, son cul plus petit que celui de Nicole, résiste plus longtemps à la grosse bite de son futur enculeur. Mais comme celui de l'autre, il cède, mais seul le gland du violeur entre dans l'anneau distendu. On attend un craquement, tandis que l'anus se fissure, suivit d'un hurlement horrible. Le corps de Diana se couvre encore plus de sueur, elle tremble comme une feuille morte. Alors fou de violence, le gradé commence à lui défoncé le cul, la sodomisant comme un sauvage. Diana hurle alors comme jamais, la jeune femme à l'impression qu'une moissonneuse-batteuse lui passe sur le corps. Elle sent chaque aspérité du sexe qui rentre dans son rectum. Elle se contracte tant que sa douleur est décuplé par mille. Son violeur adore ça, jamais il n'a pénétré un orifice aussi étroit, même pas la chatte de cette putain. Alors il profite de cet orifice, le défonçant à grande vitesse, l'agrandissant, le fissurant.

Les prison sont les premiers alliés du général Abdou. Ne sachant si le gros de l'armée le suivrait, il est allé chercher ses troupes à l'endroit le plus facile. Ralliés les gardiens de prisons sous-payés n'a pas été trop dur. Les prisonniers, politiques comme de droits communs, ont eux aussi rapidement accepté de le rejoindre. La perspective de viol et pillage sans risques les motivants facilement. A quinze heures, toutes les prisons du pays, même celle de très haute sécurité, virent leurs portes s'ouvrirent. Détenu et gardien s'assurèrent que tout est sous contrôle. En Anglefrique, les prisons sont privé, toutes gérés par une compagnie anglaise. La direction, le personnel médical et de bureau est anglais. Pratiquement que des femmes. Il y a aussi beaucoup de femmes ou de filles de riches étrangers qui pour s'occuper deviennent visiteuse de prison dans des ONG. Dans chaque prison, il y a environs une quarantaine de femmes, pour une moyenne de cinq milles prisonniers et cinq-cent matons. C'est elles qui en seront les premières victimes, violées en masses, pendant une heure, avant d'être jetées en cellule pour servir de nouveau de vides-couilles au retour des prisonniers et des matons. Ces derniers se lancent alors dans la rue, pour piller, violer, voler. Mais surtout pour faire tomber ce gouvernement corrompu. Les deux millions de premier soutiens du général Abdou se lance alors à l'assaut, prêt à tout détruire. L'armée et les forces de l'ordre, suivront peu de temps après.

Les deux femmes hurlent en chœurs, alors qu'elles sont sodomisée chacune par leur gradés. Un double dépucelage anal. Ils se fichent ensemble dans les anus, pour se vider en criant leurs jouissance. Aussitôt retiré, deux nouvelles bites enculent les deux femelles. Les deux gradés qui sont sortis souillés des rectums féminins, leurs enfournent leurs bites tachées de sperme, de sang et de merde. Cette nuit rien ne sera épargnée au deux femmes. Après une série horrible de sodomies qui leurs laissent le cul horriblement dilaté, s'ensuivent une frénésie de sauvagerie sexuel. Double pénétration, d'abord vaginale et buccale, puis vaginale et anale, pour finir par vaginale, buccale et anale. Puis ce sont deux sexes dans la chatte qu'elles subissent, pour finir par deux bites dans le cul. Un toubib qui se trouve là, devra les piquer plusieurs fois pour qu'elles ne s'évanouissent pas. Les soldats, eux, prendront plusieurs pilules sexe-dure pour bander. Finalement, ce n'est que vers vingt heures le lendemain que les soldats les laisseront se reposer. Dormant eux aussi, le sexe et le cerveau vidés de toutes envies de violences sexuelles.

Mais vers quatre heures du matin, cela recommence, les bites sont de nouveau durs, on réveille les deux femmes, les hommes se jettent sur elles. Ce sera à qui enfoncera le premier sa bite dans une chatte, un cul, une bouche. On leur éjacule dans l'oreille, les narines, sur les yeux. C'est un véritable massacre de leurs orifices que les deux femelles subissent. Souvent, sous la violence et la dureté des viols elles s'évanouissent, mais des gifles, de l'urine dans leurs bouches, des pincements les réveillent, pour les faire hurler encore et encore. Deux nouveaux jours de viols d'un sadismes sans noms, de sodomies affreuses, de viols déchirant, s'abat sur Diana et Nicole. A la fin, elles s'évanouissent, le vagin et l'anus des deux femmes, tellement dilatés, ne se refermeront pas avant plusieurs heures. Suintant une quantité phénoménale de semence masculine.

La première nuit fut dur pour les étrangers, surtout pour les étrangères, les trois suivantes encore pire. L'alcool aidant, les viols se font plus violents, plus sadiques. Des femmes se font prendre dans la rue, par plusieurs hommes à la fois. Les maisons deviennent de véritable lieux de partouzes forcées. On filme, on prends des photos. Tania Hugues, la présentatrice vedette de la chaîne privée Anglefrique-News, chaîne la plus regardée par la colonie anglo-saxonne du pays, sera violée en direct. Rousse, sexy, très belle, la jeune femme de vingt-cinq ans est une véritable icône sexuelle dans le pays, et plus particulièrement au sein de la communauté lesbienne. Une troupe bigarrée de soldats, de prisonniers avinés, de citoyens drogués ont pénétré dans le studio, bien aidé par les vigiles Anglefricains qui ont laissé faire. La jeune femme qui présente le journal en direct, détaille les exactions commises par les soldats et les prisonniers libérés sur la population étrangère du pays. Elle est en train de recommander aux gens de bien rester calfeutrés chez eux, de se cacher. Expliquant qu'une chasse aux blancs, aux asiatiques ou tout autres étrangers est ouverte. Quand une horde d'une centaine de soldats prends d'assaut le plateau. A part la productrice, une jolie femme de cinquante ans, et son assistante de production, une jeune étudiante de vingt ans, tout les autres son Anglefricains.

Tania reste figée, le regard horrifiée, quand elle voit prés de quinze homme se battre pour la productrice et son assistante. Quinze brutes avinés sur chacune d'elle. Rapidement les deux femmes hurlantes sont nues, et des bites pénètres vagin, anus, bouches. D'autres se jettent sur elle. Les cameramans braquent leurs caméras sur la scène. On va enfin les venger de cette connasse hautaine, raciste, qui n'en manque pas une pour les rabaisser, les insulter. Tania tente de se débattre, en vain. On lui arrache ses vêtements, mettant sa petite poitrine, et son vagin glabre à nu. On l'arc-boute sur son bourreau. Et en direct, on la sodomise. Tania hurle, mais aussitôt un sexe s'enfonce dans sa gorge pour la faire taire. Pendant plus de dix heures, on passera son viol à la télé. La chaîne étant tombés aux mains des insurgés, personne n'arrêtera la diffusion. La chaîne connaître sa meilleure audience de tout les temps.