Révolte 01: Diana et Nicole

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- Général Abdou?

- Lui même.

- Je suis le colonel Momo, chef en second de la garde présidentiel.

- Je sais qui vous êtes.

- Je viens d'abattre le général Mamadou. Je prends le commandement de la garde présidentiel. Je me range à vos ordres avec pratiquement tout mes hommes. Seuls une centaine qui défendent le palais résistent encore. Vos troupes peuvent marcher dessus. On a presque fini le ménages des troupe restant fidèle.

- Que voulez-vous en échange?

- Rien, on a tous de la famille, des amis qui souffrent du pillage de notre pays. Je sais que vous êtes incorruptible, que vous êtes l'homme de la situation. Ce que je veux, c'est que vous redonniez la vie qu'ils méritent à notre peuple.

La fête bats son plein dans le palais présidentiel. Les ressortissants occidentaux les plus puissant du pays sont là, des dirigeants et des actionnaires de toutes les entreprises exploitant le pays sont là aussi, pour fêter les soixante ans du président à vie. Près de trois mille personnes sont là. Le champagne et les victuailles coulent à flots. Personnes ne se rend compte que les communications sont coupées, volontairement cette fois-ci, cela arrive si souvent ici. Si bien que la nouvelle du coup d'état en cours n'est pas encore arrivé. Mais rapidement ils sont mis au courant, quand une foule de civil et de soldats pénètrent dans l'enceinte. On abats froidement les hommes, tandis que les femmes, quelques soient leurs âges sont violées, battues. Par un ou plusieurs hommes. Le président à vie est mis aux arrêt, sa femme et sa fille de quarante ans sont offerts à des soldats. Il sera exécuté le lendemain devant les caméras.

D'ailleurs le général Abdou vient d'arriver au bâtiment de la télévision nationale. En trois heures la victoire sera arrivé. La nouvelle fait le tour du monde. Sous l'œil des caméras, il prend la parole.

- Aujourd'hui est un grand jour pour l'Anglefrique. La révolution à eut lieu. Les Anglefricains reprennent le pouvoir. Ma première décision est de nationaliser toutes les ressources du pays.

Il fait une pause.

- Leurs revenus reviendra aux Anglefricains. Sécurité sociale, aide d'état, emploi, tout cela sera revalorisé pour arriver au niveau de vie que nos ressources doivent nous fournir.

Il fait une nouvelle pause.

- Mais l'heure de la vengeance à aussi sonné...

Le général Abdou est dégoûté par ce qu'il va dire, mais cela est nécessaire pour que son peuple puisse redevenir le peuple pacifiste qu'il est. Mais pour cela sa soif de sang doit-être étanché.

- Tout ressortissant occidentaux ou étranger n'est plus protégé par nos lois. Ils nous ont exploités, ils doivent payer. Seule les ambassades doivent-être épargnée. Aucun des exploiteurs se trouvant dans notre pays ne doit rester vivant ou libre.

Il reprend son souffle. Un de ses secrétaires s'approche.

- Seul les français, les israéliens et les russes doivent-être épargnés. Sauf bien entendu dans les rares cas où ils feraient partis des cadres dirigeants. Un communiqué important vient de tomber. Je vous le lis tel quel :

Il reprend sa respiration, mais tous peuvent lire le soulagement sous son visage.

- Nous, gouvernement Français, Israélien et Russe, reconnaissons le président Abdou comme nouveau dirigeant de l'Anglefrique. Le trouble règne encore dans le pays, et beaucoup de pays seraient tenté d'envoyer des forces armées pour ramener le calme et faire échouer la révolution. Nous peuple de France, d'Israël et de Russie, alliés à l'Anglefrique, garantissons la réussite de cette révolution. Nous garantissons l'indépendance de ce pays également. Tout pays qui enverraient des troupes militaires, sans la demande express du général Abdou, seraient considérés par nous, France, Israël et Russie, comme une déclaration de guerre envers l'Anglefrique. Déclaration de guerre, qui seraient prise de facto comme une déclaration de guerre envers nous, France, Israël et Russie.

Le général Abdou jubile intérieurement, il sait qu'il a gagné la partie, personne, même pas les USA, n'osera intervenir contre lui. Il reprend.

- Dans les jours qui viennent un gouvernement sera mis en place sous mon égide. Je laisse un mois au peuple pour remettre les exploiteurs, occidentaux, étrangers ou Anglefricains corrompu aux mains des forces armées. Dans quel état qui soit, afin qu'ils soient jugés. En attendant, je vous souhaite à tous une bonne nuit.

La retransmission fut coupée, tandis que le général Abdou regagne sa villa sous bonne escortes.

Un camion s'arrête devant la villa de Ron et Amy Liland, le couple de vingt-cinq ans est sortit brutalement de la maison. Ils sont nus. Le mari comme la femme ont été sauvagement violés. Avec des bites pour elle, avec des objets pour lui. Leurs anus sont sauvagement fissurés, ceux qui les fait marché les jambes arqués. Du sperme rosé, s'échappe en plus du vagin de la jeune femme. Mais ce n'est pas fini. Dans le camion, ils rejoignent une dizaine de couples dans le même état que eux. Tous ont subit les mêmes avanies sexuelles. Mais là où on les emmènent, ce sera pire. En plus des viols, la tortures s'en mêlera. Leurs maisons ont été pillés, leurs comptes saisis par les autorités. Ce sont des milliards de dollars qui viennent d'entrer dans les caisses du pays. Juste avec la saisie des comptes des exploiteurs. Cette somme sera multipliée par mille avec la saisit des comptes d'entreprises. De pays le plus pauvre du monde, la redistribution de ces saisies au peuple le fera gagner cinquante places deux ans plus tard. Quand les richesses du pays seront totalement exploités par l'état, vingt ans plus tard, le pays deviendra le plus riche du monde, et ayant les habitants les plus riches. Mais en attendant l'horreur s'abat sur les coupables de plus de cent ans d'exploitations et d'esclavages atroces. Une juste vengeance diront certains, une horreur sans noms en dirons d'autres.

Même les touristes ne seront pas épargnés par la vindicte populaires. Les hôtels seront pris d'assaut, les touristes tirés de leurs lits, violés sur place ou dans la rue, torturés également. On battra un mari, un père, tandis que femme ou fille seront sauvagement violées. Mary, jeune américaine de vingt ans est forcée par plus de trente hommes, dans le vagin, l'anus ou la bouche, sous les yeux de son père. Avant que ce dernier ne soit obligé de la prendre lui aussi. Abby quarante ans est d'abord violée par tout ses trous par son fils, vingt ans, forcés de le faire. Avant que plus de cent black la baise à mort. Abby était la responsable RH d'une entreprise connu pour son faible salaire versé à ses ouvriers anglefricains, même pour l'Anglefrique d'alors.

Les lycées occidentaux et étrangers aussi sont pris d'assauts. Si les externes sont violés chez eux, pour les internes c'est sur place. Tous y passeront garçon comme filles. Élèves comme professeurs. Même les Anglefricains qui ont collaboré aux pillages du pays seront punis, encore plus durement, encore plus sauvagement, avec encore plus d'avanies sexuelles.

Dans tout le pays les boîtes pour touristes, les restaurants, les clubs de vacances sont pris d'assauts. Les viols se font directement sur place. Avec que les pauvres victimes ne soit amener soit sur des bases, soit offert à une foule en colère, lâcher dans la chasse sexuelle aux blanches. Dans les boîtes lesbienne, les avanies sexuelles et la violence des agresseurs atteint sûrement un summum dans l'horreur.

Les plages privées ou non, les piscines sont également attaquées, les fêtes, les barbecues sont interrompues par des hordes de soldats en furie. Les maillots volent, les femmes hurlent, battue, violée sur la plage, sur le bord de la piscine, dans l'eau. Les petites tenues des étrangères excitent encore plus les mâles, qui là, se montrent encore plus dur, plus violent, plus sauvage.

Les couvents ne sont pas épargnés non plus, on violent les bonnes sœurs, sans aucune pitié. Les boutiques appartenant à des blancs seront pillés, les propriétaires violés, battus comme les autres. Christie et ses deux filles de dix-huit et vingt ans, propriétaire d'un sex-shop seront violées par plus de mille hommes, avant que l'on n'essaie sur elles tout les sex-toys de leur boutique. Les scènes d'horreur se répètent à l'infini dans la capitale et tout le pays. Aucun blanc n'y échappe. Ils finiront comme travailleurs dans les mines pour les hommes, comme pute dans les casernes, les mines ou autres pour les femmes, avec comme seul espoir de libération la mort.

Des mères sont violées sous les yeux de leurs enfants, des filles sous les yeux de leurs pères, des femmes devant leurs maris. Rien n'échappent à cette folie sexuelle, certains jeunes hommes sont aussi violemment sodomisés...

hôpitaux médicaux ou psychiatrique, clinique privée, centre de désintoxication, eux aussi sont la cible des révolutionnaires. Infirmières et médecins sont mis à part. Les membre féminin seront juste violées, sans autres violence particulière. Tandis que les patients étrangers subiront la haine de ces révoltés. Malade dans le coma ou pas, femme enceinte, sur le point d'accoucher ou l'ayant fait subiront les pires avanies sexuelles. Attardées mentaux, paraplégique ou tétraplégiques, alcoolique ou droguées en désintoxication, toutes subiront les révoltés. Battue, violée, torturée, rien ne sera épargnées aux ressortissantes étrangère, ni aux mâle d'ailleurs. Grand nombre d'entre eux seront violés aussi, abattu sommairement, torturés.

Il y a douze mariage étrangers dans la capitale le jour de la révolte. Eux aussi sont attaqués. Exécutions sommaire des hommes qui tentent de résister. Viol de la mariée devant son mari. Les belle-mères, les témoins, les demoiselles d'honneur, tout le monde y passe. Une véritable orgie de violence s'abat sur ces moments censés être heureux. Avec comme point de mire, le viol le plus atroce possible de la mariée. Tout les invités seront forcés à se la faire, en plus du nombre déjà conséquent d'assaillant.

Aucun pays n'interviendra. Les télés du monde entier parleront de ces exactions pendant quelques jours, avant de passer à autre chose. Les millions de blancs victimes de la révolution de l'Anglefrique finissant oubliés. Payant pour toutes les horreurs qui firent subirent pendants des siècles au peuple de ce pays. Aucun pays ne demanda l'envoi de casques bleus, la libération de ces prisonniers de révolution. Non, tous avaient peur de perdre les juteux contrats qu'il y aurait à signer. Peur de perdre des milliards de dollars pour leurs entreprises. Qu'était la vie de cent-trente-cinq millions de malheureux comparés à ce que valait ces juteux contrats. Rien, pas de quoi en faire un drame. Bien vite les étrangers d'Anglefrique devinrent les oubliés du monde. Prisonniers aux mains du nouveau gouvernement du Général Abdou. Victime collatéral de la finance. Diana, Nicole et son mari n'y échappèrent pas, voici leur histoire.

Diana dort simplement en string, ses seins moyens, bien rond à l'air libre. La clim ronronna doucement dans l'appartement. Dans la rue de Bodia, la petite ville où se trouve la mine d'Uranium, des soldats se déplace lentement. Prenant position par groupe devant les villas des occidentaux. Ils y pénètrent lentement dedans. La villa de Nick et Nicole n'y fait pas exception. La porte des chambres de Nicole et celle de Diana s'ouvre en même temps. Une dizaine d'hommes pénètre dans chacune d'entre elles.

Ils allument la lumière dans la chambre de Diana. L'alcool aidant, elle ne se réveille pas. Elle dort sur le dos. Jamais ils n'ont vu nue une telle beauté. Ils bandent immédiatement. Celui qui est le chef s'approche, il sort son pistolet automatique. Le lit est haut, si bien qu'il n'a pas besoin de se baisser pour pincer doucement le nez de la fille blanche. Dormant toujours, elle ouvre la bouche. Il lui enfonce le canon de son arme dans la bouche. Diana ouvre de grands yeux, se réveillant en sursaut. La terreur se lit sur son visage, elle s'urine dessus. Tachant les draps, faisant rire les hommes.

- Enlève ton string où je tire!

Terrorisée, Diana obéit immédiatement, elle relève ses jambes et descend son dessous. Dévoilant un sexe bien entretenu ou ne court qu'un fin fil de poils brun. L'arme se retire de sa bouche. Immédiatement la main de l'officier la saisit par les cheveux, il la fait descendre du lit. Diana crie de douleur. Il la fait agenouillée au milieu de la pièce. Il sort un sexe de belle taille de son pantalon, Diana regarde écœurée et en pleure le sexe mou devant son visage. Un soldat pose la lame d'un couteau de combat contre la carotide de la jeune femme.

- Tu vas me sucer, si tu mord, il te tranche la gorge. Surtout tu n'utilise pas tes mains, et je veux sentir ton nez contre mon ventre! Si tu refuses, on t'abat, tu es loin d'être la seule putain blanche de la ville!

Morte de peur, Diana ouvre immédiatement la bouche en grand. Le gland de l'africain la pénètre aussitôt. Jamais Diana n'a eut un amant avec un engin aussi gros. Le pieu doit mesurer au moins dix-huit centimètres de long pour cinq de diamètres. Les autres soldats arrachent les draps, retournent le matelas mouillé. Diana entend hurler en haut, Nicole et Nick doivent subir le même sort qu'elle. En attendant la jeune femme entreprend de sucer le sexe du black du mieux qu'elle peut.

Nicole et Nick dorment, quand des soldats entrent dans leur chambre. Ceux-là sont moins doux que ceux de Diana. Ils sortent brutalement le couple du lit. Ils les mettent à terre, les rouent de coups de pieds. Nick est agenouillé, un flingue contre la tempe. Nicole se retrouve debout au milieu de la pièce. Elle est en nuisette mauve. Nick son mari est allongé sur le sol, au pied du lit, le canon d'une arme automatique posé sur la tempe. Les hommes la regardent avec envie. Malgré son âge, Nicole est encore bandante. Blonde, quelques kilos en trop, un cul un peu larges, et un bon 95d . Des seins encore fermes et pas trop tombant. Le type de femmes que les Anglefricains adorent.

- A poils!

Nicole, hébétée, terrorisée, en larmes ne réagit pas. Un des soldats sort un matraque à vache. Une de ces matraques électriques. Il en appui le bout contre la cuisse droite de Nicole, il appui sur le bouton. Un grésillement suivit d'un hurlement se fait entendre. Nicole s'écroule au sol, se tenant la cuisse. Mais déjà, c'est sur l'épaule de la blonde qu'il envoi une décharge. Nouvel hurlement de la femelle. Elle se roule en boule, mais la matraque s'appuie sur son ventre, grésillement suivit d'un nouvel hurlement. Son mari, hébété, ne bouge pas. Mais à son grand désarroi, il sent son sexe se gonfler à la vue de ce que subit sa femme. Lui, qui toute sa vie a été un homme soumis, s'en trouve presque choqué. Nick a toujours cru sa femme très forte, capable de résister à tout. Il va vite voir qu'il n'en est rien. Elle est forte devant les faibles comme lui, mais devant de vrais mâles alpha, il n'en ai rien.

Nicole pleure, supplie.

- Pitié, je vais obéir!!! Arrêtez, je vais obéir.

Le gradé ricane.

- J'ai seulement utilisé ma matraque trois fois. Tu es plus forte devant de pauvre gars mort de fatigue. Allez, debout.

Nicole se relève, elle remonte sa nuisette, elle ne porte rien en dessous. La femme leur dévoile sa chatte épilée, puis sa poitrine lourde, énorme, légèrement tombante. Avec de larges aréoles rose foncé, de petits tétons. Nicole n'est pas grosse, elle est pulpeuse, en chair, mais pas de cellulite. Le genre de femme que les blacks adorent. Sa nuisette n'est pas encore tombé au sol, qu'ils empoignent une Nicole hurlante, elle se débat, en vain. Ils sont trop fort, trop nombreux. On la couche sur le lit, on la tient en croix, le gradé se couche sur elle. Quand il la pénètre, Nicole hurle comme une folle. La bite est grosse, elle lui fait mal. Le hurlement et le spectacle du viol de Nicole font éjacule Nick dans son caleçon. Il comprend qu'en bas, ce n'est pas mieux, d'où il est, entre deux hurlements de sa femme, il entend ceux de Diana.

Le black à jouit dans sa gorge, la contraignant à tout avaler. Mais malgré son éjaculation il ne débande pas, son sexe restant dur. Il gifle violemment Diana, qui s'écroule au sol. Des soldats se jettent sur elle, la maintenant, tout comme Nicole, en croix, mais pour Diana c'est à même le sol. Le gradé se laisse tomber sur elle. Il la pénètre d'un seul coup, en entier. La femme hurle, jamais un engin pareil n'est entré en elle, même Yvan son amant le mieux monté, rend cinq centimètres de longueur et au moins un de diamètre à la bite qui la viole. Son hurlement est strident, la douleur affreuse. L'homme la viole rapidement, avec force. Il lui broie ses seins, qu'elle a bien ferme, bien rond, de tailles moyenne. Il les lui mords, laissant la trace de ses dents dans la chair. Faisant pousser à Diana un cri strident. Ayant déjà jouit dans la gorge de sa victime, cette fois il est plus endurant, il dure plus longtemps. Il prend son temps dans ce fourreau trop étroit pour le recevoir.

Jamais il ne s'est fait une fille aussi belle, aussi serrée. Cela change de sa femme, de son vagin si large après sept accouchements. Puis avec cette putain de blanche, il peut se laisser aller à toute la violence qu'il souhaite. Diana cabre tellement sous la douleur, que les quatre soldats qui la maintienne en croix on du mal. Mais aux coups de boutoirs de plus en plus fort qu'elle reçoit, la jeune femme comprend qu'il va jouir en elle.

- Pas dedans, pitié, pas dedans!!!

Hurle une Diana dévastée.

- Je ne prends pas la pilule!!!

Mais le gradé s'en moque, il se fiche en elle et lâche la purée.

L'homme qui maintient le bras droit de Diana, le lâche dès que son supérieur se retire. Il est son adjoint, il sera le second à passé sur elle. Un flot de sperme s'échappe du vagin de la fille. Du sperme mélangé à du sang. Son violeur lui a fait une légère déchirure vaginale. C'est la première, ce ne sera pas la dernière. Diana qui sanglote, se remet à hurler quand ce nouveau soldat la viole. Un autre vint lui maintenir son poignet libre. Avec horreur, Diana comprend que tous vont lui passer dessus. Son enfer ne fait que commencer.

Nicole devient folle, ils sont déjà trois à avoir jouit en elle. Heureusement qu'elle est ménopausée, elle n'aura pas à subir une grossesse. De nouveau on se vide dans son corps, son quatrième violeur se répand dans son ventre. Déjà un cinquième se jette sur elle. Il la pénètre. Il est aussi gros, aussi violent, aussi méchant que les précédents. Il se venge avec sa bite de toute la misère que les étrangers ont fait subir à son pays, au continent même. Nicole qui a eut peu d'amants dans sa vie, pratiquement aucun sexe en elle a part le petit zizi de son époux, subit ce engin monstrueux avec douleur. Ses hurlements horrible sont là pour prouver la dureté des viols qu'elle subit.

Ses violeurs ont tout les âges, la moitié sont des adultes, des soldats de l'armée régulière. L'autre moitié sont de jeune paysans, à peine majeur, violant une femme de l'âge de leur mère. Tous lui passent dessus, jouissant dans son corps. Quand la première vague lui est passée dessus, on la laisse tranquille. Le gradé descend. Nicole se recroqueville en chien de fusil, le corps secoué de spasmes, pleurant toutes les larmes de son corps.

Un dernier homme viole une Diana inerte, se laissant faire. Pour elle aussi, tous ont jouit en elle. Le groupe de ses violeurs est composé de la même façon que pour Nicole. La moitié sont des soldats engagés, l'autre moitié de jeune paysan armés. Tous ont œuvré pour la même cause, la libération de l'Anglefrique du joug des autres nations, de la fin de son pillage. Un autre gradé entre dans la pièce. Il discute avec celui se trouvant dans la pièce de Diana. Ce dernier est le chef de ce commando de vingt et un hommes. Il attend que le violeur de Diana se vide en elle. Quand il se retire il donne un ordre dans son dialecte. L'ordre de monter la putain blanche en haut. La pièce y est beaucoup plus grande, un étage à elle seule. Ils y seront plus tranquille pour s'amuser. Après tout la fête ne fait que commencer. Alors un géant soulève Diana comme si elle n'était qu'une enfant, il la met sur son épaule et le groupe sort de la chambre pour monter au premier étage. Ils auront mis deux heures en tout pour tous se vider dans les utérus des deux femmes.