Révolte 05: Jennifer et Laurence.

- Alors c'est meilleur de se faire enculer par son petit mari?

Geignant de douleur sous les coups de boutoirs de son époux, Laurence ne répond pas. Le gardien-chef le laisse finir. Rapidement, il atteint la jouissance. Se répandant dans les reins de la médecin. Il se retire, et se remet debout. Tandis qu'un des soldats ordonne à Laurence de garder la position. La femme s'attend à être de nouveau prise, mais personne ne vient. Le gardien-chef regarde Jennifer.

- Va sucer le mari de ton ami, nettoie le de ta bouche. Si il veux que tu ailles au bout tu le fera. De toutes façons comparé à la bite d'un cheval, ce n'est rien pour toi.

Jennifer s'avance vers lui, elle s'agenouille et le prend en bouche. Tandis qu'un des soldats donne une pilule sexe-dure au mari de Laurence.

Le gardien-chef revient alors vers Laurence.

- C'est le fantasme de ton mari, se taper Jennifer.

- Vous mentez!

- Non, il a aussi adoré baiser la mère et la sœur de ta jeune amie. Pour vos deux filles, il a bien aimé aussi. Mais c'était moins nouveau.

- Comment-ça?

- Il baise Kate, ta grande depuis plusieurs années déjà, plus de cinq ans si j'ai bien compris. Quand à Lindsay, ta seconde, ça fait un peu plus de quatre ans que cela dure.

- Vous êtes un menteur! Ça ne vous suffit pas de nous violer, vous voulez en plus nous détruire psychologiquement?

Son mari, tout occupé à se faire sucer par Jennifer, ne participe pas à la conversation, même si ce qu'il entend lui mets un rictus aux lèvres.

- Tu ne me crois pas? Regarde tes deux putes.

Laurence jette un coup d'œil sur Kate et Lindsay. Elles baissent la tête, les larmes aux bords des yeux.

- Kate? Lindsay? Dîtes-moi que ce n'est pas vrai!

- Si, maman, c'est vrai.

C'est Kate qui a répondu. La mère regarde ses deux filles, la médecin est désespérée. Elle n'a rien vu. Elle va pour se lever, mais le gardien-chef la fait rester en place.

- Il m'a violée le lendemain de mes dix-huit ans. Peu après que tu sois partie pour ta semaine de garde de nuit. Il est entré dans ma chambre à deux heures du matin. Je dormais nue. Il m'a violée par devant, puis par derrière. Il est venu toutes les nuits, pendant deux ans... Puis après ce fut une nuit sur deux. Même quand tu étais là.

- Mon dieu, je n'ai rien vu, rien entendu...

Si Laurence aurait put voir la détresse de ses filles, elle ne pouvait rien entendre, les pièces sont complètement insonorisée. C'est sa seconde fille qui continue.

- Ce fut pareil pour moi, sauf que là il m'a violé le soir même de mon anniversaire. A trois heures du matin. Il m'a sodomisée aussi, maman, ce fut horrible...

Lindsay prends quelques secondes pour ravaler ses larmes, puis elle reprend.

- Au bout de un mois, tu as eus de nouveau ton tour de garde de nuit. Cette fois, il nous a violées ensemble. Nous prenant par tout les trous, nous forçant à des relations lesbienne, alors que ne orifices débordés de sperme, son sperme... Il nous a aussi offert à des tas d'autres hommes...

Le grognement de plaisir quand il se vide dans la bouche de Jennifer, fait reporter l'attention de Laurence sur son mari.

- Tom, pourquoi? Pourquoi tu leurs a fais ça?

- Tu étais tout le temps crevée ou pas là, on n'avait plus fait l'amour depuis des mois. Alors j'ai pris mon plaisir là où je pouvais. Je ne regrette rien, ce sont deux putes!

- Tu es un monstre! Un bâtard! Un...

Le gardien-chef la fait taire d'un violent coup de poing en pleine figure.

- Ce n'est pas que votre petit différend familial m'indiffère, mais on a autre chose à faire ici. Notamment le dépucelage de Lydie.

Un des soldats lance un gode-ceinture blanc, de belle taille sur le lit. L'engin fait vingt centimètres pour six de diamètre. Le gardien-chef reprend son monologue.

- C'est ton mari qui va lui dépuceler le cul. Pour la chatte c'est toi, Laurence qui t'en occupera.

- Jamais, vous m'entendez jamais.

L'homme fait un signe. Aussitôt deux soldats font mettre Kate et Lindsay à genoux. Un pistolet contre leur tête.

- Si tu refuses, les deux autres mourront, et ta fille sera dépucelée par un cheval. Et tu es bien placée pour savoir les dégâts que fait un cheval dans un vagin, vierge de surcroît...

Laurence ne réfléchit pas longtemps, elle sait très bien qu'il exécutera sa menace.

- Je le ferais... A la condition que vous m'accordiez un souhait lorsque cela sera fait!

- Si ce n'est pas un souhait qui consiste à libérer ou laisser tranquille une seule pute, c'est d'accord.

- Bien. Mon souhait entre totalement dans vos critères...

Laurence se met à pleurer, en tremblant elle attrape le gode ceinture qu'elle passe, tout en restant sur le lit. Le gardien-chef comme Tom, la trouve bien bandante avec ses gros seins et cette grosse bite en plastique.

Après avoir avalée son sperme, Jennifer à été contrainte de sucer de nouveau Tom. Fellation qu'elle lui prodigue toujours. D'une tape sur la tête il lui fait cesser sa pipe. Jennifer ouvra alors la bouche. Bandant toujours, le mari de Laurence s'approche de leur petite dernière. Il lui tapote les reins.

- Allez, va sur le lit avec ta mère.

Lydie, comme si elle va à l'échafaud, s'avance vers le lit. Son père n'a pas besoin d'être violent, elle a vu toutes les atrocités que ses sœurs, et la famille de Jennifer ont vécu, pour savoir que tout acte de rébellion entraînerait de sévères et douloureuses représailles, tout en empêchant pas sa défloration forcée. Elle grimpe sur le lit, s'allonge sur le dos, repli et écartent ses jambes. Sa mère se glisse alors entre elles, à genoux. Elle pose le bout du gode contre les lèvres vierge du sexe de sa fille.

- Je veux que tu la défonce comme une putain quand tu seras en elle!

C'est la voix du gardien-chef qui vient de résonner dans la pièce.

- D'accord.

- Par contre tu obéiras à ton mari comme si c'était moi. Compris?

- Oui.

- Parfait.

Laurence plonge son regard embuée de larmes, dans celui de sa fille, qui pleure tout autant que sa génitrice.

- Je suis désolée ma puce, je n'ai pas le choix.

- Je sais, maman... je sais...

Alors Laurence agrippe sa fille aux hanches, et d'un violent coup de reins, elle fait de Lydie une femme. Le cri que pousse la jeunette est déchirant. Mais sa mère commence alors à aller-et-venir en elle.

Les soldats, Tom et le gardien-chef regardent le spectacle qu'ils trouvent superbe et qui les excitent comme des fous. Chacun prends alors une des femelles et la pénètre vaginalement ou analement. Toutes sont pénétrée par au moins un queue. Tom, lui à choisit le vagin de Jennifer. Toutes sont habituées maintenant aux pénétrations forcées, si bien que aucune ne crient, se contentant de pleurer doucement. Par contre les hurlements de Lydie emplissent la pièce. Tom lui, est heureux de violer Jennifer pour la première fois, même si des milliers de bites ont déjà eus la jeune fille.

- Putain, ta chatte est encore bien serrée, malgré toutes les bites que tu as eus et surtout les chevaux. J'ai vu la vidéo, sympa comme tu aime ça!

Jennifer, humiliée, ne répond pas se contentant de sangloter encore un peu plus fort. Son violeur n'est pas long à se vider en elle. Mais il est encore dur quand il ressort de son ventre. Il place sa bite aussitôt entre les fesses de l'infirmière.

- Voyons voir si ton cul est aussi serré...

Il la pénètre aussitôt, Jennifer grogne de douleur, tandis que Tom gémit de plaisir.

- Putain, comme tu es étroite, un vrai régal!

Aussitôt il se met à défoncer sa victime.

Tout en copulant avec sa fille, Laurence voit ses deux autres filles, Jennifer, sa mère et sa sœur se faire violer. Elle continue le viol forcer de sa fille, se maudissant de faire cela. Laurence l'ignore, mais si la plupart des étrangers ayant maintenu l'Anglefrique dans la pauvreté la plus totale on été ou seront exécuté, un petit pourcentage ont rejoint les forces révolutionnaires. Un plus petit nombre encore, environs une dizaine de personnes, dont fait partie le mari de Laurence, ont aussi aidé le général Abdou dans son projet de coup d'état. En le finançant, ou en l'aidant avec leurs carnets d'adresses. Ce qui lui a permis de s'allier la Russie et la France.

Laurence viole longtemps Lydie. Sa fille crie sans discontinuer, du sang tache le blanc du gode. Mais la médecin continue, consciente que c'est le sang de la défloration qui teinte ainsi l'engin de plastique.

- Après avoir jouit dans les reins de Jennifer, Tom se retire, toujours dur. Il se dirige vers le lit où s'accouple toujours sa femme et la plus jeune de ses filles.

- Laurence, prend cette chienne en levrette!

Sa femme lui lance un regard haineux, mais elle se retire de Lydie. Cette dernière se met à quatre pattes. Quand sa mère le viole de nouveau, elle se remet à hurler. Dans cette position, le sexe de plastique va encore plus loin en elle. La déchirant, tapant contre son utérus, la faisant hurler comme une folle. Tout en défonçant sa fille, Laurence sent son mari monter sur le lit, il la penche un peu en avant et s'enfonce dans son ventre. Laurence pousse un petit cri, pour la première fois, baiser avec son mari la dégoûte, tant il lui donne la nausée pour ce qu'il a fait à leurs deux filles. Il la baise comme jamais il ne l'a fais, violemment, méchamment, sauvagement. Il ne veut pas lui donner du plaisir, juste se vider les couilles en elle. De plus, les coups de reins de son mari, font que Laurence viole encore plus méchamment Lydie. La mère et la fille hurlent alors de concert.

Heureusement, Tom ne la force pas longtemps. Dix minutes après, il jouit en elle. Quand il se retire, le sexe toujours dur, grâce au pilule, il lui ordonne de se retirer de Lydie. Elle s'exécute de suite.

- Laurence, couche-toi sur le dos.

Rapidement, elle obéit.

- Lydie, empale-toi dessus le gode.

- Pitié, papa...

- Tu préfère un cheval?

- Mon dieu, non!

Devant la menace, Lydie enjambe sa mère et s'empale sur le gode en grognant de douleur.

- Bien, penche-toi en avant sur le torse de ta pute de génitrice!

Lydie obéit, elle sait ce qui va lui arriver. Elle l'a vu faire tellement de fois sur ses sœurs ou sur la famille de Jennifer. Mais la terreur du cheval est plus forte. Son père lui a montré la vidéo de Jennifer. Puis de sa mère. Alors quand la bite de son père se pose contre son anus, elle écarte encore plus les fesses. Lydie se contentera de hurler de douleur, tout le long de son horrible dépucelage anal. Puis après ça, son père lui violera la chatte. Il se fera sucer par Lydie juste après. Une fois bien vidé, ce sont tout les hommes présent, qui profiterons de ses trous.

Une fois sa fille dépucelée de partout, et alors qu'un soldat vient de la violer par devant, Laurence regarde le gardien-chef.

- J'ai fais ce que vous vouliez, je vais maintenant vous dire mon vœu. J'exige que vous abattiez mon mari!

Le gardien-chef part dans un fou-rire en entendant les mots de Laurence, tout comme Tom d'ailleurs.

Il se retourne vers le mari de Laurence.

- Je crois que j'ai oublié de lui dire un truc. Vous lui dîtes vous ou c'est moi?

- Je vais le faire. Ma chère Laurence, tu te rappelles, quand on est partie vivre ici, je t'ai suivis et j'ai mis en vente mes entreprises en Europe. Je t'ai dis que c'était pour vivre avec toi en Anglefrique et ne plus avoir à retourner là-bas.

- Oui, je me souviens, tu as mis deux ans pour les vendre d'ailleurs. Trois putains de milliards de dollars. Mais une fois que tout cela sera fini, on te prendra tout ton fric!

- Je ne pense pas que cela finisse un jour. Le général Abdou, à l'appui de la France, de la Russie et dans une moindre mesure d'Israël. Ces trois pays promettent une intervention militaire contre tout pays attaquant l'Anglefrique. Je pense sérieusement que personne ne viendra sauver les étrangers d'ici.

- Mon dieu...

- Bref, il y a un truc que je ne t'ai pas dis par contre. Les deux tiers de cette somme ont servit à financer un ami à moi. Un garçon avec qui j'avais fais mes études et avec qui j'ai gardé contact pendant tout ce temps. Un certain général Abdou. C'est grâce à mon financement, et celui d'autres, qu'il a put rallier tout ce beau monde et faire sa révolution. En échange, comme il est un ami sincère, il a fait de moi son ministre des finances. Je suis un roi ici. Toi, nos filles, Jennifer, sa mère et sa sœur vous allez finir vos jours comme putes à soldats. Estime-toi heureuse, tu es ménopausée, mais les six autres vont fournir de beaux bébés métisse à l'Anglefrique. Les garçons auront la meilleure éducation possible, et s'ils en ont les capacités, ils deviendront des dirigeants du pays. Quand aux filles, on leur donnera aussi une bonne éducation, mais à dix-huit ans pile, j'en ferais des femmes.

Laurence et les autres sont horrifiées à ces mots. Tom et le gardien-chef se dirige vers la sortie. Il pose la main sur la poignée et se retourne.

Une dernière chose, aujourd'hui c'est repos pour toutes les prisonnières, toutes sauf vous. Tout les clients, et tout les soldats seront pour vous. Aux dernières nouvelles, il y en a déjà plus de mille.

A peine la porte ouverte déjà les premiers clients entrent pour violer les femelles. Tom viendra les voir régulièrement pour les prendre l'une ou l'autre. Elles resteront des putes jusque à la fin de leurs vies. Quand au gardien-chef, il retourne à sa prison. Il y a pas mal de prisonnières, de gardiennes, ou de membres du personnel administratif qu'il a envie de connaître plus intimement. Tom et lui couleront des jours paisible, emplit de sévices sexuels qu'ils commettront, jusque à la fin de leurs vies.