Révolte 05: Jennifer et Laurence.

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Complètement droguée et saoule, rendue folle de désir, elle a donc sortit la queue du gars de sa bouche, pour aussitôt la loger entre ses seins.

Après quelques mouvements de va et viens à peine, le blacks s'est rendu compte qu'une fois encore, il état fort imprudent de continuer sur cette voie...

Il l'a donc faite se redresser. Elle est maintenant debout face au géant noir. Droguée, saoulée, sa bouche s'est écrasée sur la sienne. Leurs langues ont fait connaissance... Elle est toute trempée... De sa main libre, elle a guidée le sexe démesuré du black entre ses cuisses.

Elle ne le fait pas entrer, mais au contraire, elle le laisse bien sagement battre sur son clito . Jennifer a senti son vagin se contracter... Puis la jeune infirmière de tout juste vingt ans, vierge avant ces événements a jouit en gueulant... Le premier orgasme de sa vie. Un des seuls qu'elle aura.

Une fois sa jouissance passée, Jennifer s'effondre dans les bras du noir qui a du la retenir en s'esclaffant et en riant aux éclats...

Mais très vite les deux noirs s'engueulent pour savoir qui sera le premier à pouvoir profiter de sa chatte... Et qui sera le premier à profiter de son cul ...

Quant à Jennifer, son attitude est suffisamment claire pour que tout le monde puisse comprendre qu'elle ne va pas essayer le moins du monde à se soustraire à ses obligations...

La jeune stagiaire est toujours dans les bras du géant noir qui lui fait face. Son copain est venu dans son dos pour la saisir par la taille.

Elle est maintenant littéralement coincée entre les deux montagnes de muscles.

Elle sent leurs sexes palpiter. Malgré la honte de la situation, mais elle n'est pas dans son état normal, elle est complètement trempée.

Jennifer se cambre de façon provocante et elle a relâchée un instant l'étreinte de ses bras qui enserrent le type devant elle.

De ses deux mains libres elle a écartée bien grand ses fesses, de telles façons que l'autre géant black derrière elle puisse l'enculer sans problème... Ce qu'il n'a pas tardé d'ailleurs à faire...

La foule est énormément excitée... Laurence et la directrice voient simultanément trois hommes forcer leurs orifices. Un dans la chatte, un dans le cul, et enfin un dans la bouche. Les coïts sont rapide, pas plus de trois minutes. Mais la douleur, elle, est continue.

Très excité par la scène, du black sodomisant Jennifer, son copain lui a empalé la chatte. Elle est prise en sandwich entre ces deux montagnes de muscles. Toute le monde, sauf les six s'occupant de Marijke et de Laurence, peuvent entendre distinctement l'incroyable bruit de succion que ce salaud fait dans la chatte inondée de la jeune blanche...

Leurs bites sont raides comme de l'acier et malgré toutes les précautions qu'ils prennent pour durer le plus longtemps possible, ils ne parviennent plus à se contrôler ,ni l'un, ni l'autre.

Ils éjaculent pratiquement en même temps noyant ses entrailles et sa chatte de leurs jets brûlants et saccadés...

A son tour, et une fois de plus, elle a connu un orgasme bestial et fulgurant.

Il est certain que ces deux salauds vont s'échanger ses orifices.

Il n'y a aucun doute la dessus. Celui qui vient de l'enculer a plongé sa main dans les cheveux de Jennifer, et il l'oblige de force à redresser la tête...

Dans la cour, toute l'assistance commente, discute et parle des qualités respectives des deux géants blacks mais aussi du comportement de salope de cette chienne étrangère...

Sans qu'ils ne se soient rien dit, celui qui l'a baisée est venu derrière elle réclamer sa part de son cul. Résignée, elle s'est penchée en avant en prenant appui sur une petite barrière en fer qui sert à attacher ici les prisonniers dangereux...

Elle a poussé son cul en arrière... La jeune infirmière le sait, elle va se faire sodomiser pour la deuxième fois de la matinée.

Mais il semble que l'autre black a jeté l'éponge...

A un moment on a même cru qu'il va les laisser et repartir....

Il y a eut un mouvement de foule pour vite prendre sa place...

Mais on voit aussi que le spectacle l'émoustille et l'excite beaucoup. Il a donc décidé au dernier moment de ne pas laisser sa place et de retenter sa chance. Il lui flanque et introduit sans plus de manière la bite avec laquelle il vient de l'enculer devant sa bouche, tandis qu'il l'agrippe par les cheveux pour qu'elle accomplisse son devoir.

De son côté, le noir qui l'encule, la pilonne amplement, avec un rythme parfaitement régulier.

Complètement droguée, inconsciemment, il semble qu'elle le remercie en accompagnant chacun de ses mouvements par un mouvement en sens contraire, pour bien accentuer sa pénétration.

Bien qu'il connaisse les effets de la drogue, il n'en revient pas lui même.

Il fait part de son étonnement à son copain qu'elle est en train de sucer avec une vraie conscience professionnelle. Et ensemble, ils ont éclatés de rire... et toute l'assistance avec eux....

Normalement elle aurait dû être morte de honte, ivre de douleur. Mais avec les effets de la drogue, il lui semble qu'elle aimait le sexe bestial, qu'elle aime cette ambiance torride, qu'elle aimait être le point de mire de ces dizaines d'hommes autour d'elle .

Elle se laissée aller. Ses cris de jouissances ont du s'entendre dans toute la prison....

Les deux violeurs qui se retiennent depuis plusieurs minutes ne peuvent plus se retenir.

Celui qui l'enculait se vide une fois de plus les couilles, puis il s'écroule sur elle, vidé, exténué, sans souffle...

Tandis que son copain se repend dans sa bouche et lui asperge le visage de son sperme.

Jennifer reprend difficilement ses esprits...

Mais derrière elle, sans qu'elle le voit et sans qu'elle s'en rendent compte, deux des gardiens amènent un cheval de grande taille...

Les deux noirs qui l'ont baisée, l'ont forcée maintenant à se glisser sous le ventre de l'animal.

A genoux, et les fesses collées aux chevilles, ainsi placée, sa tête vient à plusieurs reprises se frotter contre le ventre du cheval qui semble fort apprécier cette caresse involontaire...

Le sexe énorme de l'animal commence à se déployer devant son visage pour bientôt atteindre une longueur gigantesque de près de 60 cm et de 10 cm de diamètre.... et 60 cm d'un sexe animal qui se balance sous son nez , on peut dire que c'est énorme!!!.

Les hommes sont surexcités par la situation exceptionnelle qu'il leur est donnée de voir. Ils violent encore plus violemment la pauvre Marijke et la pauvre Laurence. La médecin est d'ailleurs horrifiée, épouvantée par le spectacle auquel se donne sa jeune amie.

De force, ils plaquent sa bouche sur le sexe monstrueux en lui faisant comprendre qu'elle a tout intérêt à le sucer... sous peine et sous la menace de goûter elle aussi aux battes de base-ball...

Terrorisée mais aussi résignée, elle s'exécute dans un silence total, hormis les hurlements de Laurence et de la directrice.

Les spectateurs sont comme hypnotisés par le spectacle incroyable qu'elle est une fois encore obligée de leurs offrir.

Les deux autres femmes tout en étant violées, sont elles aussi obligées de regarder le spectacle.

Elles sont terrorisées et terrifiées... Car elle se doute elles aussi de ce qui risque de leur arriver à elles aussi, mais sans aucune drogue.

La bouche de Jennifer est donc le point de convergence de tous les regards...

Inconsciemment, instinctivement, elle a enserrée la queue palpitante du cheval dans ses mains. Elle a de la peine à la tenir vu la taille de l'engin.

Elle s'efforce de réprimer une envie folle de vomir pour satisfaire son seigneur et maître qui l'a faites jouir tout à l'heure, sous le regard goguenard du gardien-chef.

Dans son cerveau complètement droguée, elle tient à ce qu'il soit fier d'elle. Elle va lécher, sucer et avaler ce sexe qui la nargue, comme s'il s'agit de celui de son seigneur.

Très vite, le sexe de l'animal s'est retrouvé luisant de salive. Elle lape et elle avale avec une voracité non feinte, cette queue monstrueuse qui lui est offerte. Elle s'efforce même de montrer à ses tourmenteurs une lueur salace et vicieuse au fond de ses yeux. Plus tard, redevenue normale, elle sera morte de honte, songeant et essayant même de se suicider pour qu'elle oublie qu'elle est désormais la « Pute à chevaux ».

L'animal s'est soudain mis à hennir. Sa respiration devient plus profonde. Elle sent son sperme qui monte et qui se précipite au sommet de son gland énorme.

L'animal décharge une quantité incroyable de sperme. Il lui ensemence sa bouche et éclabousse entièrement son visage, sa poitrine, tout son corps.

Lorsque finalement le flot a commencé à faiblir, Jennifer a tentée de laper les dernières gouttes qui continuent à s'écouler. Elle entendait le public applaudir à tout rompre pour sa grandiose performance.

Jennifer a espérée un court moment en avoir terminée. Mais non, ses bourreaux ont profité de son bref moment d'abandon pour s'emparer une nouvelle fois d'elle. Et sans avoir le moins du monde besoin de se concerter, ils l'ont forcée à s'allonger sur une sorte de "banc de saillie", un cheval d'arçon transformé pour les petites chéries du gardien-chef.

Sa tête pend dans le vide. Deux d'entre eux lui écartent les jambes, tandis que deux autres guident le cheval sur elle.

Voyant le "banc de saillie" auquel il semble habitué, le cheval se cabre et piaffe d'impatience en raclant le sol de ses sabots ferrés. Il se redresse sur ses pattes antérieures en agitant un sexe qui n'a rien perdu de sa rigidité, ni de sa longueur, ni de sa grosseur.

La monstrueuse queue dégoulinante de sperme est pointée sur sa chatte. Les hommes sont à la fête.

Les deux femmes qui sont toujours obligées de regarder sont horrifiées et épouvantées... Elles doivent certainement se dire qu'après Jennifer, leurs tours viendraient ...

Un des noirs, un sourire vicieux aux lèvres, a aidé l'animal pour cette pénétration monstrueuse.

Un pieu de chair vive l'a transpercée. Elle hurle de douleur et de terreur devant cette pénétration monstrueuse. Elle se débat comme une folle. Les hommes autour d'elle doivent la maintenir avec force. Un cri strident jaillit de ses poumons.

Mais petit à petit, sous les effets de la drogue, son calme revient, la douleur se fait plus douce. Sa chatte semble s'habituer à cette distension monstrueuse. Il semble qu'elle commence même à en tirer du plaisir... Sa respiration devenant plus ample.

Sa poitrine se soulève plus fort. Une grimace de plaisir commence même à se lire sur sa figure.

Voyant son changement d'attitude, les hommes se regardent en riant, en s'esclaffant et en se moquant... Puis ils ont relâché progressivement leurs étreintes.

Elle était maintenant entièrement libre de ses mouvements.

D'une main furieuse, elle se masturbe le clitoris, tandis que sa chatte est toujours emplie de cette queue gigantesque. L'infirmière-stagiaire semble être surexcitée par cette situation obscène entre toutes, dont Jennifer sent qu'elle se rapproche de l'explosion finale.

Elle a redressé sa tête et son buste en le plaquant contre le poitrail de l'animal.

Elle semble comme prise d'une frénésie hystérique de sexe et elle crie sa jouissance à gorge déployée.

Le cheval se cabre et s'enfonce un peu plus profondément encore au fond de son sexe.

Le gardien-chef sourit à ce spectacle. Il se dit qu'il a eut raison de quadrupler la dose habituel. Voyant que le cul de Laurence est libre, il s'approche d'elle et la sodomise. Lui tenant la tête, pour que malgré ce nouveau viol, la médecin continue à regarder l'accouplement de son amie.

Les coups de croupe du cheval se font maintenant plus forts et plus rapides.

Dans son état second elle ne peut pas s'empêcher de laisser s'échapper ses cris de jouissance.

Elle prononce des mots sans suite, entrecoupés de râles de plaisir et de cris de douleurs.

Jennifer perd tout contrôle d'elle... A un moment même elle a implorée le cheval de la baiser encore plus fort, encore plus dur, encore plus vite, et plus à fond.

Tout cela sous les rires, les applaudissement et les moqueries des hommes...

Ses cheveux fouettent l'air comme le ferait la crinière d'un cheval déchaîné.

Sa croupe va à la rencontre de ce piston de chair qui la rend folle.

Puis elle a perdue totalement conscience....

Lorsque un court instant, elle était revenue à elle, ça a été pour entendre tout autour d'elle des hommes rire et dire "de ne pas s'inquiéter, puisque elle semble bien aimer ça, elle en aurait encore d'autres!!!!"

A nouveau, elle était retombée dans l'inconscience. Le cheval se retire alors du corps inerte de Jennifer, un flot impressionnant de sperme et du sang dut au multiples déchirures du vagin de la pauvresse, jaillit du sexe largement ouvert. Une marre rosée se forme au bas du cheval d'arçon. Le gardien-chef se dit qu'avec ce que lui a mit le cheval, elle va hurler comme une malade quand la drogue ne fera plus effet, tant la douleur sera vive. Mais ça c'est le cadet de ses soucis. Il sodomise alors encore plus durement Laurence.

Excités à mort par le spectacle, les deux femelles seront baisée plusieurs fois, par tout les hommes ivres de sexe. Mais en comprenant, que pour l'instant elle échappent aux chevaux, les deux filles subissent sans se débattre. Ayant peur que comme punition, elles ne subissent le même sort que Jennifer. Mais cette fois sans drogue. Pendant des heures, elles seront violées par tous, plusieurs fois pour certain. Finalement, la nuit tombée, on ramènera Jennifer et Laurence à l'infirmerie, toutes deux inconsciente. Elles ne reverront jamais Marijke, jamais elles ne sauront ce qui lui est arrivé.

La directrice sera en effet encore violer massivement pendant une dizaine de jours. Puis vu son âge et malgré sa beauté, elle sera une des étrangères exécutées pour crime contre le pays. Une des rare femmes exécutée, et une des rare à ne pas faire partie du monde de la finance. Mais ça, Laurence et Jennifer ne le sauront jamais. Leur enfer sera bien plus long, bien pire, et bien des fois elles regretteront de ne pas être morte.

Quelques jours plus tard, l'infirmerie est devenue un vrai lupanar. Soit médecins et infirmières, tous de sexe féminin, sont violées, soit elles doivent soigner les bobos de leurs bourreaux. Laurence et Jennifer n'échappe pas à la règle. Jennifer ne parle plus, choquée, détruite par le spectacle qu'elle a donnée. Elle est attachée en croix sur un lit. La veille, elle a prit un scalpel pour tenter de se suicider. Heureusement ou malheureusement selon les points de vues, le gardien-chef veille au grain, et l'en a empêche au dernier moment.

Comme punition, les hommes passeront par quatre sur elle. Un pour chacun de ses orifices normaux que sont la bouche, la chatte et le cul, le quatrième la prenant au choix soit par la chatte, soit par le cul. Si Laurence à vu se succéder des milliers d'hommes pour elle, pendant des semaines, ce fut quatre fois plus pour Jennifer. Rien ne leur est épargné. Les viols, bien sur, mais aussi les coups, la tortures, les morsures, les brûlures de clopes. Si ils restent serré, les orifices de Jennifer n'ont plus rien a voir avec ceux d'une jeune femme dépucelé depuis peu. C'est son vagin qui a le plus morflé, surtout après le passage du cheval.

Tous veulent se taper la « pute aux chevaux. ». D'ailleurs, elle y a eut droit de nouveau, plusieurs fois. Mais sans drogue cette fois. Inutile de vous dire que là, la pauvresse n'a eut aucun plaisir. Ses hurlements ne furent que douleurs. Comme ceux de Laurence d'ailleurs, qui elle aussi à eut droit à plusieurs accouplements chevalins.

Puis au bout de deux mois, les deux femmes sont enfin sortit de l'infirmerie. De la prison même. On les fais monter dans une jeep. Elles rouleront pendant cinq jours. Entrecoupés par de nombreux viols. Par les trois soldats qui les accompagnent avec le gardien-chef, mais aussi par ceux des Check-point, ou ceux des endroits où le véhicule fait halte pour la nuit.

Finalement, le véhicule arrive dans un ranch. Pas de champs ou de bétails ici. Mais des dizaines de baraquements en préfabriqué. Le périmètre est surveillé par des soldats posté sur des miradors. Le tout entouré de haut-mur, puis d'un grillage électrifié recouvert de barbelés. Le petit groupe vient d'arriver au camp de prisonniers étranger de Bodia. Le camp est bien gardé, impossible de s'en échapper. Après avoir franchit l'entrée, où pour une fois personne ne viole Jennifer et Laurence. Le véhicule s'enfonce dans le camp. Jusque au baraquement numéro cent-dix-neuf. Jennifer et Laurence sont descendu du véhicule par les trois soldats. Si le voyage à été dur, elles n'ont manquée de rien du point de vu eau et nourriture. Deux soldats garde la porte du petit baraquement. Ils laissent entrer le petit groupe. Il y a un petit vestibule donnant sur une porte fermée. Le gardien-chef regarde les deux femelles.

- Je vous dirais bien de vous déshabiller, mais vu que vous êtes déjà nue c'est inutile.

En effet, les deux filles ont fait tout le voyage nue. Le gardien-chef toque à la porte. Elle s'ouvre, c'est un soldat qui vient d'ouvrir. Ils entrent. La pièce est grande, il y a une vingtaine de lit. Certains sont occupés. Quand Laurence et Jennifer voient qui les occupent, une longue plainte d'horreur sort simultanément de leurs gorge.

Laurence reconnaît immédiatement Tom son mari. Kate sa fille aînée de vingt-trois ans. Lindsay, sa seconde fille âgée de vingt-et-un ans est aussi là. Pour finir il y a Lydie, sa dernière fille, tout juste dix-huit ans. Laurence se rend alors compte que c'est aujourd'hui le jour de son anniversaire, celui de sa majorité. Et sa fille va le passer là, dans ce camp de l'horreur.

Jennifer, elle reconnaît Susie, sa mère de trente-huit ans, et Leslie, sa jeune sœur de dix-neuf ans.

A part Lydie, qui est seulement nue, elles ont toutes un point commun, elles sont nues et couvertes de spermes. Inutile de leur expliquer. Jennifer et Laurence comprennent que leurs familles à vécu le même sort qu'elles. Le gardien-chef rigole.

- Oui, je suis un sentimental, j'aime bien les réunions de famille. Je l'ai déjà fait pour Nabilla, maintenant c'est votre tour. Et les retrouvailles familial aussi, j'adore ça. Je suis un grand sentimental, cela me met la larme à l'œil. D'ailleurs, en parlant de sentimentalité, je vais vous prouver que je ne suis pas un monstre. Laurence, baise avec ton mari.

- Quoi?

- Tu as bien compris. A part la petite dernière qui est encore vierge d'ailleurs, il s'est déjà tapé tes deux autres putes. Par tout les trous. Ainsi que les deux autres salopes.

Laurence est horrifiée quand elle comprend que ces monstres on forcés son mari à violé ses propre fille.

- D'ailleurs il s'est tapé aussi la mère et la sœur de Jennifer. Alors il manque plus que toi. L'amour, c'est important dans la famille.

Le gardien-chef s'esclaffe de sa propre blague. Les soldats rigolent aussi d'ailleurs.

- Va te mettre à quatre pattes sur le premier lit. Ton époux chéri va venir t'enculer.

Baissant les yeux, morte de honte de se faire baiser devant ses filles, Laurence obéit néanmoins. Elle grimpe sur le lit et se met dans la position demandée.

Laurence regarde son mari se dévêtir. C'est rapide, il ne porte qu'un caleçon. Elle est surprise de voir qu'il bande déjà. Comment une telle situation peut-elle l'exciter... Il se dirige vers elle et grimpe sur le lit.

- Tu va voir, ta pute est beaucoup plus large de l'anus maintenant. Mais c'est encore serré, donc tu devrais bien apprécier. Tu y va comme tu veux, tant que tu jouis en elle.

L'homme ne répond pas. Il se contente de saisir sa femme aux hanches et de l'enculer.

Laurence ne peut s'empêcher de laisser échapper un cri quand son mari commence à bouger en elle. Il l'encule comme un sauvage. Lui d'ordinaire si doux, la prend comme les sauvages qui la viole continuellement depuis tant de temps. Le gardien-chef s'approche de Laurence, il lui caresse les cheveux.