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BÊTA PUBLIQUE

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....

L'attente était longue et à 15 h 30, un flot de lycéens m'apporta ma sœur. Après quelques centaines de mètres sur la route du retour et à la faveur d'un feu rouge, nous pouvions enfin nous embrasser à nouveau. Sa main restait sur ma cuisse à me mettre en condition pour un peu de temps seul avec elle.

-On a dans les deux heures, elle tiendra le coup?

-Ça dépend si tu as un peu ou beaucoup faim

-Tu as de quoi en nourrir deux comme moi, je ne suis qu'une jeune fille fragile

-Fais gaffe à tes petites fesses fragiles alors

-On dit s'il te plaît.

Passé la porte d'entrée, elle s'échappait de mes bras pour courir à sa chambre. Je la suivais et la trouvais à genoux sur son lit, à déboutonner son chemisier, impatiente du regard. Mes mains se glissaient sur sa peau dévoilée pour lui retirer son soutien gorge et libérer sa douce poitrine alors qu'elle dévorait ma bouche en me retirant ma chemise de travail. Je la basculais en arrière et retirais en un mouvement son jean ouvert et sa culotte, ses petites chaussettes restant ses seuls vêtements.

Elle faisait de même sur moi et rapidement j'étais nu sur elle, mon sexe dur sur son pubis, ses grandes jambes autour de moi, une main dans mon dos. L'autre attrapa mon membre pointant mon gland contre son entrée humide le lubrifiant de ses jus intimes ; portant ses doigts sous mes testicules, elle m'invitait à la pénétrer.

Doucement d'abord, mon gland pris place en elle, je portais mon poids sur mes bras en regardant au fond de ses yeux mi-clos. Un peu plus loin pour y passer quelques centimètres, je me retirais puis y retournais encore un peu plus loin. N'y tenant plus, mon dernier coup de rein fit rencontrer son pubis et le mien. Sa langue cherchait la mienne alors que je commençais un va et vient relativement doux, sentant son vagin encore étroit. Puis plus vite au rythme des sons dans sa gorge. Plus vite encore sentant ses ongles dans mon dos, me stimulant au possible.

Trop vite, il fallait que je ralentisse. Toujours en elle, je me redressais pour admirer notre zone de contact sexuel, voir mon membre entrer et sortir du vagin de ma petite sœur, mon gland rester en elle, sembler voir son corps fin se dilater entre ses jambes ouvertes en grand. Mon regard remontant, j'admirais ce corps de femme auquel je n'avais jamais pensé faire l'amour, mes mains flattant ses seins et jouant avec ses tétons durcis.

Elle se tenait sur ses coudes et dans sa souplesse érotique, son pied se porta à mon torse, d'abord pour y rester puis pour me repousser, sortant d'elle pour la première fois. Elle se tourna pour me montrer ses fesses, à quatre pattes face à moi, me remémorant le spectacle qu'elle avait offert à d'autres que moi sur internet. Mes mains sur ses hanches, mon gland retrouvait vite son entrée chaude et nos mouvements conjugués à notre transpiration faisaient claquer nos corps.

Un pouce baladeur rencontra son anus exposé juste sous moi, décrivant des cercles. Elle était très réceptive à mon contact, envoyant un sursaut dans son corps, un léger réflexe forçant l'air de ses poumons à s'échapper dans un petit cri satisfait. Récupérant ses jus pour la lubrifier par derrière, elle se détendait visiblement pour accueillir mon doigt curieux. Ce nouveau contact illicite la rendait plus nerveuse et ses mouvements de bassin accéléraient mon plaisir ; elle ondulait différemment pour se stimuler doublement de ses deux orifices, tant et si bien qu'elle-même créait le va-et-vient, j'étais son accessoire sexuel.

Elle se servait de moi, elle se masturbait sur moi, elle connaissait son corps mieux que personne. Finalement, sentant son rythme se désorganiser, je l'attrapais par les hanches pour l'utiliser comme un objet à mon tour et coulisser en elle sur plus d'amplitude. Elle s'abandonnait à moi et rapidement son vagin donnait les premiers signes de l'orgasme, n'attendant que mes cris sourds pour partir au-delà. Pressée contre moi, je me vidais au plus profond d'elle en quelques sursauts de mon sexe.

...

Allongés l'un sur l'autre à partager une étreinte reposante :

-C'est trop bon d'être ton objet

-Oui mais c'est pas équitable, c'est moi qui fais tout le boulot

-En récompense tu as tout mon corps pour faire ce que tu en veux. Surtout pour me faire du bien

-Mais tu n'es pas contre une bonne fessée qui fait mal?

Joignant le geste à la parole, je faisais frémir sa fesse d'une claque. Sa main s'égarait sur mon sexe ramolli. Elle l'observait, le décalottant, pesant mes bourses, passant son doigt sur une goutte de sperme pour la ramener à sa bouche. Sa main en faisait à peine le tour et au fur et à mesure de ses caresses, elle le faisait revenir à la vie entre ses doigts.

-Je prends ça pour un compliment

-On a encore un peu de temps devant nous

-Elle a encore un petit coup de mou.

Glissant sa tête sur mon ventre, sa bouche engouffra la moitié de mon membre sans préavis, une main massant mes boules. Les bruits de succion s'interrompaient quand elle me sortait de sa bouche pour m'embrasser et me lécher jusqu'à la base, retirant au passage toutes traces de notre étreinte précédente. Une nouvelle fois dans sa bouche affamée et elle remonte vers mon visage, allongée sur moi à guider mes mains vers ses fesses. Sa langue se mêle à la mienne alors que j'écartais ses parties charnues et approchais un doigt curieux de son anus. Sentant sur mon visage son souffle sortir plus fortement de son nez, je récupérais une nouvelle humidité de son vagin pour lubrifier sa porte de derrière.

Elle hochait la tête pour acquiescer quand une phalange de mon majeur la pénétrait, sa tête partait en arrière quand la totalité de mon doigt a disparu en elle. Passant une main derrière elle et se soulevant légèrement, elle dégageait mon sexe d'entre nous pour qu'il se loge sur sa longueur entre ses jambes, il reposait sur le dos de ma main ; son pubis se frottait sur le mien. Avec un peu de ses jus et de la délicatesse, mon index rejoignait mon majeur pour la dilater encore un peu plus.

Elle se maintenait à mon cou tout en m'embrassant fébrilement. Sa main rencontra la mienne sur son chemin quand ma sœur positionna mon gland contre son anus, mes doigts se retirant d'elle et me prenaient en main. Je durcis encore à ce contact. Elle me repoussait de son bassin mais le manque de visibilité ne me permettait pas la pénétration ultime.

Je repoussais rapidement son torse du mien, et suivant mon geste, elle se positionnait à quatre pattes m'offrant son cul écarté d'une main. À genoux derrière elle, étalant ses jus sur mon gland et son anus, je plaçais mon membre à son entrée anale, prête au coup de bassin fatidique.

-J'ai déjà vu ça quelque part.

Et je l'enculais. L'étonnement sur son visage à mes mots fit vite place à un cri muet de sa bouche qui aurait laissé sortir un « oh ». Je sortais d'elle mais restais au contact, et d'un autre coup plus vif y retournais. Un « oh » audible cette fois alors que quelques centimètres disparaissaient dans son cul.

-Tu as vu ma vidéo?

Je reculais et m'enfonçais plus loin, la faisant taire, mes deux mains agrippées à ses hanches. J'allongeais mon torse sur son dos avant d'aller plus loin. Portant ma bouche à son oreille :

-Tu y étais magnifique.

Ses fesses se collaient à moi, j'étais au plus profond de son cul et commençais les va-et-vient. Mes mains alternaient entre ses fesses, ses hanches, ses côtes et ses seins. Mais c'est en saisissant ses courts cheveux qu'elle réagissait le plus, son corps explosait alors que ses fesses m'avalaient tout entier dans un orgasme anal. Ses fesses se serraient autour de ma longueur me tenant en place pendant son extase, je maintenais son corps en place en tirant une poignée de ses cheveux. Dans un râle elle se détendait complètement, vidée de toute force, s'écroulant sur le ventre et libérant mon sexe. Je m'allongeais sur elle pour accompagner son retour sur terre.

-Entre la vidéo et l'orgasme, je ne sais pas si je dois te faire la gueule ou te remercier

-Je rêvais de te faire ça depuis que je l'ai vue

-Tu t'es puni tout seul, tu n'as pas eu le temps de jouir dans mon cul

-Comme si tu allais m'interdire d'y retourner

-Pas maintenant en tous cas, tu m'as retournée de l'intérieur

-Je peux jouir dans ta chatte?

-C'est demandé si gentiment.

Je décalais une de ses jambes pour la mettre en chien de fusil, découvrant en grand toute son entrejambe brillante de sa lubrification. Délicatement mais en une seule fois, je retournais dans la chaleur de son vagin entre ses jus et ma semence. Elle était beaucoup moins étroite que précédemment et je me retrouvais invité par une grotte faite pour moi.

La douceur de la passion faisait place au rythme sexuel alors que son souffle devenait plus insistant. J'attrapais ses cheveux en sentant ma fin proche, elle écartait ses fesses d'une main offrant son anus légèrement dilaté au régal de mes yeux. De voix étouffée dans l'oreiller, elle ne me demandait qu'une chose :

-Dans mon cul, jouis dans mon cul.

Je n'attendais que ça et mes derniers coups de bassins menaient mon membre lubrifié à empaler ses fesses, et très rapidement je déversais ma semence dans son orifice stérile. Des jets puissants et volumineux, je n'avais que rarement éjaculé aussi fort, la combinaison de la sodomie, du corps de ma sœur et de ses désirs sexuels, je m'allégeais le corps et l'esprit.

...

J'aurais voulu son corps une nouvelle fois mais elle sortait de la douche quand nos parents sont rentrés, brisant l'atmosphère sexuelle où nous étions depuis plus d'une heure à jouir l'un de l'autre, l'un dans l'autre.

Seul moment de tête à tête lors de ses révisions du soir dans sa chambre, mais pas assez d'intimité pour se mettre à nu autrement que par les mots.

-Je crois que je n'ai pas été assez prudente et que tu as fouillé mes affaires, non?

-Coupable, comment puis-je me faire pardonner?

-J'ai bien ma petite idée mais j'ai des révisions devant moi

-Et rien derrière je vois.

Elle n'avait pas de culotte sous sa chemise de nuit, je mettais ses fesses blanches à nu, une tentation de plus. Je les caressais nonchalamment, faisant glisser mes doigts dans le creux de ses jambes, sentant la chaleur et la moiteur augmenter. Je n'omettais aucune zone de son anatomie féminine, mais elle me faisait comprendre qu'elle était encore sensible de son arrière train, serrant les fesses sur ma main à mon passage sur son anus. Doucement toujours, je l'excitais à lui en faire onduler le bassin mais jamais je ne l'autorisais à la laisser accéder à l'extase, tournant autour de son clitoris gonflé.

Plusieurs fois elle tournait les pages en arrière, devant relire, ayant l'esprit ailleurs. Elle pressait son bassin contre le lit dans des tentatives désespérées de se faire jouir sans mon assentiment, je la punissais en glissant mes doigts lubrifiés contre son anus trop sensible.

Finalement, sans un mot ni un regard, elle tendait sa main à sa table de chevet et en ressortait un court godemiché rose, pas de la forme traditionnelle d'un sexe d'homme mais plutôt anatomiquement moulé pour le maximum de plaisir. Passant derrière elle, elle en mouillait le bout contre son entrée humide, je l'aidais en maintenant une fesse écartée et profitant de la vision de cette jeune fille s'apprêtant à se donner du plaisir.

J'avais du lui donner un maximum d'excitation pour qu'elle s'insère ce membre artificiel d'une seule traite, relâchant un souffle dans les draps, le front posé dans son livre. Jusqu'au bout de la longueur elle s'empalait, sur une courte course elle se masturbait ; elle le faisait glisser du bout des doigts. Un spectacle à la hauteur de mes attentes, et malgré la porte de sa chambre ouverte, j'ouvrais ma braguette pour extraire mon membre gonflé.

Le bruit caractéristique de zip lui fit tourner la tête, posant les yeux sur mon sexe, puis sa main libre pour s'agripper et s'attirer à moi. Sa bouche gourmande engouffra mon gland et plus loin encore jusqu'à ce que sa gorge émette un son indiquant avoir atteint ce que sa position lui permettait. Sans me sucer mais se donnant du plaisir avec son gode, elle étouffait ses bruits de plaisir avec mon membre.

Rapidement, j'entendais le souffle de son nez accélérer et sa gorge vibrer autour de mon gland, envoyant de douces ondes à travers ma zone la plus sensible. Elle venait de se faire jouir dans un quasi silence. Après avoir pris quelques secondes de repos et laissant le membre synthétique en place, elle laissait sa langue faire l'amour à mon sexe dur, serrant ses fins doigts sur ma longueur.

Passant à genoux, elle permettait un meilleur angle de pénétration dans sa gorge et pour la première fois, elle avalait la totalité de ma longueur, sentant le bout de son nez sur mon pubis pour mon plus grand plaisir. Elle me faisait l'amour de sa gorge, laissant derrière elle une couche de salive en retournant prendre soin de mon bout. Finalement je jouissais en elle sans qu'elle ne rompe le contact et elle avalait toute ma semence.

Portant sa bouche à la mienne, nos langues s'emmêlaient, ma petite sœur partageait le goût de mon sexe.

-Je dois réviser. Pour de vrai.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans

superbe histoire, excitante pour le lecteur

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