Retour à la Maison

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Il découvre une nouvelle facette de sa soeur.
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J'étais de retour à la maison, parti de mon appartement après que ma copine m'ait trompé avec un fils de riche. Rien à faire, mature comme je suis, j'ai balancé ses photos privées aux dents des internautes. Mes parents m'accueillaient sans soucis, ainsi que ma sœur.

A 18 ans, elle était déjà à plus de 1.75 m, ce qui allait parfaitement avec son corps fin et sportif. Depuis qu'elle a su donner son avis, elle s'est fait couper les cheveux courts. Et assez courts maintenant, comme je les aime chez une femme, à la Emma Watson mais avec son brun naturel.

...

Sa porte était entrouverte ; allongée sur le lit sur le ventre, elle portait son pyjama. Un débardeur assorti à son short : des rayures horizontales multicolores. Les chevilles croisées en l'air, ses petites fesses rondes étaient soulignées par ce short qui devenait trop petit pour son corps. Les vêtements confortables sont toujours les plus vieux.

Le nez dans un bouquin d'école, elle tourne la tête quand je rentre dans sa chambre : « anglais, elle t'a demandé de m'aider je suppose? »

J'acquiesce et m'assois au bord de son lit, un pied au sol, l'autre sous ma cuisse. J'ai tout appris en téléchargeant des séries américaines, toujours mieux qu'un anglais scolaire.

J'étais au-dessus d'elle, regardant par-dessus son épaule sans être gêné par des cheveux qu'elle porterait trop longs. Son épaule était étoilée de quelques grains de beauté sur fond de taches de rousseur héritées du soleil de cet été. Seules les fines bretelles de son haut coupaient sa peau qui sentait encore le gel douche. Sa nuque aussi était nue de tout cheveu, un pendentif argenté pour toute décoration.

Ses doigts étaient fin comme le reste de son corps, tout en proportions élégantes. Son index tourne la page pour y découvrir un petit "where the fuck is Brian?" graffité là par un des anciens élèves à côté du numéro de page.

-Ah ben bravo" dit-elle, "et sixty-nine en plus, comme si on savait pas lire les chiffres

-Tu n'as pas besoin que je t'apprenne encore grand-chose alors

-Je m'en sors à l'écrit, moins à l'oral, j'ai un accent pourri

-Le plus dur est déjà fait, tu as les bases, un peu de vraie pratique pour peaufiner, ça prend du temps"

Elle se tourne sur le côté, face à moi, un bras sous sa tête. Son haut s'écarte un peu du short et dévoile son ventre. Je ne vois ce peu de peau que du coin de l'œil, et ses longues jambes allongées parachèvent ma curiosité pour la jolie demoiselle que j'ai connue toute petite.

Un peu au-dessus de la moyenne pour ce début d'année scolaire malgré son année de retard, elle aura plutôt besoin de moi pour ses révisions d'avant le bac. Je préférais regarder ses amies quand je vivais sous ce toit, comme toutes celles qui sont passées ici, mais depuis ma semaine de célibat, je réconfortais mon cœur par ce que mon cerveau du bas trouvait.

Et c'est cette adolescente qui n'a jamais mis de maquillage ni eu besoin d'artifice pour briller qui est l'objet d'une nouvelle attention de ma part. Malgré un physique de garçon manqué, ses petits seins, un corps tonique et fin, elle a toujours eu cette assurance pour ne pas laisser la société l'emporter dans les mirages des canons des magazines.

Je me levais pour aller dans ma chambre, n'étant pas si utile ici et pour me prendre en main devant internet :

-Tu t'en sors bien, par contre, si tu as encore peur de l'orage, tu vas être servie ce soir

-Et merde. Fais pas le malin je vais devoir squatter avec toi

Le temps était à la pluie, autant que je me souvienne, elle venait dans ma chambre se protéger des éclairs.

....

Une bonne heure plus tard, je m'étais couché, mais mon iPhone m'affichait des photos hardcore de filles qui se laissent prendre au jeu des images, pour une gloire éphémère mais un oubli impossible sur le net. Quiconque les avait mises à l'insu de leur plein gré sur ces sites n'avait pas de morale, ou juste des hommes souffrant d'avoir du les perdre.

L'orage tonnait dehors, et comme attendu, elle est venue me rejoindre. J'ai baissé le téléphone et fait un signe de la tête qu'elle vienne sous les draps. Une aussi grande fille qui a peur d'un phénomène physique. Allongé sur le côté, je me reculait un peu pour lui faire de la place, elle se couchait en me faisant face. Pour me changer des filles nues et diminuer mon érection, un petit tour sur des images insolites.

Au bout de quelques minutes, je sentais son regard sur moi, derrière mon téléphone. Je l'éteignais et le mettais de côté, elle luttait contre le sommeil et ses yeux sombres disparaissaient derrière ses paupières. Elle était symétrique face à moi, elle allait mieux déjà.

-Je ne t'ai même pas demandé comment ton petit cœur allait depuis que tu es revenu

-Pour l'instant, je suis soulagé de la fin d'une relation qui ne menait à rien

-Il a quoi de plus que toi son nouveau mec?

-Une grosse bagnole offerte par ses parents

-Tu es assez grand pour savoir que c'est pas la taille qui compte

-Qu'est ce que tu en sais? Tu n'as eu qu'un seul mec je crois

-Exact, et sans le permis de conduire j'en avais déjà pour mon argent avec lui

-Très classe comment tu dis ça

Il faisait très sombre, mais je pouvais sentir son sourire. J'en avais besoin malgré ce que je lui ai dit, c'était tout de même une partie de moi qui venait de s'éloigner.

-À choisir entre un bon coup et du pognon, je prendrais bien les deux

-Jeune fille, un peu de tenue, c'est l'heure de dormir

-Au final, c'est quoi qui te manque le plus chez elle, son corps ou sa présence?

-Je pourrais pas la pardonner, donc son corps. Un joli petit lot

-Pas mal ouais. Faut aimer les gros seins

-Qui est-ce qui vient de me dire que c'est pas la taille qui compte? Jalouse

-Même pas, je suis fière de mes petits seins, juste assez pour ne pas mettre de soutif tout le temps

-Et c'est pas la quantité mais la qualité aussi?

-Oui, la manière dont on s'en sert et qu'on joue avec...

Elle étouffe un rire dans l'oreiller, je grommelle pour donner le change mais n'en pense pas moins. Il me vient des images de mains d'homme qui lui caressent la poitrine et les tétons et qui rendent ma sœur folle.

Le tonnerre cesse quelques secondes pendant le silence qui s'est installé entre nous.

-Bonne nuit grand frère.

-Bonne nuit petite sœur.

...

Elle s'est levée avant moi pour prendre le bus pour le lycée, j'embauchais seulement à 9 h.

Journée normale pour moi. Rentré à la maison, elle était à la table du salon à faire quelques devoirs, le crayon entre ses fines lèvres pendant qu'elle réfléchissait. Un coup de main fraternel, le soleil qui faiblit sonne la fin du cours particulier. Elle ne s'est pas laissée abattre par son redoublement et au final, elle s'est mise à travailler en compensant le retard de toute une vie d'élève moyenne.

Assise dans son lit, dos contre la tête de lit, un bouquin sur ses jambes croisées en tailleur. Le même pyjama, ce short qui monte tout en haut de la cuisse contre son entrejambe. Son dos légèrement arqué et la tête basse, le haut de sa poitrine m'est visible en m'approchant du lit ; un rapide coup d'œil et c'est gravé dans ma mémoire pour plus tard.

-C'est pour m'impressionner que tu travailles autant?

-Si je veux un boulot, il me faut le bac d'abord. Ou je me tape un mec riche, ça marche aussi.

-Ils préfèrent les filles à gros seins

-Je sais me mettre en valeur, une petite jupe et une chemise mal fermée, et le tour est joué

-Et des chaussettes montantes?

-Pourquoi, tu kiffes?

-Assez oui, le costume d'écolière c'est comme celui de Lara Croft, indémodable

-Pas faux, mais pour Lara Croft je crois que c'est foutu pour moi

-Je me contenterais de l'écolière

Assis à côté d'elle, regard du coin de l'œil et petit sourire idiot entre nous.

-Sans rire, si elle s'habillait comme ça, tu étais déguisé en quoi?

-J'avais vite plus rien tu penses bien

-Sympa les soirées chez vous

-Qui te parle de soirée? Il y a pas d'heure pour se faire du bien

-Petit coquin

-Ça aussi ça va me manquer, on n'avait pas beaucoup de limites de ce côté

-Tu tombes dans la nostalgie, pas que j'ai pas envie d'entendre ta vie sexuelle avec ton ex, hein

Elle replonge le nez dans son livre, joue avec son pendentif sur sa poitrine. Elle referme subitement son bouquin en le faisant claquer et tourne la tête vers moi.

-Je suis curieuse au final... C'était quoi la limite?

-Je ne saurais pas te dire, on était honnêtes sur nos fantasmes, et partants pour tout essayer

-Genre quoi? Dans toutes les positions et partout dans l'appart?

-Pas que chez nous, un peu dehors aussi, dès qu'on avait envie en fait

-Ben mon salaud

-Comme tu dis, elle faisait très bien la salope

-Comment tu parles de l'ex-future mère de tes enfants?

-C'est pas par là qu'on fait les enfants

Ses grands yeux s'élargissent encore plus à mes mots, ses sourcils se soulèvent, l'étonnement. Un rictus au coin de ses fines lèvres, l'amusement, mais pas de dégoût. Est ce que ça trahirait qu'elle n'est pas contre la sodomie? Mon jean se fait serré à ces pensées, ses petites fesses qui doivent dissimuler un anus aussi doux que son visage, juste derrière le fin tissu de son short. D'ailleurs, est-ce qu'elle porte une culotte en dessous?

Je lui souris en retour, un regard complice. Elle continue :

-La petite porte de derrière, mais encore?

-Eh bien, disons qu'elle est passée dans la postérité de mon disque dur

-Des rapports filmés, classique

-Tu fais ta blasée? À ton tour de déballer

-Hum, disons que si tu cherches bien, tu me trouveras sur internet, mais que de dos

-Seule ou accompagnée?

-Avec mon ex, il tenait son téléphone d'une main. Il faudrait bien connaître mon cul pour me reconnaître.

Son cul, je n'avais jamais prononcé ce mot. Une vidéo amateur sur des millions, introuvable.

-Tu es en train de l'imaginer non?

-Franchement oui, faut pas tenter un homme célibataire

-Y a pas de mal. Sur ce, j'ai cours demain.

Elle me jette de sa chambre avec son sourire innocent. Il me faut cette vidéo.

....

Comme hier, elle est partie avant moi. Direction son PC, historique de navigation. Bingo : juste hier soir, elle a consulté une vidéo sur Youporn via la page de recherche du site. « French doggy style », 2 min 10 s.

Une chambre mal éclairée, elle, à quatre pattes sur un lit qui n'est pas le sien, un homme qui filme la levrette. Ses petits cris, c'est bien sa voix. Ce cul écarté par une main d'homme qui se tient à sa hanche pour mettre des coups de bassin. Une bite plus fine que la mienne la pénètre avec rythme et en ressort brillante.

Elle tend une main en arrière pour tenir son autre fesse, un mouvement dont l'homme profite pour s'extraire de la vulve, tenir son membre en appuyant son gland contre le petit anus bien visible. La caméra tombe sur le lit et c'est la fin. Frustrant. Et il faut que j'aille bosser dans cet état.

...

Autant dire qu'en rentrant, je voyais ma sœur d'un autre œil, son œillet, sa petite porte arrière qui a déjà accueilli un visiteur. J'attendais bien plus de la revoir que je n'attendais ce vendredi soir, fin d'une longue semaine.

Pas de révision ce soir pour elle, elle se permet traîner sur internet. Je rentre dans sa chambre par envie d'être à ses côtés pour à sa face cachée que j'ai découvert ce matin.

Un tour sur Koreus à regarder des idiots qui se blessent, elle prend son portable pour qu'on s'asseye tous les deux sur son lit, plus confortable que son bureau. Au bout de quelques pages de rires pour nous, l'atmosphère détendue :

-Donc tu es devenue une star d'internet?

-Hein? Ha, la vidéo. Elle a son petit succès oui. Pas autant qu'un chat qui chasse un laser

-Ça reste une vidéo de chatte non?

-Un peu facile le jeu de mots. C'est parti d'une envie de nous montrer mais sans risque

-Honnêtement, sur toutes les vidéos que j'ai vu dans ma vie, je suis peut-être tombé sur toi

-Pas impossible, je suis peut-être ton genre vu de dos

-Tu es une jolie fille, si tu n'étais pas ma sœur je te regarderais de plus près

-Charmeur, tu ne resteras pas seul trop longtemps

...

Après le repas et la série du vendredi, chacun est reparti à ses occupations, et à 23 h je n'étais pas loin de me coucher quand elle est rentrée dans ma chambre.

Une légère chemise de nuit blanche avec des oursons dessinés, des fines bretelles noires sur ses douces épaules. Avec un corps comme le sien, elle paraissait plus fine, ses jambes plus longues comme le bas de cette chemise de nuit lui arrivait plus haut qu'à mi-cuisse sans pour autant révéler ses fesses.

Moi en t-shirt et boxer élastique sur un bureau improvisé d'un porte qui ne servait pas, suffisant pour poser mon ordi et divers papiers. Assise en face de moi sur mon lit défait, les jambes croisées, les mains qui la soutenaient un peu derrière elle.

-J'allais me coucher, mais ma porte est grande ouverte pour toi

-C'est gentil. Tu me cherchais sur un site coquin?

-Seulement pour connaître ta courbe de popularité

-Même pas mes autres courbes? Tu n'es pas un homme comme les autres

-Courbes, faut le dire vite, quelques jolies formes, ton pyjama était plus moulant

-C'est ton boxer qui est moulant ce soir, je vois tout ce que tu voudrais cacher

-Je ne veux peut-être rien cacher

-C'est pas pour toi que j'aurais dis que la taille ne compte pas

Mon cerveau du bas qui se réveille quand on parle de lui, ma tension cardiaque augmente, je sentais quelques gonflements au rythme de mon cœur. Rien a mettre sur mes genoux pour dissimuler mais ça aurait été trop évident.

-Mon ex portait à gauche lui

-C'est la première chose que tu regardes chez un homme?

-Il parait que c'est les mains qu'il faut regarder, mais des fois la génétique est pleine de surprises

Un sous entendu qui ne faisait rien pour me calmer. Mon cœur pompait un sang neuf dans mon sexe.

-Je sais bien que tu le fais exprès, toujours la petite sœur pour titiller le grand frère

-Prends-le comme tu veux, mais je veux savoir combien de temps tu vas tenir avant de me jeter de ta chambre

-Un défi? C'est facile pour les filles de cacher ces émotions

La faible lumière fournie par ma lampe de chevet ne permettait pas de voir si elle rougissait. Et pourtant, elle porte sa main droite à son sein, son majeur délicat se frotte à son téton. Le tissu se tend sur sa poitrine et l'ombre portée amplifie ses formes apparentes. J'essayais de contrôler ma respiration.

-Je suis toute dure moi aussi. Dommage que tu n'aies pas le même point de vue que moi

-Mon point de vue est plaisant

-Tu es aussi un mec qui aime regarder les femmes qui se font du bien?

-Surtout si elle est juste en face de moi.

Elle avait délaissé son téton et sa main divaguait, maintenant elle soutenait son sein tout entier, elle me regardait droit dans les yeux, son petit sourire sur des lèvres entre-ouvertes. Si elle était plus près de moi, elle verrait mon rythme cardiaque à travers mon sexe, bien que retenu par mon boxer.

-Si je te laisse seul maintenant, qu'est ce que tu fais?

-Je ferais respirer mon entrejambe, l'élastique est horriblement contraignant

-Tu arriverais à penser à quelqu'un d'autre que moi?

-Que toi, pas honte de le dire

-Alors pense à moi qui me donne du plaisir sur mon lit. Bonne nuit grand frère.

-À demain petite sœur, ferme juste la porte.

En partant, elle jette un dernier coup d'œil à mon érection à peine dissimulée, et en me tournant le dos, elle soulève le bas de sa chemise de nuit pour révéler une fesse dans une culotte noire.

Je ne tiens plus, je me branle sans bouger de ma chaise, l'élastique de mon boxer accroché sous mes couilles que je tiens d'une main. Je pense à elle, à genoux sur son lit, la main dans sa culotte à se caresser aussi vite que moi, et quand j'éjacule enfin, elle se lécherait les doigts couverts de ses jus intimes.

...

Une nuit pas si tranquille, culpabilité du grand frère qui se doit de protéger sa petite sœur ; est ce que j'ai abusé d'elle? Réponse au matin du samedi, elle rentre dans ma chambre assez tôt et en pleine forme, me demandant si je veux bien l'accompagner à la piscine. Demander est un bien grand mot, les yeux mi-clos, je sentais son sourire voire son excitation dans la voix, comment lui résister?

Dix heures du matin, dans ma voiture :

-J'ai dormi comme un bébé, et j'ai fait de beaux rêves

-J'aimerais bien dire pareil, réveillé plusieurs fois

-Si c'est à cause de hier soir, tu m'as fait passer un bon moment, je devrais te remercier

-Je me suis laissé emporter, le célibat...

-Pas de mal, on est adultes non?

Elle portait un haut dont le col assez large laissait voir les bretelles d'un maillot de bain qu'on noue autour du cou. Peu de monde dans la piscine en ce début d'automne et surtout aussi tôt.

L'eau était chaude et contribuait à finaliser mon réveil anticipé pour un week-end. Ma sœur faisait quelques largeurs de bassin, et à chaque passage elle m'aspergeait. À mon tour je nageais doucement des longueurs et elle me rejoint pour tenter de me couler. Un coup en douce entre frère et sœur qui mène à une bataille de qui boira le plus d'eau. Me saisissant de ses hanches en l'entraînant sous l'eau contre moi, je me propulsais de mes pieds depuis le peu de fond pour émerger et la lancer aussi loin que possible. Au troisième lancer, elle profitait d'être sous l'eau pour me baisser mon maillot, un jeu innocent mais dont les événements d'hier donnaient une nouvelle vision. Le temps de tout remettre en place, elle s'était éloignée ; bien que bonne nageuse, à force de poursuite, je la rattrapais et lui encerclais les bras, de dos. Elle se débattait un peu et nos jambes s'entrechoquaient pour rester à la surface. Rieuse :

-Tu as gagné! Je me rends!

-C'est qui le plus fort?

-C'est toi, tu as un muscle qui pousse d'ailleurs.

Cette petite bataille et le contact de ses fesses m'avaient regonflé, une demi-érection se frottait à la partie charnue de ma sœur. Pas que cela lui déplaise, il me semblait qu'elle ondulait ses hanches pour prolonger le contact. Doucement, je la libérais et d'un sourire complice, elle reprenait le large ; elle flottait doucement et ses fesses dépassaient de l'eau, son dos accumulant une petite quantité d'eau le long du creux formé par sa colonne vertébrale.

En sortant de l'eau, le contact de l'air frais nous donnaient la chair de poule, mais plus visiblement chez elle, deux adorables pointes de chair se faisaient connaître sous les triangles de tissu. Alors qu'elle se séchait les cheveux, ses yeux cachés par sa serviette, j'en profitais pour les observer au mieux ; deux cercles se détachaient de la surface mouillée du tissu autour des tétons, la chair de poule courrait sur l'épiderme de sa poitrine. Les cheveux en bataille et brillants comme à la sortie de la douche, elle était encore plus belle.

....

Elle était sortie faire quelques courses avec nos parents, j'en profitais pour organiser mes cartons déménagés, et une sieste pour rattraper ma mauvaise nuit et l'exercice matinal.

À leur retour, encore sur le lit, elle est venue s'asseoir à côté de moi me montrer sa dernière acquisition, un string blanc en coton avec un large élastique à la taille.

-Un peu bizarre de le glisser entre les courses sur le tapis, mais j'en avais envie, qu'est ce que tu en dis?

-Le plus grand bien, mais pourquoi tu me montres ça?

-Parce que je suis comme une gamine à Noël, c'est mon premier

-Ah? Ça doit faire une drôle de sensation, tu me diras

-Tu veux que je te parle de mes sous-vêtements? Pourquoi pas, c'est déjà notre petit secret

-Tout petit.

Un sourire en coin, elle est sortie, peut-être tester cette nouveauté. Sortant aussi pour penser à autre chose, elle était dans le salon, les joues un peu rosées et ce sourire idiot d'un enfant qui cache quelque chose.

-Devine quoi? Oui bon, tu sais. C'est amusant, je me sens... sexy!