Retour à la Maison

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Oui elle avait l'air sexy, souriante, pleine de vie, et avec un bout de ficelle entre les fesses avec lequel elle était venue me narguer.

J'écartais péniblement mes idées toute l'après-midi, sauf quand elle passait dans le coin avec sa démarche à peine changée mais pour qui savait, c'était visible.

...

Le soir, on partageait un film sur mon ordinateur, l'un à côté de l'autre sur mon lit. Elle a fini par poser la tête sur mon épaule, rien qu'un lien fraternel. Pendant le téléchargement d'une série trouvée sur le net, elle est partie quelques minutes et est revenue dans sa chemise de nuit blanche, et de nouveau elle s'est posée à côté de moi, les jambes croisées aux mollets. Sa position assise faisait remonter son seul vêtement assez haut, juste avant son entrejambe. Quelques coups d'œil furtifs m'avaient assuré qu'on ne voyait rien malgré la lumière rasante de l'écran sur ses jambes.

-Au final, tu te sens bien dans ton string?

-Assez oui, ça ne sera sûrement pas le dernier, il me fait un petit effet

-Un effet comment? Tant qu'à être lancé sur le sujet

-Un bout de tissu, presque une ficelle qui court entre mes... fesses, plus près qu'aucune culotte

-J'imagine...

-Tu l'imagines disparaître en moi?

-Aussi clairement que je t'imaginais hier quand tu as quitté ma chambre

Je sentais mes joues rougir.

-J'espère que tu n'es pas trop à l'étroit dans ton pantalon, il parait que c'est douloureux

-J'ai encore de la marge, merci de te soucier de mon confort

-Je suis très confortablement habillée, juste cette chemise de nuit et mon string, rien d'autre

Une petite voix de tentatrice dans la bouche, elle testait encore mes limites, elle repliait ses jambes. Mes yeux descendaient de son visage à sa poitrine, ses hanches, ses cuisses, les quelques centimètres de trop de sa chemise de nuit qui cachaient l'objet de mes désirs. Elle me voyait évidemment porter mon regard sur tout son corps de femme, sa main allait à sa cuisse, remontant doucement en effleurant le tissu.

Puis dans un sourire presque audible, elle détourne la tête, gênée, et stoppe son mouvement pour mettre sa main à son mollet désormais replié sous elle.

-J'ai l'impression que je te plais

Sa main remonte finalement sur sa cuisse, elle attrape du bout des doigts le bas de son vêtement pour dégager la vue de son entrejambe ; ses genoux glissent l'un de l'autre et un triangle blanc se fait visible, mon souffle se coupe et mon regard posé sur elle ne peut lui laisser aucun doute sur mes envies.

-Il te va à ravir

-Amusant cet effet que les sous-vêtements de femme font sur un homme. À l'inverse...

-Oui?

-À l'inverse, c'est ce que vos caleçons cachent qui nous intéressent.

Mon sang ne fait qu'un tour, je le sens pomper dans mon sexe, et sans plus vraiment réfléchir je déboutonne ma braguette en regardant ma sœur, qui elle aussi avait le regard baladeur. Je soulevais mes fesses pour descendre mon pantalon à mi-cuisses en essayant de faire durer le moment. Mon sexe quasiment complètement dressé tendait le tissu souple de mon boxer. Elle serrait les lèvres en se les mordant, pensant peut-être à son prochain mouvement.

-Tu vois l'effet que tu me fais, je parie que tes tétons sont tendus également

Elle porte une main à un sein, se palpant ouvertement ; le bout de son index titillant son téton.

« Tout dur » dit-elle d'une voix tendue. Inconsciemment, je passe ma main sur mon membre. La chaleur que je ressens dans la poitrine me fait impulsivement retirer mon t-shirt.

D'une main qui la maintient semi-assise, son autre qui descend de son sein pour sa cuisse, passe sous sa chemise de nuit et se pose sur son ventre, libérant la vue de tout l'avant de son string. Ma main se serre autour de mon sexe, mon autre main de même autour de ma cuisse pour m'empêcher de toucher ma sœur. Elle, après un court instant à me regarder, reprend son mouvement ; sa main baladeuse monte emportant son vêtement par son bras, et se saisi de son autre sein. Je vois ses doigts l'attraper et tendre le haut de sa chemise de nuit puis en dépasser.

C'est sa lèvre inférieure qu'elle mord désormais, un regard au plus profond de mes yeux et elle se redresse pour croiser les bras devant elle et retirer d'un coup sa chemise de nuit, l'envoyant au pied de mon lit avec mon t-shirt. Ses petits seins étaient surmontés de tétons à l'avenant, durcis par l'excitation, entourés d'aréoles tendues. Elle devait trembler intérieurement, la peau de sa poitrine complète avait la chair de poule. Elle reprenait ses caresses, son tripotage, toujours d'une main.

Un spectacle d'adultes presque indescriptible. Je finis par retirer mon jean et comme elle, je me retrouve vêtu d'un simple sous-vêtement, la dernière frontière avant la nudité intégrale.

-Montre-la-moi. Montre-moi.

Je glisse une main sous l'élastique et attrape ma base et mes testicules, pondérant chaque mouvement malgré tout, de mon autre main je fais glisser l'élastique le long de mon membre jusqu'à révéler mon gland engorgé de sang. Je cale l'élastique de mon boxer sous mes couilles. Ses yeux étaient figés sur mon sexe au mieux de sa forme que je lui présentais comme une offrande. Sa main descendait le long de son ventre, par-dessus son nombril et se glissait sur le tissu de son string. Son majeur effleurait sa fente et humidifiait le tissu. Finalement, ses doigts se faufilaient sous l'élastique pour être au plus près d'elle-même, laissant échapper un soupir satisfait de sa bouche ouverte, la tête penchée et les yeux grands ouverts sur moi.

Mes doigts couraient sur ma longueur, je m'attrapais et me masturbais au même rythme qu'elle. Elle se pénétrait sans que je puisse voir quel doigt avait cet honneur ; une épaule contre la tête de lit, son autre main ainsi libérée prenait le contrôle d'un sein. Ces actions combinées la faisait haleter. Je n'étais pas en reste et je grognais doucement, tenté par son corps offert à mon regard.

Ce spectacle illicite m'envoyait au-delà du point de non retour, en quelques spasmes violents, j'éjaculais sur ma cuisse ; ma sœur décrivait des cercles rapides malheureusement cachés qui également l'envoyaient au paradis.

Je reposais ma tête derrière moi, ma position en miroir de ma sœur, la regardant dans les yeux pour savourer la descente de nos hormones. Sa poitrine se soulevait fortement pour reprendre son souffle, ses doigts couraient le long de son corps pour prolonger l'extase qu'elle s'était donné.

Pas un mot n'avait été échangé, je brisais une glace chaude :

-Wow!

-Comme tu dis

-C'était...

-À refaire?

-Heureux que tu le suggères, c'était magnifique

-Tu n'étais pas mal non plus je dirais.

L'épisode relancé pour cause d'inattention, l'air et nos corps se refroidissaient, encore à demi-nus sur mon lit, sans gêne. Finalement elle s'est levée, me laissant me régaler de cette vision, elle est repartie la chemise de nuit à la main, un regard complice en me tournant le dos et la dernière vue que j'avais d'elle était ses deux fesses qui serraient un bout de tissu. Merveilleux.

....

Mon érection matinale me rappelait les instants passés sur ce lit quelques heures plus tôt, mais même sous la douche, je me refusais à me masturber jusqu'à l'extase, espérant garder des forces pour une session ultérieure.

Tout le monde devait rester à la maison aujourd'hui, et les vêtements du dimanche consistaient pour elle à un pull trop large pour son corps fin et un pantalon de jogging qui avait du mal à accorder ses petites formes et ses longues jambes. Nos regards et sourires complices parlaient d'eux-mêmes, elle en revoulait et j'étais prêt à tout lui donner.

Après un repas méridien tardif, nos parents suggéraient qu'on profite des derniers rayons du soleil automnal pour une balade digestive. Le regard en coin de ma sœur m'en dissuadait et elle restait seule avec moi dans le salon devant la télévision en marche.

Au début silencieuse sur le canapé, elle écartait l'élastique de son jogging pour révéler celui de son string.

-Je devrais en changer, il est encore humide

-Depuis hier soir?

-J'étais mouillée dès réveil et il m'a tenu excitée depuis ce matin

-Tant que ça? Tu dois regretter de ne pas en avoir pris plus tôt

-Tu y es pour quelque chose aussi, j'ai encore en tête quand tu m'as sorti ta bite

-Je reste plus classe et je repense beaucoup à tes fesses quand tu es partie

-Mon pauvre, attends.

Elle se tourne sur le canapé, se met à genoux le ventre contre le dossier et des deux mains abaisse son pantalon, révélant en plein jour une adorable paire de fesses coupée par une ligne blanche. En tirant un peu sur son pull, le bas de son dos cambré arrondit le souvenir que j'en avais.

-C'est dingue ce que ce bout de tissu me fait me sentir libre, je suis presque nue

-À peu de choses près, en tous cas tu es vraiment sexy

-J'adore ce mot dans ta bouche. Et mes seins, à ton goût?

Elle pose ses fesses quasi nues sur ses pieds, tournée vers moi dans mon fauteuil, et soulève son pull et son soutien gorge dans le même mouvement.

-Parfaits. L'état dans lequel tu m'as mis hier pouvait en témoigner

-Et ton état immédiat?

Elle avance à genoux, le pantalon baissé, jusqu'au bord du canapé pour tendre sa main vers moi et la poser entre mes cuisses. Le contact de sa main entière qui cherche la meilleure façon d'attraper mon sexe me fait tressauter. Je tente d'ouvrir ma braguette pendant que sa main tendue remonte sur mon ventre sous mon t-shirt. Je fais glisser ensemble pantalon et boxer sous mes genoux, ma semi-érection donne des à-coups à chaque battement de mon cœur. Mon pénis se soulève et se développe doucement, ses doigts caressent sous ma longueur de la base à mon gland. Elle joue avec et découvre ses réactions quand elle passe son ongle sur mon frein jusqu'à mon uretère.

Finalement c'est toute sa main qui s'en saisit et son regard entre intérêt et lubricité fait tout pour repousser les limites de mon gonflement.

-La voir est une chose, sentir sa largeur et sa chaleur dans ma main me donne envie de plus

-Elle est toute à toi, elle réagit à ton contact

-Si la taille ne compte pas, l'épaisseur en revanche...

Elle continuait de me caresser doucement, pondérant ce qu'elle pourrait faire. Finalement, désinhibé, je m'avance vers elle et d'une main derrière sa tête l'embrasse à pleine bouche. Sans attendre, sa langue vient chercher la mienne et je sens de près la chaleur de ses joues, je la sens fondre. Sa position en équilibre instable l'empêche de se rapprocher encore plus, je me lève et me colle à elle, mon sexe dur entre nous dans sa main, et nos lèvres s'emmêlent de nouveau. Un spectacle étrange entre un frère et une sœur, tous deux les fesses nues à partager un instant intime dans le salon familial.

Je porte une main à ses cheveux courts, l'autre à mes testicules et sens une proximité inattendue, un lien jamais atteint avec celle que j'ai connu toute petite. Penché sur elle, je recule la tête pour l'observer et ses yeux remplis de bonheur se tournent vers mon sexe en sa possession. J'attrape le bas de son pull, elle lève les bras instinctivement pour que je la dénude, lâchant le lien pressant d'avec mon sexe. D'une main elle retire son soutien gorge, de l'autre elle s'agrippe à la base de mon pénis pour porter un baiser sur sa longueur, laissant traîner sa lèvre inférieure en remontant vers mon gland. Mon t-shirt s'envole pour me laisser une meilleure vue alors que mon bout arrondi disparaît vers son palais, sa salive lubrifiant ce qu'elle s'autorise à la pénétrer.

Je suis aux anges, mes mains passent dans son dos nu et sur ses côtés pour prendre mesure de la finesse de son corps, puis ses côtes sous mes doigts et enfin ses seins, ses tétons. Une position peu pratique pour ces caresses ; je la saisis par les épaules pour la repousser au fond du canapé, libérant une sensation de frais sur mon gland humide. Je m'agenouille et tire son bassin vers moi pour prendre en bouche un téton durci, une main sur l'autre globe blanc. Je la sens frémir sous ma langue, gémir sous mes dents, plier à la douce torsion imposée par mes doigts à son autre téton, un peu de douleur qu'elle me laisse lui imposer, tirant négligemment mes cheveux mais laissant en place ma tête sur elle.

Je glisse entre ses seins, la couvre de baisers et de caresses sur le ventre, l'os apparent de ses hanches me sert à la maintenir alors que je place un baiser sur son entrejambe humide. Je la pince de mes lèvres et ses mains appuient ma tête plus fort. Mes mains glissent entre ses cuisses puis sous ses fesses posées au bord du canapé pour lui retirer son string trempé de ses jus intimes, il glisse le long de ses fines jambes avec son pantalon et elle est enfin nue devant moi, les jambes écartées à quelques centimètres de mon visage. Son sexe nu et brillant invite ma langue sur sa fente chaude. Son dos s'arque-boute et sa tête part en arrière dans un doux gémissement. Chaque mouvement de ma langue sur son intimité la fait se tendre, et en la pénétrant finalement d'un doigt, ses jambes se dressent écartées au-dessus de moi, ouvertes à mes caresses. Un doigt de plus et ma langue sur son clitoris gonflé, elle agrippe mes cheveux pour me tenir au plus près d'elle, son autre main donne du plaisir à un sein.

La promiscuité entre mes doigts et ma bouche me fait les retirer de son orifice, d'un souffle désapprobateur elle porte ses yeux mi-clos sur moi ; mon majeur largement lubrifié se déplace entre ses fesses et contre son orifice que je sais servir de porte d'entrée. Elle se mord la lèvre inférieure à ce contact et se tire sur le téton, quelques stimulations du bout de ma langue sur son clitoris et je la pénètre doucement, je reprends des mouvements de va-et-vient en elle et sens son plaisir décuplé. Son anus relâché quelques secondes plus tôt commence une série de spasmes autour de mon doigt en elle, sa respiration s'intensifie et un râle déjà entendu hier envoie des vibrations dans tout son corps. Elle jouit de mes caresses.

Remontant mes deux mains le long de son corps nu, je la sens redescendre de son nuage, je la couvre de baisers en remontant vers sa bouche qui dévore la mienne, goûtant ses jus sur moi, engouffrant sa langue en moi tel que je l'avais fait dans son sexe. Mon corps sur le sien, mon gland pointé contre son entrée, je scrute son regard heureux mêlé d'inquiétude.

-J'ai tellement envie de te sentir en moi, mais ils vont rentrer

-Et tu n'as plus aucun vêtement

-La faute à qui?

-Je ne vais pas m'excuser, juste ouvrir la fenêtre, ça doit sentir le sexe ici.

Elle se lève nue devant moi et je plante un dernier baiser sur son ventre avant qu'elle ne s'échappe vers sa chambre.

...

Peu de contact entre nous mais pas d'évitement, un battement de mon cœur. à chaque fois qu'elle passait dans mon champ de vision. A la fin du dîner, au détour de la cuisine, elle me susurre à l'oreille :

-Le temps qu'ils s'endorment, tu m'attendras sur ton lit.

...

Le temps ne tournait pas assez vite, assis sur mon lit, une érection douloureuse contre mon ordinateur posé sur mes cuisses. 10 minutes après les premiers ronflements, ma porte s'est ouverte sur cette jeune fille en chemise de nuit pieds nus pour ne pas faire de bruit. Dos à la porte, elle me scrute et je me saisis de mon sexe à travers mon boxer pour lui montrer que je n'attendais qu'elle.

Elle fait glisser une bretelle sur son épaule, puis l'autre, sa chemise de nuit s'accroche au passage de ses tétons et découvre son ventre lentement, elle la stoppe au-dessus de ses hanches puis la laisse tomber au sol. Nue comme au premier jour, ses pas la mènent à mon lit qu'elle monte à quatre pattes comme un animal, ses yeux dans les miens. Doucement, elle me chevauche et passe les bras autour de mon cou, nous nous embrassons à pleine bouche. Mon torse nu contre ses seins, mes mains courent dans son dos pour la serrer contre moi, descendent à ses fesses pour la presser contre mon sexe. Elle ondule contre moi, je sens sa chaleur intime à travers le tissu.

Sa main glisse entre nous et atteint mon membre, passe sous l'élastique de mon boxer et le découvre pour le reposer contre son sexe. Peau contre peau, sexe contre sexe, lèvres sur lèvres, tous deux nous nous désirons.

Les yeux dans les yeux elle se soulève et applique mon gland à son entrée mouillée, appuyée sur mes épaules, elle se laisse descendre. Je vois ses yeux fondre et ses paupières tenter de se fermer jusqu'à atteindre la base de mon sexe. Assise sur mes cuisses, je repose au plus profond d'elle, je prends possession de sa caverne sexuelle.

Un bref instant où notre baiser est plus sensuel, je la sens étroite mais elle m'engloutit totalement, elle s'accommode à moi. Alors qu'elle se soulève légèrement pour coulisser, sa bouche quitte la mienne mais son souffle reste à moi. Elle retombe en tremblant, ses tétons durcis glissent contre moi, puis se relève un peu plus haut encore, retombe en m'embrassant et continue ainsi.

Mes mains autour de ses fesses l'aident à se maintenir sentant ses mouvements fébriles. Sa langue se fait plus présente alors que son mouvement s'accélère et passe de sensuel à sexuel. C'est sur toute ma longueur qu'elle glisse mais avec la précaution de garder mon gland en elle, elle s'empale sur moi dans le seul bruit de nos corps l'un contre l'autre, l'un dans l'autre. Mes mains la repoussent vers le haut et elle se laisse tomber sur moi, de son bassin je la sens onduler pour augmenter son plaisir, de mon bassin je vais à sa rencontre.

Nous faisons l'amour.

Elle étouffe ses premiers petits cris au creux de ses bras autour de mon cou ; ses jambes se serrent autour de moi et mes mains la prennent par sa taille fine pour contrôler montée et descente, l'humidité de sa peau n'est rien comparée à la lubrification de nos sexes. N'ayant pas joui cet après midi, je fais de mon mieux pour me retenir mais la si jolie fille nue en transe sexuelle qui saute sur mes genoux ne me laisse pas de marbre.

Je la mords au cou là où je l'embrassais précédemment. La petite sensation qui lui fallait alors que le premier spasme de mon sexe libère une salve de sperme en elle, je lutte contre moi même et continue de l'empaler pendant que son dos se tend en arrière emportant sa tête et qu'un râle se fait audible. Si je ne venais pas de jouir à l'instant, je recommencerais pour le plaisir de la voir ainsi.

Ses mains restées autour de mon cou la rapprochent de moi et sa bouche rejoint la mienne, le sensuel reprenant sa place entre nous. Imperceptiblement, elle continuait son mouvement de bassin pour prolonger notre extase.

Nous n'avions aucune idée de combien de temps ce baiser à duré mais j'étais encore en elle, plus souple qu'à son arrivée. Quand elle a décroché sa bouche, ses yeux brillants exprimaient ce que je n'aurais jamais pensé voir dans le regard de ma sœur. Elle s'est levée de mon pénis, sortant douloureusement d'elle et sentant la fraîcheur ambiante. Son sein se caressait sur ma main alors qu'elle descendait du lit, mon regard dans le sien alors qu'elle sortait nue de ma chambre, les cheveux en bataille, emportant avec elle une odeur de sexe.

...

Jamais un lundi matin n'avait été aussi beau et prometteur, et même sous la douche du matin à nettoyer le souvenir de hier soir, je n'avais pas envie de mettre à profit mon érection. Une journée de travail normale mais de bonne humeur, l'empressement de rentrer et de me remémorer son corps dès que je m'approcherais d'elle.

Elle aussi laissait déborder sa bonne humeur, lui rendant une courte visite pendant ses révisions, je lui déposais un rapide baiser sur le front. Rapide baiser qui se transforma en retrouvailles pour nos langues et à sentir rapidement son corps à travers ses vêtements.

Le manque d'intimité empêchait un quelconque contact de peau, mais ses cours finissant plus tôt demain après-midi je décidais d'aller la chercher au lycée en m'éclipsant de mes obligations professionnelles.