Recruter Une Secrétaire Ch. 02-02

BÊTA PUBLIQUE

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L'été approchait et Philippe se posait beaucoup de questions sur l'avenir de leur relation. Ils étaient très attachés l'un à l'autre, et il avait passé ces derniers mois à explorer les horizons de son plaisir, de son corps et de son âme. Il arrivait un peu au bout de cette période, à la fin de laquelle, en général, il se séparait, n'ayant plus grand-chose à apprendre de sa compagne. Seul l'amour pouvait lui permettre de continuer, la relation prenant un tour nouveau, plus complexe, plus riche, non intégralement fondée sur une relation sexuelle. Il savait au fond de lui-même qu'il était amoureux d'elle, et ce depuis son premier regard, mais ne voulait se l'avouer. Elle était mariée, aimait son mari et les choses avaient toujours été claires. Il lui faudrait lui annoncer qu'ils allaient se séparer.

Le week-end se terminait, et le corps de Marg portait les marques de leurs nombreux excès :

« Marg, il faut que nous parlions.

- Mon Sieur? Elle était inquiète, le connaissant maintenant si bien.

- Je suis très heureux avec toi, et nous passons des moments fabuleux ensemble. Mais nous arrivons un peu à la fin de cette découverte.

- A la fin, pourquoi à la fin, je ne comprends pas.

- Nous passons nos week-ends ensemble, tu as vécu de nombreuses expériences diverses et variées, tu es déjà parfaitement dressée tellement tu n'attends que cela. Maintenant, soit nous continuons comme cela, soit nous passons à un autre type de relation et ce n'est pas possible.

- Et vous ne voulez pas que nous continuions comme cela?

- Non, je ne veux pas, simplement parce que c'est impossible. Regarde le film de nos derniers mois. Nous nous voyons de plus en plus, pour faire des choses de plus en plus fortes. Rester aux mêmes jeux, c'est d'une certaine façon tuer notre relation, et j'en suis de toutes façons incapable.

- Je comprends, mais il nous reste beaucoup de choses à découvrir encore, enfin je crois.

- Oui il reste encore beaucoup de choses à découvrir, mais différemment, dans un autre type de relation.

- Et pourquoi pas alors passer à cet autre type de relation?

- Parce que tu es mariée, Marg, et que tu aimes ton mari.

- Je vous aime Mon Sieur. Elle se jeta à ses pieds, très émue.

- Je t'aime Marg, mais ta vie est auprès de ton mari, tu le sais, tu me le dis.

- Oui c'est vrai, mais je pensais que nous pourrions continuer ainsi, même avec le bébé.

- Avec le bébé?

- Je suis enceinte de deux mois Mon Sieur. J'attendais d'être sure pour vous l'annoncer ainsi qu'à Eric.

- Tu es enceinte? Philippe était éberlué. Il savait que cela ne pouvait être de lui, mais il réalisait à quel point il avait espéré qu'elle quitterait son mari pour lui. Ca faisait mal. Très mal. Il s'était en fait caché de son désir d'elle si profond.

- Cela vous contrarie Mon Sieur?

- Non Marg, je suis très heureux pour toi. Et c'est alors encore plus important que tu reprennes ta vie avec ton mari et que tu consacres tout ton temps à ce bébé qui va naître. Philippe souriait, mais il avait envie de pleurer, besoin de prendre un peu d'air.

- Je vous aime tellement, je ne peux pas imaginer ne plus vous obéir ou vous servir Mon Sieur. »

Après avoir été assommé par la nouvelle de la grossesse de Marg, Philippe reprit rapidement sa quête de plaisir avec elle. Savoir que la relation devait se terminer dans quelques mois, inéluctablement, les rendait encore plus frénétiques et extrêmes dans leurs jeux. Bien entendu, certains d'entre eux étaient devenus impossibles, du fait du ventre rond, mais la panoplie de leurs pratiques était si vaste que cela ne posait pas de réelle contrainte.

Un soir, Philippe attacha Marg, les mains tirées au plafond, nue. Il revêtit des gants épais sous son regard étonné, et sortit du placard un rouleau de fil de fer barbelé qu'il avait acheté peu de temps auparavant. Il lui fit un bondage avec ces liens originaux, les pointes entrant profondément dans sa chair, la blessant, faisant couler son sang. Il n'épargna pas son ventre, au contraire, et l'effet était vraiment saisissant. Marg était prise dans la gangue de métal, la cruauté du supplice était soulignée par les rigoles de sang qui coulaient à chaque blessure. Faisant attention à ne pas se blesser lui-même, il l'embrassa doucement dans le cou.

Ses yeux étaient révulsés de plaisir, sa respiration s'était ralentie, elle avait terriblement envie de jouir de cette situation, à la fois monstrueuse et indécente, et tellement forte dans sa signification. Marg avait envie de lui offrir cette petite fille qu'elle portait en elle, et symboliquement, elle avait l'impression qu'il en prenait possession ainsi. Elle sentit le vibromasseur se frayer un chemin entre les lèvres de son sexe et s'appliquer sur son clitoris. Le ronronnement se fit plus fort, et la jouissance fut presque immédiate, fulgurante. Le corps couvert de spasmes, les pointes du fil de fer barbelé pénétrèrent plus profondément, déchirant sa peau. Marg s'évanouit, maintenue en suspension par les mains. Philippe hésita à la réveiller au fouet comme il en avait pris l'habitude, mais préféra prendre quelques photos pour immortaliser cette vision apocalyptique, la libéra de sa torture, et l'allongea sur le lit pour la masser. Elle revint à elle avec un magnifique sourire, et se jeta dans ses bras.

*****

« Un certain Éric pour vous au téléphone, il dit que c'est personnel. Irène sa charmante secrétaire le dérangeait en réunion.

- Il n'a pas dit qui il était?

- Il m'a dit le mari de Marg. Cela vous dit quelque chose?

- Oui bien sur passez le moi. Excusez moi messieurs, nous continuerons la réunion tout à l'heure, si vous voulez bien me laisser 5 minutes, allez prendre un café, je viendrais vous chercher.

- Bonjour Philippe à l'appareil.

- Bonjour Monsieur, Je suis le mari de Marg. Je pensais que vous auriez aimé savoir qu'elle a accouché ce matin. Elle voulait que vous soyez le premier averti.

- C'est très gentil à elle, oui je suis content de le savoir. Merci de m'avoir prévenu. Tout s'est bien passé?

- Oui très bien, il n'y a eu aucun problème et c'est une très jolie petite fille. Après un temps de silence, Eric continua : nous l'avons appeler Philippine, en pensant à vous.

- Philippine? Philippe était scié. Vous étiez d'accord?

- Bien sur, et j'en suis ravi. Nous ne nous sommes jamais parlé, mais je voudrais vous remercier pour tout ce que vous avez fait. Nous vous devons beaucoup.

- Bien. Je vous en prie. Vous direz à Marg que je ne passerai pas la voir, elle a sa vie maintenant. »

Les idées se brouillaient un peu dans la tête de Philippe. Il avait un goût amer dans la bouche. Pas seulement d'avoir perdu Marg. Ne l'avait-il d'ailleurs jamais possédée? Avait il été utilisé par eux deux, pour un besoin qu'elle avait et qu'Éric ne pouvait combler? Il n'avait jamais vraiment voulu chercher à comprendre sa relation avec son mari, il le regrettait maintenant. Il demanda à son assistante d'annuler ses rendez vous de la journée, il avait besoin de prendre l'air.

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Anonymous
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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Encore une belle histoire basée sur une belle relation, merci Meo75. Et une relation qui se termine ça change !

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