Recruter Une Secrétaire Ch. 02-02

Informations sur Récit
Une passion éphémère au goût amer.
4.7k mots
4.69
6.4k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 06/30/2022
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« Bonjour Marguerite. Ce petit mot pour m'assurer que tu es bien rentrée. Sur MSN mon email est IPhilSade@hotmail.com, si tu désires entrer en contact avec moi ou répondre à cet email.

A te lire »

Il n'avait pas résisté très longtemps à lui envoyer ce petit mot, restant obsédé par elle, et son odeur semblant flotter dans toute la pièce. Il était vidé par la soirée précédente, mais pourtant plein d'envies. Il ne se décidait pas à se lever de son lit, les yeux remplis de sa peau, de ses yeux brillants, de sa bouche suppliante. Il se souvenait tellement précisément de la façon dont elle disait « s'il vous plaît » non pour l'implorer mais pour au contraire qu'il aille encore plus loin. Il se tenait au bord d'un gouffre, il le savait, il avait reconnu cette sensation enivrante. Et il allait sauter, si elle répondait.

Elle n'attendit pas plus de 10 minutes pour se brancher sur MSN, le système de messagerie instantanée. Elle devait guetter ses emails, son portable aussi peut être. Son pseudo était Marg, ce n'était pas très joli...

« Marg -- Bonjour. Oui je vous remercie je suis très bien rentrée ce matin, la tête pleine de merveilleuses images et surtout de ces sensations très nouvelles pour moi. Je pensais ne plus jamais avoir de vos nouvelles vu comment vous m'avez mise dehors. Je pensais avoir fait une bêtise.

IPhilSade -- Une esclave doit disparaître lorsqu'elle n'est pas utile, voilà tout. Je t'ai utilisée cette nuit, ce matin, je ne voulais plus de toi.

Marg -- Oui je comprends effectivement. Une esclave? Vous pensez que je suis une esclave?

IPhilSade -- sourire, et toi que penses tu être?

Marg -- Je ne sais pas, c'est pour cela que je vous demandais. Depuis que je suis sortie de votre bureau je pense à chaque instant à vous, des envies profondes en moi de me mettre à vos pieds. Alors je ne sais pas très bien à quoi cela correspond.

IPhilSade -- Peut-être découvres tu que tu es une esclave, une femme faite pour être dressée et dirigée dans tous ses actes des plus importants au plus anodins, faite pour être utilisée, sur laquelle un homme a le droit de vie et de mort.

Marg -- Droit de vie ou de mort? C'est beau. Oui je crois que j'aimerais, mais je ne sais pas ce que cela signifie en fait.

IPhilSade -- Tu as envie de le découvrir. Tu aimerais m'appartenir?

Marg -- Oui Monsieur. Hier c'était tellement de choses nouvelles pour moi. Je suis sur un petit nuage depuis que je me suis rhabillée sur votre palier. Je me sens autre, comme délivrée d'un poids. C'est quelque chose d'assez étrange.

IPhilSade -- Qu'est ce qui est si nouveau pour toi? J'avais compris que tu aimais servir un homme.

Marg -- Servir, oui bien sur, mais là c'est bien plus fort. C'est être utilisée, brutalisée que j'ai aimé. Je n'avais jamais été prise par là, par derrière je veux dire. C'était douloureux mais fantastique. Je me suis sentie envahie, violentée, terriblement bafouée, et j'ai adoré cela.

IPhilSade -- J'ai vraiment l'impression que tu es faite pour cela, je te sens masochiste en plus de ton envie de t'abandonner.

Marg -- Masochiste? Non je ne crois pas, c'est parce que c'est vous qui me faites mal que j'aime cela, mais je n'aime pas la douleur. C'était des moments magiques hier soir, non je ne crois pas être masochiste.

IPhilSade -- Pourtant tu as bien joui quand je t'ai déchiré le clitoris de mes ongles.

Marg -- Je dois vous avouer, j'espère que vous ne m'en voudrez pas, mais je n'avais jamais pris de plaisir comme cela avant. C'est la première fois que je découvre ce qu'est un orgasme.

IPhilSade -- Mon Dieu! T'en vouloir? Mais non c'est magnifique. Ne te poses plus de questions, tu es faite pour cela, souffrir et obéir.

Marg -- Et cela ne vous dégoûte pas?

IPhilSade -- Je n'aime que les femmes soumises et masochistes, c'est pourquoi j'ai eu envie de toi au premier instant, et c'est pourquoi tu étais chez moi hier soir.

Marg -- Vous voulez bien me revoir alors? Dormir dans votre lit était merveilleux, je me suis souvent réveillée et je vous ai regardé.

IPhilSade -- Une esclave dort aux pieds du lit de son maître, tu as eu droit à un traitement de faveur qui ne se reproduira plus.

Marg -- Bien Monsieur. Comment voulez vous que je vous appelle?

IPhilSade -- Comme tu le voudras, comme tu le sentiras. Ce qui est important c'est que cela te soit naturel et adapté.

Marg -- Bien. Puis je alors Mon Sieur?

IPhilSade -- C'est très joli. Je peux te poser une question indiscrète?

Marg -- Mais oui bien sur, je ne crois pas devoir vous cacher quoi que ce soit, si?

IPhilSade -- Non effectivement, je déteste cela. Comment a réagi ton mari?

Marg -- Eric? Je lui avais déjà tout dit hier, de ce que je ressentais, d'où j'allais, qui vous étiez. Et ce matin, je lui ai raconté, pas toute la nuit, mais ce que j'avais vécu.

IPhilSade -!!! Et il a dit quoi?

Marg -- Eric m'a dit que si j'étais heureuse comme cela, comme lui ne pouvait pas me donner cela, il était heureux pour moi.

IPhilSade -- C'est incroyable! Tu me fais marcher!

Marg -- Mais pas du tout. Nous nous connaissons avec Eric depuis que nous avons 10 ans, c'est une très grande complicité qui nous unit. Il a toujours dit qu'il ne pouvait pas tout m'apporter, j'ai souvent partagé avec lui mes rêves, mon rêve de vous en fait.

IPhilSade -- C'est quand même étonnant qu'il ne soit pas jaloux. Il devrait avoir peur de vous perdre.

Marg -- Oui c'est vrai, mais je l'aime, et le fait que je l'aime ne vous empêche pas de vous occuper de moi? Vous savez, je crois que je pourrais vous aimer très facilement aussi. Enfin je dis cela, mais je crois que je suis déjà très amoureuse.

IPhilSade -- Mais nous nous connaissons à peine!

Marg -- Pardonnez moi, je n'aurais pas du dire cela. Disons que j'aimerais beaucoup que vous preniez soin de moi en me disant ce que je dois faire pour vous plaire.

IPhilSade -- Je vais t'envoyer un email cet après midi. Je veux que tu me répondes en moins de 30 minutes, et alors je déciderai de ce que je ferai de toi.

Marg -- Très bien Mon Sieur, je ferais ainsi. Je suis à votre disposition.

IPhilSade -- A tout à l'heure petite esclave. »

*****

Philippe s'allongea songeur, les yeux à son plafond. Cette femme était vraiment étonnante dans sa simplicité. Elle découvrait son masochisme, son envie de soumission, comme cela, et elle était prête à le suivre. Il avait plus l'habitude de femmes compliquées et cela le désarçonnait légèrement. Elle ne semblait rien y connaître, il y avait pourtant des règles et une certaine culture à acquérir. Elle lui avait dit être prête à cela.

Il réfléchit à ce qu'il allait lui dire dans l'email, assez précis pour qu'elle sache à quoi s'engager, sans être non plus trop froid ou clinique.

« Marg, Ma Petite Esclave,

Beaucoup de questions, mais une seule réponse que j'attends de toi.

Prends ton temps

Lis et relis

Cherche à savoir ce que je te demande. Et à savoir non pas si tu peux, mais si tu veux. C'est à moi de t'aider à pouvoir.

Veux tu être mon esclave?

Veux tu m'obéir, sans aucune limite à mon pouvoir sur toi?

Veux tu me servir, être aussi bien esclave domestique qu'esclave sexuelle?

Veux que je te dresse, t'éduque à te comporter à chaque instant comme tu le dois?

Veux tu être utilisée de toutes les façons possible comme objet sexuel et de plaisir?

Veux tu que je te protége et t'écoute pour te comprendre et te guider dans ta soumission, ton désir d'être femme objet?

Veux tu être marquée de mon sceau et m'appartenir dans ta chair?

Veux tu souffrir et m'offrir ton masochisme, quelle que soit la forme que prendront les sévices que je t'imposerai?

Veux tu porter sur toi en permanence la marque ou la contrainte de ta condition de femme esclave?

Veux tu revendiquer ton obéissance, qu'elle soit aussi bien publique que privée?

Veux tu recevoir ma tendresse, mon affection, mon attention, qui pourront varier suivant les situations?

Veux tu tout accepter de moi, faire de ton mieux pour te comporter comme je te le demanderai?

Veux tu être battue quand bon me semble et porter en permanence les marques de ces coups comme preuve de ton avilissement?

Veux tu être une esclave parmi d'autres, mais connue, reconnue, et méritant affection et intérêt?

Veux tu être en permanence accessible, que je puisse te prendre où je veux, quand je veux, de la façon que je veux?

Veux tu accepter les contraintes que je t'imposerai pour te former et te déformer au gré de mes envies?

Veux tu accepter d'être en permanence lisse sans aucun poil?

Veux tu subir les punitions que je t'imposerai pour que tu deviennes aussi lisse de corps que d'esprit à mon service?

Veux tu m'appartenir corps et âme?

Veux tu guetter mon souffle comme source de ton air et de ton oxygène?

Veux tu n'être que trois trous à ma disposition, que je pourrais utiliser et prêter comme bon me semble?

Veux tu que plus rien ne puisse t'arriver, être protégée de tout et de tous?

Veux tu suivre mes conseils, t'ouvrir et me laisser rentrer profondément en toi?

Veux tu être ma chose, ma femme objet, mon objet de plaisir?

Veux tu m'obéir à moi et à quiconque, mes autres esclaves y compris?

Veux tu ne plus jamais prendre aucune décision et t'en remettre à moi?

Veux tu ne jamais être la première mais pourtant toujours disponible et offerte?

Veux tu être dilatée analement et vaginalement pour être disponible à toutes pénétrations?

Veux tu être annelée comme se doit une esclave, pour te décorer, mais aussi t'attacher?

Veux que je prenne le total contrôle de ta vie?

Veux tu te mettre à ma permanente disposition, chienne dressée à servir sans autre perspectives que d'être esclave?

Tu es aujourd'hui au moment du choix, tout ceci se fera progressivement, sensuellement et de façon fluide, mais se fera. Dis moi ce que tu as éprouvé à la lecture de ce mail, sans te protéger, brut de fonderie. J'attends ta réponse dans 30 minutes, avec impatience.

A te lire... Ton Sieur »

Elle restait une énigme pour Philippe, pas seulement à cause de sa vie maritale, mais aussi cette rapidité dans l'abandon le perturbait un peu. Se serait-elle abandonnée au premier qui le lui aurait demandé? Tenait elle le même discours en entretien, discours ambiguë, pour essayer de déclencher une réaction, comme celle qu'il avait eue? Finalement était-ce elle qui manipulait et tenait le jeu, ou bien était elle l'ingénue fraîche et délicieuse qu'il voyait en elle? La réponse arriva sur son mail dans les 30 minutes imparties.

« Mon Sieur, Mon Maître, Mon Seigneur,

Les mots se bousculent sur le clavier, et pourtant un seul est important. OUI, je veux tout cela, je veux tout ce que vous désirez. Je ne réalise pas ma chance de vous avoir rencontré, d'avoir éveillé en vous un désir, et que vous acceptiez ainsi de vous occuper de moi.

Puis je vous demander de m'aider lorsque cela sera trop difficile pour moi, d'être un peu patient avec la jeune femme que je suis qui ne connait rien à cette soumission dans laquelle vous m'aspirez? Je ne comprends pas tous les mots, que signifie anneler par exemple, mais je comprends le sens. Je ne sais pas tout ce que cela signifie, sinon que je dois me donner totalement à vous, et cela m'enchante.

Je ne pense qu'à vous depuis cette première rencontre, un choc profond, encore plus remuant après la nuit d'hier. Je vous dois de m'avoir faite femme en me donnant ce plaisir inconnu et inouï, et ne serait-ce que pour cela, je vous appartiendrais, d'une façon ou d'une autre, toute ma vie. Faites de moi ce que bon vous semble, je vous demanderai, si je puis, simplement de respecter ma vie professionnelle, j'ai besoin de mon salaire pour vivre, et je regretterais de devoir me retrouver au chômage. J'espère que vous comprendrez.

Je suis à vous, Marguerite votre esclave »

Une joie profonde envahit Philippe à la lecture de ces quelques lignes. Le pouvoir qui lui était ainsi conféré le remplissait de plaisir, et il imaginait déjà ce qu'il allait faire d'elle. Alain, son DRH, allait être content, il serait moins présent à l'agence, cela ne faisait pas de doutes.

*****

La nuit tombait en cette fin de dimanche. Philippe relut le très court message qu'il lui avait envoyé la veille :

« Demain soir, je te veux à genoux sur mon paillasson à 20h30 précises. Habillée comme tu es partie ce matin, mais avec des bas et un porte jarretelle, noirs, et je te veux intégralement épilée. »

Ils avaient longuement échangé ensuite sur MSN, après qu'elle ait du partir en catastrophe acheter ce qu'il lui demandait et qu'elle n'avait pas dans son rayon lingerie. Elle lui avait demandé mot à mot de lui expliquer ce qu'elle ne comprenait pas dans son engagement, ce qu'il entendait pas certains termes, ce qu'elle devrait faire, ce qui lui plaisait, comment pouvait elle faire pour le séduire et continuer à lui donner envie. Il la sentait incroyablement attentive à lui, à ce qu'il voulait, sans chercher elle-même à savoir ce qui lui plaisait ou pas. Tout ceci était de toutes façons si nouveau, qu'elle était bien incapable de s'imaginer. Mais elle lui faisait tellement confiance.

Lui avait-il demandé de se mettre nue sur le paillasson pour attendre qu'il ouvre la porte? Il était bien certain que non! Et pourtant c'est bien ainsi qu'elle se tenait. Elle avait bien noté qu'il aimait être surpris, qu'elle devait obéir, mais pouvait aller plus loin si elle pensait que cela lui ferait plaisir. Et dès la seconde fois elle le surprenait déjà. Ses cheveux étaient tenus en arrière par son cerceau bleu, ses mains serrées dans le dos, le buste bien droit, la tête baissée, elle était très belle. Il la fit rentrer à 4 pattes, la tenant par la nuque. Son premier cadeau serait sans doute un collier et une lourde laisse en métal. Elle avait trouvé un large serre taille noir qui marquait harmonieusement sa taille et tenait les bas demandés. Le noir affinait son corps et faisait encore plus ressortir ses fesses joufflues qui étaient un véritable appel aux marques. La soirée allait être délicieuse.

En sortant du restaurant, il l'embrassa tendrement, elle se fondit contre lui. Il détacha les boutons de son corsage, mettant sa poitrine à disposition, sans qu'elle ne dise rien. Elle était chaude et il la sentait très excitée. Avant de partir il lui avait rempli le cul avec un plug de taille moyenne, qu'elle supportait étonnamment bien pour une première fois. Comme le restaurant était plein, ils avaient mangé sur des tabourets au bar. Il l'avait obligé à remonter sa courte jupe écossaise, dévoilant à tout le monde ses bas, puis il s'était amusé à la caresser ainsi tout en discutant avec le barman de l'autre côté du comptoir. Marguerite était rouge de honte, mais n'avait pas fait le moindre geste pour s'y opposer. S'enhardissant, Philippe lui avait glissé dans le sexe la salière qu'il avait prise devant lui, forçant un peu le passage serré à cause de l'olisbo qui remplissait son ventre. Là encore elle n'avait pas bougé, sa respiration s'était faite très haletante. Comme à cet instant où elle se retrouvait sur le boulevard, les seins et le ventre à la vue de tout le monde.

Il la fit marcher un peu en direction d'un coin plus sombre. Agenouillée entre deux voitures, la jupe retroussée, elle dut se soulager dans le caniveau comme une chienne. Malgré l'envie pressante qui durait depuis déjà une longue heure, elle eut du mal à se détendre, stressée par le passage des voitures derrière elle. Puis elle lâcha toute pudeur et se vida à grosses gouttes. Elle voulu se relever, mais Philippe le lui interdit. Il vint se mettre debout près d'elle et sortit son sexe. Elle crut à une fellation mais il bloqua sa tête et lui demanda de ne pas bouger et de tout boire. Il se soulagea en elle, surprise, qui eut un mal terrible à ne pas s'étouffer. Ce ne fut qu'après quelques instants qu'elle réussit à réguler sa respiration, Philippe modulant son débit, pour boire son Sieur. Elle acceptait cette situation sans un mot, sans un rejet. Dès qu'il était là, tout ce qu'il faisait était la norme et elle s'y pliait, elle n'avait plus aucun jugement sinon celui de son plaisir à lui. Il lui demanda de terminer par une fellation, joignant l'utile à l'agréable. Elle n'était plus qu'une bouche bonne pour être son wc ou sa chienne. Cette pensée la fit frémir de plaisir. Elle était vraiment là à sa place. La relevant, Philippe décida de l'emmener au Bois ce soir. C'était beaucoup pour une première soirée, mais Marguerite semblait avoir de grandes capacités. La nuit était loin d'être finie.

*****

Marg prit de plus en plus de place dans sa vie. A moins que ce ne fut l'inverse. Il la convoquait deux ou trois fois par semaine, et l'éduquait petit à petit à sa nouvelle condition d'esclave. Elle se pliait avec un bonheur évident à toutes les contraintes qu'il lui imposait, sans jamais rechigner, et, il en était sur, une fiabilité totale même lorsqu'il n'était pas là.

Sa docilité était telle qu'il n'hésitât pas à investir les sphères professionnelles et surtout personnelles, pour la contraindre dans tous les aspects de sa vie.

Marg avait peu à peu pris l'habitude de vivre remplie en permanence, le plus souvent dans le cul, d'un gode dont la dimension allait en s'accroissant avec le temps. Philippe contrôlait ses relations sexuelles avec son mari, lui donnant l'autorisation tel jour de faire l'amour avec lui, de telle façon, étant certain d'être obéi par elle, qui lui faisait malgré tout un rapport précis, juste après, dans les longs mails qu'il s'échangeaient plusieurs fois par jour. Ainsi était ce devenu normal d'avoir le cul rempli, tandis qu'elle faisait l'amour avec son mari, et Philippe ne cessait de s'interroger sur les motivations de celui-ci, qui découvrait sa femme ainsi transformée, utilisée, marquée, puis plus tard portant des anneaux aux seins et au sexe.

Les rencontres de quelques heures ne suffisaient plus à Philippe, à la fois parce qu'elles étaient répétitives, mais également parce qu'il avait envie de passer plus de temps avec sa nouvelle esclave. Ainsi elle vint passer de plus en plus souvent les week-ends à son service, à subir sa domination sous toutes ses formes, dans une gaieté qui les laissaient tous les deux épuisés le dimanche soir. Marg, il ne l'appelait plus qu'ainsi, n'était pas véritablement masochiste. Elle acceptait et appréciait les coups, pour preuve de son amour et de son offrande. Et elle savait qu'il aimait beaucoup utiliser la cravache sur sa peau claire qui marquait terriblement.

Son véritable plaisir, elle le prenait à se conformer exactement à ce qu'il attendait d'elle, à chaque instant. Mais au-delà de sa soumission, certains plaisirs plus particuliers la rendait folle de désir et provoquait ses orgasmes de plus en plus nombreux et faciles à exploser. Les objets avec lesquels il la remplissait étaient devenus une véritable passion. Elle se sentait à chaque fois violentée, et malgré la douleur et la contrainte, rêvait de pouvoir avaler des prothèses encore plus volumineuses et monstrueuses, d'être totalement béante et incapable de vivre sans être remplie en permanence. Elle préférait d'ailleurs son cul rempli à son sexe, pas seulement parce qu'ainsi remplie par derrière elle pouvait continuer à avoir des relations sexuelles avec son mari, mais aussi parce que la sensation était décuplée, presque monstrueuse. Ce qui la surprenait le plus, c'était à la fois ce désir de béance, et la sensation d'apaisement qu'elle ressentait lorsque Philippe ou elle-même, la comblait ainsi de façon excessive. Cet apaisement n'était pas que dans les sens physiques, mais aussi dans la sérénité profonde qu'elle ressentait à ces moments-là.

Philippe l'avait également initiée à la pluralité masculine. La première fois ils étaient allés dans un club échangiste de la capitale, et Philippe l'avait mise à la disposition des hommes présents. Elle avait été prise par tous les côtés pendant près d'une demi-heure, sans ménagement mais sans brutalité, sous le contrôle de son Maître. Pour la première fois, elle connut un orgasme pendant le coït, et cette expérience la marqua profondément. Elle s'était sentie complètement planer d'être ainsi utilisée et mise à la disposition, sentant qu'elle était vraiment à sa place. Ils avaient multiplié les expériences, parfois aux limites du glauque, mais Marg irradiait tellement, que même ces moments nauséabonds devenaient magiques.

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