Recruter Une Secrétaire Ch. 01-02

BÊTA PUBLIQUE

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Il laissa passer quelques minutes après 21h00, pour lui laisser la possibilité d'être en retard. Même s'il était certain que si elle avait décidé de venir, elle ne le serait pas. Son cœur battait à tout rompre, il imaginait son état à elle de l'autre côté de la porte, si elle avait eu cette envie impérieuse de venir. Il était temps maintenant d'ouvrir la porte blindée et de découvrir son paillasson vide ou occupé!

La minuterie s'était éteinte, il faisait réellement très sombre. Il la sentit plus qu'il ne la vit. Ce fut comme une ondée de chaleur, une présence incroyablement forte, là juste devant lui, une présence sur laquelle il ne pouvait poser ses yeux faute de lumière. Il hésitait entre la faire rentrer ou allumer la minuterie et prendre le temps de la découvrir comme il le souhaitait. Mais la lumière des bougies était sans doute bien plus adaptée.

« Viens! »

Il la saisit par le cou et la fit pénétrer devant lui dans le petit couloir menant à l'unique pièce de l'appartement. Elle portait un long imperméable noir, avec les mêmes chaussures fines et à hauts talons que lors de leur unique rencontre. Ses cheveux étaient coiffés avec une longue tresse et un nœud bleu clair. Il la distinguait à peine. S'approchant d'elle, Il lui prit son imperméable pour mieux la découvrir.

Elle ne bougea pas.

Elle avait remis ses mains dans le dos, sa tête était baissée, il voyait sa poitrine se soulever à un rythme élevé. Sa tension était palpable. Dès la porte ouverte, il avait retrouvé tous ses moyens et ses réflexes. Il s'assit sur le lit, la laissant ainsi au milieu de la pièce, prenant le temps de la regarder mieux qu'il ne l'avait déjà fait.

Elle n'était pas très grande, peut être 1m65, et ses talons lui donnaient une très jolie allure. Ses seins étaient lourds. Elle ne portait qu'un chemisier en soie blanche, et ils étaient libres en dessous, déformant le tissu de leur poids. Il devinait même la pointe des tétons qui saillaient légèrement. Il se demandait quelles seraient la forme et la couleur des auréoles. Il était curieusement assez fétichiste sur le sujet, préférant les petites auréoles foncées. C'était très excitant qu'elle ait décidé d'elle-même de venir les seins libres et offerts, un signe de plus de sa motivation. Mais le fait même qu'elle soit là ce soir était déjà bien assez fou. Autour du cou, qu'elle avait très fin, elle avait noué serré un simple lacet de cuir. C'était également très troublant.

Elle portait une jupe en kilt, assez courte, et cela la rendait très sexy. Il comprenait que le choix de l'imperméable pour venir était surtout dicté par la sécurité et la peur de se faire ennuyer. Elle était habillée de façon tellement suggestive. Il faisait trop chaud pour qu'elle mette des bas, mais il se demandait si elle aurait mis un porte-jarretelles ou des collants? Son souffle s'apaisait, peut être sentait-elle l'atmosphère particulière du lieu? Philippe poussa un soupir en sentant l'érection qui déformait son pantalon. Il ne se souvenait pas qu'Elisabeth ait pu lui faire un tel effet.

Il se mit derrière elle, posant ses mains sur ses épaules, il se mit à l'embrasser doucement dans le cou, sur la nuque, sur les oreilles. Il cherchait les endroits qui la feraient défaillir, la rendraient pantelante et pleine de désir. Il n'attendit pas longtemps, la moindre pression de ses lèvres sur ses lobes la faisait vibrer de tout son corps. Il descendit ses mains sur son ventre, la caressant doucement au travers du tissu soyeux. Son ventre était un peu mou et il trouvait cela terriblement excitant. Sa peau était un délice de douceur et elle sentait une odeur sucrée de vanille. Cette femme là était bonne à manger. Alors qu'il se pressait contre elle pour mieux la toucher et la malaxer, Marguerite, les mains toujours dans son dos, partit à la découverte de son corps à lui. Elle saisit son sexe très dur entre ses mains, le pressant en rythme.

« Tu me toucheras quand je t'en donnerai l'autorisation. Je te veux totalement passive. C'est compris? »

Elle laissa retomber ses mains, et se livra complètement à ses caresses. Il désirait toujours tout contrôler dans la relation, mais c'était aussi pour la frustrer, qu'elle se sente dès les premiers instants soumise et à sa disposition.

Les lèvres toujours sur son cou, il défit doucement les boutons de son corsage. Il prenait son temps, savourant chacune des minutes qui passaient en contact avec son corps. Il avait une envie incroyable de s'enfoncer en elle, tellement forte qu'il trouvait son pénis bien trop petit pour combler une envie telle que la sienne. Le dernier bouton céda enfin, et il put alors lui caresser la peau du ventre, qui était tendre et chaude comme il l'imaginait. Il retenait ses doigts pour ne pas descendre plus bas, il avait le temps. Il prit ses seins dans ses mains. Ils étaient moins gros qu'il ne l'avait imaginé, mais bien plus doux. Il n'avait jamais rien caressé de si doux, c'était un vrai bonheur. Il coinça chaque téton entre ses doigts, et lui malaxa doucement les seins. C'était incroyable car il ne connaissait rien de cette femme, ils ne s'étaient rien échangé, il ne savait pas, au-delà de ses envies évidentes de soumission, si elle était masochiste, et jusqu'où elle avait envie d'aller.

N'y tenant plus il la retourna, et l'embrassa tendrement. Elle lui répondit timidement, entrouvrant la bouche, puis de plus en plus active, elle semblait s'accrocher à ses lèvres, plongeant sa langue profondément en lui, comme si sa vie en dépendait. Il se colla contre elle, lui faisant sentir comme il avait envie de la prendre, caressant son dos sous son chemisier, pétrissant sa chair avec violence. Plus le baiser durait et plus il avait envie de la battre. Ils se collaient l'un à l'autre comme des naufragés et s'abattirent sur le lit sans que jamais leurs bouches ne se séparent.

Philippe se décala pour pouvoir continuer son exploration de sa main libre. Il caressa doucement la cuisse de la jeune femme remontant doucement, s'attardant au creux des cuisses, là où la chair est si tendre, si douce. La jupe était remontée. Il sentit plus qu'il ne vit que son sexe était libre de toute culotte. Cela le toucha, elle avait vraiment joué le jeu, mais envie de quoi exactement, il lui faudrait le découvrir. Son pubis était doux, elle avait ses poils coupés très court, comme une seconde peau qu'il prit plaisir à caresser. Il la sentait vibrer à chacune de ses caresses, pourtant peu précises. Elle semblait complètement excitée, perdant la tête, détachant ses lèvres des siennes pour soupirer :

« S'il vous plaît, s'il vous plaît. Il avait presque du mal à l'entendre parler. Il s'approcha plus près de sa bouche.

-S'il vous plaît, prenez moi. S'il vous plaît. Possédez moi, utilisez moi, dressez moi. S'il vous plaît. Vous voulez bien? »

Bien sur qu'il voulait bien. Elle avait frappé à la bonne porte ce soir. Il allait s'occuper d'elle.

*****

Il lui fit l'amour pendant plusieurs heures, ne se lassant pas de ce corps qui loin d'être passif, vibrait dès qu'il la touchait. C'était une bombe entre ses doigts, totalement docile et disponible, murmurant des mots qu'il ne parvenait pas toujours à comprendre, mais qui signifiaient qu'elle était bien.

Même après 3 heures d'avoir touché et dévoré son corps, il se sentait loin de l'avoir remplie autant que son désir l'espérait. Il regardait son corps nu, couvert d'une fine pellicule de sueur dans laquelle les flammes des bougies se reflétaient. Il n'en finissait pas de bander pour elle, il avait envie d'exercer sa violence, la fouetter, la contraindre, l'entendre hurler, mais n'osait pas, ne sachant rien de ses attentes, et de ses goûts, sinon ce qu'il avait pu déjà entrevoir. Il avait quand même envie d'en savoir un peu plus.

Sans un mot, discrètement, il sortit une longue corde de coton blanc, et lui attacha les poignets l'un à l'autre puis les tira vers la tête de lit pour les y fixer solidement. Elle ne dit rien, sa respiration devint simplement un peu plus rapide. Il guettait un signe pour savoir s'il allait trop loin, mais elle était simplement en attente. Il la fit pivoter pour qu'elle s'allonge sur le ventre, écartant ses jambes, et les attachant de part et d'autres du lit. Elle était maintenant offerte et totalement à sa disposition. Ses fesses rebondies étaient encore plus cambrées, comme si elle cherchait à se rendre plus provocante pour le forcer à la prendre encore et encore.

La touchant du revers de la main, il la sentit à fleur de peau. Approchant une bougie qu'il posa entre ses deux jambes écartelées, il prit le temps de la regarder, au plus profond de son intimité. Son sexe était légèrement béant, couvert d'un voile blanc de son excitation à elle que rien ne semblait pouvoir tarir. Ses petites lèvres étaient quasiment inexistantes, très foncées, repliées. Il avait pu longuement sentir son clitoris, de toute sa longueur, mais sans avoir pu la faire jouir malgré ses caresses savantes. Cela le frustrait, car donner du plaisir, être le grand maître des orgasmes de ses femmes soumises, était pour lui comme une assurance, celle qu'elles avaient effectivement besoin de lui. Mais Marguerite n'avait pas eu d'orgasme, ni par ses caresses, ni au cours des coïts répétés et variés. Elle avait eu beaucoup de plaisir, il en était sur, mais ce n'était pas suffisant. Un signe de plus, peut être, qu'elle était plus qu'une femme douce et docile. Cela avait été systématiquement le cas dans le passé.

Il remonta les yeux vers ses fesses, admirables globes bien formés, quoique assez molles et déjà quelques ombres annonçant la cellulite inéluctable chez toutes les femmes. Son cul était très clair. Il n'avait pas de connaissances universelles, mais il lui semblait bien qu'elle n'avait jamais été prise par là. A sa façon d'être serré sans doute. Il avait appris qu'une seule sodomie suffisait à endommager irrémédiablement un sphincter, et celui-ci avait l'air en très bon état. Elle avait un muscle anal qui semblait très puissant à ce qu'il en voyait. C'était très bon signe, cela signifiait qu'elle pourrait sans doute être défoncée par des objets aux dimensions qui la feraient s'évanouir de frayeur. Avait il le droit de s'immiscer par là?

Il posa tendrement sa langue sur le cul ainsi offert, sans que Marguerite ne dise rien, ni même ne bouge. Il sentit l'anus se détendre tandis qu'il la léchait doucement, puis palpiter au même rythme que ses coups de langue. La voie était ouverte. Il prit de la crème pour ne pas la blesser, enduisit largement son index qu'il fit pénétrer doucement dans la cavité inexplorée. Instinctivement elle se referma sur le doigt, mais lâcha la prise dès qu'il lui demanda de se détendre. Il savait que la sensation d'un doigt pouvait être fort désagréable, rappelant trop la défécation, tandis que l'intromission d'un plus gros objet, rendait la sodomie très différente. Il ne s'attarda pas avec son doigt, et vint positionner son sexe qui était tendu de désir au creux de ses reins.

Il sentit sa respiration se bloquer, elle avait peur. Mais maintenant il avait trop envie. Il prit soin d'être bien en face de l'anus, et posa simplement son gland contre ce dernier. Plutôt que de pousser au risque de lui faire mal, il ouvrit l'anus en tirant alternativement sur la face intérieure de chacune des fesses, créant une tension le forçant à se dilater. En quelques instants la tête de son sexe l'avait pénétrée, le plus dur était fait. Elle haletait, mais n'avait pas poussé le moindre gémissement. Il compta mentalement deux minutes, le temps que son corps s'habitue, avant de s'enfoncer plus profondément en elle, et faire céder, les uns après les autres, les anneaux de son sphincter. Il faisait des mouvements d'aller et retour, doux mais chaque fois plus pénétrants. Marguerite devait avoir le sentiment d'être à chaque fois transpercée, elle expulsait l'air de ses poumons à chaque nouvelle avancée. Il prit une nouvelle pause, et ne fut qu'à moitié surpris de voir Marguerite bouger ses fesses et partir à la conquête de son sexe pour l'enfoncer plus encore, jusqu'à ce qu'elle sente qu'il était complètement enfoncé. Elle fit alors des mouvements brutaux, cherchant à se défoncer sur cette queue qui la brûlait, elle qui n'avait jamais connu cette pénétration.

Philippe l'observait, un grand sourire au visage. Ce comportement était typique des femmes masochistes, désireuses de vivre au plus vite la souffrance promise, sans attendre et sans espérer pouvoir y échapper. Et une fois cette souffrance vécue, elles en tiraient un plaisir immédiat, brutal et violent. Marguerite venait de signer son contrat d'esclavage. Pesant de tout son poids, il reprit l'initiative et la défonça longuement, sentant le cul s'ouvrir et se desserrer davantage. Certain de son affaire, il sortait complètement son sexe de son fondement, pour replonger aussitôt entre ses fesses, trouvant d'instinct l'entrée du cul encore ouverte et désespérée d'être vide, s'enfonçant d'un grand coup sec et profond, lui arrachant un ahanement qui l'excitait prodigieusement. Il hésita à jouir, mais finalement décida qu'il se retiendrait. Les fins de soirées lorsqu'il avait joui étaient souvent tristounettes, il avait l'orgasme triste!

Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, il lui détacha les jambes, et la retourna, les bras toujours liés au dessus de sa tête. Leur baiser fut profond, plus calme que le premier. Il prit un téton entre ses doigts, le serra progressivement, sentant son baiser plus difficile, sa respiration plus courte, mais elle ne retirait pas sa bouche, ne cherchait pas à fuir la douleur qui devait irradier tout son sein. Il continua à serrer, faisant pivoter ses doigts pour que la pression s'exerce avec ses ongles. La douleur était insoutenable, Marguerite haletait, incapable de continuer à faire autre chose que de se concentrer sur cette douleur. Lorsqu'il relâcha le téton, elle poussa un cri, mais, les yeux fermés, chercha sa bouche pour reprendre le baiser, et sans doute lui signifier qu'elle lui offrait cette douleur. Il massait doucement le téton, pour y rétablir la circulation, et ainsi également, lui procurer une douce chaleur qu'il savait très aphrodisiaque.

Descendant sa main, il ne fut guère surpris de trouver son sexe trempé. Son excitation était très agréable, dense, soyeuse, cela lubrifiait agréablement les doigts sans les dessécher. Il caressa doucement son clitoris, puis positionna un doigt de chaque côté, l'enserrant comme dans une pince, et faisant de grands mouvements circulaires. Par réflexe, Marguerite ouvrit encore plus les jambes, s'offrant à la caresse. Il remonta au dessus de son bouton magique, sentant la tension tout le long de la zone au dessus de son clitoris, signalant sans aucun doute qu'elle était très excitée. Il massa doucement cette région, puis de plus en plus violemment, terminant par y planter férocement ses ongles, juste à la limite supérieure du clitoris. Il sentit enfin son corps se tendre comme un arc, ses cuisses se serrer au maximum, ses bras tirant sur ses liens, jusqu'à ce qu'elle explose dans un gargouillis incompréhensible, la respiration coupée, le corps traversé de spasmes assez impressionnants. Il resta là sans bouger, la laissant se calmer, se demandant ce qu'il devait faire.

La fatigue le prit par surprise et il s'endormit ainsi, tandis que Marguerite s'assoupissait également, les mains toujours attachées. Ils dormirent jusqu'au matin, réveillés par les chants d'oiseaux qui se nichaient juste sous le toit. Philippe se réveilla rapidement, se rappelant la situation de la veille. Il défit les nœuds de Marguerite qui émergeait d'une nuit agitée. Elle était magnifique, il sentait son désir reprendre. Pourtant, après lui avoir massé les poignets sans un mot, il la prit par la nuque, attrapa son imperméable, ses chaussures et son sac et la mis sur son palier nue et hébétée, lui souhaitant une bonne journée, et disant qu'il gardait ses autres vêtements comme trophée pour la nuit passée.

Il retourna se coucher, en érection, amusé par l'humiliation qu'il venait de lui infliger, ne doutant pas qu'elle ne ferait qu'ajouter à son plaisir à elle. Il se demandait ce que Marguerite allait pouvoir dire à son mari de rentrer à 7h le matin après une nuit dehors, nue sous son manteau, des marques de cordes aux poignets? Il n'était pourtant pas sur de jamais la revoir, il était peut être allé un peu trop loin? Surpris, il se rendit compte que cette pensée l'angoissait un peu. Il n'était décidément pas très cohérent.

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Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Très très bien écrit, et une excellente psychologie, bravo.

trouchardtrouchardil y a presque 2 ans

Très très bon début d'histoire. Bien écrite, bien décrite, la soumission de cette femme nous fait envisager une suite bien captivante.

Merci.

AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

La perversité dans les sentiments et les relations toujours aussi bien décrite, bravo

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Très bien écrit : Bravo

Rudy

Sium38Sium38il y a presque 2 ans

Comme toujours, bien écrit. Une histoire torride qui ne fait que commencer ?

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