Prison de Haute Sécurité

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Prison de haute sécurité et masturbation, fessée.
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Ce récit est purement fictif et relève du fantasme, tout les protagonistes ont plus de 21 ans. Pour public averti même si c'est très soft et consensuel.

Bonne lecture.

Dans la section d'isolement de la prison militaire américaine durant la guerre d'Irak (2003/2011), les forces de la coalition détiennent des détenus de haute valeurs susceptible de détenir d'importantes informations, ou qui représente un intérêt stratégique.

La majorité des captifs sont des hommes, mais on y trouve aussi certaines femmes, comme ici Kenza, 45 ans, universitaire irakienne arrêtée par la coalition car suspectéé d'avoir des liens avec le programme nucléaire irakien. Elle est en isolation complète. Nous sommes en semaine durant le mois de juillet 2004.

Ce matin, vers 07 h, les gardes se rendent dans une petite cellule de 3 mètres sur 4, ce qui est un "luxe" ici dans cette vétuste prison. La cellule est totalement vide et ne contient qu'une couchette surélevée et des toilettes "turques".

Aucun autre objet quelle que soit sa nature n'est permis dans cette section. Les gardiennes sont des femmes, mais les fonctionnaires et les contractuels travaillant ici peuvent être des hommes.

Kenza est encore somnolente, elle a 45 ans, mais elle fait beaucoup plus jeune, elle mesure 1.70 m pour au moins 70 kilos, elle est assez costaud et a de belles courbes, des fesses épaisses et des hanches larges, de bonne cuisse avec un peu de cellulite. Elle a un peu de ventre même si elle est encore bien musclée pour son âge. Ses seins sont gros tout en restant dans les normes, et ses tétons plutôt rose, elle a une peau blanche légèrement halée et des long cheveux brun foncés avec les pointes beaucoup plus claires.

Elle est là depuis 7 mois. Elle est une femme irakienne très éduquée, elle était professeure de physique à l'université, ce qui l'a rend importante au regard des autorités qui l'a maintienne en détention pour une durée indéterminée. Les cliquetis de la clé ouvrant sa cellule l'a réveil. La prisonnière est nue, les pieds nus (et ici, ses plantes de pieds sont noircies par la poussière et la crasse accumulés lorsqu'elle marche sur le sol pas très propre).

Elle est allongée nue sur le dos par les chevilles et les poignets sur sa banquette. Exposée totalement à poil sans aucune pudeur à la vue de ceux qui rentre dans sa cellule, ses premières semaines ont été très difficiles puis elle s'est habituée.

Kenza comme une bonne partie des personnes privées de liberté ici sont sans vêtements, c'est une section d'isolement en sécurité maximum, car c'est un théâtre de guerre, les moyens manques cruellement, il n'y a que très peu d'uniforme, les rares sont donnés aux détenus coopératifs masculin, les uniformes féminins ne sont pas prévue du fait du nombre limité de femmes.

L'équipe d'interrogateurs de la police militaire et de la CIA recommande la nudité pour ramollir les détenus et les rendre plus dociles.

Et pour l'équipe de surveillants, c'est bien plus sécurisé que de garder les prisonniers nus.

Kenza est une détenue jugée fragile, elle n'est pas soumise aux interrogatoires violents, mais elle doit être sous surveillance étroite 24 h sur 24, elle est toujours sous contrainte la nuit, et elle doit toujours être sous la surveillance d'un garde lors de ses activités.

Les entraves de Kenza lui son retirer et elle doit se lever et se mettre au garde-à-vous et se voit remettre son petit-déjeuner.

C'est un traitement de VIP peu représentatif du reste qui lui est réservé. Certes, ce n'est pas de la haute gastronomie, mais elle est aussi bien nourrie que les soldats.

Elle a le droit à un plateau avec une assiette de poulet frit avec du riz et quelques légumes, une banane, et un verre d'eau bien frais.

Elle est observée par une surveillante à chacun de ses gestes, et il y a parfois des fonctionnaires masculins qui regardent. L'Américaine chargée de la contrôler est assez froide et stricte et fait son boulot sans états d'âmes.

Kenza doit tout manger devant elle, quand elle a finie, elle doit poser le plateau repas à l'entrée et se mettre contre le mur les mains sur la tête pendant que la gardienne ramasse l'objet. Ensuite, elle doit se mettre devant la porte, mains sur la tête et attendre les ordres.

Elle doit bouger ses cheveux, ouvrir grandement la bouche, et surtout se soumettre à une inspection humiliante des cavités intimes. L'Irakienne qui parle parfaitement l'anglais demande à la surveillante "Est ce que je peux vous montrer ma chatte et mon cul de façon plus discrète? Car n'importe qui peut circuler dans le couloir et me voir dans cette situation embrassante et je ne veux pas que des hommes puissent me voir ainsi.

"La surveillante lui répond "Ne sois pas ridicule, les gardes et les contractuels voient ta chatte tout le temps, car tu vis toute nue depuis plusieurs mois".

Kenza le sait, mais devoir montrer son intimité sur commande elle trouve ça dégradant et se sent comme un animal au zoo.

Les hommes passant par là (souvent, par coïncidence, la fréquentation de cette zone augmente lors des heures des inspections de Kenza) s'arrêtent et ont des débuts d'érection.

"Allez, c'est un ordre, dernier avertissement" dit la surveillante en uniforme militaire.

Résignée, la prisonnière prend sur elle-même se penche et écarte ses jambes pour exposer son anus rose, c'est toujours difficile à vivre que de sentir le souffle d'un gardien équipé d'une lampe vous regardez le fond des entrailles et vous faire tousser en ayant vos fesses écartées au maximum.

Puis elle doit écarter encore plus les jambes, ce matin elle est tombée, car ses pieds nus ont glissé pendant l'opération, rien de mal, aucune blessure, mais les hommes qui passaient par là ont bien rigoler en l'a voyant se ramasser par terre toute nue et se relever pour reprendre sa position indécente et écarter le plus possible ses lèvres devant la gardienne, qui remarque quelques traces humide et suspect émanant du sexe de la détenue.

Kenza avant d'être emprisonnée par les Américains a entendu parler de rumeurs comme quoi les militaires humiliaient et maltraitaient les Irakiens qu'ils détiennent, mais elle n'y a pas cru.

Elle ne subie d'ailleurs aucun mauvais traitement et n'a jamais reçu le moindre coup ni la moindre insulte. A son arrivée en décembre 2003, elle est soumise au processus habituel pratiqué à la section d'isolement de haute sécurité d'Abu Ghraib. Elle est accueillie et informée par le personnel de la prison qu'elle sera traitée selon les conventions de Genève.

Puis elle estt enregistrée administrativement, ses papiers d'identité, biens, bijoux et effets personnels ont été placés sous scellés dans des cartons, ses empruntes digitales, et de sa salive pour identifier son ADN on été prélevés. Un numéro d'identifiant de prisonnier lui à aussi été délivré.

Ensuite, elle a été déshabillée pour la fouille (strip search) obligatoire avant tout mouvement dans la division.Lorsque elle entendait parler des rumeurs de nudités forcés imposer aux Arabes retenus par les américains, bien que choquée, elle imaginait bien la honte, l'humiliation que d'être dénudé en publique représentait pour les victimes, mais elle se voyait dans ses fantasmes, elle, une respectable irakienne d'âge mur et pieuse musulmane, d'être obligé d'être nue, que les autres puissent voir son sexe, ses gros seins à l'air, ses fesses, ses pieds, ses cheveux ...

Pour elle hors de ses voyages à l'étrangers, dans des pays occidentaux ou en Asie doit être couverte de la tête aux pieds et cacher la moindre parcelle de son corps aux hommes. La nudité était un de ses fantasmes qui hantait ses nuits, surtout que sa vie sexuelle avec son mari n'est pas terrible, il la prend, il la baise, et elle le suce, il est bien content et c'est vider les couilles et puis c'est tout. Le premier déshabillage n'est jamais facile surtout pour une personne ayant des tabou religieux et culturels important comme Kenza. Lors de ses premiers jours, elle était honteuse et obsédée par sa nudité.

Les gardiennes s'amusent de la gêne et de la honte que ressent la prisonnière. Lors des restrictions, que Kenza déteste, elle est allongées et attachée solidement sur un lit ou une civière sans pouvoir bouger, nue bien sûr et les jambes assez écartées pour que l'on puisse tout voir. Pour une femme comme elle, c'est l'une des choses les plus dégradantes.

La nudité est difficile à supporter surtout que l'humiliation fait beaucoup mouiller Kenza, les gardes le savent, et l'un de ses problèmes principaux et de pouvoir se masturber malgré la surveillance renforcée du a son statut de "détenue de haute valeur". Car disons le franchement, cette prisonnière s'ennuie, même si elle a accès à quelques livres, a une heure de sortie par jours, la possibilité de faire un peu de sport, et être toute nue stimule beaucoup sa libido et l'incite à se masturber.

Sa chatte est toujours humide lors des inspections, et la surveillante lui donne parfois quelques tapes sur le clitoris pour mieux l'excitée.

Après le petit-déjeuner et l'inspection, la prisonnière a le droit à une heure de "sortie" ou elle est libre de menottes et de chaînes et libre de ses mouvements et peut prendre l'air.

Un petit enclos de 10 mètres sur 10 est dédié aux prisonniers en isolement pour leur permettre de bouger un peu. Le climat est très chaud et le soleil tape fort dès le matin, l'heure à été choisie, car une partie de l'enclos et au soleil et l'autre à l'ombre.

Kenza est contrainte de mettre des menottes et est enchaînée par les chevilles pour le transfert dans la "cours".

Elle est escortée toute nue, la cours étant partie intégrante du secteur d'isolement de la prison, il est contraire au règlement de lui fournir des vêtements pour les déplacements internes à l'unité. Car l'uniforme ici, c'est la tenue de naissance.

C'est assez marrant pour les gardes de faire marcher une femme comme elle dans les couloirs, car malgré son âge elle est sexy, elle a très mal pris durant les premières semaines le fait de devoir aller à la douche ou dans la cours à poil et à refuser d'y aller.

Elle disait dans un Anglais parfait "Vous ne pouvez pas me faire subir ça! Je ne veux pas marcher les fesses à l'air devant tout le monde et les seins exposée devant tout le monde Donnez moi des habits!"

Mais le staff pénitencier ne transige pas avec les règles et n'a que faire de ses humeurs. L'équipe est assez dirons nous assez taquine et certains prennent un malin plaisir à utiliser la nudité de Kenza pour lui causer encore plus de gêne et de honte.

Sous prétexte de perquisitionner sa cellule, la détenue a été sortie de sa cellule pour être conduite dans une pièce ouverte ou tout passants peu la voir en tenue d'Eve.

Faire parader toute nue une femme et faire plein de remarques et commentaires salaces sur son corps fait rire et amusent le personnel du camp.

Elle s'est petit à petit habituée à être sans aucun vêtement.Elle s'est petit à petit habituée à être sans aucun vêtement.

Une fois dans la cours, ses menottes et chaînes sont défaites, et elle est libre de ses mouvements, elle court un peu pour se décrasser les jambes, puis elle fait quelques séries de squats, des exercices de mouvement de bassins, d'épaules, puis elle pratique des étirements.

Puis elle se met à danser nue, comme si elle était toute seule, les surveillantes savent que ce comportement est suspect, car lors de ses mouvements, ses mains se rapprochent dangereusement de sa poitrine et de son vagin.

Elle a été plusieurs fois avertie que le règlement impose un comportement décent en public et devant les gardiennes. Ensuite, elle est conduite à la salle de douche.

Elle est particulièrement surveillée pour soupçons de masturbation lorsqu'elle se lave.

La douche est codifiée et Kenza doit suivre le protocole. Elle commence par se mouiller tout le corps, et se frotter un peu partout, puis après une ou deux minutes elle prend un carré de savon et se lave les seins, bien sous les aisselles, le ventre et le nombril, puis elle passe aux jambes et aux pieds, elle se nettoie bien les plantes et entre les orteils.

Puis elle doit passer au cul, et bien passer le savon entre ses fesses pour le faire mousser, puis frotter pour que tout soit propre. Puis elle doit se laver la zone du vagin, qu'elle doit d'abord savonner pour qu'il y est plein de mousse, puis avec le savon elle doit écarter les jambes et passer le savons partout et le faire légèrement rentrer pour bien purifier le clitoris et tous les plis de sa chatte.

Une fois cette opération terminée, elle est invitée à se sécher et replacer en cellule.

Les gardiens discutent à propos de son comportement, elle se serait masturbée plusieurs fois, et un rapport à été fait à ce sujet, qui nécessite un petit recadrage disciplinaire.

La masturbation n'est pas formellement interdite, mais elle ne doit pas être publique, hors Kenza à bel et bien eu des comportement limite durant ses sorties. Vers 16 heures, la prisonnière est convoquée et doit se rendre dans un bureau pour recevoir un avertissement, éventuellement une sanction disciplinaire.

Aux alentours de 15 h 40, deux gardiennes viennent chercher la détenue. Elles amènent une culotte, un haut d'uniforme de prisonnier jaune/orange et une paire de tongs en caoutchouc. "Tiens enfile ça prisonnière, il te faut une tenue décente pour ton audience, tu vas voyager un peu aujourd'hui, ça te changera un peu de ton train-train habituel " lui dit une surveillante en lui tendant l'ensemble plié. Kenza demande "Qu'est ce que c'est?"

"C'est une tenue pour circuler hors de la section isolement". Dit l'une des gardes. L'Irakienne inspecte les tissus et demande "Y a t'il une robe aussi et un foulard?"

"Non pas aujourd'hui, nous n'en avons pas en réserve, enfile ça qu'on y aille. "

"J'aurai besoin d'un pantalon, c'est trop court comme tenue pour moi" redemande la captive.

"Nous n'avons que ça à te donner comme vêtements, c'est la tenue de prisonnières standard des prisonnières de l'armée américaine dans les pays et région chaude."

Kenza met la culotte, puis le haut avant d'enfiler les claquettes, les gardiennes lui mettent des chaines aux pieds et des menottes dans le dos.

Kenza a de grosses fesses et elle est un peu serrée dans sa tenue moulante, elle se demande si être promenée toute nue n'est pas mieux ...

Une fois arrivée dans le bureau, elle est attendue par un fonctionnaire en costard cravate et une femme blonde mure en treillis militaire, elle a l'air d'être une gradée et d'avoir des responsabilités. Kenza tente de cacher son corps devant eux, alors qu'en temps "normal" elle vit nue sans le moindre problème.

L'Américaine commence par quelques vérifications basiques :

" Depuis combien de temps es-tu détenue ici?"

"6 ou 7 mois je ne sais plus trop" répond l'irakienne

"Et tu es en isolement depuis quand?"

"On m'a tout de suite placée en confinement"

"Portes tu des vêtements civil, un uniforme en détention?"

"Non, on m'a interdit de porter des vêtements depuis le début."

"Que veux-tu dire, tu vis toute nue? "

"Oui"

L''Américaine ajoute "Tu a été signalée pour plusieurs incidents, le premier, c'est un matin, lorsque tu étais aux toilettes, une surveillante t'a prise en flagrant délit en train de tripoter ton sexe de façon suspecte, nous avons aussi remarquer que lors des exercices sportifs que tu mets dangereusement tes mains sur tes seins et entre tes cuisses et que pour nous, américains, ceux sont des "actes obscènes" et des atteintes à la pudeur.Lors des inspections, nous avons constaté vos orifices humides, et avons prise en train de vous frotter les organes génitaux sur les chaînes. Ce sont des graves entorses à la décence publique."

Kenza est abasourdie d'entendre ça, elle en pleure presque "Mais je suis tout le temps nue, je n'ai aucun vêtement, pas de serviettes ni de couverture pour cacher quoi que ce soit, pas de chaussure pour couvrir mes pieds, rien, je suis nue sans la possibilité d'obtenir le moindre vêtement".

" Pour ça, c'est avec votre responsable de section qu'il faut voir, nous sommes là pour statuer sur votre comportement ignoble, pas pour entendre vos doléances vous avez aussi crier à une surveillante que vous vouliez recevoir des grosses bites pour vous calmer, vos provocations contre la morale publique ont des limites. "

"C'est elle qui lors d'une fouille m'a chauffer et elle m'a stimuler le clitoris" hurle Kenza en pleurs et elle poursuite "Il fallait que je me termine, car j'en pouvais plus".

Le fonctionnaire en costume prend la parole :

"Pensez vous vraiment qu'une femme respectable et honorable comme vous puisse se permettre d'avoir un tel comportement digne d'une salope?"

"Je suis à poil tout le temps, c'est horrible par moment je ne pense qu'a ma chatte" dit elle énervée.

" Une pieuse musulmane comme vous ne devrez pas avoir ce type de comportement, c'est disons le franchement indécent et vous n'avez aucune excuses." Redis le responsable au look de bureaucrate.

Kenza répond : "Je me prends tout le temps des remarques salaces de la part des gardes, des mains aux fesses, les surveillantes me tapotent souvent la chatte et les fesses ou malaxent les seins.

Ce matin pendant le transfert vers la douche un contractuel m'a dit qu'il aimerait lui-même m'écarter les fesses, un autre m'a dit que j'avais des mamelles de chiennes"

"Oui certes mais c'est le vie en commun, les surveillantes ont le droit de vous toucher légèrement pendant les inspections, quant aux autres, ils ont le droit de parler et d'exprimer leurs satisfaction à vous avoir parmi nous." Dit le fonctionnaire.

"Lorsque je suis attachée sur le lit, un pervers de binoclard vient me chatouiller de temps en temps, ils ouvrent discrètement ma porte de ma cellule, car il a les clés et me met à bout à chaque foi. Il me chatouille les pieds avec ses doigts, passe ses ongles sous les plantes des pieds, ils me mordillent les orteils, passe sa langue entre mes doigts de pieds, c'est terrible, il me fait mouiller puis me laisse comme ça en feu sans rien me faire" . Dit l'Irakienne.

La gradée américaine avec un sourire narquois répond "au moins tu a les pieds propres".

"Il va falloir punir" ajoute le bureaucrate. "Vous allez retirer vos vêtements et vos tongs, enfin comme dans votre cellule, faut être toute nue".

Les quelques minutes couvertes prennent fin et la pauvre prisonnière se retrouve encore nue comme un ver.

Elle a été soumise à tellement de fouilles et rester nue si longtemps qu'elle ne fait plus beaucoup d'histoire pour ça.

Elle est invitée à s'allonger sur les genoux du fonctionnaire pour y recevoir une fessée.

Elle reçoit des mains nues du responsable des claques vives et douloureuses sur ses deux grosses fesses, ses fesses bougent vite. Elles deviennent rapidement toutes rouges et douloureuses.

Kenza cri et pleur un peu en disant "arrêtez s'il vous plaît j'ai mal aux fesses".

La punition continue et les fesses de la prisonnière lui font de plus en plus mal.

Une fois terminé. Et pour conclure l'affaire, la gradée Américaine a fait venir plusieurs gardes, et elle invite Kenza à s'exposer toute nue devant eux les mains sur la tête pour leur montrer que ses fesses sont bien rouges.

Kenza doit s'excuser devant eux têtes et yeux baissés : "Veuillez m'excuser, mais je suis une salope en chaleur".

Kenza est ensuite autorisée à se masturber dans sa cellule seulement.

Fin

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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Une bonne histoire qui me rappelle que j'ai été un garde.

TortuegenialeTortuegenialeil y a plus de 3 ansAuteur
j'ai d'autre histoires

Bonjour, merci pour vos commentaires, j'ai d'autres histoires en court.

je reste ouvert à vos suggestions et conseils.

TortuegenialeTortuegenialeil y a plus de 3 ansAuteur
J'ai d'autres histoires

j'ai d'autres histoires en réserve qui arrivent.

Merci pour vos commentaires je reste à votre écoute et ouvert aux suggestions.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

On en redemande !

Aurailiens

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Une suite !

Avec la très belle Kenza

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