Première Épreuve

Scène imaginée dans une situation de prise de contrôle. Il n'y aura pas de suite. Comme le titre à double sens l'indique, je confronte cet essai à vos avis.

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Ce matin Sophie a reçu un SMS lui donnant rendez-vous sur une aire d'autoroute. Elle sait qu'elle n'a plus le choix et s'y rend. Arrivée sur place elle reçoit un nouveau message lui intimant d'aller dans les toilettes pour hommes et d'y attendre accroupie entre 2 urinoirs.

NON! Elle ne peut pas faire une chose pareille! Il n'en est pas question. Cinq minutes passent, un nouveau message arrive :

"MAINTENANT... ou je ruine ta vie!"

C'est de la folie... Jusqu'où cela ira-t-il? Après quelques instants, elle sort de sa voiture comme une automate et s'exécute. Un coup d'œil aux alentours et tête baissée, rouge de honte, elle pénètre dans ce lieu réservé aux hommes.

L'odeur est saisissante. Les urinoirs sont à sa gauche, il y en a trois et à peine la place pour ce qu'on lui a demandé. Le sol est humide, sale, jonché de mégots, de papier toilette... Avec dégoût elle nettoie du pied l'emplacement entre les deux premiers urinoirs, plaque son dos contre le mur froid et lentement, le nez baissé, elle glisse juste au niveau des odeurs de pisse mêlées à celle des désodorisants. Quelle humiliation! Et surtout quelle angoisse d'être trouvée ainsi exposée par le premier venu... Offerte comme la dernière des traînées!!! Elle attend ainsi un quart d'heure, au rythme des chasses automatiques qui l'éclaboussent et sursautant au moindre bruit.

Cette fois la porte s'ouvre et un homme en vêtements de chantier entre... il n'est pas très grand mais de belle carrure, de type arabe. Le regard qu'il pose sur Sophie est plus vicieux que surpris. Il vient jusqu'à elle très naturellement, l'observe un instant en souriant puis sort son sexe d'une main et lui glisse les doigts sales de l'autre dans la bouche. Elle n'est pas naïve et a bien compris ce qui l'attend. La bouche ouverte elle est prête à accueillir le membre pour une fellation, comme une vulgaire putain! Mais non, il recule d'un pas et... libère d'un coup un jet puissant. IL LUI PISSE DESSUS!!! Il l'arrose tout en cherchant sa bouche. Son chemisier et sa jupe sont déjà trempés! Pétrifiée de stupeur et peut-être pour préserver ses habits, instinctivement elle essaie d'avaler au fur et à mesure le liquide qui lui emplit la bouche!

Quand enfin le jet s'interrompt, l'homme satisfait se rapproche, la queue toujours en main à hauteur de bouche...

- Nettoie, croit-elle entendre.

- Non! Pas question! Ça suffit! hurle-t-elle dans un sursaut de défense.

Il lui prend la nuque et écrase son visage sur ses couilles jusqu'à ce qu'elle étouffe puis la relâche et la gifle lourdement.

- Nettoie

Toute résistance s'est évanouie. La jeune fille, dans un état second, obéit en pleurant. Elle lèche le gland encore suintant qui enfle aussitôt. Elle le prend en bouche et, plus appliquée, se met à le sucer. Satisfait, l'homme la plaque alors contre les carreaux, enfonce sa queue imposante au fond de la gorge et la baise comme ça en aller-retour profonds et sonores.

- Salope

Écrasée entre le mur et son ventre, le nez dans les poils odorants, Sophie gémit sans plus savoir de quoi. Son esprit est perdu dans un chaos de sensations qu'elle ne sait plus définir. De la bave sort entre ses lèvres ainsi que des borborygmes qui n'ont rien de féminin pas même d'humain. Elle se laisse ainsi baiser la bouche... baiser la gorge jusqu'à ce qu'il se retire pour lui déverser en râlant de longs jets de foutre épais et chaud sur le visage. Larmes, urine, maquillage, salive, sperme... Sophie est maintenant à sa place ici.

Il lui donne de nouveau son sexe à nettoyer, ce qu'elle fait cette fois sans rechigner. Il se réajuste et sort aussi tranquillement qu'il est arrivé, laissant Sophie en pleurs à genoux dans l'urine, le tissu du chemisier collé sur ses seins, gros et en poires. Le sperme lui coule sur le menton, dans le cou pendant que sa main descend entre ses cuisses...

Son téléphone vibre :

"C'EST BIEN MA PUTAIN SORS TOUT DE SUITE ET VA-T-EN"

Oubliant l'état dans lequel elle est, elle se précipite dehors pour se prendre les pieds dans un ruban et deux cônes condamnant les lieux. En se relevant, elle ne voit même pas cette femme et une adolescente qui la regardent horrifiées. L'urine coule maintenant le long de ses jambes jusque dans ses chaussures. Hagarde elle traverse tout le parking, cherche ses clés et monte dans sa voiture.