Pirates!

BÊTA PUBLIQUE

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Sur le pont il ne restait que le capitaine du bateau avec cinq de ses seconds qui tenaient solidement Marion.

Il restait aussi Jean-Jacques qui avait été solidement attaché, pieds et poings liés.

Ses gardiens s'étaient engouffré dans le ventre du navire à la suite des autres...

Jean-Jacques avait entendu des rires, des cris de joie, d'autres clameurs d'hommes qui se battaient, des hommes qui braillaient, qui riaient, qui s'esclaffaient, qui se marraient...

Il se doutait et il devinait que tous devaient se battre et se disputer pour Sylvie...

Puis il avait entendu les hurlements, les cris de douleur, les lamentations de sa femme. Elle criait. Elle appelait au secours.

Les hurlements avaient duré longtemps..., longtemps, très longtemps même...

Puis il s'était changés en gémissements, en plaintes, en pleurs...

Mais toujours les rires et les braillements des hommes...

Puis Sylvie avait cessée de crier et de gémir... Elle avait du tomber dans l'inconscience...

Sur le pont du navire, Jean-Jacques avait assisté au viol de Marion. Viol atroce, féroce, bestial, barbare, abominable... inhumain même... Mais à sa grande honte le sort de Marion le faisait bander.

S'il avait vu ce qui se passait dans la cale du navire. Il s'en doutait...

le capitaine du navire avait pénétré Marion d'un seul coup. Il lui avait labouré la chatte en l'insultant. Faisant hurler la pauvrette de nouveau violée par un sexe d'homme.

Il avait été rapide. Il avait rapidement jouit au fond de son vagin.

Il était ressorti avec son sexe luisant plein de sperme. On devinait qu'il lui en avait mis une bonne dose...

Il avait dit quelque chose à ceux qui tenaient Marion, et ils l'avaient retournée et installée à quatre pattes.

Le chef s'était aussitôt enfoui dans le cul de Marion. La jeune femme hurlait encore plus fort. Il venait pourtant de jouir mais il rebandait encore.

Il avait défoncé le cul de Marion pendant assez longtemps, puis il avait encore joui dans ses intestins...

Tous les cinq autres avaient violés et sodomisés Marion les uns à la suite des autres ou deux par deux..., un dans le vagin, un autre dans l'anus.

Marion elle non plus ne criait plus et elle ne se débattait plus.

Le capitaine était venu s'asseoir à côté de Jean-Jacques et il lui avait parlé, ou plutôt il lui avait baragouiné " - Elle est bonne la petite lesbienne!!! On s'est bien amusé avec elle!!! - Je vais aller voir un peu ce qui se passe avec la vieille en bas!!!"

Le mec était descendu dans la cale.

Jean-Jacques avait entendu une discussion animée. Il devinait que le chef voulait passer.

Sylvie qui ne criait plus depuis longtemps avait à nouveau soudain poussée des hurlements et des cris de douleurs.

Comme tout à l'heure elle avait criée. Des hurlements, des cris de douleur, des lamentations Là encore, elle criait , elle appelait au secours.

Puis le chef était remonté et il avait à nouveau parlé à Jean-Jacques " - Son cul est bon à ta salope!!! Elle était évanouie et j'ai du lui pincer les seins pour la ranimer. J'ai bien profité de son cul!!! Maintenant c'est eux qui en profite!!!! Ses grosses mamelles les rendent fous si tu voyais ça!!! "

Là encore, les hurlements avaient duré longtemps..., longtemps, très longtemps même...

Puis il s'était changés en gémissements, en plaintes, en pleurs...

Mais toujours les rires et les braillements des hommes...

Puis Sylvie avait cessée de crier et de gémir... Elle avait dut à nouveau tomber dans l'inconscience...

Quelques hommes de la cale étaient remontés, après avoir profité de Sylvie, ils venaient se faire Marion. Le chef des pirates avaient vu le regard, plein d'envie, de Jean-Jacques sur le corps de Marion. Il avait vu la bosse dans le pantalon de l'homme. Il avait baragouiné dans son dialecte, deux hommes étaient venus relever Jean-Jacques, ils lui avaient défaits les liens de ses chevilles, descendu son pantalon et son slip. Dévoilant une belle érection. Marion allongée sur le ventre, hurlante, était sodomisée par un gros black.

Jean-Jacques pensant que les deux femmes n'étaient pas assez nombreuse pour satisfaire l'équipage pensait qu'il allait servir de troisième. Il s'étaient débattus, mais les deux pirates l'avaient maîtrisé facilement. Le capitaine s'étaient approchés de lui, avait baragouiné dans un très mauvais français.

- Toi baise fille! Si toi sage, toi baiser elle souvent. Si toi pas sage, toi mort.

Jean-Jacques avait compris. Il était soulagé, presque content même. Il allait pouvoir se venger lui même de cette pute. L'homme avait finit de sodomiser Marion. Elle restait allongée sur le pont, sur le dos, cuisses écartées. Un flot de sperme rosé par ses déchirures vaginales s'écoulait de son orifice. Les pirates avaient détachés les mains de Jean-Jacques. Il s'était dirigés vers Marion.

Cette dernière, le voyant arriver bite à l'air, avait compris ce qu'il allait lui faire.

- Pas toi Jean-Jacques, pitié pas toi...

Il s'était agenouillé entre les jambes de la fille.

- Pitié, je n'en peux plus, je n'en peux plus...

Mais Jean-Jacques s'en était moqués, il s'était couché sur la fille et l'avait pénétré. Entreprenant de défoncer le vagin plein de sperme de la fille encore plus sauvagement que les pirates. Sous les hurlement de la femelle. Lui aussi avait rapidement jouit. Il avait alors retourné le corps de Marion, pour s'enfoncer dans son anus.

C'est là que je suis arriver. Mon zodiac s'est amarré côté tribord du bateau. J'étais avec trois pirates resté à terre. Je ne suis pas un commanditaire, je travaille avec eux. Bien que je choisisse la plupart de mes cibles. Je rachète certaines de leurs marchandises, je leurs vends des armes. En cas, je donne aussi des commandes d'attaque aux commanditaire, quand le cargo m'intéresse. J'étais venu leur vendre des armes quand j'ai vu le cargo arriver au loin. Je ne pensais pas qu'ils feraient aussi vite. J'ai voulu allez voir leur prises.

Moi c'est Jean, je suis français, j'ai trente ans. Je parle couramment leur dialecte, cela fais sept ans que je vis ici, dans une belle villa. Je ne travaille qu'avec eux, pour des hommes encore plus riches et puissants que leurs commanditaire. Des occidentaux voulant faire de l'ombre à un concurrent, voulant arnaquer l'assurance, ou se venger d'un vieil ennemi. En sept ans, j'ai amasser cinq bonne dizaine de millions d'Euros. Le spectacle me plaît. Voir cet homme blanc comme moi, violer cette fille blanche avec autant de sauvagerie qu'un pirate me plaît. Je m'approche du capitaine du cargo, il m'explique le tout. Je souris. Je vais dans la cabine du capitaine, je lui dis de me l'emmener quand il aura fini de violer la belle rousse.

La cabine est luxueuse, je me sers un whisky. J'en ai but un verre quand la porte s'ouvre. J'entends les hurlements de la rousse, les pirates ont dut reprendre leurs jeux avec elle. L'homme est rhabillé. Deux pirates restent dans la pièce au cas où. C'est inutile, je suis un combattant accomplit. Mais je ne les fais pas partir. L'homme me regarde, terrorisé.

- I'm french, i'm french...

- Moi aussi.

Il me regarde stupéfait.

- Vous êtes français?

- Oui, je vie ici.

- Aidez-nous.

- Que j'aide qui?

- Moi et ma femme.

- Et la rousse?

- Cette pute de gouine, faites-en, ce que vous voulez.

- Racontez-moi alors ce qu'elle fait avec vous.

L'homme me raconte toute l'histoire de la pauvresse, violée par des voleurs, puis par des pirates, pour finir violée par son bienfaiteur. Il ne sait pas que l'histoire de Marion, je la connais très bien.

- Votre femme, vous voulez vraiment que je l'aide?

Jean-Jacques paraît interloqué par ma question.

- Oui... Non... Pourquoi me demandez-vous cela?

- J'ai bien vu que ce que subit la rousse vous plaît. Je me dis que vous savez que votre femme subit la même chose. Je me dis que cela doit aussi vous plaire. Que vous aimeriez voir ce qu'elle vie, que vous aimeriez y participer.

Jean-Jacques semble perdu par mes paroles.

- Vous êtes marié depuis combien de temps?

- Trente ans. On est ensemble depuis trente-cinq ans. Elle avait dix-huit ans, elle était vierge.

- Votre vie sexuelle, elle vous satisfait?

Là encore il réfléchit.

- Oui... Non, c'est vrai. Depuis dix ans, c'est une fois par semaine.

Je passe au tutoiement

- Tu l'as enculée?

- Non, elle me l'a toujours refusé.

Jean-Jacques semble de plus en plus perdu. Moi je vois en lui une nouvelle option de m'enrichir. Une option à laquelle je n'ai jamais pensé auparavant.

- Tu aimerais testé son cul?

Jean-Jacques réfléchis, lui comme moi savons que si il accepte, cela sera fini de leurs mariage. Je vois que la décision est dure à prendre. Je lui sers un whisky. Il prend le verre en tremblant, le vide d'un trait. Je lui en ressert un autre.

Au bout de dix minutes, il me répond enfin.

- Oui, je veux bien.

- Tu comprends ce que cela veut dire?

- A peu prés, c'est la fin de mon mariage.

- Entre autres. Ta femme et la rousse vont rester des putes, des chiennes de pirates. Sur le cargo ou à terre. Toi je te prends sous ma protection.

- Pourquoi?

- J'ai des projets. Tu ne le sais pas encore, mais tu es un sadique, un violeur, un pirate dans l'âme. Ta conne de femme t'a frustré, elle a prit les commandes de ton vrai toi, je vais le libérer. Pour cela il faudra que tu vois ce que les deux subissent, que tu y participe. Quoique tu as bien commencer sur Marion.

Jean-Jacques réfléchis intensément. Puis un grand sourire surgit sur ses lèvres.

- Vous avez raison.

- Bien, alors allons voir ta femme. Après, on ira voir le docteur du bord. Tu as de la chance, les balles t'ont juste effleuré.

Avec Jean-Jacques on est retourné sur le pont. En plus du commandant du cargo et de se seconds, il y a une vingtaine de pirates, sûrement lassé de Sylvie. La rousse est violée en levrette par un pirates, tandis qu'un autre est enfoncé dans sa bouche, étouffant ses hurlements. On regarde le spectacle quelques secondes, puis on se dirige vers l'échelle menant à la cale, d'où de nouveau des hurlements sortent. Les pirates se poussent devant moi. Je suis un des grands-chefs, ils savent que je peux les faire exécuter sur un simple claquement de doigt.

Un homme est debout, pantalon sur les chevilles, il donne de violent coups de reins. On ne voit que les pieds et les jambes de Sylvie. On avance, elle est en l'air, soutenu par quatre pirates. Un homme lui défonce le vagin. En voyant l'état de sa femme, Jean-Jacques manque s'éjaculer dessus. Son visage et son corps sont marqués de coup. Son œil droit, violacé est complètement fermé. Ses seins son constellés de morsures, griffure et marque rondes de brûlure de clopes. Le sperme fait des croûtes dans ses cheveux, sur son visage. Son regard est hagard, terrorisé, dévasté. La honte s'y mêle quand elle voit son mari la regarder. Entre deux hurlements, elle supplie son mari.

- Jean-Jacques aide-moi!!! Par pitié, aide-moi!!!

L'homme accélère son viol, il gémit, il ne va pas tarder à jouir.

- Oui mon amour, je vais t'aider.

L'homme à envoyer son jus, le mélangeant à tout les spermes se trouvant dans le ventre de Sylvie. Il se retire, à force d'être violer le vagin de la chienne reste ouvert, tout comme son anus d'ailleurs. Du sperme coule de ses orifices, mélangés à du sang. Elle a des dizaines de déchirures vaginal et de fissures anal. Heureusement pour elle, sans gravité aucune. Cela est juste douloureux pour elle, très très douloureux même, mais hélas pour Sylvie, sans aucun risque pour sa vie.

Jean-Jacques la regarde en ouvrant de grands yeux. Un regard fou d'envie. Il se rend compte de tout ce que lui a fait vivre sa chienne de femme. Elle l'a castré, privé de tas de rapport sexuel, par fatigue, par mal à la tête, par manque d'envie. Lui était obligé de se branler pour se vider. Cela ne se reproduira plus. Je donne des ordres dans le dialecte des pirates, aucun ne remplace celui qui vient d'éjaculer. Ceux qui n'ont pas encore violer Sylvie remonte, ils vont se servir de Marion.

Jean-Jacques avance vers sa femme que les pirates tiennent toujours en l'air, jambes écartées. Il se glisse entre elles. Il bande comme jamais. De sa vie il n'a pas le souvenir d'avoir eut la bite aussi dure. Sylvie hurle en voyant son mari prêt à la sodomiser.

- Arrête Jean-Jacques, par pitié, ne fais pas ça!

Mais l'homme ne semble pas l'entendre. Il pose le gland de sa bite contre la rondelle ouverte de sa femme, et d'un coup s'enfonce en elle. Il la fait hurler en entreprenant immédiatement de la sodomiser sauvagement.

Marion, est en enfer. Victime une première d'un viol collectif, elle en est victime une seconde fois. Finalement la foudre peut frapper deux fois au même endroit. Au trois endroits même dans son cas précis. La jeune femme est empalée sur un homme couché sur le sol. Sa bite énorme lui distendant sa petite chatte. Un second est enfoncé dans ses entrailles, le chemin de ses reins, rendu encore plus étroit par l'engin plongé dans son ventre, lui fait souffrir le martyr. Alors Marion fais la seule chose qu'elle peut faire, elle hurle. Mais ses hurlements sont en grande partie absorbé par le braquemart qui lui viole la bouche, et la gorge par la même occasion. La jeune femme doit en outre branler deux engins énormes, un dans chaque main, deux engins que elle le sait, violeront ensuite ses orifices.

Après avoir longuement violé l'anus de sa femme, Jean-Jacques se vide en elle en hurlant de plaisir. Je m'approche de lui et lui tend une pilule. Il me regarde interrogatif.

- C'est une pilule sexe-dure, nouvelle composition, avec cela vous allez pouvoir profiter de votre femme à volonté pendant les huit prochaines heures.

- Juste une fois, je préfère jouer avec Marion ensuite.

- Je comprends, pas de souci.

Jean-Jacques avale la pilule, il rebande immédiatement. La nouvelle composition de la pilule permet un effet immédiat, avec une durée de huit heures. Contre trente minute d'attente et quatre heures d'effet pour l'ancienne version. Le tout pour un prix identique. Décidément les laboratoires Jonas se surpasseront toujours.

Cette fois Jean-Jacques s'allonge à même le sol. Il fait signe aux pirates qui tienne sa femme de l'empalée sur son sexe. Ce qu'ils font en riant. Il la plaque immédiatement contre son torse, les énormes seins torturés de la femme s'écrasant sur le torse de l'homme. D'un second signe, il désigne l'anus de Sylvie. Aussitôt un noir comprend. Il s'agenouille derrière elle, et l'empale directement. Forant un passage dans le fourreau rendu encore plus étroit par la bite de son conjoint dans son vagin. Sylvie cabre en hurlant à la mort, tant la douleur provenant de ses orifices est terrible, lancinante, violente. Au début il la viole maladroitement. S'enfonçant en même temps, se retirant en même temps. Au bout de quelques secondes, les deux sexe se synchronise. La femelle est alors violée en rythme.

Je remonte, les violeurs de Marion ne sont plus les même, mais déjà tout ses orifices sont occupés, tout comme ses mains. Ceux qu'elle a précédemment masturber, lui viole l'anus et la chatte. Je parle dans son dialecte au commandant du cargo. Je lui ordonne de descendre Marion, que les deux putains soient violées ensemble, l'un à côté de l'autre. Le bateau mouille près des côtes, en face de son village d'attache. C'est plus une petite ville qu'un village d'ailleurs. Un tiers des pirates proviennent d'ici. J'ordonne donc au commandant d'aller faire chercher le maximum d'hommes du village. Qu'ils viennent profiter des corps de ces deux superbes putains blanches. Il ne se fait pas prier. Je met mon zodiac à sa disposition, avec les quatre skiff du cargo, plus quatre autres laisser à terre, des pirates aux couilles les plus vidées, iront chercher de nouveau mâle. Pendant trois jours et cinq nuits, les petits bateaux feront d'incessant aller-retour, transportant plus de trois milles hommes, que les femelles subiront, tous, plusieurs fois.

Tandis que Marion est transportée en bas, je sors mon téléphone-satellite, je compose un numéro. Une voix de femme me répond.

- Allô?

- J'ai retrouvé votre colis.

- Parfait, j'aurais dut faire appel à vous dès le début.

- J'ai récupéré aussi la clé USB de la petite putain.

- Bien, le film qu'elle a fait d'elle et moi au lit y est?

- Il y étais, j'ai tout fais brûler. Il ne reste plus rien de son sac, ses clés d'appartement, ni de sa clé USB.

- Parfait, j'aurais vraiment dut faire appel à vous dés le début. Les cent mille euros sont sur votre compte aux Îles Caïmans.

- Bien. C'est un plaisir de faire affaire avec vous.

- Et elle?

- Les premiers l'ont violée. J'ai retrouvé sa piste, grâce au signalement de ses bienfaiteurs et de leur bateau. Avec mes guetteurs cela à été facile de les retrouver. Une attaque de pirates, et hop, votre Marion se fait violer non-stop depuis une douzaine d'heures, comme sa bienfaitrice d'ailleurs.

- Parfait, je vous offre cinquante mille de plus, si on ne retrouve ni l'une, ni l'autre.

- Vous voulez que je les tues?

- Pas forcément, je préfère que Marion paie le plus longtemps possible. Passez lui le bonjour de ma part. Mais faites-en ce que vous voulez, je ne veux plus en entendre parler. Ni de Marion, ni de sa bienfaitrice, si elle s'en sort elle pourrait raconter l'histoire de sa petite putain de protégée.

- Bien madame, tout sera fait selon vos ordres.

- Parfait. Je n'en doutes pas Jean. L'argent part dès que j'ai raccrochée.

- Bien cher maître. Et en cas de besoin, n'hésitez pas, mes services sont ouvert.

J'ai raccroché. L'avocate qui avait abandonnée Marion, avait reçu quelques heures après, un coup de fil de la jeune fille. Cette dernière lui demandée deux millions d'euros, où elle divulguerait une vidéo de quelques unes de leurs nuits amoureuse. Mariée et mère de famille, un scandale aurait éclatée, si on avait sut que cette avocate renommée, défendant souvent les valeurs chrétienne, était une lesbienne. Sans parler de la centaine de ses clients, demandant une discrétion absolue, qui l'auraient quittée. L'avocate ne pouvait vivre cela. Elle avait payé un caïd local pour s'occuper de Marion et récupérer la clé USB où se trouvait la vidéo. Au lieu de cela, ils avaient violée la jeune fille et pris tout ses biens, sauf la clé USB. L'avocate m'avait engagé pour la retrouver. Travaillant avec les pirates, j'avais des guetteurs dans chaque port. Les retrouver dans le premier port avec une ambassade Française fut un jeu d'enfant. L'équipage que j'ai affrété n'a plus eut qu'à prendre d'assaut le petit voilier loin des mers surveillé par les forces armées de plusieurs pays. Un jeu d'enfant, surtout que renseignements pris, je savais que personne ne rechercherait l'un des trois. Une vraie partie de plaisir. La suite vous la connaissez.

Quand je descend en bas, Jean-Jacques est passé à Marion, qu'il sodomise seul, tandis que c'est l'hallali pour Sylvie, les bites se succèdent à une vitesse hallucinante dans ses orifices. Je regarde Jean-Jacques :

- Quand tu as fini rejoins-moi dans la cabine du commandant, il faut que l'on parle.

Il me regarde aux anges :

- J'éjacule en elle, je me rhabille et j'arrive.

Je suis monté, j'ai rejoins la cabine. Moins de dix minutes plus tard, Jean-Jacques frappe à la porte.

- Entre.

Il pénètre dans la pièce, il est tout sourire.

- Merci, merci pour tout.

- De rien, mais rien n'est gratuit.

Jean-Jacques se renfrogne un peu. Je souris.

- Ne t'en fais pas, cela va te plaire.

- Ah?

- Voilà, comme tu l'as remarqué, le vrai chef de ces pirates, c'est moi. C'est moi qui paient tout, et c'est moi qui empoche la vente de tout ça. Si le gros du fric provient bien d'attaque de bateau de marchandises, de pétroliers et autres, ce n'est pas tout.

- Ah bon?

- Oui, on fait aussi des attaques ciblé et du piratage de voilier ou autre bateau de plaisance, excepté ceux de croisière.