Pirates!

BÊTA PUBLIQUE

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Oui elle a été très imprudente c'est vrai mais il ne faut pas mal la juger. Moi à sa place, j'aurai peut-être fait la même erreur qu'elle.

- Alors on fait quoi?? avait répondu Jean-Jacques passablement énervé. Elle veux pas aller à la police locale oui d'accord mais on fait quoi??

Sylvie lui avait donc dit "- Qu'elle avait pensée la garder sur le bateau le temps de la soigner et qu'ensuite ils lui proposeraient de l'emmener à la prochaine ville ayant une ambassade française pour tout expliquer et pour la faire rapatrier... Qu'elle en avait un peu parler Marion et elle et que cela semblait être la meilleure solution"...

- Comme tu veux chérie lui avait répondu Jean-Jacques blasé. - Comme tu veux c'est toi qui décide... Mais une gouine sur le bateau ça promet....

- Tu es trop con!!!! Je vais me coucher lui avait répondu sèchement Sylvie

Jean-Jacques était resté toute la nuit sur le pont du voiler, à faire le guet et à épier le moindre bruit suspect.

La nuit avait été calme, rien ne s'était passé. Dès que le jours s'était levé, Jean-Jacques avait remonté l'ancre. Il avait hissé les voiles et le bateau avait rejoint la pleine mer, loin de cet endroit inhospitalier, malsain et surtout dangereux...

Sylvie lui avait monté le café. Ils avaient fait la paix.

Ils avaient rediscutés plus calmement sans s'énerver et sans se disputer... C'était d'accord, ils amèneraient donc Marion à la prochaine ville ayant une ambassade française.

Puis Sylvie avait un remplacé son mari qui était allé se reposer un peu après sa nuit sur le pont à faire le guet...

Lorsque Jean-Jacques revenu, elle était redescendue pour aller voir Marion.

Marion dormait toujours. La fatigue certainement, mais aussi l'effet des calmants...

Sylvie avait œuvré à ses occupations quotidiennes en faisant attention de ne pas faire trop de bruit afin de ne pas la réveiller.

Marion avait tellement dormi qu'elle avait presque faite le tour du cadran. Puis elle avait fini par enfin se réveiller.

Sylvie était allée la voir. Elle lui avait fait un thé bien chaud. Elle l'avait réconfortée et rassurée une fois de plus encore.

Puis comme la veille, Sylvie lui avait à nouveau passé des crèmes et des pommades apaisantes sur tout son corps, en particulier sur les marques de coups, des griffures et des morsures.

Très délicatement encore elle lui avait refaite sa toilette intime.

Marion sentait bien la moiteur et la douceur de la peau de la quinquagénaire, mais aussi sa gêne, son regard fuyant.

La femme était troublée, aucun doute possible. Marion aurait été flattée de faire autant d'effet à une femme aussi classe, si elle ne venait pas de se faire atrocement violée par ces monstres.

Dire que jusque à eux, aucun sexe humain, ni même de plastique n'était rentré en elle.

Malgré ça, la jeune femme sentait que la quinqua, avait quelques part des penchants lesbiens, peut-être même était elle une homo refoulée?

La fille se laissait faire très docilement. Les mains de Sylvie étaient douces et apaisantes. Mais surtout, a ce moment précis, Marion avait besoin d'amour, de réconfort, que l'on s'occupe d'elle.

La jeune femme malgré son envie de hurler à Sylvie de la laisser tranquille, de lui dire que plus jamais elle ne voudrais de sexe, même avec une femme, avait choisie de se laisser faire.

La jeune femme, savait que si elle cédait à sa colère, Sylvie la laisserait, qu'elle ne la réconforterait plus, pire, peut-être même que la femme la laisserait au prochain port.

Marion en avait tant besoin qu'elle la laissa faire.

Sylvie lui avait également refait une piqûre d'antibiotiques.

Par contre elle ne lui avait pas administré de cachet, ni de calmant pour la faire dormir.

Pendant deux jours Sylvie avait joué le rôle d'infirmière, mais également de psy.

Pendant tout ce temps Marion ne s'était pratiquement pas levée. Elle n'était même pas montée sur le pont du voilier pour prendre l'air.

Entre Sylvie et Marion, une complicité et une tendresse toute féminine semblait s'être liée. Elles semblaient très attachées l'une à l'autre. Mais pas pour les mêmes raisons.

Marion voyait plus une mère en Sylvie. Une mère qui la réconfortait, l'aidait à sortir de l'enfer mental et physique qu'elle vivait, qu'elle endurait.

Sylvie voyait en Marion, une éventuelle future amante, qui lui ferait connaître les joies de l'amour entre femmes, mais sans se l'avouer.

Son psyché n'étant pas encore prêt à ça. Sylvie mettait ses actes envers Marion sur le dos de sa compassion, de son empathie.

Jean-Jacques râlait et bougonnait un peu mais pas méchamment.

Un jour, pendant que Sylvie était en train la de masser avec des pommades et des crèmes apaisantes et cicatrisantes, Marion qui avait une superbe vue plongeante sur la grosse poitrine de Sylvie tout prêt de son visage, elle avait délicatement touché un sein de Sylvie, sans faire exprès, par accident.

Sylvie était vêtue d'un grand tee-shirt assez échancré, elle avait pris ça pour une invitation. Y cédant momentanément, elle avait légèrement caressée la vulve de Marion, lui avait touchée délicatement les seins, presque des effleurements.

Avant de retrouver ses esprits, de reprendre des caresses purement thérapeutiques. Priant pour que la délicieuse Marion ne ce soit rendu compte de rien.

Malgré sa surprise, cet effleurement, ce frôlement n'avait pas été désagréable, Marion n'avait rien dit. Elle n'avait pas protestée. Avec beaucoup de temps, énormément de patience, peut-être qu'un jour, elle deviendrait même amantes?

Cela s'était reproduit une fois ou deux, sans que Marion ne dise rien. Ce petit jeu, même si elle n'était pas prête à aller plus loin, plaisait à la jeune femme. Quand il ne se passait rien, ça lui manquait, elle était frustrée. Mais au fond d'elle même, Marion savait qu'elle ne supporterait pas pour l'instant que cela aille plus loin.

Au bout de trois nouveaux jours, Marion était enfin montée sur le pont du voilier.

C'était vraiment une belle fille, une belle jeune femme, très attirante et très séduisante.

Sylvie lui avait prêté des vêtements. Marion avait soit un tee-shirt ou un maillot deux pièces trop grand pour elle, ce qui faisait que son anatomie n'était pas beaucoup cachée.

Elle avait la peau un peu bronzée, avec les marques d'un maillot deux pièces, avec sa peau de rousse, presque un peu rouge, avec une peau laiteuse, très blanche aux endroits où le maillot deux pièces est assez sage et empêche le soleil de frapper et de trop la brûler.

Marion ne quittait pas Sylvie un seul instant. Elle la suivait pas à pas.

La présence de Jean-Jacques semblait la gêner et l'embarrasser et même semblait-il l'importuner.

Elle évitait le regard de Jean-Jacques, de lui adresser la parole....

Une seule fois alors qu'ils étaient tous les trois en train de manger sur le pont du voilier elle s'était adressé à lui et la jeune femme lui avait dit tout simplement " - Merci pour tout ce que vous faites pour moi"...

Jean-Jacques avait tout simplement répondu "- De rien c'est normal".

Il avait commencé ajouter "- Que tout de même elle avait été bien imprudente...".

Mais Sylvie lui avait jeté un regard plein de reproches et il n'avait plus rien dit.

La vie s'était organisée à trois sur le voilier... Sylvie et Marion ne se quittaient pas.

Jean-Jacques s'était rendu compte du trouble que semblait éprouver sa femme. Souvent il les espionnait par les hublots du bateau.

Dans ses fantasmes les plus fous il les imaginait se gouinant toutes les deux et lui les surprenant, se joignant à elles, tandis que toutes les deux s'occupait de lui et lui s'occupait d'elles.

Mais cela allait-il se réaliser????

Marion la rebelle, la révoltée, l'insoumise et Sylvie la bourgeoise mariée, gentille, docile de caractère même, s'attiraient mutuellement et se complétaient...

Une fois Marion que étaient en train de préparer le repas, Sylvie était arrivée doucement derrière elle et l'avait embrassée dans le cou tout en lui caressant les seins à travers le tissu du paréo qu'elle portait. Marion s'était juste un peu raidit, mais elle avait laissé Sylvie faire.

Là encore Sylvie avait ressenti beaucoup de troubles et d'émotions, de sentiments inavouables. Mais cela n'avait pas été plus loin entre Marion et elle.

Une fois de plus la quinqua était revenu à la raison, bredouillant un « J'espère que ça te remonteras un peu le moral. », qu'elle voulut le plus convaincant possible.

Elle était ensuite remontée sur le pont, laissant une Marion immobile, tiraillée entre l'envie de céder à sa bienfaitrice, pour la remercier, parce que elle lui plaisait, mais aussi le dégoût profond qu'elle ressentait encore pour le sexe.

Il n'y aurait pas eut le mari, une relation platonique aurait put être envisageable, mais là impossible.

Ce matin là, lorsque Sylvie et Marion étaient montées prendre leur petit déjeuner sur le pont du voilier elles avaient trouvé Jean-Jacques préoccupé et soucieux....

Lui habituellement gai et joyeux, il semblait contrarié et tracassé, anxieux même...

Les deux femmes l'avaient questionné et il avait fini par avouer "Qu'il s'était rendu compte sur le radar de bord mais aussi aux jumelles qu'un bateau, genre gros cargo les suivait depuis quelques heures...

Il leur avait brièvement expliqué la situation. "Toutes les fois qu'il avait changé de route, le cargo en avait changé lui aussi. Toutes les fois qu'il s'arrêtait, le cargo s'arrêtait aussi, pour repartir aussitôt qu'il repartait......"

- Des Pirates?? avait questionnée Marion.

- Non je ne pense pas, avait il dit d'un air se voulant rassurant pour les deux femmes... Non je suis bien trop loin de leur zones habituelles. J'ai fait exprès de faire un grand détour pour éviter leurs zones.

Il se voulait rassurant ne voulant pas en rajouter devant la panique des deux femmes, mais il n'était pas très rassuré lui non plus...

Il savait que cela pouvait arriver que les pirates pour tromper les surveillances des marines de guerres chargés de protéger les navires agissent plus loin que leurs zones d'attaques habituelles...

De plus les marine de guerre protégeaient surtout les gros navires de commerces, porte-conteneurs et pétroliers...

Mais qui pour se soucier d'un simple petit voilier de particuliers??....

Sylvie et Marion semblaient affolées et terrorisées.

- Que faut il faire s'ils nous attaques?? - Faut il résister ou pas?? - Que vont ils nous faire?? avait bêtement, naïvement et surtout stupidement demandé Sylvie...

Jean-Jacques lui avait jeté en regard pleins de reproches qui semblait dire " - Grosse conne que crois tu qu'ils vont te faire??".

Marion elle ne disait rien. Mais à sa tête on voyait qu'avait parfaitement compris ce qui allait leur arriver si les pirates réussissaient à monter à bord du voilier....

Et avec ce qu'elle avait déjà subie peu de temps auparavant, elle était terrorisée et terrifiée...

Jean-Jacques avait ordonné aux deux femmes " -De ne pas rester sur le pont du voilier et de se cacher et surtout de s'habiller d'avantage que ce qu'elles étaient...".

Si les mecs avaient des jumelles, et il était certains qu'ils en avaient, ce n'étaient pas la peine qu'ils voient qu'il y avait deux femmes à bord...

Mais lucide et réaliste, Jean-Jacques se doutait bien que les mecs du cargo savaient déjà pas mal de chose sur eux. Depuis le temps qu'ils les suivaient ils avaient largement eu le temps de les espionner...

Puis Jean-Jacques s'était mis à gueuler et à crier contre les deux femmes. En effet, celles-ci n'avaient pas bougées et elles étaient encore sur le pont du voilier.

Elles semblaient comme paralyser, comme si leurs jambes ne les supportaient pas, comme si leur cerveau ne commandait plus leurs mouvements. Surtout Sylvie...

- Mais aller vous cacher merde. Cachez vous bien et surtout habillez vous correctement...

En effet les deux femmes étaient presque nues. Elles étaient en maillot deux pièces. Mais celui de Marion, trop grand pour elle puisque elle portait les vêtements de Sylvie, baillait et ne cachait pas grand chose de son anatomie et de ses charmes...

Quant à Sylvie qui était déjà très plantureuse et très pulpeuse, les mois de navigation, la vie oisive, désœuvrée, paresseuse même par rapport à sa vie très active d'avant, avait fait qu'elle avait encore, semble t-il un peu forci. Elle semblait s'être un peu épaissie, elle s'était un peu empâtée au niveau des hanches, mais aussi du ventre, des cuisses et surtout au niveau de ses seins...

Le haut de son maillot deux pièces avait de la peine à contenir ses énormes mamelles. Ses gros seins laiteux semblaient prêt à sortit et à jaillir du haut de son maillot deux pièces au moindre de ses mouvements...

C'est sur "Elle a gagné au moins un tour de poitrine et une grandeur de bonnet" se disait Jean-Jacques à qui cela ne déplaisait pas bien au contraire...

Les deux femmes avaient enfin obéies à Jean-Jacques.

Mais où bien se cacher sur un petit voilier, dans un espace aussi petit, aussi exigu?

Et comment s'habiller plus correctement lorsqu'on est depuis aussi longtemps sur un bateau, et que l'on est en permanence soit en maillot, soit en short ou en tee-shirt et que l'on a emporté que le strict minimum, un ou deux pulls et en k-way?

Pour Marion le problème ne se posait pas puisque elle n'avait plus de vêtements. Elle n'avait que les maillots et tee-shirt de Sylvie mais qui étaient trop grand pour elle.

Écoutant les conseils de Jean-Jacques elles s'étaient donc habillées plus correctement. Elles avaient mis un tee-shirt sur leurs maillots deux pièces, c'est dire ...

Puis elles s'étaient cachées, sous des matelas mousses derrières les couchettes du bateau.

Elles étaient toutes les deux serrées l'une contre l'autre. Sylvie avait pris dans Marion ses bras d'une manière toute protectrice et défenderesse...

Soudain, quatre points étaient apparus à l'horizon. Ils avançaient à une vitesse ahurissante, coupant les vagues, semblant fendre la mer.

Elles étaient encore trop loin et même à la jumelle Jean-Jacques ne distinguait pas grand chose.

Mais les embarcations étaient très rapides et surtout leurs moteurs très puissants. Elles se rapprochaient rapidement. Elles devenaient plus visibles.

A la jumelle Jean-Jacques les observait attentivement. C'était des skiffs. Dés barques longues, étroites et très rapides.

A bord de chacune d'elles une dizaine de pirates somaliens, tous très jeunes, secs, musclés, torses nus, en short et en pagne.

Ils étaient armés de kalachnikov et d'un engin que Jean-Jacques avait identifié comme un genre de lance-grenades.

IL avait lu que souvent les pirates en utilisaient pour obliger les navires à stopper...

Il avait aussi que chacune des ces barques étaient équipées de deux puissants moteurs. Il avait aussi remarque que dans chacune des barques il y avait des échelles métalliques dont les supérieurs étaient en forme de U et qui étaient destinées à monter sur les navires.

Que faire? Jean-Jacques était décidé de jouer le tout pour le tout. Il avait lu sur le net, mais aussi dans des livres, que parfois il ne fallait pas grand chose pour décourager les pirates et qu'il fallait leur montrer la force pour qu'ils abandonnent.

Enfin c'est ce que disaient certains...

Certains par contre disait le contraire "- Qu'il ne fallait pas résister, que les pirates voulaient juste enlever les gens contre rançon et qu'ils ne voulaient prendre que des choses de valeur, le bateau et qu'ils obéissaient aux ordres de commanditaires qui voulaient surtout récupérer des navires à fortes valeurs marchande comme par exemple des gros navires de commerces, porte-conteneurs et pétroliers...".

Pour des riches commanditaires son simple petit voilier ne représentait aucun intérêt.

Pour parer à toute éventualité, mais aussi pour sa simple information, avant leur départ, Jean-Jacques avait beaucoup étudié et lu tout ce qui concernait la piraterie moderne au large des côtes Africaines.

Il se remémorait tout ce qu'il avait appris :

Le commanditaire: Tête pensante de la piraterie, il ne va pas en mer mais gère habilement la logistique. Il importe les armes, corrompt les forces gouvernementales s'il le faut, blanchit l'argent et s'assure de la fidélité absolue de ses hommes. C'est également lui qui trouve des informateurs dans les ports de la région et qui recrute les gardes chargés de surveiller les navires détournés.

Quant il est fortuné, il roule en 4x4 rutilant et il vit dans de somptueuses villas à l'écart des camps où vivent les "simples" pirates.

Le simple pirate: Mi-pêcheur mi-mercenaire. Il s'enfonce à des milles de la côte sur un simple skiff de bois, sans toujours savoir nager. Souvent en mauvaise santé. Il absorbe quotidiennement du Khat, la drogue locale anorexigène. Il a rarement, voire jamais, reçu de soins médicaux. Il est souvent très jeune. Mais la notion d'âge n'a pas beaucoup de valeur dans ces pays.

Il peut être forcé à pirater : les commanditaires menacent souvent les familles de ces hommes.

Généralement, son sentiment d'appartenance à un clan est bien plus fort que l'attachement à sa propre vie. Son torse est d'ailleurs souvent scarifié pendant son plus jeune âge. Ces brûlures boursouflées, parfois faites à la cigarette et dessinées de manière plus ou moins symétrique, marquent son appartenance au clan.

Armement :La kalachnikov - ou copie de "kalach" - au lance-roquettes, l'équipement du pirate somalien est sommaire.

Ces armes, très rapidement rouillées par le sel de mer, faute d'entretien sérieux, sont très instables et parfois des rafales partent toutes seules

Embarcation : Le pirate embarque dans un skiff, petit rafiot de bois utilisé par les pêcheurs de la région. Un moyen de ne pas se faire repérer. Petites et légères, ces embarcations sont quasi-indétectables au radar.

Pour passer encore plus inaperçue, la coque est généralement repeinte d'un bleu proche de la couleur de l'océan.

Pour se déplacer, les pirates reproduisent la technique ancestrale du boutre ou dhow. Un bateau principal, une navire mère, très souvent un vieux bateau volé accompagne des skiffs, plus petits, pour les ravitailler en essence et en armes, de telle sorte qu'ils peuvent parcourir de plus grandes distances et attaquer très loin des côtes.

En dehors des attaques, les pirates vivent tous entassé à bord du navire-mère le Mothership

À bord de leur embarcations , les pirates ont toujours une échelle en U à sept ou huit barreaux , outil indispensable pour accoster et monter sur le navire attaqué.

Le montant des gains : Les pirates raflent tout se qui se trouve à bord des bâtiments attaqués. Téléphones portables, montres, vêtements, argent. Mais ces larcins ne représentent rien à côté des sommes obtenues grâce aux rançons versées sur des comptes, souvent ouverts par les riches commanditaires dans des paradis fiscaux.

La répartition des gains : C'est bien entendu le commanditaire qui touche la plus grosse part. Ensuite, l'argent est partagé entre les différents pirates, chefs d'abord et ensuite la autres...

Partage du butin : Les pirates se partagent le butin trouvé sur le navire.

Parfois, pour motiver ses hommes, lorsque le butin est trop modeste et le contenu du bateau sans grande valeur, le commanditaire ne prend rien et laisse la part aux pirates...

A la jumelle il distinguait maintenant mieux les rapides embarcations couleur bleu proche de la couleur de l'océan qui se dirigeaient sur lui. Il avait remarqué aussi plusieurs gros bidons en plastic à l'arrière qui alimentaient directement les puissants moteurs.

Plus aucun doute possible c'était bien des pirates.

Il s'était dit que s'il parvenait à toucher un de ces bidons rempli d'essence, le feu se communiquerait aux autres bidons, que tout exploserait, que cela fera diversion et surtout que cela découragerait peut-être les pirates.