Pirates!

BÊTA PUBLIQUE

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Jean-Jacques avait répondu en désignant Sylvie " Elle s'est ma femme my wife!! L'autre c'est pas ma fille!! Trouvée dans un port passagère française comme nous" . No it is the foreigner whom we have receuille "

L'autre répétait sans trop comprendre " AH FEMME FILLE!!! FEMME FILLE!!!!!!

Sylvie avait voulu intervenir et elle avait tenté d'expliquer "Qu'elle était sa femme et que l'autre femme n'était pas sa fille".

Mais cela lui avait valu une violente paire de baffes "Silence sale chienne!!! shut up bitch!!!".

Fort de sa culture machiste il ne voulait qu'une femme lui adresse la parole mais uniquement parler avec un homme...

Sans se soucier des baffes qu'elle avait reçue, Sylvie continuait à s'adresser à l'homme : "-Soignez mon mari!!! - vous voyez bien qu'il est blessé!!! - Soignez le on vous donnera de l'argent!!! - Soignez le ou vous aurez en répondre devant la justice!!!".

Ce qui lui avait valu d'autres gifles.

Sylvie n'avait vraiment pas comprise que dans la culture de ces hommes, les femmes n'avaient qu'un seul droit, celui "de fermer leur gueule!!!".

Jean-Jacques lui faisait signe de se taire.

Marion elle aussi lui disait doucement " Mais tais toi, ferme la, merde!!!".

Marion qui avait pourtant un caractère très rebelle, révolté et insoumise ne disait rien. Elle avait la tête baissée et surtout elle essayait de se faire oublier le plus possible, de se faire la plus petite possible.

Sylvie, qui pourtant n'était pas idiote, puis qu'elle était ingénieure, semblait ne pas trop comprendre la situation dans laquelle ils se trouvaient, où elle se trouvait...

Elle parlait de "donner de l'argent", de "compte à rendre devant a justice...".

Elle paraissait hébétée, étonnée, ahurie même... Elle semblait ne pas se rendre compte.

Au lieu de se faire oublier comme Marion, elle s'agitait et elle remuait beaucoup

Elle bougeait sans arrêt. Elle regardait de façon curieuse autour d'elle. Bref elle ne faisait rien pour se faire oublier.

Il y avait ensuite eu une longue conversation entre le capitaine du cargo et trois autres gars qui semblaient être ses seconds.

Discussion très animée. Jean-Jacques essayait de comprendre mais il ne comprenait rien, car les quatre hommes parlaient dans leur dialecte.

Ce que Jean-Jacques comprenait très bien par contre, c'est qu'ils étaient le principal sujet de cette conversation, car en parlant, les quatre les regardaient très souvent.

Le capitaine parlait et les trois autres acquiesçaient et approuvaient en faisant "Oui" de la tête, en hochant la tête.

Ce qui était pas très rassurant non plus c'est que les trois hommes les regardaient en riant à mesure que leur chef leur parlait ...

Puis le commandant du cargo avait longtemps parlé à sa radio et ensuite avec un portable.

Comme l'homme parlait avec respect et politesse, Jean-Jacques avait compris qu'il devait parler avec son supérieur, très certainement son commanditaire et qu'il lui rendait compte.

Jean-Jacques n'entendait pas tout et ne comprenait pas tout. Mais le peu qu'il entendait le surprenait et surtout l'inquiétait beaucoup.

"NO SIR - I'am sorry, verry sorry Sir - Bad pièce of information - Be say feel sorry - NO No YES YES AMERICAN - NO no small sailboat. little sailboat. Not only a single killed man hanging the attack"

"NON Monsieur - Je suis désolé vraiment désolé Monsieur - Mauvais renseignements - Un tout petit voilier - Oui oui un Américain - Non seulement un seul homme tué pendant l'attaque - Il s'est défendu - Il nous a tiré dessus - Non le petit voilier a rapidement coulé - Non rien n'a pu être récupéré - Désolé Monsieur "

Voila ce que Jean-Jacques pouvait entendre et comprendre.

L'homme mentait à son commanditaire. Il prenait un risque énorme et il jouait un jeu très dangereux de mentir ainsi.

Mais il mentait intelligemment puisqu'il avait acheté le silence de ses seconds et qu'il mentait avec leurs complicités et avec leurs accords.

Le reste des pirates eux n'avaient rien à dire. Ils n'avaient qu'à obéir aux ordres...

Ses seconds étaient les seuls à pouvoir le dénoncer. Mais ils semblaient en total accord avec lui.

Eux aussi risquaient gros. Que leur avait il dit? Que leur avait il promis pour qu'ils osent prendre de tels risques??

A mesure que le chef parlait à son commanditaire, Jean-Jacques qui avait espéré qu'ils seraient amenés à terre et échanger contre une rançon, que si même leurs conditions de détentions seraient dures et pénibles, surtout pour les deux femmes ..., Jean-Jacques comprenait de plus en plus...

Il comprenait surtout qu'il n'y aurait plus aucune trace d'eux puisque le capitaine avait donné des fausses informations à son commanditaire. Il comprenait aussi qu'ils ne représentaient rien pour ces hommes et qu'à leurs yeux ils étaient de la simple marchandise.

Il avait eu confirmation lorsque après avoir raccroché avec son commanditaire, le commandant du cargo s'était adressé à ses seconds mais aussi l'ensemble des hommes présents sur le pont.

" -The booty is has we!!! - All that there is on the boat is for us!!!".

" - Le butin est à nous!!! Tout ce qu'il y avait sur le voilier est à nous!!!".

Le sang de Jean-Jacques s'était glacé. Il comprenait ce qui allait arriver...

Marion elle aussi semblait avoir compris. Elle avait regardé Jean-Jacques sans rien dire, mais son regard était terrifié et épouvanté ...

Sylvie, elle, semblait au contraire comme étrangère et ne semblait pas concerner ni se rendre compte de ce qui allait se passer.

Les paroles du capitaine avaient aussitôt déclenché une très grande joie, une véritable allégresse, un énorme emballement.

Les mecs criaient d'excitation. Ils jubilaient. Des débordements s'étaient produits.

Certains, ivres de joie mais aussi complètement drogués, tiraient des rafales de kalachnikov en l'air. Les autres mecs qui étaient des les cales du navire était vite remontés sur le pont lorsqu'ils avaient entendus les coups de feux. Ils avaient crus à une attaque. Mais les autres leurs avaient expliqué ce qui se passait.

Et ils avaient aussitôt mêlé leur joie et leur excitation avec celle des autres...

C'est à ce moment là que Sylvie avait parue réaliser ce qui se passait, la situation dans laquelle elle était, et la suite des événements qui allait suivre.

Elle avait regardé son mari sans rien dire et son regard était terrorisé. Puis le commandant du cargo avait dit quelque chose et aussitôt, les deux femmes avaient été brutalement levées, tirées et amenées près du capitaine et au milieu de l'assistance.

Elles étaient, l'une à côté de l'autre, solidement maintenues.

Le capitaine du cargo tournait autour elles comme des mouches tournent autour d'un pot de confiture...

Il les examinaient comme un maquignon examine un animal avant de l'acheter.

Il les touchaient et il les palpaient à travers leurs vêtements. Il évaluait et il jaugeait la poitrine, les fesses, les cuisses, le ventre.

Mais alors qu'il faisait face à Marion et qu'il était en train de lui toucher les seins à travers le tee-shirt, Marion la révoltée, la rebelle, l'insoumise lui avait décroché un coup de genou au bas ventre.

Pour ne pas perdre la face et son autorité, l'homme n'avait pas montré qu'il avait eu mal. Il lui avait foutu une violente paire de baffes et la tête de Marion avait fait un violent gauche/droite.

Mais Marion encore plus folle, lui avait craché à la figure.

Cela avait déclenché la féroce colère de l'homme. Il avait décroché un violent coup de poing dans le ventre de la fille.

Marion s'était pliée en deux, le souffle coupé par la violence du coup.

Le chef avait dit quelque chose et plusieurs de ses hommes étaient venu prêter main forte à ceux qui tenaient déjà Marion.

Ils avaient un peu écarté Marion de Sylvie. En plus de ceux qui lui tenaient les bras et les épaules, d'autres l'avaient maintenue par les chevilles et ils lui avaient écartées les jambes.

Le chef lui avait encore donné une violente paire de baffes.

" - Dirty whore!!!! Dirty whore I'm going to train you!!!! Sale pute!!!! - Sale pute je vais te dresser!!!!!".

Puis il avait sorti un gros couteau de sa ceinture. D'une main il avait tiré le tee-shirt par l'échancrure du col et de l'autre main avec le couteau il avait tranché en une seule fois tous le devant du tee-shirt.

Puis toujours avec le couteau il avait lacéré et réduit en lambeaux le tee-shirt.

Marion était apparue en petit maillot deux pièces devant l'assistance. Mais le petit maillot qui était trop grand pour elle, car c'était un des maillots de Sylvie baillait et laisser vois sa petite poitrine. De plus Marion qui avait été beaucoup bousculée depuis son enlèvement sur le voilier, le voyage en barque, la montée à l'échelle autres....et le petit maillot était bien en désordre.

Les mecs devenaient de plus en plus énervés et excités.

Puis il avait tranché le fin tissu du haut du maillot entre les seins, ensuite les bretelles et la petite poitrine de Marion était apparue aux yeux de tous.

Il avait ensuite tranché la petite culotte du maillot.

Marion était maintenant entièrement nue devant toute l'assistance.

Une belle jeune femme comme elle, une véritable rousse, les cheveux longs, toute menue, avec un air fragile et frêle...

Les mecs étaient de plus en plus excités. Ça braillait, ça criait, ça gueulait. Les mecs étaient comme des fous.

Une peau très claire, une peau de véritable rousse, bien blanche et constellée de tâches de rousseur... Un joli petit cul bombé avec une superbe chute de reins.

Des petits seins bien ronds, avec de petites aréoles roses, à peine plus foncée que sa peau...

Les mecs n'avaient jamais vu ça...

L'autre avait rangé son couteau et il la tripotait avidement. Il pétrissait les petits seins bien ronds. Il pinçait les mamelons. Il claquait la peau bien blanche. Il palpait et il malaxait le joli petit cul bombé.

Il n'arrêtait pas de répéter : " Slutty!!! Slut!!! Scrubber!!! Bitch!!! Salope!!!! Chienne!!! Pute!!! Traînée!!!! Je vais te dresser moi!!!!!

Il criait " - Small breasts!! - Petits seins!! - Small tits!! - Petits nichons!!"

Jean-Jacques qui détestait Marion s'était dit que cette conne allait se faire violer...

Oui il haïssait Marion. Au tout début non, il l'aimait bien. Il avait même vu en elle une occasion d'avoir une aventure sexuelle avec elle. Plus tard, lorsqu'il avait su qu'elle était lesbienne, dans ses rêves et dans ses fantasmes les plus fous il les imaginait se gouinant toutes les deux et lui les surprenant, se joignant à elles, tandis que toutes les deux s'occupait de lui et lui s'occupait d'elles.

Il avait même prévu un petit repas bien arrosé sur le voilier, prévu de faire boire les deux femmes pour ensuite profiter d'elles.

Mais au fil des jours, le comportement de Marion avait fait qu'il avait renoncé à ce projet. IL en avait conclu que Marion était lesbienne à 100 % et que jamais il ne pourrait faire cela.

Bien qu'il ne l'avait pas fait voir, Jean-Jacques était aussi très en colère du comportement de sa femme vis à vis de cette fille.

Il se rendait compte que sa femme était en train de lui échapper...

Tout cela expliquait la haine de Jean-Jacques envers Marion.

De plus il tenait Marion pour responsable de tout ce qui était arrivé...

Depuis que cette connasse de gouine était sur le bateau tout avait mal marché.

D'abord, comme il y avait un problème sur le voilier et qu'en plus la météo avait annoncé du très mauvais temps, ils comptaient rester plusieurs jours à l'escale où ils avaient trouvé Marion.

A cause de Marion, il avait fallu partir tout de suite. Ils avaient donc affronté durement la tempête. Le voiler qui était déjà endommagé avait encore plus souffert.

Ils avaient donc été obligé se s'arrêter pour réparer à un endroit non prévu. Ce qui les avait retardés.

Comme ils fallait à tout prix conduire Marion dans une grande ville ayant une ambassade française, ils avaient été obligé de changer encore de route et de faire un détour.

Puis comme Marion n'était toujours pas prête à être débarquée, Sylvie avait exigeait "Qu'on la garderait encore un peu plus avec eux et qu'ils la laisserait plus loin"...

Ce qui avait encore obligé à changer de cap et à prendre du retard sur l'itinéraire prévu...

De ce fait ils avaient dû être repérés et dénoncés aux pirates du coin, puisqu'ils avaient été attaqués.

Et voila où ils en étaient maintenant à cause de cette petite conne... Elle était responsable de tout...

Alors était-ce la fièvre ou la haine, toujours est t-il que Jean-Jacques, sans doute aussi dans l'espoir de sauver sa femme avait calculé que si les mecs violaient Marion ils laisseraient Sylvie tranquille...

Il savait que Marion allait se faire violer. Alors il tenta le tout pour le tout.

Il s'était mis à crier en désignant Marion :

"- This girl is a lesbian!!!! - Cette fille est une lesbienne!!! - Lesbian girl!!! - Fille lesbienne!!!

- She does not like men!!! - Elle aime pas les hommes!!! - She does not like the sex of men!!!

- Elle aime pas les sexes d'hommes!!! - She does not like the cocks of men!!! -Elle aime pas les bites d'hommes!!!! Lesbian!! Lesbienne!!! "

Il avait joué sa dernière carte pour sauver sa femme.

Marion lui avait jeté un regard assassin... Sylvie elle un regard interrogatif. Elle ne comprenait pas.

Le capitaine du cargo avait très bien compris lui par contre.

Il riait en regardant Marion. Il criait à tous les autres "-Lesbian girl!!! Lesbian!!!"

Il avait désigné Sylvie en demandant " - She is also a lesbian??? - She's a lesbian too? - Elle est lesbienne elle aussi? - No no it's my wife - Non non c'est ma femme - Not lesbian is my wife - Non pas lesbienne c'est ma femme ".

Le mec n'avait rien dit mais il avait rigolé.

Il avait ensuite dit quelque chose et un des gardes lui avait amené sa Kalachnikov en riant.

Le chef avait enfoncé le canon de la Kalach dans le vagin de Marion en disant " Good cocks!!! Bon sexe!!!". Taste the good sex of man - Goûte le bon sexe d'homme!!! ".

Puis il avait ressorti le canon de l'arme du sexe de Marion et il le lui avait enfoncé dans la bouche en disant : " - Suck the good cock!! - Suce la bonne bite!! - Bitch sucks the good cock!! - Salope suce la bonne bite!!".

Tous les mecs riaient. On était proche de l'émeute, de la révolte, de la mutinerie ...

Jean-Jacques était content de lui. Il savourait et appréciait son intervention.

Il savait que toute la meute allait se jeter sur Marion pour la violer.

Mais il n'avait malheureusement pas pensé à tout. Il avait mal calculé.

Le capitaine du cargo s'était un peu éloigné de Marion et il s'était dirigé vers Sylvie.

Comme pour Marion tout à l'heure, il tournait autour de Sylvie.

Là encore il examinait la femme comme un maquignon examine un animal avant de l'acheter.

Il la touchait vicieusement. Il la palpait à travers ses vêtements. Il évaluait et il jaugeait sa poitrine, ses fesses, ses cuisses et ventre.

Gratuitement et sans doute par pur plaisir, car Sylvie ne se révoltait pas. Il lui avait balancé une violente paire de baffes.

Puis comme il avait fait pour Marion, il avait ressorti le gros couteau de sa ceinture. D'une main il avait tiré le tee-shirt par l'échancrure du col et de l'autre main avec le couteau il avait tranché en une seule fois tout le devant du tee-shirt.

Puis toujours avec le couteau il avait lacéré et réduit en lambeaux le tee-shirt.

Sylvie était apparue en maillot deux pièces devant l'assistance.

Tout le monde pouvait admirer la belle femme mature, blonde, le teint très clair, la peau très blanche, laiteuse même.

La superbe femme très plantureuse, très pulpeuse et surtout avec sa très grosse poitrine.

Le haut de son maillot deux pièces avait de la peine à contenir ses énormes mamelles.

Ses gros seins laiteux semblaient prêt à jaillir du haut de son maillot au moindre de ses mouvements étaient pratiquent sortis tellement elle avait été malmenée et bousculée depuis son enlèvement sur le voilier, pendant le voyage en barque, et surtout durant la montée à l'échelle.

Le petit maillot était bien en désordre et ne cachait pas grand chose de son anatomie.

Contrairement à ce qui s'était passé pour Marion tout à l'heure, où les mecs devenaient de plus en plus énervés et excités..., Là un grand silence s'était fait entendre.

Un lourd silence pesant, oppressant, mais qui signifiait beaucoup de choses.

Puis le mec avait tranché le fin tissu du haut du maillot entre les seins, ensuite les bretelles et la gosse poitrine de Sylvie était apparue aux yeux de tous. Ses deux énormes mamelles, sa grosse poitrine tombante, mais terriblement appétissante...

Il avait ensuite tranché la petite culotte du maillot.

Sylvie était maintenant entièrement nue devant toute l'assistance.

Les mecs étaient comme hypnotisés. Ils étaient fascinés.

Une belle femme mature, plantureuse, très pulpeuse, véritable blonde, les cheveux mi-longs, les yeux bleus, un joli visage, le teint très clair et la peau très blanche. laiteuse même... et surtout avec une très grosse poitrine.

Tous les mecs mimaient et singeaient en se moquant. Ils mettaient leurs mains sur leurs torses et ils criaient " Big Tits!!!! Very Big tits!!!!" "Gros seins!! gros seins!!!!

Le chef soupesait les gros seins de Sylvie. Il les faisaient sauter dans ses mains. Il les secouaient dans tous les sens en criant : Big Tits!!! Very Big tits!!!!" " Gros seins!!!! Très gros seins!!!!"

Tous les autres étaient comme des fous... Beaucoup soit se touchaient à travers leurs shorts ou leurs pagnes. D'autres avaient carrément sortis leurs sexes...

Le chef avait fait rapprocher les deux femmes. Elles étaient l'une contre l'autre. Il touchait les seins des deux en même temps. Une main sur la petite poitrine de Marion et l'autre main sur la grosse poitrine de Sylvie.

Il comparait en riant et en disant " Petits seins!!!! Très gros seins!!!!!".

IL tournait autour des deux en les palpant et en les pétrissant.

Ils semblait hésiter entre Marion, rebelle, jeune, lesbienne, rousse, frêle, petite poitrine et Sylvie, mature, plantureuse, blonde, très grosse poitrine.

Il semblait faire son choix. Il hésitait.

Mais cette longue attente ne pouvait pas durer trop longtemps. Les mecs, les jeunes pirates étaient tellement excités que l'on risquait une mutinerie sur le bateau... Mutinerie, révolte où rien ne serait contrôlé.

Puis il avait fait son choix. Cette petite salope rousse avait voulu le frapper et elle lui avait craché au visage. Il allait la mater et la dresser...

Il avait sorti son sexe, sexe énorme, noir, veineux et circoncis. Il avait attrapé Marion par les cheveux et il lui avait dit : "- Regarde bien sale lesbienne ce que je vais te mettre!!!".

Puis il avait gueulé quelques chose dans son dialecte et ceux qui tenaient Marion l'avait basculée et couchée sur le pont du navire.

Marion était comme crucifiée, bras et jambes maintenues écartelées.

Il allait la pénétrer.

Mais il avait vu l'excitation intense de tous les autres. Il savait qu'il allait se passer quelque chose s'il ne faisait rien.

Alors il s'était comporté en véritable chef.

Il avait lancé aux autres : " -. Take old woman!!!! Prenez la vieille!!! Have fun with her big breasts!!! Amusez vous avec ses grosses mamelles!!! Treat yourself with her Big udders her big tits big boobs!!!Régalez vous avec ses grosses mamelles avec ses gros seins!!!"

Ils s'étaient aussitôt emparés de Sylvie. Elle avait été soulevée, portée, par les bras et par les jambes et toute la bande s'était engouffrée par l'ouverture qui menait à la cale du navire sous le pont.

Pour descendre par l'échelle qui menait dans le ventre du navire, Sylvie, toujours soulevée, tirée et portée avait été comme glissée sur une vague humaine.

Puis tout le monde avait disparu à l'intérieur du cargo.