Pierre, Mon Initiateur! Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Elle n'avait rien d'extraordinaire, une simple chambre parfaitement rangée avec un lit impeccablement fait. Des murs blancs, vierges, une petite table, une chaise, une armoire à vêtements et basta!

Ne sachant pas trop ce que je devais faire je me préparais à m'allonger sur le lit à plat ventre, n'en menant pas large face à ce qui m'attendait, mais Pierre m'arrêta immédiatement.

- Alain, tout n'est pas aussi simple, il y a une ou deux choses que je dois te montrer car je ne suis pas de ceux qui mettent leur sexe n'importe où sans quelques précautions. Avant que je ne m'occupe de toi, tu vas devoir apprendre à te préparer convenablement. Suis-moi dans la salle de bain.

J'obéis ne comprenant rien à ce qu'il voulait dire et le suivis. Je le vis fouiller dans un meuble sous son lavabo et en sortir un gros tube accompagné d'un objet en forme de poire que je ne connaissais pas.

- Mon petit Alain, une bonne sodomie, ça se prépare me lança-t-il d'un ton professoral! Même si la nature est bien faite et ton conduit normalement libéré de tes selles après chacun de tes passages aux toilettes pour ta grosse commission, il peut parfois en rester un peu et je ne suis franchement pas un adepte de ce genre de choses pour une première fois.

En guise de préambule, Pierre avait été très clair, j'avais parfaitement compris, il enchaîna :

- Ça c'est une poire de lavement. C'est très bête! En pressant dessus tu aspires de l'eau tiède mais pas trop chaude pour ne pas te bruler. Ce qu'il fit aussitôt en faisant couler de l'eau, remplissant le bac de son lavabo et en testant la température avec un doigt. Puis, une fois l'eau aspirée, tu t'insères la partie rigide dans ton fondement et tu presses à nouveau la poire, ce qui va avoir pour effet d'amener l'eau dans ta tuyauterie chérie! Ensuite tu vas sur les WC et tu l'expulses. Tu répètes la manœuvre jusqu'à ce que l'eau soit nickel. En deux ou trois fois, c'est réglé!

Il me mit la « poire » dans les mains et sortit de sa salle de bain avec le tube dans sa main en s'écriant :

- Je t'attends sur le lit, ne traîne pas ma petite puce adorée!

Je me retrouvais un peu bête avec cet objet dans les mains, mais je réalisais les opérations demandées. Les sensations n'étaient pas désagréables à défaut d'être franchement sexy. Dès le second lavement, l'eau était nickel mais par précautions je répétais l'opération. Je m'essuyais avec du papier toilette et je tirais la chasse avant de penser à rejoindre Pierre. Je me dis au passage que de me savonner le bas ventre et ma raie n'était pas du luxe et une marque de respect pour Pierre. On a beau être jeune, on peut aimer la propreté.

Quand j'eu fini et que je rejoignis Pierre, il m'attendait sur le lit comme annoncé, se caressant lentement son si beau sexe. Il avait repoussé le drap du dessus avec l'unique couverture au pied du lit. Le soleil entrait par la fenêtre pleinement ouverte et inondait de lumière la pièce, le lit et Pierre.

Le simple fait de l'admirer ainsi me redonna l'énergie perdue dans la salle de bain. Lorsque je me couchais contre lui, je recommençais à rebander lentement, vibrant de désirs pour lui. Cependant, j'étais toujours en plein stress. Pierre se tourna de côté contre moi, me surplombant. Je lisais la compréhension et la passion dans ses yeux.

Il passa sa main droite sur mon torse tout en me parlant d'une voix chaude que je commençais à lui connaître et qui me faisait irrémédiablement fondre. Sa main descendit vers mon sexe encore un peu mou, se posa dessus et débuta une lente caresse qui me fit fermer les yeux de contentement. Cet homme était décidément irrésistible.

- Tu es très beau, tu sais. Depuis la première minute où je t'ai vu, j'ai eu envie de te posséder. Tu ne peux pas savoir comme je suis heureux d'être le premier à pouvoir te faire découvrir de nouveaux plaisirs. Je vais te pénétrer doucement au début. Ne t'inquiète pas, tu n'auras pas mal et tu vas adorer ma queue. Elle va te faire beaucoup de bien. Très vite, c'est toi qui me demanderas d'y aller plus fort, fais-moi confiance.

Son visage se pencha vers moi pour m'embrasser. Je répondis bien évidemment à son baiser avec passion. Nos langues chaudes et humides tournèrent l'une autour de l'autre, je commençais à être dans son rythme, à moins me presser, à comprendre la beauté des mouvements de nos langues. Je sentais toujours sa main sur mon sexe et j'écartais mes jambes pour qu'elle puisse s'infiltrer sous mes bourses. Pierre me fit alors découvrir l'effet totalement gigantesque qu'une caresse maîtrisée par une autre main que la sienne pouvait accomplir sur mon petit trou.

Quand il commença à effleurer cette zone de mon corps, je soulevais inconsciemment mes fesses pour qu'il y accède le plus facilement possible tellement c'était bon. Je gémis me cambrant et me pressant tout à la fois contre lui. Je le sentis se tendre aussi, son sexe était devenu une barre dure et chaude contre ma cuisse. Un de ses doigts partit alors frotter mon anus. Ma respiration se bloqua involontairement dans l'attente de la suite des événements.

Pierre quitta alors ma bouche et je sentis son visage, sa langue dardée comme une flèche, engager un patient voyage qui descendait toujours plus bas. Un détour sur mes seins, un arrêt furtif sur mon nombril, l'arrivée sur le gland de mon sexe et le début d'une fellation qui me fit vibrer immédiatement. Je criais très vite, l'implorant :

- Arrêtez! Arrêtez Pierre! Je vous en supplie, je vais jouir si vous continuez!

Je tentais de repousser son visage de toutes mes forces avec mes mains, il releva sa tête, lâcha mon sexe, posa son menton sur mon gland, appuyant un peu dessus, ce qui eut pour effet salvateur de calmer mon excitation. Je le vis me sourire. Il ouvrit sa bouche et me montra ses dents, un rien carnassier dans l'expression, sa langue dardée à nouveau, je craignis qu'elle revienne sur ma queue, mais non.

Sa langue se posa sur mon gland me faisant à nouveau vibrer d'une douce angoisse puis descendit sur toute la longueur de ma tige, parcourant à petite allure ce chemin vers mes bourses, embrassant mes testicules, elle s'infiltra vite dessous en force. La pression de son nez entre mes boules relevant la peau de mes bourses et il m'embrassa cette partie si sensible qu'il avait auparavant caressée de ses doigts.

Puis ses deux mains se saisirent alors de mes cuisses qu'il repoussa bien écartées vers moi, me relevant et m'appuyant ainsi les genoux vers mon torse. Tenant fermement mes jambes légèrement écartées, je ne voyais quasiment plus rien de ce qu'il faisait de moi. Je vis sa tête se pencher à nouveau entre mes jambes et à ma grande surprise, je le sentis très clairement saliver et titiller mon anus, m'offrant ma première feuille de rose (expression qu'il m'apprendrait plus tard dans notre relation).

Il noyait mon petit trou d'une abondante salive. Je ne voyais rien, mais je sentais tout ce qu'il me faisait.

Pierre choisit ce moment pour monter et descendre sur toute la longueur de ma raie avant de toujours s'attarder sur mon anus. Ses caresses me faisaient vivre un enfer. L'attente devenait insupportable.

J'étais tout à la fois étonné et surpris qu'il parvienne à me faire éprouver tant de choses à cet endroit de mon corps... Et je rêvais maintenant d'en faire de même sur lui! Ses caresses étaient si délicates et douces, si excitantes, mon Dieu que tout cela était bandant!

Une délicate pression me surprit, il venait, je le devinais de m'enfoncer un doigt dans mon petit trou. Pierre ne forçait rien et il le fit aller et venir délicatement, très lentement, progressant à chaque fois un peu plus loin en moi. Tout en me pénétrant de son doigt, je sentais sa langue fournir son travail de sape autour et noyer toujours plus les lieux de sa salive, suave lubrifiant de son désir.

Au bout de quelques minutes durant lesquelles il me pénétrait ainsi et où je gémissais ouvertement de contentement, il se mit à faire tourner son doigt et à forcer légèrement tout autour à chaque pénétration, écartant doucement ces chairs si naturellement serrées.

Je le sentis alors joindre un second doigt au premier, m'enfilant doublement et sans douleur.

Attention, je tiens ici à préciser que ce que je comprenais à l'époque de ce que Pierre me faisait n'était pas aussi clair et précis. Mes sensations étaient décuplées par toutes les émotions que je ressentais, mais en réalité, je ne faisais qu'interpréter car mes yeux étaient fermés et j'avais décidé de m'abandonner aux caresses de Pierre. D'autre part, c'était une première pour moi et j'éprouvais des choses très perturbantes! J'en étais donc réduit à extrapoler ce qu'il se passait à défaut de le savoir vraiment!

Pierre était si doué et si patient que je ne ressentais aucune douleur, seulement de l'étonnement et du plaisir à ses caresses. Pierre était un homme attentionné, aimant. Son plaisir était aussi dans l'ascension inexorable de mon plaisir et pas seulement dans la recherche égoïste de celui qu'il voulait éprouver. M'effaroucher ou me forcer n'était pas dans ses intentions, mais il comptait bien me permettre de progresser sur la voie que j'étais destiné à parcourir.

Il continua donc à me pénétrer avec toute sa science et à me masser avec mes seuls halètements pour accompagnements et ponctuations. Par instants, j'éprouvais une espèce d'éclair d'excitation quand il appuyait légèrement à l'intérieur de moi, mais il n'insistait pas et contrôlait la brièveté des cajoleries internes qu'il me prodiguait.

Une impression de vide soudain me fit pousser mon bassin vers lui à la recherche de ses doigts qui tout d'un coup ne me pénétraient plus. Pierre s'était relevé et me regardait à mon nouveau. Il se pencha vers sa table de nuit sur laquelle je le vis prendre le tube qu'il avait ramené de la salle de bain. Il en préleva une grosse quantité et l'étala sur sa verge tendue. Il remit de la crème sur ses doigts avant de les replonger en moi où ses doigts naviguèrent plus rapidement et sans difficulté. J'émettais instantanément un cri de jouissance animal et incontrôlé. La vache que c'était bon pensais-je simplement!

- Mon bel Alain, je vais pénétrer ton petit cul avec passion et tu n'oublieras jamais ce moment me lança mon professeur avec fougue!

Je ne répondis rien, frémissant de vivre ce moment. A ma grande surprise, Pierre me poussa et me retourna alors sur le ventre et d'une main passée sous mon corps, ramena mes fesses en hauteur. Tout cela en quelques secondes et sans me malmener.

- Montre-moi ton cul et écarte tes fesses avec tes mains m'ordonna-t-il cependant plus autoritairement!

Appuyé sur mes épaules, bras et mains posés devant moi, la tête enfoncée sur un oreiller, les reins creusés, en appuis sur mes genoux, j'obéis et j'adoptais la posture désirée ramenant mes mains sur mes fesses pour les écarter. J'offrais et j'ouvrais mon cul sans réserve à Pierre. Tout cela était trop bon! Qu'il me pénètre, qu'il m'encule vite! Je n'en pouvais plus de cette attente.

Ainsi positionné, je sentis son gland glisser sur ma raie et entre mes fesses. Pierre le positionna rapidement sur mon petit trou que je sentais impatient et avide de découvertes pour moi. Il appuya dessus. Je le sentais dur et prêt à m'envahir. L'instant de vérité était arrivé! L'anneau de mon anus assoupli par ses caresses laissa passer son gland et je sentis mes chairs s'ouvrir. Pierre ne bougeait plus alors que seul son gland était en moi.

Ce fut moi qui poussais mes fesses vers lui, sentant clairement une résistance intérieure à sa pénétration. Je poussais alors de toute mes forces et la si belle queue de Pierre s'enfonça en moi de plusieurs centimètres. Je passais alors du cri animal à un son guttural qui vint du plus profond de mon être! Comment vous le retranscrire en toutes lettres? Je ne sais, je crois que seuls des hommes ou des femmes passés par ce moment peuvent comprendre et entendre ce que j'ai ressenti alors. En résumé, je criais ma joie, mon plaisir, ma petite douleur et surtout maintenant mon envie bestiale de me faire prendre par Pierre

Après cette progression un peu brusque, Pierre avançait si lentement, millimètre par millimètre, que tout cela me torturait plus qu'autre chose!

J'essayais encore de pousser de toutes mes forces et mes mains se crispaient sur mes fesses, mais c'était lui qui me tenait et qui maîtrisait totalement la pénétration qu'il m'offrait. Pierre s'immobilisa sans raison apparente et nous restâmes quelques secondes figés comme deux statues :

- Les choses sérieuses vont vraiment commencer me déclara-t-il d'un ton grave et solennel.

Sa voix était tendue, je le ressentis. Lui aussi était-il inquiet de mes réactions?

- Vas-y, Pierre! Encule-moi! Je n'en peux plus! Fais-le!

À ma grande surprise, je balançais ces mots instinctivement comme si j'avais besoin de l'encourager pour qu'il se décide. Je le sentis avancer en moi, franchement et sans retenue. Une douleur réelle me percuta. Je tentais de passer outre au fur et à mesure qu'il continuait d'avancer. Une fois entré et le premier obstacle franchi, il me sembla que tout en moi voulait aspirer sa queue. Pierre progressa lentement, sans forcer jusqu'à ce que je sente des poils et un poids contre mes bourses et son poids contre mes fesses. Ses couilles étaient contre les miennes, Pierre était en moi, bien au fond.

Commença alors la grande chevauchée! Pierre se reculait de quelques centimètres et ré avançait aussitôt, habituant pleinement mon corps à sa présence. À chaque fois, il augmentait l'amplitude de ses mouvements et la force avec laquelle il s'enfonçait.

La douleur initiale évanouie, la pommade facilitait sa libre circulation en moi. Parfois je le sentais faire une pause, me caresser le dos et étaler une bonne couche de pommade supplémentaire sur sa queue avant de la replonger dans mon cul.

Pierre entrait et sortait sans effort, m'encourageant verbalement et me félicitant :

- C'est bien mon petit Alain, si tu voyais comme ton petit trou s'est élargi, comme il palpite quand je ressors ma queue. Si tu voyais comme il m'appelle! Tu es vraiment destiné aux plaisirs entre hommes, tu le sens! Quel adorable enculé tu fais!

Sur ces derniers mots, il reprit ses mouvements avec une énergie décuplée et un rythme sans faille de métronome. J'en étais au stade où une sensation de remplissage permanent me mettait en joie à chaque fois que Pierre s'enfonçait en moi.

Soudainement, sans que je ne comprenne pourquoi, une secousse interne me fit l'effet d'un coup de fouet plus qu'agréable.

Sans comprendre à l'époque que Pierre venait de titiller ma prostate, je râlais et me répandit sur ses draps sans rien comprendre de ce qu'il s'était passé.

Pierre cria lui aussi, mes sphincters s'étaient contractés à cet instant, lui procurant un resserrement jouissif autour de sa queue. Pierre hurla son plaisir ses mains rivetées sur mes hanches, me serrant et m'enserrant comme un lutteur surpuissant.

Je sentis sa semence me percuter, m'envahir, j'entendis ses grognements quasi bestiaux, son poids sur mon corps, ses bras qui ne me lâchaient plus. Je me retrouvais allongé sur son lit avec Pierre pesant de tout son poids sur moi. Tous les deux soufflant comme des buffles.

- Alain tu es merveilleux. Ton cul encore étroit est un régal, la dernière fois que j'ai pris mon pied comme cela, c'était il y a si longtemps... Je n'en reviens pas.

C'était donc ça une bonne sodomie! Pierre avait eu raison, j'en voulais encore et vite!

Quand je rentrais le soir chez moi, Pierre m'avait possédé deux autres fois : après cette vibrante levrette, il m'avait pris sur le dos, mes jambes relevées et coincées contre ses épaules puis langoureusement sur le côté pour finir, me réveillant d'un demi sommeil de belle endormie pour m'enfiler doucement alors que je somnolais encore.

J'avais touché l'extase à chaque fois lui demandant de me bourrer le cul, d'y aller plus fort, de me défoncer, que sais-je, utilisant tous les mots de mon vocabulaire pour lui dire ô combien j'aimais cela.

Nous nous étions embrassés et caressés longtemps et doucement sur son lit avant qu'il ne soit l'heure pour moi de le quitter. Me surprenant, il m'avait demandé de serrer les fesses et de garder son sperme en moi jusqu'à ce que je sois chez moi et que je puisse me doucher. Je repartis chercher ma moto en respectant ses ordres le plus discrètement possible tout en ayant l'impression que toutes les personnes que je croisais devinaient que j'étais devenu un petit enculé!

Le trajet en moto fut un calvaire, je sentais mon anus s'ouvrir sous les vibrations de l'engin et je redoutais qu'une tâche géante soit visible quand je débarquerais chez moi. Je savais que mes parents m'attendraient pour diner...

Malgré ce stress, je souriais comme un imbécile sous mon casque pensant déjà aux futures sodomies que Pierre ne manquerait pas de m'offrir. En arrivant chez moi, je fonçais directement à l'étage et je me précipitais dans la salle de bain. Mon slip avait tout pris, je le lavais sous la douche avec moi, l'essorant du mieux que je le pouvais dans une serviette ensuite pour le laisser sur le radiateur de ma chambre.

Je me présentais pour diner sous les yeux interrogateurs de mes parents. À table ce soir-là, je parlais peu, souriais bêtement et je devais faire une drôle de tête car j'entendis mon père murmurer doucement à ma mère : "Je te l'avais dit, il est amoureux! Je me demande si on la connait?".

Désolé papa et maman, je ne vous en voulais pas, mais non, vous ne la connaissiez pas et vous ne pouviez vous douter qu'en mangeant avec vous, je pensais à la bite de Pierre coulissant entre mes fesses!

***************************************

J'espère vraiment que ce récit initiatique vous intéressera (et plus si affinités).

La suite des aventures de Pierre et Alain si le cœur (et autres organes sollicités) vous en dit.

Pour votre plaisir de lecteurs et lectrices

Caresses et Soumission

MS

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4 Commentaires
Yokebed83Yokebed83il y a 2 mois

Un plaisir comme toujours merci !

MulierscriptorMulierscriptoril y a 3 moisAuteur

Merci Assas78 et merci très cher « Anonyme » pour vos lectures attentives et respectueuses.

Les doutes et les questionnements sont là et viendront aussi titillés ce jeune homme également saisi et littéralement possédé par des passions purement sexuelles nouvelles auxquelles il ne veut pas résister !

Je sais que les textes sur les passions et les amours entre hommes ne sont pas les plus fréquentés sur ce site, mais j’espère retenir vos yeux, vos coeurs (et aussi vos sexes, ne soyons pas chastes !) avec cette histoire qui ne manquera pas de piquant, je l’espère.

« Maître de l’érotisme » ?! Vous y allez très fort et je suis gêné de recevoir un tel compliment.

Allez, disons, « Amateur passionné sui essaie de faire de don mieux ». Vraiment.

Caresses et Soumission

MS

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

La suite tant attendue n'a pas déçu. Bien au contraire. Une autre histoire délicieuse d'un maître de l'écriture érotique.

L'histoire se développe très rapidement. Alain est très docile. Pour moi, l'histoire serait encore meilleure si elle décrivait non seulement l'empressement et l'enthousiasme d'Alain, mais aussi ses doutes, sa peur, sa honte et ses sentiments d'inconfort.

Assas78Assas78il y a 3 mois

Très beau texte qui rappelle à chacun la 1ère fois si elle s'est bien passé (ou non). On s'en rappelle toute sa vie

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