Petite Pute en Prison

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Ils ont fait de moi une poule mouillée et leur pute.
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C'est un texte que j'ai écrit il y a une dizaine d'années ; je l'ai un peu retravaillé dernièrement.

*** *** ***

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Don't blame me if the translation loses some of the finesse and particularities of the french language.

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Petite pute en prison

J'habite en province, et je vais vous raconter ce qui m'est arrivé il y a deux ans.

Je m'étais fait pincer pour excès de vitesse en voiture.

N'ayant pas terminé mes études, j'avais peu de moyens financiers : le Tribunal se basant sur les revenus, j'ai donc pu choisir, à la place de l'amende salée, une petite amende forfaitaire et le reste converti en jours-amende.

Je devais dès lors purger 17 jours à l'ombre.

Je me retrouve donc dans une prison régionale. On m'inscrit, et s'ensuivent toutes les procédures d'entrée, etc... Puis on m'emmène à ma cellule.

Je dois accomplir ma peine dans une pièce de 5 x 4 m environ, très peu meublée :

des couchettes superposées, une table, une armoire avec des casiers, un évier et un WC.

Les murs sont tapissés de photos cochonnes, et trois autres détenus sont déjà là.

Je n'ai droit qu'à un minimum d'affaires personnelles.

Le gardien parti, je fais connaissance avec mes voisins de cellule.

Il y a Alain, un solide Alsacien camionneur qui a braqué une épicerie.

Abdel, une petite frappe arabe de Marseille, qui est là pour une série d'effractions.

Et Tounga, un immense Black, qui a dealé de la came.

Moi et mon petit excès de vitesse, ajouté à mon physique tout mince, je passe un peu pour le rigolo de service...

- T'es là pour combien de temps alors?

- Dix-sept jours.

Le temps passe, les autres m'expliquent deux-trois "règles" de la prison, et ainsi arrive le soir.

Ils sont assez sympas, même si je trouve qu'ils se sont faits pas mal de clins d'oeil en me regardant.

Les gardiens font l'extinction des feux, et tout le monde se couche.

J'entends Alain et Abdel, dans le lit superposé opposé, qui parlent un moment à voix basse.

Tounga, dans le lit inférieur en-dessous du mien, dort déjà je crois.

Je m'endors difficilement.

Mais vers le milieu de la nuit, je suis réveillé par des bruits dans la cellule. Les 3 gaillards sont debout, Abdel cherche quelque chose dans son casier, et ils ont allumé une petite bougie dans le fond de la pièce.

Je leur demande :

- Qu'est-ce qui se passe?

- Rien, rien, c'est juste l'heure de tirer un coup... On va te montrer une autre tradition de la prison, celle du "manche". C'est un bon moyen de baiser ici... rigole Alain.

- Le manche? Baiser, ici? Comment??? je demande.

Abdel sort un carton de son casier, puis un espèce de "bâton" fait de papier enroulé serré et rigidifié à la bande adhésive. Ce qui donne une sorte de manche oui, d'environ 30 cm par 3 ou 4 de diamètre...

"Le" manche.

- Tu vois ça, eh bien ici dans la prison chaque cellule s'est fabriqué son manche, comme ils peuvent, et la règle c'est... que les anciens puissent tirer leur crampe de temps en temps, parce qu'ils sont là depuis un moment.

Donc, le manche sert à ça...

Viens donc par là, qu'on te montre!

Curieux - et peut-être pas contre l'idée de tirer un coup, voyons voir - je descends de ma couche et m'approche de l'armoire, devant laquelle ils se tiennent.

Mais quand j'arrive à la hauteur d'Abdel, Tounga me saisit par les épaules, et je sens un tissu venir me bâillonner très fort!

Il me retourne et me flanque une monumentale gifle, qui me fait tomber à terre.

Il me maintient fort, et Abdel s'approche avec son carton.

Il en sort une paire de bas, un string, un soutien-gorge et un serre-tête assorti (!).

Comment ont-ils fait entrer ça ici, les posters de playmates OK, mais ça je me le demande.

Alain me montre le bâton :

- Tu vois, pour nous qu'on est là depuis des mois, c'est dur, alors chaque nouveau venu passe à la casserole.

Mais tu as de la chance, puisque tu ne restes pas longtemps, on ne te testera pas seulement au manche pour te refiler aux caïds de la taule, mais seulement entre nous.

Et nous on a amélioré le système, parce qu'on est pas pédés :

on veut une gonzesse, alors le bizut on en fait une vraie donzelle...

Tu vas mettre ces sous-vêtements de nana, et on va jouer au manche avec toi.

Hein?

Je crois faire un cauchemar, mais une seconde gifle de Tounga me remet les idées en place... Ils ne plaisantent pas.

Pas le choix, soit je fais ce qu'ils disent, soit je me fais casser la gueule.

J'enfile le string, la paire de bas, le soutien-gorge et je termine en posant le serre-tête sur mes cheveux châtains.

Être en lingerie devant eux, c'est au-delà de l'humiliation.

- Ouais, salope! Tourne-toi, tends ce cul...

C'est ça, montre-nous ces douces petites fesses!

- Sois pas timide!

Abdel semble content de l'effet obtenu, il commence à se branler, et Alain ramène le pot de savon du lavabo.

Tounga me fait me mettre à genoux, le cul en l'air, en sous-vêtements féminins...

Je devine sans peine la suite, ce qui m'attend...:

il va effectivement y avoir de la baise, sauf que c'est moi qui vais leur servir de casse-croûte!

Comme tout le monde, j'avais bien sûr lu des trucs sur ce qui se passait en prison, mais je n'y croyais pas vraiment. Je pensais que c'était une légende urbaine.

Là, on y était...

J'allais passer à la casserole.

Alain écarte le string et commence à me badigeonner les fesses avec le savon, s'attardant plus particulièrement dans ma raie, et complimente ce qu'il voit :

- Cette chienne est vraiment super bien foutue...

Regardez ce cul cambré, on dirait qu'elle s'impatiente! Tu vas voir, tu ne seras pas déçue!

Et de poursuivre son manège, le savon sur mon oeillet, les doigts qui se font plus précis sur mon anus, poussant pour y entrer... Il finit par y arriver, glissant facilement même maintenant avec tout ce savon.

Il introduit un doigt, le fait coulisser un moment pendant que Tounga et Abdel se branlent devant moi et viennent me présenter leurs queues.

Là aussi pas besoin d'un dessin, je devine ce qu'ils veulent...

Ils m'enlèvent le bâillon, une queue force ma bouche.

- Mmummpffff...! Gaak! SPLURT!

Je dois les sucer à tour de rôle, en levrette sur le sol de la cellule, le cul fouillé par un doigt, puis deux, puis trois doigts de ce salaud d'Alain qui force de plus en plus mon ventre.

Il se retire enfin, mais ce n'est que pour mieux y présenter à la place le fameux "manche", ce gode de fortune, énorme et dur...

Les doigts et le savon ont fait leur effet, l'engin s'enfonce et progresse en moi, m'arrachant quand même quelques râles de douleur.

-Aoooh... s'il vous plait, vous pouvez faire ça doucement...?...

Je n'ai jamais fait ça... Aaaaaah...!!!

Ma timide requête ne les calme pas, au contraire même elle semble les exciter, ils sont en train de se taper un cul vierge...

Les deux bites que j'ai alternativement en bouche durcissent, grossissent... celle de Tounga devient carrément gigantesque, jamais je n'aurais cru possible qu'une bite soit si grande, elle doit faire au moins 25 cm par 5 ou 6 de diamètre, elle est à la mesure de son colossal propriétaire!

Alain s'excite sur mon cul, faisant aller et venir le manche au fond de mes fesses.

PLOP PLOP PLOP

Et ma foi avec ce truc coulissant avec le savon dans mon derrière, je commence à me perdre dans des sensations mélangées, souffrance, trouille, inconfort, un semblant de plaisir indéfini, stress, terrible honte, trouble énigmatique...

- Cette pute est trop bandante... dit Tounga.

- Elle me rend dingue... Je vais me la faire! dit alors Abdel, quittant ma bouche pour venir se placer derrière moi.

Il retire le gode de papier, me fout 3 doigts dans le cul...

- T'as le cul bien ouvert ma poule!

Il ressort ses doigts, ajuste sa queue contre mon croupion, puis me pénètre d'un coup.

- Aah!

Violé et défloré en même temps, je trouve qu'il est quand même entré facilement... mais bon après ce que je viens de subir...

Il me tient par la taille, m'encule à grands coup de reins, son bas ventre claque contre mes fesses sans ménagement, pendant qu'Alain rejoint Tounga vers ma bouche.

Puis Abdel se retire et se pose sur le bord d'un des lits. Il me fait venir et m'assoir sur lui, en écartant les jambes au maximum.

Ce qui a pour effet de faire entrer sa queue tout au fond de mon ventre...

Je lui tourne le dos, ce qu'il voit et ce qu'il fait doit vraiment lui faire croire qu'il baise une femme :

- Aahouaaais, j'ai tout mis... Quelle bonne salope... Je te bourre bien, t'aimes ça pétasse, hein!?

Sa bite est complètement en moi.

Alain me fourre la sienne dans la bouche, debout face à moi, et Tounga se branle de plus belle, son énorme saucisse brune dépassant largement de sa main...

Je sens un liquide chaud se répandre au fond de mon cul, oh putain il jouit! Cet enfoiré d'Abdel éjacule dans mon derrière... J'ai les fesses trempées de foutre!

Alain prend alors la place de l'Arabe, il s'assied sur le lit, je comprends ce qu'il veut, je laisse tomber le string à mes pieds et le retire, et je m'empale à nouveau sur une queue.

- Ce cul putain... T'es qu'une pute à sauter!

Je nettoie la verge du Beur avec ma langue, elle a l'odeur de mon intérieur, et du sperme partout.

Abdel me fait aussi lécher le manche qu'ils m'avaient mis dans le cul, les salauds... il est sale et ça les excite.

Puis je dois sucer l'énorme queue du Noir, elle me prend toute la bouche, je manque m'étouffer Gaak! SPLURT!

mais je me surprends à apprécier, elle a un goût agréable, comme du chocolat.

Je lèche cet immense pieu d'ébène sur toute la longueur, titillant le sommet, l'enfournant ensuite le plus que je peux dans ma gorge, ma langue se fait coquine, je crois qu'il voit que j'aime ça... Slurp slurp SLURP!

Tounga veut prendre la place d'Alain :

- Viens t'assoir sur ma pine, gourmande!

Je me repositionne, descendant doucement, mon dieu comme elle est grosse, je ne pourrais jamais faire entrer ça dans mon cul!

Heureusement - et je comprends pourquoi - qu'il passe après les deux autres...

J'insiste, celle-là je la veux, et puis avec mes fesses glissantes, elle finit par entrer.

Centimètre par centimètre, je sens mon cul s'ouvrir de plus en plus, douloureusement, chaque veine de la bite de Tounga se fraie un passage entre mes fesses.

- Ooooooooh... mon dieu...

L'engin délirant me défonce littéralement, je me sens partir, la douleur s'en va, un plaisir ambigu la remplace, mon intestin complètement rempli de la chair africaine...

Je reste un moment ainsi, sodomisé profondément, les jambes écartées au maximum, je ferme les yeux, appréciant l'instant...

Puis je suce la bite d'Alain, cette bite qui vient de m'enculer avant.

Abdel est allé se laver au lavabo, il revient vers moi, me pelote partout, caresse mes bas, me tète les nénés, branle ma bite...

Je deviens fou, ou folle...

Je sens Alain partir, il sort de ma bouche, balance tout son foutre sur mon visage et mon torse, essuie sa queue sur mes joues...

- Quelle salope! Une bonne petite chienne!

Et Tounga qui me soulève et me laisse retomber sur son énorme pieu africain, ça n'en finit plus...

J'ai l'impression d'être embroché par un anaconda.

Je le chevauche ainsi dix minutes encore je crois, sa queue toujours aussi dure bien au fond de mes entrailles.

Puis il me lève très haut, sort sa pine de mon cul, me retourne à quatre pattes sur le lit et vient m'enfiler en levrette!

- Putain, comme j'aime être dans ton cul!

Aaaaah, je vais jouir s'il continue!

Après encore un moment de ce traitement délicieux, il ressort son chibre de mes fesses et me le fourre au fond de la gorge, je reconnais ce goût agréable de chocolat mélangé à mon odeur anale...

Je l'engloutis du mieux que je peux tellement il est grand, le léchant sur toute sa longueur.

Le grand Tounga lâche alors sa semence, aussi blanche qu'il est noir, abondante, en plusieurs jets au fond de ma bouche, sur mon visage et dans mes cheveux, sur ma poitrine, sans fin dirait-on.

Je lèche cette queue magnifique qui m'a donné tant de plaisir, avalant ce sperme au goût exotique.

- Je crois qu'on est tous d'accord qu'elle aime ça la petite! On va bien s'amuser ;-)

Ma première nuit en prison, la voilà...

Je suis passé par la tradition du "manche" avec mes codétenus.

Le deuxième soir quand ils ont ressorti leur petit carton secret, le fait d'enfiler le string, sentir la ficelle dans ma raie, la douceur des bas, le soutif sur ma poitrine plate, ça m'a excité.

J'ai remis le serre-tête et j'ai attaché mes cheveux en queue de cheval.

Ce soir-là ils m'ont enculé à tour de rôle et se sont retenus de jouir, pour m'éjaculer sur le visage les trois en même temps à la fin en me faisant me mettre à genoux devant eux.

J'avais l'impression d'être une de ces salopes des films pornos.

Le troisième jour, après la baise du soir, j'ai voulu garder les sous-vêtements pour dormir.

En fait, porter cette lingerie m'émoustillait.

Le lendemain matin, très excité dans cette lingerie portée toute la nuit, j'ai eu l'idée de les sucer.

Ils se sont donc réveillés avec une provocante salope accroupie entre leurs jambes, dont la bouche avalait leur raideur matinale.

Ils m'ont dit qu'il ne pouvait pas y avoir meilleure manière de débuter une journée ;-)

Leurs burnes déjà vidées à 6h30 du matin, il fallait voir leurs mines radieuses et triomphantes après au petit-déjeuner au réfectoire!

Je pense que toute la prison a deviné.

Le soir-là ils m'ont dit de me mettre sur le bord de ma couchette, le cul en l'air, et ils m'ont baisé comme ça en levrette sans s'arrêter, l'un après l'autre, en me tenant par les hanches.

Ils changeaient souvent, en plusieurs passages chacun, ce qui je pense leur permettait de "tenir" longtemps, mais pour moi ça n'arrêtait pas.

Ils m'ont sodomisé ainsi très fort, longtemps et bruyamment ; je crois que mes fesses les rendaient dingues!

- Ce soir on va te tapisser les parois du fondement avec nos spermatozoïdes!

Peut-être qu'on va même te mettre enceinte!!

- Quand tous les trois on aura joui dedans, ton cul sera à nous pour toujours!!!

Après m'avoir labouré le fion bien comme il faut, à leur dernier tour tous les trois ont joui en moi, crachant une grande quantité de foutre au fond de mon ventre.

Effectivement on aurait vraiment dit qu'ils voulaient me féconder.

Une sensation troublante.

Au bout du cinquième jour, mon popotin s'est mis à me démanger la journée, comme s'il réclamait une bite.

J'attendais avec impatience les saillies du soir...

Leurs couilles tapaient contre les miennes, leurs bites allaient si loin, glissant dans le sperme...

Oh putain oui, quand ils jouissaient, j'éjaculais aussi, mon dieu sans même me toucher, je jouissais si fort!!

Le huitième soir ils ont eu une idée :

comme je gardais déjà la lingerie pour dormir, ils ont décidé que je ne dormirais plus sur ma couchette. Mais que je passerais chaque nuit dans la couchette d'un des trois, à tour de rôle.

Donc après la baise avec les trois, j'allais me coucher avec un, et vu l'étroitesse du lit, nous nous mettions en cuillère. Vous vous en doutez, je ne tardais pas à sentir un gonflement se frotter à mes fesses. La ficelle tirée sur le côté, la rigidité entrait en moi...

Le gars me besognait encore un moment, tranquillement... jusqu'à ce que la fatigue nous gagne et que nous nous finissions par nous endormir, emboîtés.

Le gourdin du mec fiché dans ma rondelle.

Le matin on se réveillait accouplés, pareil ; sentir son érection dans mon rectum qui m'ouvrait en deux me foutait la trique, et lui avec sa gaule matinale en moi, n'avait plus qu'à commencer sa petite affaire. Les deux autres en se levant passaient au lavabo et venaient placer leurs sexes devant ma bouche, et je le leur suçais la teub en me faisant tringler.

- C'est bien, avale tout! Hmmmm c'est trop booon!

Le jour à peine levé, j'avais déjà le derrière et la bouche pleins de sperme.

Les trois nuits où ça a été le tour de Tounga et son monumental bâton planté dans mes reins, le lendemain matin j'avais mon petit trou en chou-fleur, toute la journée il restait béant et je n'arrêtais pas de péter de l'air ;-)

Chaque soir après la douche et dès qu'on rentrait en cellule, je faisais une queue de cheval haute et je plaçais le serre-tête, je mettais le string, enfilais les bas et le soutif, et pendant dix-sept nuits, ils m'ont défoncé le cul...

J'étais leur petite pute.

Yuki Angelina

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