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« Hé les mecs, faut appeler les autres! »
Aziz s'excitait de la situation et de l'aubaine qui leur était offerte. Quand Momo se releva, Aziz lui demanda d'aller avertir les autres de la cité qu'il y avait un plan cul dans la salle de réunion. Momo disparut en courant tandis que les trois autres se répandaient en commentaires sur leur bonne fortune du moment et faisaient moult commentaires sur le sexe de Patricia et le plaisir qu'ils y avaient trouvé.
Ils entendirent simultanément les pas pressés d'une bandes qui arrivait, et les hurlements lointain des sirènes de la police qui eut tôt fait de faire le siège de la cité. Les flics se précipitèrent en courant vers la salle de réunion où régnait la panique des grandes occasions. Bientôt la bande fut alignée le long des murs et menottés, puis ils disparurent dans la nuit, guidés par les flics jusqu'aux fourgons qui attendaient plus loin.
Une ombre se glissa dans la nuit, elle longea les barres d'immeubles, pressant le pas faire son logis alors que retentissait une autre sirène, celle d'une ambulance. Leila referma soigneusement la porte de l'appartement familial et se réfugia dans sa chambre.
- COMMENTAIRES
Aurailiensil y a plus d’un anExcellent, tout ce que j'aime et bien raconté. Une fin de ce genre ça change un peu ! On peut fantasmer sur l'avenir de notre bourgeoise ! J'avais déjà lu cette histoire mais un peu vite, pris par l'excitation, je l'ai relue avec beaucoup de plaisir
