Ma mère Martine

Informations sur Récit
Un chemisier presque transparent.
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8

Partie 1 de la série de 11 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 10/19/2016
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Cette histoire tirée de mes archives a été écrite il y a une dizaine d'année par un certain Gabrieldutour. Mes remerciements à cet auteur.

Avertissement : Ce récit n'est qu'une fiction sortie de l'imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes une expérience sexuelle mélangeant brutalité, soumission et humiliation.

Si vous n'aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.

*

Je m'appelle Julien et je suis étudiant en faculté de lettre moderne et actuellement en vacances scolaires. J'ai réussi à me dégoter un petit boulot dans une épicerie que tient un de mes oncles dans le Sud-est de la France.

Mais je commence qu'à partir du mois d'Août et je suis confiné dans la résidence de mes parents.

Nous venons de passer la fête du 14 Juillet et la chaleur est insoutenable ce qui implique que je passe la plupart de mon temps enfermé dans la résidence cossue de mes parents. Comme vous pouvez le constater, je suis issu d'une famille bourgeoise. Mon père s'appelle Dominique et il est cadre supérieur dans une entreprise renommée basée à Nantes. Il gagne bien sa vie et travaille beaucoup. De plus, il est fort probable qu'il prenne du galon très prochainement. Nous vivons correctement grâce aux revenus de mon père.

Ma sœur, Catherine, est étudiante en première année de chimie et vit avec un jeune ingénieur de 27 ans à 150 km de là. On ne la voit pas beaucoup.

Enfin, ma mère s'appelle Martine. C'est une très belle femme bourgeoise d'1m64, étonnement bien conservée pour ses 47 ans. Elle est brune et aime se coiffer au carré. De temps en temps, elle se teint les cheveux en un peu plus clair (proche du châtain) mais ces temps-ci, elle opte pour le brun.

Ses yeux sont de couleurs noisette et elle aime maquiller ses paupières d'une couleur verte qui donne davantage d'éclat à son regard.

Ses lèvres sont pulpeuses et sont misent en valeur par un fabuleux rouge à lèvres carmin. Son visage n'a presque pas de rides car elle passe beaucoup de temps à se faire des mascaras pour revitaliser sa peau (elle fréquente également de temps à autres les instituts de beauté). J'oserai comparer son visage à celui d'une présentatrice de télévision Evelyne T. qui anime une émission inepte sur la troisième chaîne.

Ma mère a un très beau corps pour son âge. On pourra lui reprocher un léger embonpoint au niveau des hanches à cause de ses deux grossesses (ma sœur et moi), ce qui est normal après tout.

Ses jambes sont bien lisses et bien épilées et elle aime porter des mules en cuir noir, lacets aux chevilles, où l'on peut voir ses doigts de pied recouvert d'un superbe vernis rutilant de couleur crème.

Dernier détail qui a son importance : ma mère a de très gros seins. Pour elle, c'est un handicap à la fois physique (mal de dos et gêne dans les quelques travaux qu'elle effectue à la maison) et moral (maman est assez timide et cache sa poitrine qui attire le regard de la gente masculine).

Elle met des soutiens gorges spéciaux à armatures.

En règle générale, ma mère a un corps superbe et plantureux.

Elle est issue, elle aussi, d'une famille bourgeoise et puritaine et a beaucoup de principes très stricts (surtout dans la manière de nous tenir devant les autres et dans la réussite scolaire). J'ajouterai cependant, qu'elle a toujours été honnête et correcte avec ma sœur et moi.

Elle ne travaille pas car les revenus de mon père suffisent largement à nous procurer un niveau de vie élevé. Ma mère est une femme qui est très maniaque et propre sur elle. Elle est exigeante dans ses tenues qui somme toute, ne sont pas très variées dans la mesure où elle ne porte que des tailleur-jupes classes.

Ce n'est pas le type de femme a porter des tenues provocantes et loin s'en faut.

Depuis quelques temps, pourtant, elle porte un petit chemisier blanc très beau mais incroyablement diaphane. On peut voir à travers son soutien-gorge blanc à armature et en dentelle qui maintient son énorme poitrine. Celle-ci est largement visible à travers le tissu fin.

On peut également voir la couleur de la peau de son ventre ainsi que son nombril. Elle porte une jupe noire qui lui arrive jusqu'aux genoux mais qui contraste tellement avec le chemisier blanc que le regard se focalise inéluctablement sur ses gros seins.

Elle sort faire des courses toute seule, ingénue, vêtue de la sorte sans se douter des tentations qu'elle est susceptible de provoquer. Un soir, mon père lui a même fait des petites réflexions sur sa tenue (pas trop invectives dans la mesure où ma mère prend la mouche facilement et se vexe) mais elle a répondu que c'était à la mode tout simplement. Je ne me sens pas le courage de lui dire que sa chemise est provocante et préfère me taire. Peut- être que si j'avais eu un peu plus d'audace, ce qui s'est passé par la suite n'aurait pas eu lieu.

Ma mère part donc faire ses courses comme à son habitude. Le terme lèche-vitrine est plus approprié. Elle file en centre-ville avec sa chemise diaphane, sa jupe noire et son sac à main en cuir. Elle adore faire les magasins et de préférence, ceux qui proposent des articles de luxes. Il lui arrive d'y passer des heures, même si elle n'achète rien.

Les rues sont bondées de personnes de toutes nationalités et de catégories sociales différentes. La promiscuité et la chaleur ne semblent pas l'affecter dans son activité favorite et, sans s'en apercevoir, elle s'éloigne du centre et se laisse entraîner par les boutiques dans une rue un peu plus calme et non fréquentée.

Elle est tellement concentrée sur son activité qu'elle ne fait même pas attention au regard des hommes qui la croisent ni à ce jeune en survêtement qui la suit discrètement depuis le centre-ville. Il a remarqué cette bourgeoise qui dépense des fortunes en vêtements de luxe depuis le début de l'après-midi et compte bien la soulager de quelques billets. Il n'est pas du coin mais semble connaître l'endroit.

C'est une rue relativement déserte, qui possède une multitude de petit recoins sombres avec des commerces qui ne marchent pas et mettent souvent la clé sous la porte. Elle est adjacente à la rue principale où fourmille les touristes en tout genre. Pourtant, ceux-ci n'y mettent jamais les pieds, on ne sait pour quelle raison.

Ma mère fait exception à la règle (pour son plus grand malheur) et s'aperçoit bien trop tard qu'elle est tombée dans un traquenard. Tout se passe très vite : Le jeune homme bâillonne maman avec sa main gauche et la menace avec un couteau dans son autre main. Elle sent la lame effilée titiller ses côtes de manière significative.

Il la force à se mettre dans un coin sombre, entre deux murs. Et il sort son portable devant ma mère épouvantée, les larmes aux yeux et complètement surprise. Il appelle ses complices qui arrivent une bonne dizaine de minutes plus tard. Une grosse Mercedes gris métallisé s'arrête devant eux et ma mère est poussée sans ménagement dans la voiture qui démarre aussitôt.

A l'intérieur du véhicule, c'est l'enfer : La chaleur est insoutenable et la musique est assourdissante. Il y règne une odeur pestilentielle de sueur, d'alcool, de tabac et d'autres substances prohibées qui lui donnent des nausées.

Elle est coincée entre deux jeunes hommes d'environ 20-25ans : un blanc et un noir avec des têtes pas très engageantes. Ils n'hésitent pas à lorgner sur ses gros seins et cela la gêne au plus haut point. Ils regardent tous son corps sans éprouver le moindre complexe. Ma mère a du mal à réaliser ce qui se passe. Ce genre d'incident n'arrive qu'aux autres. Elle ne se sentait pas concernée par ce genre de problèmes dans la mesure où cela ne la touchait pas ni elle, ni ses proches. Mais aujourd'hui, c'est différent.

La Mercedes roule pendant une bonne demi-heure et s'engage dans un quartier mal famé de la ville. Ce quartier est en fait un vaste chantier où la plupart des immeubles sont en cours de démolition afin de rénover entièrement l'endroit. La voiture décide enfin de s'engouffrer dans un terrain vague où se trouve un immeuble désaffecté.

Le jeune en survêtement blanc sort le premier de la voiture et ordonne à ma mère de descendre du véhicule. Elle s'exécute toujours sous l'effet de la peur et de toute façon, elle est poussée par le noir sans ménagement vers l'extérieur.

Les quatre garçons se retrouvent dehors maintenant. Ils ont entre 20 et 25 ans avec des mines patibulaires. Leur chef est un brun avec un bouc et porte un t-shirt moulant kaki. Il examine attentivement les paquets de maman qui se trouve debout devant eux toute tremblante. Elle ne comprend pas et ne réalise pas encore ce qui est en train de lui arriver.

Elle baisse les yeux et elle croise les bras sur son opulente poitrine car elle a bien remarqué l'intérêt qu'elle suscite auprès de ses kidnappeurs.

Le brun au bouc farfouille dans les paquets et pousse un sifflement d'étonnement :

- Eh bien Madame ne se refuse rien! Je vois qu'on n'est pas dans le besoin!

Il passe les paquets remplis de vêtements et de parfums de luxe à ses trois complices puis il s'intéresse au sac à main en cuir duquel il extirpe un joli petit portefeuille en cuir. Sans gêne, il regarde la pièce d'identité et la carte grise où il peut lire précisément l'adresse de notre résidence.

- Je comprends mieux! C'est vraiment un quartier de bourgeois là-bas!

Il remarque l'alliance à son doigt et dit :

- Je vois que t'es mariée! T'as des mômes?

Ma mère relève la tête et a le vague espoir d'apitoyer son ravisseur :

- Oui, j'ai deux grands enfants : Julien et Catherine que j'aime beaucoup et...

L'homme la coupe :

- Grands! Tu m'étonnes! Avec les nénés que t'as ma salope, ils n'ont pas du manquer de laitage!

Et tous rient à cette réplique salace et humiliante. Ma mère est vexée et réellement outrée par une telle réflexion. Comme elle est susceptible, elle hausse le ton et s'adresse aux jeunes avec un air hautain et méprisant :

- Bande de voyous parasites! De quel droit vous osez me parler sur ce ton! Vous feriez mieux de travailler et de vous rendre utile à la société au lieu de vous en prendre à des gens bien comme il faut!

Là, les jeunes ne rient plus du tout. Le brun au bouc s'avance vers elle et lui administre une belle gifle.

- T'aurais mieux fait de la fermer, sale pute de bourge! On t'aurait relâchée car t'étais mariée et on respecte en général les mères de famille mais là, t'as ouvert ta gueule une fois de trop!

Maman est sur les genoux et frotte sa joue légèrement endolorie et commence à pleurer. Elle se sent terriblement humiliée qu'un jeune de l'âge de son fils ose lever la main sur elle. Elle n'a pas compris que les règles sont différentes ici.

Furieux, le brun au bouc lui ordonne de se lever et dit :

- Bon, de toute façon ça tombe bien cette histoire car on a tous envie de tirer un coup, pas vrai les mecs?

Tous opinent et reluquent les formes plantureuses du corps de ma mère avec des yeux de pervers. La chaleur intense et l'émotion suscitée par son enlèvement ont fait suer maman. Elle transpire tellement que sa chemise transparente lui colle à la peau et épouse littéralement les formes de son corps. Ses gros seins, encore cachés par son soutien-gorge blanc à armature, ressortent encore plus et de manière provocante.

Sa respiration s'accélère et, vu le regard de ses ravisseurs, elle comprend le sort qui l'attend sans oser y croire réellement. Soudain, elle entend :

- Vire-moi ton soutien-gorge! Tu n'en as pas besoin!

Ma mère ne sait plus quoi faire. Elle n'arrive pas à concevoir ce qu'il lui arrive, elle ne peut pas admettre ce qui va se passer. Pourtant, lorsqu'elle voit le gars en survêt sortir son couteau pour la menacer, elle se met à pleurnicher et soulève sa chemise imbibée de sueur. Elle a du mal à dégrafer son soutien-gorge à cause de la transpiration et de la panique engendrée par les insultes de ses ravisseurs qui s'impatientent.

Lentement, avec hésitation et toujours en pleurant, elle enlève son soutif, libérant enfin les deux énormes nichons qui tombent lourdement et ballottent à l'intérieur du chemisier devant les yeux concupiscents des jeunes mâles.

Il est vrai que ma mère a de très gros seins, blancs avec de larges auréoles brunes et de petits tétons que l'on voit pointer à travers le chemisier décidément si transparent.

Je crois qu'elle en a toujours eu honte. D'ailleurs elle met rarement des décolletés et c'est en de très rares occasions que j'ai pu voir ma mère les seins à l'air. Ce que je peux ajouter, c'est que j'ai eu souvent l'opportunité de voir des films pornographiques avec de superbes actrices bien fournies de ce côté-là et je n'exagère pas en disant que maman n'a rien à leur envier et loin s'en faut.

Elle croise les bras contre sa grosse poitrine laiteuse en tenant toute penaude son soutien-gorge, le regard dirigé vers le sol en guise de soumission.

- Envoie-nous ton soutif qu'on regarde mieux! Demande le brun au bouc en s'avançant vers elle.

Elle tend le bras et le jeune s'empare du gros soutien-gorge à armature en coton et le porte à ses narines. Il renifle bruyamment le bout de tissu comme un chien en rut et le passe à ses camarades qui examinent la pièce avec la plus grande attention.

Maman ne comprend pas comment un morceau de tissu peut les mettre dans un état pareil. Ils ont l'air excité en reniflant et en touchant fébrilement son dessous. En regardant la taille gigantesque des bonnets ornés de dentelle, ils peuvent se faire une idée de la grosseur des seins de ma mère qu'ils ne peuvent apercevoir bien comme il faut pour l'instant.

Cela les met dans des états pas possibles et les quolibets fusent. Ils n'hésitent pas à la traiter de salope, vache à lait, de pute à gros seins. Inutile de vous dire que ce langage choque ma mère au plus haut point. Soudain, elle entend :

- Maintenant enlève ta culotte et vite fait sinon....

Maman s'exécute, toujours en pleurnichant et baisse lentement sa culotte blanche, elle aussi en coton et assortie à son soutien-gorge. Elle est obligée de se pencher pour leur donner son jolie slip en dentelle. Tous peuvent voir facilement ses gros seins ballotter outrageusement à l'intérieur de son chemisier transparent.

Ils reluquent aussi ses jambes galbées, bien épilées et relativement bronzées ainsi que ses superbes mules noires où l'on peut voir ses pieds aux ongles vernis d'une couleur crème.

Ils ont du mal à se retenir de se précipiter sur cette bourgeoise aux formes provocantes. Mais ils sont tous d'accord. Ils veulent faire durer le plaisir le plus possible et d'abord bien humilier cette femme afin de lui montrer qu'elle n'est pas au-dessus des autres.

Ils s'emparent de la culotte et se la passent comme le soutien-gorge. Ils la froissent entre leurs mains, la sentent et font des commentaires salaces devant les yeux écœurés de maman. La culotte finit par se perdre entre les mains des jeunes qui s'intéressent maintenant à elle. Ils s'avancent vers ma mère, sûr d'eux et le regard plein de d'idées perverses. Ma mère essaye de reculer mais se heurte au véhicule.

Le brun au bouc s'empare de son bras et la tire vers lui. Que peut-elle faire? Tenter de se défendre pour fuir? Les jeunes mesurent en moyenne 1m80 et elle fait 1m64. Elle se sent ridicule à côté d'eux, impuissante et vulnérable.

Elle voit le brun au bouc s'agenouiller devant elle tandis que le noir commence à lui défaire les boutons de son chemisier un à un. Les mains du brun au bouc caressent ses mollets et ses cuisses tendres et lisses et commence à les lécher.

Il en profite également pour lui enlever ses mules une à une. Les doigts habiles du noir parviennent à déboutonner totalement le chemisier ce qui a pour effet de faire tomber les deux gros seins aux larges auréoles brunes devant les yeux subjugués des autres jeunes.

- Soulève ta robe, sale pute! Montre ta chatte à tout le monde! Ordonne le brun au bouc.

Ma mère ferme les yeux et sanglote.

- Magne toi salope! Pas la peine de chialer, ça ne fera qu'empirer les choses!

Elle soulève sa jupe avec hésitation et finalement tous peuvent apercevoir le minou bien entretenu de ma mère. Elle pleure à grosses larmes et se demande le mal qu'elle a pu faire pour subir une telle humiliation.

- C'est bien ma salope! Et en plus tu sens bon!

Soudain, elle sent la langue pointue du brun titiller son sexe qu'il écarte largement de ses doigts experts. En fait, sa tête est en dessous de la jupe mais comme elle est relevée, les autres peuvent admirer l'exploit.

Quelque chose se passe à l'intérieur du corps de ma mère. Une chaleur semble l'envahir, une sensation qu'elle croyait éteinte se manifeste peu à peu.

La langue est experte et chatouille son clito.

Le noir lui a enlevé entièrement sa chemise et ma mère se retrouve poitrine nue, ses gros seins à l'air et à la vue de tous. Elle ne souhaite plus que le brun au bouc s'arrête et commence à onduler du bassin. Sa chatte commence à s'humidifier et cela satisfait le jeune. Le noir soupèse et palpe les grosses loches de maman qui commence à gémir de plaisir. Elle aime beaucoup qu'on lui tripote les seins. Ils sont vraiment gros, fermes et laiteux. Ses tétons pointent dur et le noir commence à les téter tout en les malaxant lentement.

Instinctivement, elle lui prend la tête et la plaque le plus possible contre son sein. Son instinct maternel est réveillé et la voilà se faisant téter avidement par l'un de ses ravisseurs.

Sa chatte est une véritable fontaine maintenant et elle ne maîtrise plus son corps humide de sueur et elle se laisse entraîner dans la luxure.

Pourquoi se retenir après tout? Ses enfants ne sont pas là, son mari pareil. Et de toute façon en ce qui concerne le sexe entre mon père et elle, cela n'a jamais été très fort. D'autant plus qu'elle n'a jamais connu quelqu'un d'autre avant lui. La nuit, elle faisait souvent des rêves naissant de ce manque de sexe.

Mais il s'agissait de rêves pervers, inavouables où elle se voyait baisant avec des hommes bien plus jeunes qu'elle. Elle a même rêvé se faire carrément violer et humilier dans des endroits sordides par des dizaines d'hommes.

Aujourd'hui, le fantasme rejoint la réalité. Certes, une femme normale serait sérieusement traumatisée par une telle chose, mais pas ma mère et bien au contraire.

Elle gémit très fort en ouvrant bien la bouche et excite les mâles.

- Je vois que t'aime ça ma salope! Et bien à ton tour de nous faire une petite gâterie!

Ma mère est mise à genoux et les quatre hommes se mettent autour d'elle. Ils baissent leur pantalon exhibant des sexes énormes et turgescents.

Le noir la saisit par les cheveux sans état d'âme et la force à lui sucer la queue. C'est la première pipe de ma mère car elle ne l'a jamais fait avec mon père ou personne d'autre. Elle tente de faire au mieux et pompe la grosse queue d 'ébène. Elle aime soupeser les testicules bien lourds et bien remplis.

Le noir gémit de plus en plus fort :

- Suce salope de bourgeoise bouffeuse de queue!

Ses gros seins à l'air ballottent honteusement et excitent les autres qui veulent aussi se faire sucer par ma mère. Le noir n'en peut plus et, vaincu par le plaisir procuré par ma mère, il lui éjacule dans la bouche de toute ses forces. Elle en avale la moitié et le reste coule sur ses gros seins.

Frustré, le noir la gifle en la traitant de 'pute à gros seins' et laisse sa place aux autres. Son visage est recouvert de foutre et son rouge à lèvre se mélange au sperme qui dégouline sur son menton.

Les bites s'engouffrent tour à tour dans la bouche goulue de maman mais les gars parviennent à se retenir. Las de ce petit jeu, le brun au bouc décide de la prendre en premier. Il la plaque sur le capot de la Mercedes et lui arrache violemment sa jupe noire puis il la pénètre. Son sexe effectue des va et vient dans celui de ma mère bien mouillé.

Elle aime cela et le lui rend bien en poussant des gémissements de plaisirs. Le brun au bouc s'énerve :

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