Papa me livre Maman

PAPA ME LIVRE MAMAN

Ce texte est la traduction librement adaptée en français du texte anglais de Stratoblaster intitulé « My mom is a submissive slut. »

Papa et moi roulons dans sa BMW en rentrant du country club. Nous jouons au golf ensemble depuis que j'ai 13 ans. Aujourd'hui, je l'ai enfin battu.

Je adaptée en reviens de ma première année à l'université et je n'ai pas envie de rester à la maison tout l'été. Jouer au golf avec Papa, c'est bien, maintenant que je suis assez grand pour boire quelques bières sur le parcours.

Papa est un sportif, un vrai type alpha. C'est donc un peu surprenant la façon dont il l'a pris quand je l'ai battu 4 à 3 lors de notre match.

-Fils, tu as bien joué aujourd'hui, dit-il pendant que nous roulons.

-Il faut dire que j'ai été à bonne école, dis-je en guise de consolation.

-Tu as gagné, et plus encore que tu ne le penses. Tu m'as botté le cul, oui, et il y en a peu qui peuvent en dire autant.

« Bien sûr mon pote, me dis-je intérieurement. Tu vieillis, et je deviens juste plus fort que toi ». Mais je ne livre pas le fonde de ma pensée.

-J'ai eu de la chance, c'est tout, dis-je.

-Non, tu as vraiment gagné à la régulière. Tu viens de monter en grade et tu mérites la petite surprise que je te réserve. Tu verras quand nous rentrerons à la maison...

-Une surprise?

Ah oui, pour une surprise, ça va en être une!

Nous rangeons nos sacs de golf dans le garage et entrons dans la cuisine. Papa fouille dans le frigo et me lance une canette.

-Félicitations. Tu vas pouvoir faire tout ce que tu veux à la maison maintenant.

-Juste parce que je t'ai battu au golf?

-Pas vraiment. J'ai simplement décidé qu'il était temps d'arrêter les faux-semblants ici. Tu es devenu un homme maintenant.

Et je l'entends crier :

-Carole! Ramène ton cul ici!

Je le suis dans le salon en m'attendant à ce qu'il fasse semblant de dire fièrement à Maman que je viens de le battre au golf.

Elle s'approche et tente d'embrasser Papa, mais il la repousse et dit d'une voix qui n'admet pas de réplique:

-Tu sais de quoi on a parlé? Il est temps!

Le visage de ma mère blêmit.

-Oh je... oh non, je t'en supplie...

-Tu préfères que je le fasse moi-même, avec une petite correction à la clé?

Le ton de Papa est doucereux, mais il convainc manifestement Maman. Elle baisse la tête vers le tapis, rougit intensément et, après quelques secondes, passe une main hésitante derrière son cou, dégrafe sa robe et en laisse retomber le haut.

Elle est juste là à présent, debout en soutien-gorge. Juste debout, tête baissée et attendant. Mon cœur s'emballe, un silence assourdissant règne dans la pièce. Papa ne dit rien, alors je ne dis rien non plus. On regarde juste ses nichons et ses tétons. Je commence à bander.

-Maintenant, le soutien-gorge!, ordonne finalement Papa.

-Oh, mon Dieu, murmure ma mère. Elle regarde, les yeux suppliants, mon père qui arbore un sourire sardonique.

-Dépêche-toi, salope!

Elle obéit alors, les mains tremblantes. Ses seins jaillissent sous mes yeux écarquillés.

-Qu'en penses-tu? me demande Papa.

Penser? Tout le sang afflue de mon cerveau à ma bite gonflée. Alors penser!

-Euh... elle... elle fait salope, comme ça...

-Bon Dieu, oui, c'est une salope! Et c'est ta salope maintenant, mon garçon. Tu veux voir sa chatte?

-Putain oui!

Il se tourne vers ma mère :

-Tu as entendu?

Ma mère, éperdue et morte de honte, obéit, les larmes aux yeux et le visage écarlate. Elle relève docilement sa robe, puis, en détournant le regard, baisse sa culotte à mi-cuisses. Juste là, debout au milieu du salon, pendant que Papa et moi, bien installés dans nos fauteuils, buvons tranquillement notre bière.

Je suis habitué aux sites pornos sur Internet et je sais ce que je vois en ce moment : une soumise incapable de se rebeller. Etre livrée par son mari à leur fils doit être pour elle l'horreur absolue.

Papa se lève au bout d'un moment et je l'imite. Nous nous approchons d'elle, qui tient sa robe toujours relevée. Papa palpe ses nichons, dont les tétons se redressent bientôt, pendant que je doigte sa chatte qui commence à s'humidifier malgré elle.

- Ouah! Elle mouille, Papa!

-Ah ça, au quart de tour! C'est ce qui est le plus excitant, ça lui fait honte comme c'est pas possible mais il suffit qu'un homme la touche et elle est trempée à la minute! Hein salope, tu aimes ça?

Devant le silence de Maman, que je devine obligé, je demande à Papa :

-Est-ce qu'elle a le droit de parler?

-En principe non, sauf si on l'y autorise. C'est toi qui vois.

-D'accord. Alors, juste pour que je sois sûr, ça te fait quoi, Maman, que je te fouille la chatte?

Une main gardant sa robe relevée, elle se couvre les yeux de l'autre et c'est en tremblant qu'elle répond :

-Oh je... j'ai honte, j'ai tellement honte.

-Honte de quoi? De devoir montrer ta moule à ton fils devant ton mari? De mouiller sous ses doigts comme une pute en chaleur? De savoir qu'il va te baiser tout à l'heure?

Je continue d'enfoncer ma main dans son con béant. Sa respiration se fait haletante. Bientôt un clapotement se fait entendre qui ne laisse aucun doute sur l'état dans lequel elle se trouve. Je sens que je ne vais pas tarder à gicler et je retire précipitamment ma main. Il n'est pas temps encore et je n'ai pas envie que Papa se moque de moi.

-Salope! Tu aimes ça, hein? Eh bien tu vas continuer toute seule comme une grande! Allez, branle-toi!

Des larmes perlent à ses yeux. Elle sembla hésiter.

-Tu es sourde ou quoi? Allez, magne-toi! Cuisses écartées!

Vaincue, elle s'exécute. Elle fléchit les genoux, se tend en avant et ferme les yeux dans un reste de pudeur. Son doigt se pose sur son bouton et ne tarde pas à tourbillonner autour. Je bande à mort au fur et à mesure que son souffle s'accélère au rythme de sa masturbation. J'ai hâte à présent de la voir jouir et de pouvoir l'enfiler trempée... Je déboucle ma ceinture. Papa me regarde en souriant.

(à suivre)