Otages des Gitans 06

J'ai eu du mal à trouver le sommeil dérangé par les cris et les hurlements de ma femme et ma fille qui se faisaient partouzer dans notre salon. Cela a duré une bonne partie de la nuit. Finalement, les jeunes sont rentrés chez eux abandonnant ma femme et ma fille exténuées et recouvertes de foutres poisseux. Je les entends se diriger vers la salle de bains accompagnées par Lola et Carmen. Je ne tarde pas à entendre des gémissements et des supplications criés par mon épouse et ma fille sous les insultes des deux gitannes. Je me branle comme un fou dans mon lit en écoutant Delphine et Victorine se faire de nouveau humilier et je jouie en criant....

Je descend dans notre salon et découvre un spectacle qui me laisse pantois. Pourtant, je devrais être habitué maintenant.

Ma femme et ma fille sont toutes les deux à quatre pattes sur le sol de notre salon en train de se faire besogner par Joseph et Manolo pendant qu'elles sucent la bite de Paco.

Les seins ballotent dans tous les sens, le corps secoué violemment par leurs coups de pines, elles gémissent sans aucunes retenues.

Carmen me lança un morceaux de tissu que j'attrape au vol.

- Tiens enfile ça la lopette!!

Humilié, je réalise que la gitanne vient de me lançer la nuisette de mon épouse. Je l'enfile sans protester. Je suis ridicule affublé de la sorte et les deux gitants éclatent de rire tout en continuant de pilonner ma femme et ma fille qui secoues leurs têtes en se mordant les lèvres.

Lola, un gode-ceinture sanglé autour de la taille s'avance vers moi et me positionne à quatre pattes devant Delphine et Victorine qui ondulent des hanches pour mieux s'empaler sur les bites de leurs tourmenteurs.

Une coulée de sueur glissa le long de ma colonne vertébrale. Je sais ce qui m'attend. Je tente de protester mais Carmen m'enfonce un gode dans ma bouche m'ordonnant de le suçer j'émet un grognement étouffé. Je sens le gode pesé sur l'ouverture de mes reins et je frémis. Lola m'agrippa aux hanches et commença à s'enfoncer dans mon rectum m'arrachant un hurlement étouffé par le gode que je suçe. Je suis enculé devant ma femme et ma fille qui elles aussi subissent le même sort. Le vieux Joseph élargit le cul de ma femme la pilonnant comme un fou pendant que Victorine se fait ramoner par Manolo.

Je sens la bite de latex qui coulisse dans mon cul et je bande comme un fou. Le ventre de Lola vient claquer contre mes fesses. Mes cris et mes gémissements viennent se mélanger à ceux de Delphine et Victorine.

Manolo et Joseph les défoncent violemment pendant que Carmen les traitent de putes et de salopes ce qui semblent les exciter au plus au point. Elles finissent par jouir en criant à pleins poumons. J'éjacule devant ce spectacle dégradant souillant le sol de mon sperme....

Non seulement je dois porter la nuisette de ma femme mais Carmen m'a contraint à passer de nouveau le string sale de ma fille souillée par sa mouille et sa pisse...Humilié comme jamais je déambule dans le salon de notre pavillon.

Les gitans attendent avec impatience la venue d 'Hélène, la très distinguée épouse du maire que Carmen et Manolo avait soumise la veille avec la complicité de Delphine.

Des claquements de talons me fit tourner la tête.

Suivant les intructions de Manolo, mon épouse et ma fille surgirent dans le salon habillées comme des putes.

Delphine porte une jupe en cuir qui appartient normalement à ma fille. Elle est donc beaucoup trop petite pour elle et elle semble boudinée dedans. La jupe s'arrête aux quarts des cuisses dévoillant des jambes gainées de bas noirs à couture. Les talons aiguilles de ses escarpins rouges la rende encore plus vulgaire. Sa poitrine est moulée par un Top blanc trop petit pour elle et ses seins semblent vouloir jaillir du décolleté à chaque respiration.

Ma fille porte une jupe écossaise rose s'arrêtant au ras de la moule avec un chemisier blanc dont les trois premiers boutons sont enlevés exhibant largement ses seins emprisonnés dans un soutient-gorges en dentelle noire. Carmen a poussé le vice à lui faire des couettes.

Victorine est perchée sur des escarpins noirs vernis aux talons aiguilles de douze centimètres.

Carmen et Lola s'empresserent de doigter ma femme et ma fille. Leurs doigts s'enfoncent dans leurs chattes et elles poussent vite de petits cris en ondulant du bassin.

Ma bite se tend jaillissant de la nuisette.

A ce moment précis, la sonnette de la porte d'entrée retentit.

Je dus aller ouvrir sous les quolibets des gitans.

Hélène se tient devant la porte. Elle resta stupéfaite en me decouvrant vêtu du string de ma fille et la nuisette de ma femme.

- Mais...Mais...François!!! Comment peux tu ....

Manolo l'interrompis.

- Tu vas rentrer salope!! Vient ici tout de suite!!!

Rougissante, la femme du maire entra.

Elle était vêtu d'une veste sur un haut noir avec une jupe crême qui s'arrête à mi-cuisses dévoilant des jambes fines gainées de nylon satinée. Les talons aiguilles de ses escarpins crème également la grandissent de plusieurs centimètres.

Elle resta interloquée en découvrant Delphine debout sur ses talons aiguilles qui se fait toujours doigter par Lola et Victorine, à genoux, en train de lécher la chatte de Carmen.

Manolo et Paco s'approchèrent de la femme du maire salivant déjà....

- Alors chienne, t'es venue prendre ton coup de bite.

- T'as aimé hier hein?

- Non, non, ce n'est pas vrai balbutia Hélène en me jetant un regard. Penaud et humilié d'être ainsi « féminisée » je baisse la tête. Honteux.

Manolo agrippa la distinguée épouse du maire par les cheveux et la contraignit à s'agenouiller sur le sol. Paco sortit sa bite déjà bien raide et la promena sur les lèvres rouge carmin d'Hélène.

Celle ci tourna la tête écoeurée.

Lola abandonna Delphine et se positionna derriere elle. Elle souvela la jupe dévoillant son cul moulée dans un collant.

- T'as mis un collant sale pute! Rugit elle, dorénavant que des bas et pas de string.

Elle lui asséna une claque sur les fesses, puis une autre et encore une.

Hélène pousse des cris à chaques fessées. Lola déchainée, lui claque le cul de plus en plus violemment. Paco profita du fait que ma maitresse ouvrait la bouche pour crier pour lui enfourner sa bite dans la bouche lui provoquant un haut le cœur.

La tenant par les cheveux, il fait coulisser sa bite entre ses lèvres pendant que Lola continue de lui tanner le cul.

Les cris de l'épouse du maire résonnait dans mes oreilles et je dois bien reconnaître qu'une fois de plus je bandais dur.

Carmen m'ordonna de filmer avec mon portable Delphine, mon épouse, empalée sur la bite du vieux Joseph assis dans notre canapé. Celle ci montait et descendait sur la queue du vieux gitan tout en se tirant la pointe des seins pendant que ma fille, Victorine debout sur ses talons aiguilles et penchée en avant lui léchait la chatte tout en se faisant titiller le clitoris par Carmen alors que derriere elle Manolo l'enculait sans ménagement.

Je filme en gros plan le visage d'Hélène, la bouche arrondit autour du mandrin de Paco. Elle salive sur sa bite, le masturbant de sa main manucurée. Elle lui titille le gland du bout de sa langue. Elle pousse par moment de longs gémissements. Lola a déchiré son collant et elle lui enfonce son index et son majeur dans sa chatte les faisant coulisser rapidement. Elle remplaça vite ses doigts par un gode qu'elle fait coulisser dans la fente de l'épouse du maire lui arrachant des plaintes pendant qu'elle continue de s'activer sur la queue de Manolo qui savoure sa fellation.

Cela donna des idées à carmen qui me força à m'empalersur un autre gode. Je gigotte dessus pendant que ma fille dut venir me suçer la bite alors que mon épouse, a quatre pattes devant moi, se faisait défonçer par le vieux Joseph.

Je ne tardais pas à jouir aspergeant le palais de ma fille de mon foutre qu'elle avala sans rechigner.

Ma femme poussa un hurlement en jouissant et s'affala sur le sol. Le vieux gitan la remaquilla en l'aspergeant de sperme.

Une sonnerie retentit soudain.

C'était le portable d'Hélène que Lola trouva dans son sac à main. La distinguée bourgeoise halète et secoue la tête dans tous les sens. Manolo l'a positionné en levrette et s'est enfonçée dans sa chatte la faisant couiner. Son ventre vient claquer contre ses fesses.

Lola lui montra son portable qui sonne toujours.

- C'est qui Charles?

- C'est...c'est mon...mari, balbutia Hélène, le corps secoué par les coups de reins de Manolo.

- Vas y, réponds lui, chienne. Lui lança Lola en mettant le portable sur l'oreille d'Hélène.

- A....allo?

Vicieuse, Lola a mis le mobile sur « haut parleur ».

Manolo continue de baiser l'épouse du maire pedant que celle ci tente de répondre à son mari sans la trahir.

- Tout vas bien ma chèrie?

- Oui....oui, ca va ...bafouille Hélène en se mordant les lèvres.

Agrippé à ses hanches, le gitan s'agitte en elle violemment. Les seins gigottent dans tous les sens. Le regard fou, Hélène balbutie des mots sans suite.

- Oui...Non, je suis fatiguée, je vais pas venir...

Lola lui titille le clitoris en même temps que Manolo continue de la défoncer.

Ce fut trop pour Hélène qui poussa un cri en jouissant.

- Ca va pas ma chèrie?

Essouflée, haletante, l'épouse du maire repondit qu'elle c'était cognée dans la table du salon.

- Je te laisse, au revoir ma chèrie

- Au revoir mon amour...

Elle lacha le téléphone et s'affala sur le sol cuvant son orgasme. Manolo se branla un peu et lacha des trainées de sperme qui allèrent s'écraser sur le visage d'Hélène.

- Bon la lopette, tu m'écoutes?

Dans un semi-brouillard je regarde Manolo.

Lui et ses complices ont encore eu une idée terriblement perverse. Je suis en train de baiser ma propre fille. Debout sur ses talons aiguilles, penchée en avant, se tenant à la table du salon, ses seins balançants sous mes coups de reins. Victorine gémit et halète.

- Ooooh papa....Ouiiii

A ses cris viennent se mélanger ceux d'Hélène, à quatre pattes, qui se fait enculer par Delphine equipée d'un gode-ceinture. Une lueur de méchanceté dans le regard, ma femme se venge une fois de plus de ma maitresse en l'enculant sauvagement. Hélène pousse des hurlements tout en se doigtant elle même, ses yeux roulant dans leurs orbites.

- On va vous emmener voir des potes. Vous allez encore en prendre plein le cul Lança notre ravisseur en éclatant de rire.

Entendant cela ma fille poussa un cri en jouissant tandis qu'Hélène hurlait de plaisir....

A suivre....