Nolwenn La Bretonne à Blacks 02

BÊTA PUBLIQUE

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Et si je n'étais pas en train de basculer? Je sentais une chaleur coupable m'envahir le bas ventre et la poitrine, en songeant à la grosse queue de Mamadou, que j'allais tenir en bouche dans les minutes qui allaient suivre.

J'allais vers l'inconnu et l'inconnue, c'était moi.

J'arrive près de l'entrée de la salle. Les guetteurs sont aux anges.

L'un d'entre eux, visiblement au courant, me dit

- Elle va sucer la pute! content de lui

- Je me retourne violemment vers lui :

- Oui, mais pas toi gros connard!

Je descends dans la cave où je retrouve l'odeur dérangeante. Mais cette fois-ci l'odeur me dérange moins. Je crois même discerner une odeur de sperme, odeur de circonstance.

Je vois mes deux blacks se lever à ma vue.

Qu'ils ne comptent pas sur moi, pour faire baisser les yeux. Je veux les affronter du regard. Je ne me reconnais plus. Je les toise.

- Ah la salope blanche, elle est venue! dit Mamadou

Je veux en finir

- Ben alors, vos sexes, messieurs?

- Désape toi d'abord Nolwenn, coupe Rocky de sa voix autoritaire.

J'obtempère en prenant bien le temps de leur dévoiler mes charmes l'un après l'autre. Je ne ressens aucune culpabilité, je les regarde droit dans les yeux, toisant leur désir en dévoilant mes seins. Je vois la bosse se former dans leur pantalon moulé, et leur main se poser dessus.

Mamadou me traite de pute, et pour une fois, je trouve que c'est pleinement justifié. Je lâche même un sourire complice.

- Attends de voir ce qu'elle va faire la pute, lui dis-je.

Ils n'ont d'yeux que pour mes seins que je viens de libérer de leur carcan. Ils se baladent en toute liberté pendant que j'hôte doucement mes bas, l'un après l'autre. Ils n'en croient pas leurs yeux.

En un rien de temps, je n'ai plus que ma culotte à baisser et je me retourne pour leur présenter mes fesses.

Rocky n'en peut plus et me palpe longuement les deux fesses. Il me donne de la chaleur dans tout le corps. Je me retourne pour leur montrer ma chatte bien fournie. Je suis fière de leur montrer ma chatte!

J'ai le droit à tous les propos orduriers de la terre, mais je ne dis rien puisque c'est amplement mérité. On me somme de me mettre à genoux.

- Une pute bretonne suce toujours à genoux, me dit Mamadou

Je fais un peu durer le plaisir. Mamadou me prend par la nuque et me met à genoux devant lui.

Je n'en peux plus. Je le veux en bouche, maintenant son gros gland. Je veux sentir sa chaleur. Je ne me reconnais plus du tout.

Son sexe tarde à me venir, il me frappe le visage avec sans que je parvienne à le toucher de ma langue. Je sens Rocky, derrière moi, qui me tripote les seins et frotte son sexe nu contre la plante de mon pied droit.

Enfin, je reçois le gros sexe de Mamadou en bouche. Aussitôt, je ressens une chaleur au plus profond de moi. Je suce comme jamais j'ai sucé de ma vie son gros sexe noir qui me remplit toute la bouche. Je m'active au mieux alors qu'il cherche à me l'enfoncer au plus profond. J'éructe, j'ai de la salive qui sort de partout.

J'ai peine à le reconnaître, mais je pense que je dois mouiller comme jamais je ne l'ai fait. J'ai une envie folle de me masturber, mais je n'ose pas le faire, je ne sais pourquoi. Alors je continue à sucer en gémissant.

Rocky s'approche de moi et me tend sa longue bite que j'avale avec plaisir. Je passe d'une bite à l'autre, en entendant leurs rires et les propos les plus désobligeants à l'endroit de la gente féminine.

Ils s'amusent avec moi, en me tendant, puis en me retirant leur bite. Ils ont bien compris que j'en raffole. Comment ne pas succomber à des bites pareilles? Je ne me pose aucune question. Je suis bien et c'est tout. Je suce comme si c'était ma raison de vivre. Le temps s'est comme arrêté. C'est le foutre dru de Mamadou que je reçois au fond de la gorge au bout de quelques minutes, qui me sort de ma torpeur. Je crois étouffer. Je l'entends crier de plaisir. Son plaisir, je prends à cœur de le recevoir en moi sans perdre la moindre goutte, puisque c'est le contrat. J'ai dû absorber tout le contenu de ses grosses couilles que je caresse et malaxe pendant qu'elles finissent de se vider, et je dois dire que j'ai apprécié, comme une bonne pute bretonne. J'ai la chatte en feu. Je me prendrais bien une bonne bite noire dans la chatte, mais ce n'est pas dans le contrat. Et je n'ose pas le leur demander.

Au tour de Rocky de se vider. Je me prends une avalanche de sperme chaud sur le visage que j'essaie de récupérer au mieux, mais la plus grande partie de son foutre est allée se perdre au loin sur le sol.

Ils sont vidés. J'y suis pour quelque chose. Je reste à genoux, devant leur sexe luisant d'humidité qui a perdu de leur vigueur. Je ne pense pas à me relever. Je leur souris.

- Ce que tu es belle, Nolwenn, me dit Rocky en me présentant sa bouche que j'embrasse goulument avec la langue

- C'est ça une pute vraie pute bretonne! lâche Mamadou, hilare.

- Tu n'as encore rien vu. Lui répondis-je. Regarde ce qu'elle va faire ta pute bretonne!

Je regarde deux belles traînées de foutre laissées sur le sol par l'éjac de Rocky. Je me baisse dans leur direction et je lape lentement leur contenu, retrouvant le bon gout de sperme. Pendant ce temps, ils me tapent sur les fesses en rigolant. Je ne sais vraiment pas ce qu'il m'arrive.

- Mais tu es une vraie salope, Nolwenn! me dit Rocky

- Non, c'est le contrat, fais-je en le regardant droit dans les yeux. Je suis une femme de parole.

Je me réajuste comme je peux. J'ai du sperme un peu partout. Mais je me sens bien, juste un peu coupable, mais si peu, en fait. J'ai encore la chatte en feu. Je me dis que dès que j'arrive à la maison, je me gode pour relâcher la tension car ce n'est plus possible. Jamais je ne me suis trouvée dans cet état-là.

Je traverse la dalle, aussi dignement que possible. J'ai le goût de sperme dans la bouche, mais je me dis que je n'y suis pour rien. Je n'ai fait que suivre ma destinée. J'ai goûté au boudin noir, comme dit Rocky et je dois dire que sa saveur ne me laisse pas insensible. Je ne serai plus la même femme, à présent.

Je rejoins ma tour, et je monte les escaliers pressés de rejoindre mon appartement. Je croise Boubakar. Il me fait un sourire. Je m'arrête, face à lui.

- Tu te souviens de ce que tu voulais?

- Heu, non!

- Tu voulais que je te suce la queue, non? je lui fais un sourire.

- Heu, oui!

- Et bien suis moi, c'est ton jour de chance.

J'ai pris les affaires en main. Je l'ai conduit dans le local technique, là où ils planquent une bonne part de leurs stupéfiants, dans les gaines.

Je l'ai embrassé goulument.

Je me suis mise à genoux, face à lui. Il n'a pas tardé à sortir son engin, qui prenait déjà forme. J'ai soupesé son gros sexe en connaisseuse. Je sentais que j'allais jouir comme une folle. Je voulais jouir avec la bite d'un noir dans la bouche, c'est tout ce que je voulais.

A sa demande, je lui ai offert mes gros seins qu'il a peloté allègrement. Et je l'ai sucé comme une morte de faim. Je me suis branlée frénétiquement le clito, ce que je n'avais pas osé faire devant Rocky et Mamadou. Je me sentais bien avec sa bite dans ma bouche. Au bout d'une minutes, nous avons joui ensemble. Il s'est vidé au fond de ma gorge, au moment où je sentais ma cyprine déferler pour inonder le ciment.

Je me suis effondrée vaincue. C'était le premier véritable orgasme de ma vie. J'ai regardé le sol. Je voyais des traces de liquide. C'était la première fois que je remarquais ça. J'étais devenue une femme fontaine sous l'intensité du plaisir, ou alors je ne l'avais jamais remarqué auparavant.

J'ai eu le plus grand mal à m'en remettre, assise dans ce local technique sale, les seins à l'air. Je sentais encore le sperme de l'africain en bouche.

Je réalisais à peine que j'avais quarante ans et que je venais de sucer la queue d'un mineur de 17 ans. La culpabilité viendrait plus tard. Pour l'instant, j'étais tout à mon plaisir et à son souvenir qui demeurait encore présent dans les cellules nerveuses de mon cerveau ou de mon clito, comme des petites vaguelettes après la tempête.

Foutrée, je suis retournée voir mon mari. Je lui ai tout avoué en pleurs, comment j'avais joui comme jamais.

Il s'est montré compréhensif, mon Franck.

Il m'a roulé une pelle. Et Je me souviens encore de ses mots.

- Ecoute Nolwenn, ma belle. J'ai profité de ton joli de cul de bretonne durant des années, il ne me déplait pas de le donner aux autres, pour qu'ils en profitent aussi.

Il me laissait carte blanche, mais je n'étais pas rassuré pour autant sur les débordements de ma sexualité.

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Anonymous
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4 Commentaires
NolwennbronnecNolwennbronnecil y a 3 moisAuteur

Un éditeur s'est manifesté pour reprendre le livre de mes confessions. l'aventure s'arrête là sur literotica

nolwenn

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Hâte de lire la suite et l'évolution de Nolwenn !

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Merci vivement la suite

AurailiensAurailiensil y a 4 mois

Beaucoup de plaisir et vraiment bien raconté

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