Nathalie Soumise à son Collègue 02

La réception :

Une belle villa avec une magnifique piscine qui domine la vallée, une grande terrasse ou une dizaine de couples se pressent autour d'un buffet apéritif. Marc et moi sommes accueillis par Pascal le mari de Nathalie

-- Bonjour Daniel bonjour Marc c'est un plaisir pour moi de vous accueillir pour fêter les 50 ans de ma femme.

Il nous présente les couples qui pour la plupart sont parisiens et font partis de ses relations d'affaires.

-- Ma chérie tes amis sont là

Nathalie s'avance vers nous elle était accompagnée par Florence sa fille qui est la copie conforme de sa mère avec 30 ans de moins. Elle est très belle dans sa petite robe d'été au décolleté plus que généreux.

Nath est habillée d'une mini-jupe noire avec un chemisier blanc qui laisse deviner sa poitrine opulente. Toutes deux ont déjà des jambes cuivrées par les premiers rayons de soleils de ce beau printemps.

-- Bonjour Marc, bonjour Daniel, je vous présente ma fille Florence. Mes fils malheureusement sont aux États-Unis j'ai dû me contenter d'un échange Facebook avec eux.

Marc lui tend deux petits paquets cadeaux qui contiennent une très belle parure de stylos et une magnifique petite pendulette pour compléter sa collection.

-- Ma chère Nath voici notre modeste contribution à ton anniversaire.

-- Hé bien Nath tu pourrais faire la bise à tes amis non ?

Les joues empourprées, Nathalie dépose nos paquets cadeaux avec ceux de ses invités.

Elle nous embrasse nous remerciant pour notre charmante attention. Le tout sous les applaudissements des amis de Pascal qui à ce moment-là nous invite à rejoindre la table.

- Nath je t'ai placée entre Marc et Daniel, car j'ai peur comme d'habitude de parler boulot avec nos amis parisiens, et puis tiens Florence mets-toi à côté de Daniel tu feras connaissance des collègues de maman.

Marc à cette annonce me dit immédiatement à l'oreille

-- A table occupe la fille qu'elle regarde le moins possible vers sa mère compris.

Sous la table

Tous les invités ont pris place sur la terrasse couverte de vigne vierge qui apporte une fraîcheur douce et agréable en nous abritant du soleil.

Nous sommes ainsi plongés dans une semi-pénombre, d'autant qu'il était presque 20 h et que le jour se couche lentement mais sûrement.

D'un claquement de mains, Pascal signifie au traiteur qu'il peut faire le service.

Nous sommes installés en bout de table face à deux couples et Pascal est en milieu de table entouré de ses copains.

Je fais la conversation à Florence quelles études faites-vous à quel endroit, comment ça se passe, et vos passions, etc.

C'est une bavarde et doit avoir quelque part du sang italien, car elle s'exprime à grand renfort de gestes des mains des bras.

Ses mouvements me permettait de constater qu'elle ne porte aucun soutien gorge ses gros seins se tiennent raides comme la justice, privilège de la jeunesse. Elle croise et décroise sans cesse ses jambes bronzées que je peux admirer malgré la grande nappe qui couvre la table.

Je tourne la tête vers Nathalie

-- Ça va Nathalie ton anniversaire se passe bien

-- Oui oh, oui, oui, mais je trouve qu'il fait un peu chaud.

Tu m'étonnes, qu'elle a chaud ! Je vois la main droite de Marc qui ne rate pas une occasion d'investir l'intérieur de ses cuisses pour lui caresser l'entre-jambe.

Nous sommes en fin de repas, il fait nuit la terrasse est faiblement éclairée lorsque le traditionnel gâteau d'anniversaire trône devant Nathalie qui vient de souffler ses bougies.

Pascal se déplace, l'embrasse et s'adresse à l'assemblée :

-- Mes amis je dois vous annoncer que j'ai un avion à prendre, je dois malheureusement vous quitter à regrets. Mais faites la fête, il vous reste le champagne le café les digestifs et profitez de la musique et même de la piscine si le cœur vous en dit.

Viens là ma fille.

Il embrasse Florence envoie un coup d'œil à sa femme et se dirige vers son véhicule pour rejoindre l'aéroport.

Une demi-heure après son départ l'alcool aidant, tout le monde danse, j'invite et j'occupe Florence pendant que Marc colle Nathalie et lui chuchotant quelque chose à l'oreille.

Quelque temps après cette folle soirée, à 22 h nous sommes attablés Marc et moi au café le Parisien

Marc me raconte :

Lorsque j'ai dansé avec elle je lui ai chuchoté à l'oreille

-- Nath va immédiatement enlever ta culotte et indique-moi ou es ta chambre

-- Non tu es fou Marc, et ma fille

-- T'occupes Daniel va la retenir

-- Et les invités

-- Arrête de gémir, obéit tout de suite va enlever ta culotte.

-- Non Marc, j'ai franchement peur, tu ne te rends pas compte.

-- Bon ça va j'ai compris j'appelle Daniel et nous quittons la soirée

-- Non, non je t'en prie, c'est d'accord j'y vais.

Je la voyais s'éloigner et je ne pouvais m'empêcher de bander en voyant son cul s'agiter de droite à gauche à chacun de ses pas.

Quand je pense qu'il y a moins d'une semaine, je lui apprenais à sucer et à avaler après avoir baisé sa magnifique bouche en gorge profonde.

Nul doute que je serais le premier à goûter le petit anneau brun qu'elle cachait précieusement entre ses magnifiques fesses qui s'éloignaient vers la maison.

Les invités étaient tous bien imbibés et Florence dansait comme une folle sur la piste.

Discrètement, je m'éclipsais.

Suivant les indications de Nathalie, je montais au premier étage et me dirigeait dans la chambre qui se situait au fond du long couloir et dont la mini terrasse surplombait la piscine.

Je pénètre dans la chambre et ferme la porte à double tour.

La porte-fenêtre est ouverte et l'on entend haut et fort la musique et les rires des invités.

Nathalie est face à moi, dos à la terrasse.

Elle est vraiment bandante uniquement éclairée à contre-jour par le bleu des spots qui entourent la piscine.

Le test d'obéissance pour Nathalie

Je la vois légèrement tremblante, à présent je vais tester son obéissance à mon égard.

Je lui lance d'une voix sévère

-- Tourne-toi, relève ta mini-jupe, montre-moi ton joli cul, vite.

-- Mais Marc...

-- Bon ça va, cette fois-ci j'ai compris je m'en vais.

-- Non reste, reste je vais, mais comprends-moi, je n'ai jamais..

-- Aller ça suffit tourne-toi maintenant et fait ce que je te demande.

Obéissante elle se tourne, les bras le long du corps, ses mains remontent lentement l'ourlet de sa mini-jupe, je découvre lentement le haut de ses cuisses et ce cul sublime.

-- Maintenant coince l'ourlet de ta jupe dans ta ceinture de manière à laisser tes fesses à l'air. Voilà comme ça, c'est très bien, tu vois lorsque tu veux.

Je m'approche d'elle, je lui souffle délicatement sur la nuque, je l'invite à tourner la tête sur le côté et lui applique un baiser profond. Je m'arrête lorsqu'elle manque d'air. Je lui lèche le lobe de l'oreille et lui chuchote

-- Maintenant ma petite Nath, tu vas t'avancer sur la terrasse et t'accouder à la balustrade en laissant ton joli petit cul à l'air.

-- Non je t'en prie Marc pas ça, tout le monde va me voir les invités sont juste en dessous s'il te plaît Marc.

-- Écoute-moi bien, c'est la dernière fois que te le dit, soit tu m'obéit et je te promets des plaisirs et des orgasmes fulgurants, soit je franchis cette porte pour ne plus jamais revenir. Suis-je bien clair.

-- Oui

-- Oui qui !

-- Oui Marc

-- Alors avance sur cette terrasse, tu appuieras tes coudes et tes mains sur la rambarde, tu écarteras les jambes et tu cambreras tes reins au maximum, c'est bien compris.

-- Oui Marc

Quel pied de voir cette femme mariée s'avancer lentement vers l'extrémité de la terrasse.

Elle s'incline légèrement sur la pointe des pieds afin de cambrer ses reins. Elle écarte ses jambes et me dévoile sa longue et magnifique raie culière.

J'ai libéré mon sexe qui est à présent tendu à l'extrême pour rendre hommage à cette femme.

J'ai une vue imprenable sur les lèvres gonflées de désir de son sexe et la raie qui sépare ses jolies fesses me laisse entrevoir le petit anneau brun et vierge de cette femme qui trompe son mari pour la première fois.

Nul doute qu'en contrebas, si des invités levaient la tête ils pourraient la voir, mais son dos resterait caché.

À genoux derrière elle, la paume de mes mains appliquées sur ses magnifiques fesses, mes pouces écartent les lèvres de son sexe.

Je m'applique à les lécher de bas en hauts, après quelques minutes de ce traitement elle gémit.

-- Ho Marc, Marc tu me rends folle, ah hum oui, oui

Son clitoris sorti de son capuchon se dresse comme un micro pénis, je le suçote, l'aspire, ma langue et mes lèvres sont à présent envahis de sa liqueur.

Je lui écarte un peu plus les fesses pour introduire la pointe de ma langue dans son anus.

Ses jambes tremblent, ses talons griffent la terrasse lorsqu'une voix s'élève du bord de la piscine.

-- Ho les gars regardez là-haut , c'est Nathalie ! Tu prends le frais?

-- Oui c'est ça, mais pas de souci je vais vous rejoindre.

Elle cambre un peu plus ses reins afin d'être certaine que l'on ne puisse voir du bas son cul qui frémit sous les assauts de ma langue.

Ce cul elle l'agite de haut en bas, de droite à gauche, d'arrière en avant, afin de jouir au mieux des caresses de ma langue sur sa chatte et son anus.

-- Bon alors tu viens Nathalie tu viens, nous t'attendons tu n'as pas ouvert tes cadeaux.

-- Allez oui maman viens dépêche-toi nous t'attendons.

-- Oui j'arrive

Je recule dans la chambre et Nathalie totalement affolée me rejoint.

Je l'attrape par les cheveux et l'oblige à se pencher en avant sur le lit.

Sans ménagement j'enfonce d'un grand coup de reins mon sexe tendu au plus profond de sa matrice, lui arrachant un cri, Dieu merci, couvert par la musique.

-- Ho ho Marc, oui hum c'est bon, je t'aime oui, oui ho mon dieu mon dieu.

Elle vient d'éjaculer sur mes couilles, j'accélère mes allers-retours et au bout de quelques minutes, excité par ses cris et ses tremblements, à mon tour j'éjacule à quatre ou cinq reprises au plus profond de cette chatte chaude et ruisselante.

Lentement je sors de ce puits d'amour et mon sexe à la main, je tapote de mon gland ses jolies fesses.

je déverse mes dernières gouttes de sperme sur le pourtour de son anus que je caresse de mon index et je lui chuchote.

-- La prochaine fois ma belle, je t'enculerai je ferais jouir ton magnifique petit cul que tu bouges si bien.

-- Marc qu'est-ce que je vais dire aux autres

-- Change-toi et descend les rejoindre, tu leur diras que tu es montée changer de tenue, car tu avais taché ta jupe.

Je lui applique une claque sur son joli petit cul et je descends moi-même rejoindre les invités.

La suite tu la connais Daniel, elle nous a rejoint et a déballé ses cadeaux.

-- Tu te souviens de la très belle pendulette que je lui ai offerte.

-- Oui

-- Tu te souviens que j'ai insisté pour l'installer avec elle sur la cheminée, au milieu de sa collection le cadran orienté vers le sofa.

-- Oui effectivement j'ai remarqué ton insistance.

-- Eh oui mon pote tout simplement parce que cette pendulette ne fait pas que donner l'heure.

-- Ah et elle fait quoi ta pendule magique, fait moi rire.

-- Tiens regarde mon ami

Marc me tend sa tablette informatique et je reste sans voix ! Sur l'écran je vois très clairement Nathalie et son mari Pascal tous deux confortablement installés sur le sofa devant la cheminée.

-- Non Marc, ne me dis pas que tu as installé une caméra de surveillance dans la pendulette, t'es cinglé !

-- Tout de suite les grands mots ! Elle n'est pas belle ma petite Nathalie dans son déshabillé rose en dentelle à côté de son petit mari en pyjama.

Regarde, regarde mon petit Daniel.

Marc manœuvrait le petit joystick enclenchant le zoom de la caméra. Je vois à présent en gros plan les seins lourds de Nathalie pointer avec arrogance le voile transparent de son déshabillé.

-- Alors mon Daniel elle n'est pas belle ma petite bourgeoise avec son petit cocu de mari. En plus j'ai le son mon ami.

Il me tend les écouteurs effectivement j'entends très clairement la conversation entre Nathalie et Pascal.

Nul doute que cette caméra va dans les jours, les semaines et les mois à venir, nous réserver bien des plaisirs.