Nadine 05

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu l'as déjà pris dans ta chatte de salope! Alors qu'il t'enfile par le cul cette fois!

Docilement, Juanita dirigea le sexe de l'animal vers son anus bien lubrifié. Elle poussa comme pour faire ses besoins pour s'ouvrir et faciliter la pénétration. Celle ci fut un peu difficile car l'animal était déjà très excité. Néanmoins, en quelques ruades brutales, il parvint à ses fins sous l'oeil de la caméra en gros plan. Cette fois, Carmen n'intervint pas pour la caresser pendant le co•t. Le chien s'agitait depuis un certain temps lorsque Juanita perçut que son ventre se contractait et que son vagin se remplissait de secrétions. Ce n'était pas possible : elle éprouvait un plaisir inouï, immense, total à se faire enculer par un chien!

Carmen eut immédiatement conscience de ce qui arrivait à son esclave. Elle abandonna immédiatement ses gros plans de la bite du chien entrant et sortant du cul de Juanita pour se consacrer à filmer la montée inexorable du plaisir sur son visage. Juanita chercha d'abord à se calmer mais elle se mit à tendre son cul aux coups de boutoir de son mâle. Ses halètements se transformèrent progressivement en gémissements puis carrément en cris de plaisir. Dans son délire, elle hurlait à Warrior de s'enfoncer plus vite, plus loin, plus fort. La jouissance la frappa au moment où le chien projetait son sperme dans son cul. Elle fut totale et si dévastatrice que Juanita s'évanouit.

Lorsqu'elle reprit connaissance, Warrior était encore fiché en elle. Elle dut attendre quelques minutes encore pour que le gland dégonflé glisse enfin de son anneau avec un bruit visqueux. Carmen lui sonda du doigt le vagin. Elle le sortit luisant de mouille.

- Eh bien, tu as vraiment pris ton pied comme une chienne. Tu as tellement mouillé qu'on pourrait t'enfoncer une bite de cheval! Il faudra que tu recommences!

Carmen reprit du doigt les traces de sperme du chien qui coulaient de son anus et la força à l'avaler puis à sucer le doigt jusqu'à ce qu'il soit parfaitement propre. Elle n'eut pas besoin de jouer de la cravache pour obtenir sa soumission. A la fin de la deuxième semaine, elle jouait toute la journée avec le chien et celui-ci la montait deux ou trois fois par jour sans qu'elle ne manifeste plus aucune répugnance. Il n'était plus nécessaire de la faire jouir par des caresses. Son mâle lui suffisait. Il utilisait de lui même indifféremment ses deux trous. Lorsqu'il visitait son anus, elle faisait très attention à contracter son sphincter en rythme pour le traire soigneusement. Elle essayait même de le faire, quoique avec encore moins de succès, avec les muscles intimes de son vagin. Elle se rendait pourtant compte qu'elle en prenait, progressivement, un contrôle conscient. Bien sur, Carmen ne put s'en apercevoir mais Jean, à son retour, le remarqua immédiatement, en profita longuement et la félicita pour cette nouvelle possibilité qu'elle lui offrait.

Elle fut très déçue de voir partir Warrior que Carmen, plus soucieuse encore de la déstabiliser que de l'avilir, insista pour ramener chez elle. Elle aurait voulu continuer à profiter de sa fougue, mais, de toutes façons, le chien était épuisé : il mit près de trois mois à se remettre du traitement que lui avait infligé Nadine.

Pendant quelques jours, Jean la laissa se reposer, la faisant dormir comme d'habitude sur le tapis au pied de son lit, attachée à un pied par une laisse courte, poignets et chevilles menottés, bâillonnée par une boule de tennis enfoncée dans sa bouche et maintenue par un lien de cuir, mais sans la toucher. Depuis longtemps, elle n'avait plus été sevrée de sexe. Elle commença à avoir des picotements dans le vagin.

Un soir, Carmen passa à la maison. Juanita dut servir son mari et sa maîtresse à table, vêtue en tout et pour tout d'un tablier de soubrette, d'un rond de dentelle dans les cheveux et d'escarpins aux talons démesurés. Elle dut lécher Carmen puis Jean. Ils l'entravèrent à genoux près du lit. Ils firent l'amour plusieurs fois sous ses yeux sans qu'elle reçoive la moindre caresse. Tout au plus, dut-elle nettoyer encore une fois la bite de Jean qui sortait du cul de Carmen et lui rendre sa vigueur pour qu'il replonge dans le ventre accueillant de sa secrétaire. Elle se mit à verser des larmes de frustration.

Jean et Carmen sourirent d'un air entendu. Aussitôt, ils téléphonèrent à Frédéric et se mirent d'accord avec lui. Le lendemain soir, elle était dans une chambre de bonne près de Barbès et une queue se formait dans le couloir : des clients qui attendaient pour la baiser ou l'enculer. Carmen était venue et vérifiait elle même que chacun mettait un préservatif et disposait au maximum de quinze minutes tout compris. Elle rembarrait sèchement tous ceux qui s'intéressaient à elle-même. Juanita se demandait les raisons de la sollicitude suspecte de Carmen.

La queue d'attente étant impressionnante, Carmen décida d'admettre les hommes deux par deux. Ils se partageaient les trous de Juanita comme bon leur semblait. A la fin de la séance, elle avait reçu les hommages de près de quatre vingt dix hommes. Elle était épuisée mais sa faim de sexe était provisoirement éteinte.

Jean arriva alors que le dernier client la baisait. Il attendit que l'homme eut fini sa petite affaire (forcément, il revenait pour la troisième fois). Juanita ne bougeait plus, à moitié endormie déjà. Il la secoua sans obtenir d'elle plus qu'un grognement. Alors, il la prit à bras le corps, la mit sur son épaule, la descendit dans la cour et la coucha sur le ventre dans une sorte d'auge à ciment. Il pleuvait à torrent. Il y avait plusieurs centimètres d'eau déjà dans l'auge. Son nez se trouva immergé. La sensation de noyade la réveilla brusquement. Elle se redressa. Jean lui fit alors :

- Tu ne m'as pas accueillie comme tu dois le faire pour ton Maître. Pour ta punition, tu vas devoir choisir entre vider cette auge en buvant l'eau ou te noyer dedans.

Il la repoussa de force dans l'auge et fit glisser deux lourdes poutres en bois sur ces épaules. Elles reposaient sur les rebords de l'auge et l'empêchaient totalement de se relever. Son nez replongea dans l'eau et elle suffoqua à nouveau. Alors, elle se résigna et entreprit d'avaler l'eau heureusement propre. L'averse était abondante et elle sentit progressivement sa vessie se remplir. Elle supplia Jean de la libérer, en vain! N'y tenant plus, elle se mit à uriner sous elle. Le jet éclaboussa l'auge. Une partie tomba au sol mais une part importante resta dans la vasque. Son visage fut à nouveau à moitié immergé mais ce n'était plus dans l'eau de pluie. Elle pleura, supplia tant et plus mais elle fut forcée de boire sa propre urine.

Aussitôt après, Jean la libéra. Elle dut successivement se faire enculer couchée sur une chaise de jardin, le sucer pour le débarrasser de toute trace suspecte puis le recevoir dans le vagin où il poussa l'humiliation jusqu'à uriner dedans sous les yeux excités de Carmen. Juanita avait toujours cru que ce tour de force était une impossibilité physique mais il semblait qu'elle se soit trompée. S'il restait encore un peu de respect pour elle même dans l'esprit de Nadine, il disparut totalement ce jour là.

Deux jours plus tard, Jean réunit ses amis Carmen, Frédéric et Pierre accompagné de sa femme Claire. Celle-ci était nue car Pierre lui interdisait de porter tout vêtement sauf une cape sans boutons si elle devait absolument sortir en ville. Elle était arrivée chez Jean dans le coffre de la voiture, nue, enchaînée, bâillonnée et menottée. Ses fesses et ses seins montraient des traces d'une fouettée qui avait dé être cinglante administrée juste avant de partir. D'ailleurs, Pierre n'avait pas du se contenter de cela puisque des traces de sperme étaient collées sur son visage, dans ses cheveux, autour de son sexe et de son anus gonflés et tuméfiés par le traitement qu'ils avaient subi.

Pierre raconta, très fier qu'il participait à un tournoi de tennis privé avec une vingtaine d'amis et que depuis la veille, Claire était attachée nue toute la journée à un des piquets portant le filet et servait de récompense à chaque vainqueur qui la prenait devant près de trente personnes. Pendant les pauses, les spectateurs pouvaient l'enfiler et Pierre avait eu la surprise, peu avant de venir, de voir sa propre soeur et celle de Claire s'équiper de godes de belles dimensions et baiser Claire sans la moindre douceur. Elles avaient voulu ensuite lui gonfler une baudruche dans le vagin mais Claire ne s'était pas laissé faire. C'était la raison de la fouettée dont elle portait les traces. Pierre annonça alors sa dernière idée.

- J'ai discuté avec René, un gynécologue de mes amis qui participe au tournoi. Il m'a proposé d'introduire un ballon gonflable dans l'utérus de Claire et de le gonfler progressivement avec de l'eau jusqu'à lui donner un ventre de femme enceinte de jumeaux et vraiment dix ou quinze kilos de plus. Avec des hormones, elle n'aura pas ses règles pendant quelques mois et on pourra lui laisser le ballon pendant tout ce temps là. Moi et René, ça nous excite de baiser une femme enceinte jusqu'aux yeux et on n'est pas les seuls. J'ai un autre copain qui va tourner un petit film porno où Claire va jouer le rôle central d'une petite fonctionnaire revêche célibataire qui va se faire baiser par son gynéco et se retrouver enceinte.

Au fur et à mesure que son ventre s'arrondira, tous les collègues, les amis et les voisins vont lui tourner autour et finir par la baiser. Juste avant l'accouchement, ils se succéderont du matin au soir et elle y prendra goût. Après, brusquement, ils ne viendront plus et elle devra se prostituer au coin d'une rue pour satisfaire ses nouveaux besoins. A la fin, elle retournera voir le gynéco pour le supplier de la remettre en cloque. Pour cela, elle devra devenir son esclave totale et se faire enfiler par toutes sortes d'animaux : chien, bouc, porc, âne et, si elle est suffisamment large, un cheval pour le final.

- Génial! On veut tous participer et on en voudra aussi une copie!

Claire tourna effectivement son film qui eut un certain succès mais l'amena aussi à se prostituer réellement, ce qui faisait de toute façon partie de la formation prévue. Ce fut Nadine qui initia Claire à la prostitution peu avant le tournage, elle qui enfonça un gode impressionnant dans le vagin de sa tendre amie pendant que le grand noir la sodomisait en force, elle qui guida la bite de l'âne lorsque le tournage approcha de la fin. Ce fut Nadine encore qui la conduisit plus tard au peep show et joua avec son corps pendant près de deux heures avant de faire entrer les figurants mâles qui piaffaient d'impatience.

Pierre découvrit parmi ses élèves quelques jeunes beautés qu'il voulut à leur tour initier. Pour être libre de ses mouvements et compléter ses revenus, il décida de confier Claire à Frédéric à temps plein. Lorsqu'il avait envie d'elle, de temps en temps, il venait la chercher, la faisait mettre à genoux dans l'herbe et se vidait la vessie dans sa bouche. Le trop plein dégoulinait de son menton sur ses vêtements.

Parfois, Claire ne voyait pas son mari pendant deux ou trois semaines. Frédéric trouvait alors amusant de l'envoyer chez Pierre un jour où il savait qu'il avait une fille chez lui. Claire était nue sous une cape qui lui couvrait à peine les fesses. Frédéric avait confectionné un rouleau avec l'argent qu'elle avait gagné, l'avait recouvert de plastique et le lui avait enfoncé dans le cul sans ménagement. Les instructions de Claire étaient strictes : elle devait se mettre nue devant la fille qui était avec Pierre, fléchir les genoux en lui tournant le dos et pousser comme pour chier pour expulser le rouleau. Elle devait ensuite nettoyer le cylindre avec sa langue avant de le prendre avec ses dents sans utiliser ses mains et de l'apporter à Pierre. Avec le temps, le rouleau grossissait et Claire se faisait doucement dilater sans le savoir.

Bien dressée avec l'aide de Nadine, Claire n'éleva jamais un mot de protestation, même lorsqu'il venait la voir sur son lieu de travail avec l'une de ses nouvelles conquêtes. Et Claire, à son tour participa à l'initiation de quelques filles. Maintenant, Pierre ne tolérait plus ses accès de timidité ridicule et de pruderie dépourvus de sens pour une jeune esclave comme elle. Nadine avait brillamment réussi dans la mission que Pierre lui avait confiée.

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