Nadine 05

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Nadine is further trained into degradation.
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Partie 5 de la série de 7 pièces

Actualisé 11/02/2022
Créé 04/08/2008
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Ch11 entraves et chaines

Nadine, rebaptisée Juanita par Carmen en était à sa seconde semaine de dressage entre les mains de la secrétaire de son mari. Elle trouvait déjà tout naturel de préparer le repas et de servir à table son mari et sa maitresse qui commençait à recevoir régulièrement des amis, hommes et femmes soit dans la journée, soit le soir. Juanita était de toutes les réceptions pour bien montrer sa soumission la plus totale à Carmen. Celle-ci faisait tout son possible, apparemment pour humilier Juanita en la présentant comme l'épouse de Jean qu'elle avait réduite en esclavage.

- Vous connaissez certainement Juanita. C'est l'épouse de Jean. Elle s'appelait alors Nadine. Vous vous souvenez de son air hautain? J'en ai faite ma servante, une petite salope tout juste bonne à se faire baiser par n'importe quel homme si je lui en donne l'ordre!

Cependant avoir fait d'elle une simple servante ne parut rapidement plus suffisant à l'impitoyable secrétaire qui s'ingénia à trouver des moyens pour rendre plus pénible la vie de sa victime. Elle se retrouva donc d'abord avec des menottes aux poignets et des fers aux pieds. Les menottes comprenaient une longue chaine pour lui permettre de faire le service à table. Cependant, elle ne pouvait pas tenir un plat à deux mains devant elle. Si elle tendait le bras droit vers l'avant, le bras gauche devait se retrouver derrière son dos dans des positions parfois plus qu'inconfortables.

L'étape suivante fut le rendez vous chez une esthéticienne. Carmen l'accompagna et donna ses instructions très précises à la jeune femme qui allait s'occuper de sa protégée : elle voulait une épilation laser complète, aisselle, maillot et anus. L'esthéticienne la prévint que c'était assez douloureux et qu'il faudrait plusieurs séances avant que les poils ne repoussent plus.

- Cette petite salope supporte très bien la souffrance! Je crois qu'elle aime bien avoir mal, en fait. Faites ce qu'il y a à faire et ne vous occupez pas de son petit confort!

Lorsque l'esthéticienne s'attaqua au pourtour de son anus, Juanita fit des sauts de carpe tellement elle avait mal. Finalement, Carmen se déclara satisfaite du travail réalisé. Maintenant on pouvait voir sans difficulté les anneaux qui décoraient son corps et la fixation de mousquetons ne poserait plus de problèmes! A l'horreur de Juanita, sa maitresse s'approcha d'elle alors qu'elle venait de se rhabiller avec une laisse de cuir blanc vernissé. Elle n'allait quand même pas la promener en ville avec la laisse accrochée à son anneau de nez! Mais Carmen avait une autre idée, encore plus humiliante. Elle lui ordonna de remonter sa jupe noire. C'était un modèle très serré, si on la remontait, elle restait en place et il fallait la lisser pour la faire redescendre. Juanita comprit aussitôt qu'elle allait être menée par l'anneau de son clitoris.

Dieu! Rien ne lui serait donc épargné : pour ne pas avoir affreusement mal, Juanita allait devoir suivre sa maitresse comme une petite chienne fidèle et, quoi qu'elle face, la laisse repousserait sa jupe vers le haut. En même pas cent mètres, on pourrait voir sa chatte si on regardait bien et une laisse blanche sur une jupe noire, cela attirerait certainement l'oeil des passants. Rien que l'idée faisait rougir la pauvre Juanita mais elle avait été bien dressée. Elle n'émit pas même un murmure de protestation. Ses épaules s'affaissèrent juste un peu lorsqu'elle sortit dans la rue derrière Carmen mais ce fut tout.

Carmen fit exprès de tenir l'extrémité de la laisse le plus haut possible. L'inévitable se produisit rapidement : la laisse tirait vers le haut l'ourlet de la jupe qui avait déjà tendance à se soulever lorsque Juanita marchait. La jupe remonta en faisant des plis au niveau de ses hanches et Carmen put enfin distinguer la chatte glabre de sa soumise. Bien entendu, Juanita avait interdiction formelle de chercher à rabaisser sa jupe. Se promener en pleine ville, la chatte à l'air et visible pour les passants qui les croisaient était une expérience totalement nouvelle et proprement inimaginable pour la fille plutôt discrète qu'avait été Nadine mais c'était du passé tout cela, Juanita le comprenait très bien!

Carmen s'arrêta chez un épicier pour faire quelques courses. Une barre devant la porte servait à attacher les chiens qui n'étaient pas autorisés à rentrer dans le magasin. Un épagneul et un caniche étaient déjà à l'attache et passaient le temps en se flairant l'un l'autre. Devant Carmen, un homme attacha son berger allemand qui se tourna vers Juanita en frétillant de la queue. Carmen eut un sourire méchant et noua l'extrémité de la laisse de Juanita à coté de celles des trois chiens. Juanita était mortifiée d'être ainsi traitée comme un animal domestique. Le berger allemand mit sa truffe sous sa jupe. Elle sentit l'haleine chaude de l'animal et recula, dégoûtée. Carmen la réprimanda :

- Sage, ma belle. Tu fais des touches même chez les chiens, maintenant! Quand je te disais que tu étais une vraie petite chienne. . . Je t'interdis de toucher à ta laisse ou de chasser ce gentil chien. Pour le reste, il a une laisse plus longue que la tienne. Tu n'as aucune chance de lui échapper. Je vous laisse, les tourtereaux!

Carmen entra dans le magasin. Juanita n'avait aucun moyen pour se défendre à moins d'enfreindre les instructions de Juanita et de risquer une punition très certainement sévère! Le chien, un instant surpris par son recul, l'accula tout au bout de sa laisse et revint renifler sa chatte. L'odeur dut lui plaire car elle sentit la langue râpeuse de l'animal toucher les lèvres de sa fente puis se mettre à les lécher activement. Les coups de langue agaçaient aussi bien ses lèvres que son clitoris. Elle crut vomir dix fois. Elle devait être rouge pivoine, léchée en public par un chien sur la voie publique! Le chien se moquait complètement de ses états d'ame et continuait à lui frotter le bouton et lui lécher la chatte.

A son corps défendant, Juanita sentit son sexe s'humidifier. Ses secrétions poisseuses parurent redoubler l'intérêt de l'animal. Sa chatte s'ouvrit et la langue put la pénétrer profondément. Elle se mit à haleter sans plus s'inquiéter d'être vue par autrui! Un rire gouailleur la tira de sa transe. C'était Carmen accompagnée du propriétaire du chien. Ils la regardaient en souriant.

- Regardez moi cette fieffée salope! Elle se fait lécher la chatte par mon chien en pleine rue! Un peu plus et il la faisait jouir! Vous ne pourriez pas tenir votre chienne en laisse, madame : mon chien va prendre de très mauvaises habitudes!

La honte remuait de plus en plus profondément Juanita qui aurait bien voulu disparaître sous terre tandis que le chien continuait à la lécher tranquillement et que Carmen riait franchement!

- Je vois que ce spectacle ne vous laisse pas indifférent. Si vous voulez, cette petite salope peut vous faire une gaterie pendant que votre chien s'occupe d'elle.

- Euh, ici, en public!

- Mais non, ne soyez pas bête. Il y a de petits arbustes là derrière. Il suffit de se mettre derrière!

- Alors d'accord! J'adore ce genre de petite chienne docile.

Les laisses de Juanita et du chien furent détachées de l'anneau. Si le chien fut probablement déçu d'être séparé de cette chienne inhabituelle, Juanita savait très bien ce qui allait suivre ce qui ne l'empêcha pas de suivre docilement sa maitresse vers l'endroit à l'abri des regards qu'elle avait choisi. Carmen lui intima l'ordre de retirer sa jupe et de se mettre à quatre pattes par terre. Le cœur de Juanita se mit à battre follement tandis qu'elle sentait une nouvelle vague de cyprine inonder son vagin tandis que l'excitation du moment la gagnait.

Le chien sautait de joie. Son maitre le retenait à grand peine tandis qu'il ouvrait sa braguette. Carmen et lui s'échangèrent les laisses pour plus de commodité. Le chien reprit son léchage intensif de la chatte de Juanita tandis que son maitre s'enfonçait dans la bouche accueillante de la jeune femme.

Le dard rouge et pointu du chien jaillit très vite tandis que son maitre éjaculait au fond de la gorge soumise de Juanita. L'homme se rhabilla hativement tandis que Carmen dit à sa protégée de s'occuper maintenant du chien.

- Prends sa bite très doucement dans ta main et caresse-le!

Juanita s'exécuta même si le contact qu'on lui imposait la dégoutait profondément. Le chien finit par éjaculer dans la main de la jeune femme. Il ne fit aucune difficulté pour suivre ensuite son maitre qui partit sans même saluer ni Carmen ni Juanita. Les deux femmes restèrent interdites, derrière le buisson. Carmen revint de sa surprise devant ce départ inopiné.

- Eh bien, ma petite chienne! Il te reste à avaler tout le sperme que tu gardes dans la main. Je veux que ta main soit bien propre!

Juanita était restée agenouillée par terre. Elle contempla quelques instants sa main souillée avant de lever des yeux implorants vers sa maitresse. Comme elle ne vit qu'un visage inflexible, elle baissa la tête, porta sa main à sa bouche et commença à lécher le fluide visqueux.

- C'est bien, Juanita! Tu es une bonne petite chienne. La prochaine fois, je pense que nous pourrons aller beaucoup plus loin avec un autre chien, tu ne crois pas?

Nadine- Juanita n'eut pas besoin d'autres explications pour savoir quel avenir lui était réservé sous peu, elle en était certaine. La prochaine fois, le chien serait autorisé à s'enfoncer dans sa chatte ou dans son anus voire les deux successivement et elle savait déjà qu'elle en tirerait un plaisir violent venant en partie de l'humiliation intense qu'elle subirait et qui était de plus en plus le pivot de sa jouissance.

Ch12 Juanita fait la chienne pour Carmen

Carmen avait regagné son domicile depuis deux semaines car elle devait prendre quelques jours de vacances en famille en Amérique du Sud. Jean ne vit pas d'objection à ce qu'elle se réinstalle dans sa chambre. De cette façon, elle était toujours disponible lorsque l'envie de tirer un coup si on peut utiliser cette expression populaire le prenait.

- Alors, on s'habitue, petite pute?

Nadine opina de la tête ; elle ne pouvait lui faire grand chose de plus depuis que Jean lui faisait porter presque en permanence lorsqu'il était là un lourd carcan qui exposait son corps aux coups de martinet ou de cravache, l'empêchait de protéger ses seins lorsqu'il lui prenait la fantaisie de les couvrir de pinces à linge puis de les faire sauter à coup de fouet.

Depuis quatre semaines, elle portait jour et nuit des godes dans son vagin, son anus et sa bouche. On ne les retirait que pour faire usage -fréquent- de l'un ou l'autre de ses orifices, parfois des trois simultanément ou pour la nettoyer, la nourrir ou lui permettre de faire ses besoins. A ces moments, il lui était absolument interdit de parler. Jean la contemplait de temps en temps d'un air très satisfait.

- Les deux semaines à venir, tu vas faire la chienne. Je dois partir en déplacement mais Carmen va revenir à la maison pour s'occuper de toi. Compris?

L'idée de voir envahir cette maison qu'elle considérait toujours comme la sienne par la secrétaire de Jean avec laquelle il avait longtemps fait l'amour devant elle lors de sa dernière visite n'était pas pour l'enchanter. Leurs relations amoureuses ne dataient certainement pas de cette occasion et Nadine - Juanita était dévorée de jalousie. Néanmoins, en bonne esclave, elle ne se permit pas d'élever la moindre protestation. D'ailleurs dans sa situation, cela lui aurait été difficile.

Le lendemain, Carmen arriva avec deux petites valises et un vanity-case où elle avait disposé ses bijoux et ses produits de beauté. Elle s'installa immédiatement dans la chambre de Jean, jetant dans un sac poubelle les quelques objets et bijoux de Nadine qui lui restaient encore. Celle-ci dut se réinstaller dans le grenier comme lors de la première visite de Juanita. Elle se remaquilla comme elle le put devant un miroir mal éclairé à la cave.

Avant de partir, Jean prit Carmen dans ses bras jusque dans sa chambre et lui fit longuement l'amour, la couvrant de caresses et lui murmurant des propos enamourés. Juanita entravée au pied du lit, la laisse nouée à l'un des pieds du lit, n'eut droit à aucune caresse ni même à un mot d'adieu gentil. Par contre, elle dut nettoyer avec sa langue et sa bouche le sexe de Jean qui sortait de l'anus de Carmen et présentait des traînées brunes. Elle l'avait ensuite sucé pour lui rendre sa rigidité et lui permettre de baiser encore une fois celle qu'elle considérait comme sa rivale.

Lorsque Jean partit, Carmen l'accompagna jusqu'à son taxi et l'embrassa avec passion. De retour dans la maison, elle mit tout de suite les choses au point vis à vis de Juanita.

- Il est hors de question qu'un animal dorme dans cette maison. Puisque tu es une chienne pour deux semaines, tu vas aller dans la niche dehors. Je vais te débarrasser de tout ton attirail mais je t'interdis de parler. Tu auras des menottes aux mains et aux pieds et tu auras interdiction absolue de te redresser sauf pour faire la belle. Ah! J'oubliais, je t'ai amené un petit cadeau!

Elle alla chercher un gros paquet dans l'entrée, l'ouvrit et en sortit une masse de poils attachée à un cylindre creux de plastique. Elle comprit vite de quoi il s'agissait lorsque Carmen enduisit rapidement le cylindre de vaseline, lui en mit une noisette sur l'anus et commença à l'enfoncer : c'était un gros gode avec une extrémité recourbée sur laquelle étaient fixés des poils synthétiques ayant l'allure d'une queue de chien de traîneau ou d'écureuil. Carmen avait l'intention de lui donner vraiment l'aspect d'une chienne. Celle-ci reprit :

- Tu coucheras dehors dans ta niche dès cette nuit et tu seras à la chaîne pour t'empêcher de filer. Je t'ai amené comme d'habitude des boites et des croquettes pour chien, tu vas te régaler. Je vais même te mettre un collier anti-puces car tu partageras ta niche avec un berger allemand que je t'amènerai demain. Je t'emmènerai faire tes besoins dans le jardin chaque jour avec lui. Comme ton gode est creux, je n'aurai même pas besoin de l'enlever. Pour éviter que tu ne tombes malade, ce qui déplairait à Jean, je te débarbouillerai au moins le visage et le sexe tous les jours et tu auras droit à un bain au bout de la première semaine et juste avant le retour de Jean mais seulement si tu es obéissante.

La nuit fut fraîche et Juanita n'eut qu'une pauvre couverture trop petite pour se protéger. Au matin, Carmen vint la chercher, accompagnée d'un superbe berger qui vint aussitôt lui flairer le cul. Elle voulut se dérober et rentrer dans sa niche mais reçut quelques coups de laisse qui la convainquirent de se laisser faire. Le chien lui lécha le cul, le sexe et le visage. Elle faillit vomir.

Carmen lui fit faire le tour des arbres du jardin. Elle interdit à Juanita de s'accroupir pour faire ses besoins. Elle dut se soulager comme une chienne en écartant les cuisses. Cela fait, elle reçut l'ordre de se mettre à quatre pattes. Le chien vint lui lécher le cul ce qui augmenta ses nausées. Cela donna une idée à Carmen :

- J'avais prévu de te nettoyer le cul avec du papier mais, si Warrior s'en charge, tant mieux! Cela fera toujours cela de moins à faire. Ca me donne une idée : tout à l'heure, lorsque cela sera mon tour d'aller aux toilettes, tu remplaceras le papier hygiénique avec ta langue et gare à toi si tu résistes.

Carmen ramena Juanita à sa niche, lui remit sa chaîne. Elle lui retira le gode qu'elle rinça sommairement au robinet. Elle le lui fit ensuite nettoyer avec ses lèvres et sa langue et, sans autre lubrifiant que la salive, le lui remit dans le cul d'une seule poussée. Deux heures après, elle fut appelée dans le cabinet de toilettes et dut s'appliquer à faire disparaître toutes traces sur la peau de sa Maîtresse. Celle ci lui lava aussitôt la bouche au bicarbonate.

- Par mesure d'hygiène, ce n'est pas pour te faire belle! En remerciement, après ta promenade de l'après midi, tu me lècheras jusqu'à ce que je jouisse.

Le soir arriva et le chien vint de lui même près de la niche. Il commença à lui tourner autour.

- Ton mâle semble s'intéresser à toi! Ce chien sera le seul mâle auquel tu auras droit pendant ces deux semaines. Profites-en!

Le chien mit ses pattes sur le dos de Juanita. Affolée, elle voulut se relever mais Carmen l'attrapa par son collier et la força à rester à quatre pattes. Elle sentit un instant plus tard la bite de l'animal buter contre son sexe. Sa Maîtresse l'empêchait totalement de bouger, l'étranglant à moitié. Brusquement, elle sentit la pointe du gland du chien trouver l'entrée de son vagin. Immédiatement, il donna une ruade et elle sentit le sexe conséquent de l'animal glisser dans son fourreau. Carmen se mit alors à lui caresser adroitement les seins et le clitoris pendant que le chien s'agitait activement dans sa fente. Au bout d'un moment, elle sentit avec horreur et dégoût la semence du chien se répandre dans son vagin. Sous le choc, sa propre jouissance éclata pour le plus grand plaisir de sa tortionnaire.

Le chien s'agitait toujours en elle. Elle sentit le nœud de l'animal la pénétrer et gonfler en elle empêchant l'animal de se libérer. Carmen leur donna à chacun un sucre trempé dans son café pour les faire tenir sage. Le gland du chien mit près de vingt minutes à se dégonfler suffisamment pour qu'ils puissent se désunir. A ce moment, le sperme du chien s'était solidifié en une masse glaireuse qui adhérait aux parois de son vagin. La dégradation de Nadine était maintenant complète. Elle n'était rien de plus qu'un animal soumis au bon plaisir de son Maitre, de sa Maitresse et de tous les males qu'ils choisiraient pour elle, qu'ils soient des humains ou des animaux.

- Bravo, petite chienne. Tu as un nouvel amant bien vigoureux. Dès demain soir, tu le caresseras et le suceras pendant mon repas pour me distraire. Lorsqu'il sera dans un état d'excitation adéquat, il pourra t'enfiler par devant ou par derrière comme il voudra. Tu te débrouilleras pour l'aider. Pendant ces deux semaines, je veux que tu lui serves de femelle aussi souvent que possible et qu'il soit épuisé à la fin.

Juanita eut quelque difficulté à partager l'écuelle du chien et à manger les croquettes et les boîtes pour chien avec lui. Quelques coups de cravache la convainquirent brusquement du caractère gastronomique de sa nourriture. Elle eut plus de difficulté à laper sa boisson car Carmen lui interdit l'usage de ses mains et même de tremper les lèvres dans l'eau.

Le seul avantage de la situation fut qu'elle eut beaucoup moins froid la nuit suivante qu'elle passa adossée au chien, d'autant que Carmen avec sadisme l'avait forcée à ramener la couverture à la maison en la tenant par un coin dans sa bouche. Le lendemain matin, le chien sortit, s'ébroua, lui lécha le visage et urina contre le côté de la niche puis fila dans un coin faire ses besoins. Carmen avait installé un appareil photo devant la niche et elle mitrailla Juanita toute la journée. Devant l'objectif, elle dut manger dans l'écuelle, lécher le museau du chien, pisser près de la niche, laisser l'animal lui lécher la chatte puis, à son tour, lui caresser la bite jaillie de son fourreau velu. Un nombre appréciable de coups de cravache sans complaisance ne parvinrent pas, par contre, à la convaincre de lécher le cul du chien après qu'il eût fait ses besoins. . .

Le soir, elle dut le masturber devant Carmen qui la filmait toujours au caméscope. Dès que la bite sortit de son fourreau, rose et pointue, elle reçut l'ordre de la prendre en bouche et de la sucer. Ses protestations ne lui valurent qu'une grêle de coups qui réduisirent à néant sa résistance en un instant. Curieusement, l'animal se laissa faire sans difficulté. Sa bite grossit encore. Sur l'ordre de Carmen, elle l'abandonna, dut se graisser l'anus avec de l'huile de table qu'elle dut appliquer avec ses doigts. Elle se remit à quatre pattes et tourna ses fesses vers le chien. Warrior prit appui sur son dos et présenta son sexe. Elle tendit une de ses mains entre ses jambes et attrapa le membre de l'animal. Carmen intervint :

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